Le 23 février prochain auront lieu des élections générales allemandes qui pourraient changer la physionomie et l’avenir de l’Union européenne. Comme dans
toutes les élections récentes dans les pays de l’Occident otanien, les médias grand public et les instituts de sondage vont être utilisés pour manipuler les électeurs et les inciter à ne
pas trop mal voter.
Il va de soi que tout vote
eurosceptique et tout vote qui ne serait pas russophobe sera considéré comme un mauvais vote par les élites dirigeantes de l’Allemagne et de l’Europe.
Mais il se trouve que ce vote est celui qui a le vent en poupe et qu’il pourrait l’avoir davantage avec l’arrivée de Trump au pouvoir et ses réserves sur le
soutien à l’Ukraine et à l’OTAN. On comprend que l’électeur allemand n’ait pas envie de se transformer en soldat de première ligne contre la Russie et qu’il ne souhaite pas provoquer la
ruine de son économie par un soutien coûteux et contre-productif à l’Ukraine.
Dans ce cadre, la presse et les instituts de sondage allemands vont se déchaîner contre l’AFD d’Alice Weidel1 et
contre l’Alliance de Sarah Wagenknecht.2
Fake news et sondages biaisés vont
donc se succéder de manière ininterrompue pour réduire l’engouement des électeurs pour ces deux partis souverainistes et éviter leur éventuelle percée électorale. Il
s’agira, pour le camp européiste, de créer une sorte de front républicain
européiste, belliciste et russophobe, donc fréquentable, réunissant les adversaires d’hier (SDP et CDU- CSU) pour éviter que Sarah Wagenknecht et Alice Weidel puissent peser
sur la politique allemande.
Rappelons qu’Alice Weidel, candidate de l’AFD à la chancellerie a déclaré qu’elle remettrait en service le gazoduc North Steam si son parti s’impose le 23
février. En clair, l’Allemagne se désolidariserait des sanctions de l’UE contre la Russie.3
La coalition des européistes, des médias et des instituts de sondage parviendra-t-elle, par ses manipulations de l’opinion, à limiter la poussée électorale
du duo Weidel-Wagenknecht qui bénéficieront du soutien direct ou indirect de Donald Trump et d’Elon Musk ? L’avenir nous le dira.
Pour moi, malgré le battage médiatique visant à les abattre, le duo Weidel-Wagenknecht, devrait cumuler plus de 30% des suffrages. Il pourrait
même créer la
surprise en cumulant près de 40% des suffrages exprimés. Le SPD et les écologistes devraient être les grands perdants du scrutin du 23 février 2025. Le bellicisme
jusqu’au-boutiste au prix de la ruine de l’économie sera le facteur qui déterminera le vote de rejet de la coalition sortante par les électeurs allemands… Les voix perdues par ces deux
partis ne se reporteront pas nécessairement sur l’union CDU-CSU si ce parti continue d’afficher son bellicisme avec trop d’assurance…
France
Emmanuel Macron et son Premier
ministre battent des records d’impopularité.4
Son soutien jusqu’au-boutiste à l’Ukraine au détriment de ses agriculteurs et de sa population pourrait-il expliquer cette plongée de la popularité
présidentielle ?
Croatie
Milanovic, président depuis février 2020, qui a critiqué l’Ukraine à plusieurs reprises, la qualifiant de «pays le plus corrompu
du monde» et qui s’est opposé à l’aide de l’UE et de l’OTAN à Kiev, ce qui lui a valu d’être accusé d’être une «marionnette
pro-russe», a été réélu avec près de 75% des suffrages exprimés.5
Roumanie
Des manifestants protestent contre l’annulation des élections sur ingérence et pressions de
l’Union européenne. De nouvelles élections sont programmées pour les 4 et 18 mai prochains, le temps pour les européistes roumains de tenter de reformater l’opinion publique
et d’éliminer de la course le candidat souverainiste gênant Georgescu, par tous les moyens possibles.6,7
Autriche
En Autriche encore une déconvenue pour
les néocons européistes. Le FPÖ parti souverainiste de droite, opposé à l’aide à Kiev et aux
sanctions contre Moscou, chargé de former un gouvernement après la démission du chancelier.8
On réalise que le jusqu’au boutisme belliciste et la russophobie recule un peu partout en Europe.
