2 - Une très courte (4 minutes) intervention de Martin Blachier commentant, sur LCP (La très officielle chaîne TV parlementaire) un rapport de l’Agence
Technique de l’Information sur l’hospitalisation (Service de l’État).
Il se déclare surpris de découvrir aujourd’hui que les patients Covid-19 ne représentaient que 2% des hospitalisations pour l’année 2020. Il admet que c’est « très, très, très loin de l’image que l’on s’en faisait ».....
Or, cette fameuse « image que l’on s’en faisait » a été créée de toute pièce par les
politiques, et le conseil scientifique, en conflits d’intérêts avec Big Pharma; politiques relayés par
des médias mainstream complices, eux aussi en liens étroits avec divers lobbies par lesquels ils sont
contrôlés.
Le constat dressé par Martin Blachier, médecin de plateau TV qui n’a jamais cessé de soutenir les décisions de l’exécutif, appelle les questions suivantes :
- Pourquoi l’image de la pandémie, vendue aux citoyens et téléspectateurs, a-t-elle été exagérée à ce point par l’exécutif et les médias ?
- Pourquoi commence-t-on à admettre, aujourd’hui, dans des rapports officiels, que le narratif
de l’épidémie a été fortement noirci ?
- Pourquoi, dans ces conditions, le gouvernement s’acharne-t-il à créer un pass sanitaire « à durée de validité limitée », soumis à un nombre de doses vaccinales imposées.
- Pourquoi s’acharne-t-il à multiplier les doses de vaccins, donnés pour une efficacité de 90 à 95 %, mais qui n’ont pas donné les résultats escomptés, et pourquoi s’acharne-t-il, dans le même
temps, à interdire les prises en charge précoces avec des médicaments qui ont fait leurs preuves, ailleurs, dans le monde ?
3 – Le Président biélorusse, dont le pays affiche pourtant l’un des taux de mortalité les plus bas d’Europe (4 fois inférieur au notre), a reçu de nombreux conseils pour mieux gérer l’épidémie de
la part du président et des journalistes français, toujours en pointe pour s’ériger en donneurs de leçons, mais beaucoup plus réservés pour faire leur autocritique.
Il est intéressant et surtout très amusant de voir comment il en tient compte, lors de son conseil des
4 – Invitée à s’exprimer par un sénateur US lors d’une audition dont la vidéo a été publiée le 9
novembre dernier, le Lieutenant Colonel Theresa Long, médecin militaire américain, alerte sur la
vaccination contre la Covid 19 dans les Armées américaines. (traduction simultanée de l’américain
en français.)
Outre son analyse argumentée sur la balance bénéfice-risque de la vaccination sur des populations jeunes qui ne risquent pas grand-chose, elle nous apprend que 200
000 soldats ont refusé le vaccin et ont quitté l’Armée américaine. Ce nombre représente 4 fois les pertes US lors de toute la guerre du Vietnam.
Ça n’est pas rien ......
C’est une excellente nouvelle pour ces 200 000 soldats qui ont toutes les chances de survivre à la Covid 19, et de rester en bonne santé. C’est aussi une très bonne nouvelle parce que cela réduit
d’autant la capacité d’ingérence et de nuisance des USA sur la planète. Ce ne sont probablement pas les plus mauvais soldats qui sont partis. Il faut, en effet, un certain courage et une capacité
à retrouver du travail, pour accepter de perdre son emploi et de mettre sa famille en difficulté pour aller au bout de ses convictions. Il ne sera pas facile de les remplacer.
5 – La Suissesse Astrid Stuckelberger, au Cv impressionnant, nous fait quelques révélations importantes dans une vidéo, hélas un peu longue. Je recommande, à ceux qui en ont le temps, de
visionner de la minute 13’ 30’’ à la minute 53’ 30’’
6 – Enfin, dans une joute à fleuret moucheté entre un «géant» et un «nain», on réalise à quel point le
harcèlement anti-Raoult, subventionné et réalisé par les suppôts de big pharma et des médias complices, est permanent. Le sourire mielleux, le regard patelin et les questions « à charge » du
Raminagrobis envoyé par BFMTV pour tenter (en vain) de mettre Raoult en difficulté, transpirent la duplicité, l’hypocrisie, la désinformation ......
Cet espace d’opinion permet la libre expression des idées et d’engendrer le débat. Les articles et vidéos publiés dans cette rubrique peuvent parfois ne pas faire consensus, en savoir plus →
-A+A
TRIBUNE - Vacciner, vacciner, et vacciner encore. Sous la contrainte s’il le faut. Voilà la seule « solution » pour Emmanuel Macron.
Mais, Monsieur le Président, je vous rappelle que 88 % de la population adulte est doublement vaccinée. Si le vaccin fonctionnait si bien que ça, pourquoi s’affoler
?
Il y a un problème quelque part. Alors vous nous dites qu’il fonctionne très bien mais… seulement pendant six à neuf mois.
Je vous donne raison sur un point : ce vaccin est totalement inefficace après quelques mois, en effet.
close
volume_off
Une grande étude suédoise vient de le confirmer [1] :
après huit mois, le vaccin n’a plus la moindre efficacité contre les infections :
À partir de l’âge de 30 ans, la barre noire (la proportion de contaminations parmi les vaccinés) est systématiquement supérieure à la barre grise (les contaminations chez les
non-vaccinés)
Et, ne me dites surtout pas que ce serait dû au fait « qu’il y a plus de vaccinés que de non-vaccinés dans la population ».
Ce graphique prend en compte la proportion de vaccinés et non vaccinés,
pour 100 000 habitants.
En octobre, donc, les vaccinés avaient bien un risque plus important d’être infectés que les non-vaccinés, au Royaume