Les Européistes
contre-attaquent
Malmenés par les souverainistes un peu partout en Europe, les européistes contre attaquent dans plusieurs pays pour tenter d’inverser la montée de
l’euroscepticisme. En Slovaquie, ils suscitent des manifestations visant à déstabiliser le Premier ministre Robert Fico.
Il en va de même en Serbie, ou des manifestations
sont organisées au moindre prétexte, par une opposition qui reste minoritaire.générale (8 janvier 2025)
L’opposition minoritaire européiste, regroupée autour de l’ex-présidente Zourabischvili continue de contester la légitimité du pouvoir en place pourtant très
largement réélu aux dernières élections générales.9
*
Cérémonie d’investiture de
Trump
Les invitations adressées par Trump à des hommes politiques ou à des dirigeants européens et mondiaux pour son investiture rompent avec la tradition et font passer
quelques messages très clairs selon que l’on fait, ou non, partie des invités.
N’ont pas été invités à ce jour : Mme von der
Leyen, Monsieur Netanyahou, tous les dirigeants néocons, globalistes et sionistes qui tiennent le haut du Pavé en Union européenne et ailleurs, y compris Macron et
Scholtz, Starmer et
y compris les grands chefs
de partis politiques des pays de l’UE, les plus soumis au néconservatisme US.
Ont été invités : Xi Jing Ping
(qui a décliné) Viktor Orban, Georgia Meloni, Alice Weidel (chef de file de l’AFD en Allemagne), Jair Bolsonaro (Brésil) Javier Mileï (Argentine), Eric Zemmour, Sarah Knafo (France)… ces deux
derniers pour leur souverainisme.10,11
Chacun comprend qu’inviter Orban et Meloni et ne pas inviter non der Leyen, Macron, Scholtz et Starmer ; qu’inviter Eric Zemmour et ne pas inviter Marine Le Pen, en
dit long sur les relations personnelles entre le président des USA et ceux qu’il considère comme des amis. Avant même son inauguration, Trump distribue déjà des bons points et des mauvais
points. La belle façade
d’unité atlantiste risque fort de se fissurer bientôt…
*
OTAN-Kiev vs Russie +
À une semaine de l’inauguration du président US, l’attrition et les reculs des forces otano-kiéviennes se poursuivent inexorablement sur le théâtre ukrainien. Il
est peu probable que la dynamique en cours change au cours des prochaines semaines, voire des prochains mois, le président russe ayant clairement indiqué, à plusieurs reprises, que les combats ne
cesseraient qu’avec la signature en bonne et due forme d’un traité de paix.
Vladimir Poutine ne veut pas d’une paix provisoire ou d’un cessez le feu. Il veut une paixdurable garantissant la
sécurité de son pays, la paix en Europe de l’Est et
rien d’autre. Toutes les ingérences de l’UE qu’il constate aujourd’hui en Géorgie, en Roumanie, en Serbie, en Slovaquie ne l’incitent pas à faire confiance aux gouvernances mondialistes qui
tiennent le haut du pavé en Europe.
La duplicité de ces gouvernances a été clairement mise en évidence lors des accords de Minsk.
Voici deux points de situation militaires récents : le premier en français (6 minutes)
Guerre en Ukraine : La défense ukrainienne
s’effondre dans la région de Donetsk
La France va-t-elle susciter une nouvelle
crise financière ?
La dernière vidéo économique et géopolitique de Philippe Béchade, rédacteur en chef de «La Chronique Agora» et de «La Lettre des Affranchis» :
Le gouvernement Bayrou déjà sur la
sellette ?
Économie russe
Après une hausse de 29% en 2022, puis de 26% en 2023, les échanges commerciaux Russie-Chine
battent un nouveau record en 2024 à 245 milliards de $.12
Données 2024 et prévisions 2025-2030 du
FMI
Le FMI (sous gouvernance
occidentale) indique que le bilan économique 2024 et la réactualisation de ses prévisions pour la période 2025-2030 interviendra le 17 janvier dans l’après-midi. Gageons
que, comme toutes les
années précédentes, le bilan FMI de l’année écoulée sera meilleur que prévues pour les pays BRICS et le Sud global et que les prévisions pour la période 2025-2030 seront très
complaisantes pour les pays de l’Occident otanien qu’il ne faut pas désespérer trop tôt et pour lesquels il faut entretenir la confiance.13
*
Gouvernance et société
Crise sanitaire Covid (suite)
«La bombe du siècle : Ils savaient pour le
labo, les vaccins, et les milliards volés»
Virginie Joron, député européen, commente en 4 minutes le rapport de 520 pages du Congrès américain sur les leçons tirées de la pandémie. La manipulation médiatique et politique dont
les citoyens US ont été l’objet est mise en évidence. De là à penser qu’il en a été de même en UE et en France, il n’y a qu’un pas que beaucoup de français ont franchi. La
réticence, la méfiance et le manque de confiance dans les institutions de santé qu’ils éprouvent aujourd’hui dès qu’on leur parle de vaccin, fut-ce celui de la grippe saisonnière, explique en
large part l’échec de la
campagne vaccinale anti-grippe de l’hiver 2024-2025.
*
Quant au fameux plan blanc, applicable lorsque les structures de santé sont débordées, le lecteur notera que le gouvernement ne se pose pas la question de savoir si
la suppression d’un grand nombre de lits et de postes de soignants hospitaliers avant, pendant et après la pandémie de Covid-19 pourrait expliquer la saturation des structures de santé. Il accuse
encore et toujours l’insuffisance du taux de vaccination. Les responsables de la santé, tant en France qu’ailleurs, seraient-ils payés au nombre de vaccins vendus ?
Il est vrai que l’idée de dire aux citoyens qu’on n’arrête pas le progrès et qu’on allait leur administrer un vaccin à double effet (anti-grippe et anti-covid)
n’était pas forcément géniale. Ceux qui ont subi ou entendu parler des effets secondaires, parfois mortels, des vaccins contre la Covid ne se sont pas précipités pour en prendre une dose
supplémentaire. Avant de mettre sur le marché des produits élaborés à la hâte (vaccin Covid) pour faire de l’argent, encore faudrait-il s’assurer qu’ils sont efficaces et sûrs.
*
Wokisme : «Un mal lié à une
élite»
Au travers d’un entretien, la rédactrice en chef et animatrice de la matinale Tocsin, Clémence
Houdiakova, analyse l’évolution du wokisme dans le temps et la place que cette idéologie occupe au sein de notre société. Selon elle, «il y a une rupture entre le
peuple et les élites» sur ce sujet. Un fossé qu’elle ressent également sur la thématique des agriculteurs.
Aux portes de Paris pour manifester, ces derniers font face à un gouvernement qui fait la sourde oreille. Ils subissent également les affronts de la présidente de
la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui souhaite coûte que coûte signer l’accord avec le Mercosur. Pour terminer, Clémence Houdiakova revient sur le rôle que les médias dits
«alternatifs» pourraient jouer dans le futur, notamment lorsde l’élection présidentielle 2027. L’occasion de revenir sur le «you are the media now»
lâché par le milliardaire Elon Musk.
*
Une vidéo qui interpelle
L’antropologue suisse Jean-Dominique Michel nous présente une vidéo :
Les Macron menacent Candace Owens ! L’heure de
vérité approche
Rappelons au lecteur que Candace Owens est une journaliste influenceuse états-unienne et afro-américaine proche de Trump, qui a pris le parti de Vladimir Poutine
lors du déclenchement de l’opération spéciale. Évidemment, les rédacteurs globalistes de Wikipédia lui taillent un costard sur mesure dont ils ont le secret, la qualifiant d’antisémite, de
négationniste, d’homophobe et de conspirationniste : tout pour effrayer le bon bourgeois politiquement correct et pour décrédibiliser ses déclarations. Nous verrons bien ce que l’avenir nous
dira. Les vents changent parfois…
Étant plutôt sceptique sur les «vérités» prêchées avec beaucoup d’insistance par les médias grand public que j’ai vu trop souvent mentir tant sur la crise
sanitaire COVID que sur la politique étrangère (Ukraine, Palestine), la lecture de deux documents m’a plongé dans la perplexité.
Le premier (1 page) signé par 1961 personnalités de 60 pays dont deux Prix Nobel, qui se disent climato-réalistes nous explique qu’il n’y aurait pas
d’urgence climatique…
Le second, un article scientifique très documenté, nous montre que l’augmentation du CO2 ne serait peut-être pas aussi mauvaise pour la planète que nos
médias le disent. Elle se traduirait par une augmentation significative de la couverture végétale dans toutes les écorégions, ce qui ne nuit ni à la planète, ni aux êtres vivants.
Bien sûr, les idéologues du CO2 et du climat et les «décodeurs» vont protester en affublant les auteurs ou signataires de ces textes de tous les noms
d’oiseaux, mais il m’a paru intéressant d’y jeter un œil pour alimenter ma réflexion personnelle que je n’ai pas coutume de déléguer aux écolos et encore moins aux journalistes.
Les provocations de Washington ne s’arrêtent jamais. Que ce soit la visite de Nancy Pelosi à Taïpei ou le personnel militaire américain stationné sur certaines des îles de Taïwan les plus proches
de la Chine continentale, les États-Unis intensifient leurs actions pour s’assurer que la Chine soit poussée dans un coin dont seule la guerre peut résulter. Pour discuter de la guerre civile
chinoise inachevée mais actuellement pacifique, Pascal Lottaz reçoit le géopoliticien US Jeffrey Sachs et le Dr Joanna Lei, universitaire et ancienne sénatrice de Taïwan.
Les néocons prêts à agir :
Taïwan, l’Ukraine de l’Asie ?
Les provocations de Washington ne s’arrêtent jamais. Que ce soit la visite de Nancy Pelosi à Taïpei ou le personnel militaire américain stationné sur certaines des
îles de Taïwan les plus proches de la Chine continentale, les États-Unis intensifient leurs actions pour s’assurer que la Chine soit poussée dans un coin dont seule la guerre peut résulter. Pour
discuter de la guerre civile chinoise inachevée mais actuellement pacifique, Pascal Lottaz reçoit le géopoliticien US Jeffrey Sachs et le Dr Joanna Lei, universitaire et ancienne sénatrice de
Taïwan.
Les néocons prêts à agir : Taïwan, l’Ukraine
de l’Asie ?
Pour ma part, je pense que les dirigeants taïwanais ont perçu le basculement des équilibres géopolitiques mondiaux. Ils savent que désormais, les USA (et l’OTAN) ne
sont plus en mesure de s’impliquer victorieusement à leur profit si une guerre venait à opposer Taïwan à la Chine. Ils ont pu mesurer les limites de la puissance de l’Occident otanien en Ukraine
face à la Russie. Ils n’ont
pas envie d’être demain l’Ukraine de l’Asie. Le pragmatisme l’emportera sur le nationalisme. Ils choisiront avec fierté une réunification pacifique plutôt qu’une guerre perdue
d’avance. Les États-Unis de 2025 ne disposent plus, et loin s’en faut, de la supériorité militaire absolue dont ils disposaient en 1945 ou en 1990 pour imposer leurs «règles» à l’ensemble de la
planète.
*
Gouvernance mondiale : Une réforme des
institutions créées au siècle dernier est nécessaire
Pour se forger une opinion, deux vidéos de 25 minutes chacune :
La première en français avec Pascal Boniface et Anne-Cécile Robert, directrice adjointe du Monde
diplomatique et autrice de «Le défi de la paix, remodeler
les organisations internationales».
On réalise que, si aucune réforme n’est entreprise, les BRICS, leurs partenaires et les pays du Sud global, bâtiront progressivement leurs propres institutions
parallèles qui se substitueront, au fil du temps, aux organisations internationales créées par les vainqueurs de la 2ème Guerre mondiale et toujours dominées par eux.
*
Dialogue franco-russe
Je me suis exprimé sur la chaîne YouTube du Dialogue Franco-russe dans une interview :
Trump sera-t-il capable d’agir face aux forces
de l’OTAN prêtes à tout ?
On vient d’apprendre la démission du Premier ministre canadien libéral «néocon» et belliciste Justin Trudeau. Sa popularité était en berne et il a jugé qu’il
n’était pas le plus qualifié pour mener son parti à la victoire lors des prochaines élections générales. Sa démission est donc logique et survient après une longue série de défaites électorales
ou de désaveux observée chez les dirigeants néocons occidentaux (Sunak, Macron, Scholz, Biden/Harris). Le seul problème est que son éventuel successeur est un conservateur Pierre Poilièvre, lui
aussi néocon et belliciste. Le Canada risque donc de connaître le même scénario qu’au Royaume-Uni en juillet dernier : Un néocon succède à un néocon…
Eh oui, on trouve des néocons dans tous les partis, ou presque, et ils ont des soutiens puissants et riches qui leur permettent de financer leur campagne
électorale.
Croatie
Le président Zoran Milanović a écrasé le premier tour de l’élection présidentielle en remportant plus de 49% des voix. Il défend une position pro-Paix en Ukraine et
affirme que «Tant que je suis président,
aucun soldat croate n’ira faire les guerres des autres».
L’unanimité autour de l’Atlantisme néocon est donc loin d’avoir le vent en poupe chez les électeurs de l’UE, malgré l’activisme dérisoire, improductif et sans
avenir d’un chef gaulois.
*
OTAN-Kiev vs Russie
Sur le terrain, les Russes
poursuivent leurs avancées sur de nombreux secteurs du front. Ils ont pris les villes de Toresk et de Kurakhove, ils terminent la conquête de la ville de Chasov Yar, s’approchent des lisières sud
de Pokrovsk, et pénètrent dans la banlieue Est de Velyka Novosilka. Ils ont coupé la route d’approvisionnement ouest de cette ville de Velyka Novosilka qui va donc se trouver en grande
difficulté.
Les Ukrainiens pour leur part ont lancé une attaque dans la poche de Koursk en direction de Berdyn depuis 48 heures, sans pouvoir prendre le contrôle d’une
localité. Ils semblent avoir pris le contrôle d’une zone forestière d’une vingtaine de kilomètres carrés au Sud-Ouest de Berdyn avant d’être stoppés par les forces russes. Cette attaque vise à
montrer à leurs alliés occidentaux que l’Ukraine est encore capable d’avancer sur certains secteurs du front.
Sur la chaîne YouTube du Figaro, une
excellente analyse d’Emmanuel Todd qui fait preuve, une fois de plus, d’un grand réalisme :
Le job de Trump va être de gérer la défaite
américaine face aux Russes
Dominique Delawarde, ancien général Armée de Terre, ancien chef du Bureau Situation, Renseignement, Guerre électronique à l’État majeur interarmées de
planification opérationnelle.
En PJ1 et PJ2 les nouvelles du 4 janvier sous deux formats différents (PdF et
OdF)
En PJ3, le DD 2025 version finale sous le titre: Le top 100
dessites à connaître pour diversifier ses
sourcesd'
information Ce document sera réactualisé tous les 6 mois pour tenir compte de
l'évolution de l'offre et de mes probables oublis.
A chacun son menu et à chacun de se forger son opinion, bien sûr.
DD
PS: Je rappelle à mes correspondants dont le nombre ne cessent d'augmenter que les textes envoyés peuvent être repris en tout ou partie et/ou
retransmis à vos réseaux d'amis si cela est susceptible de les intéresser.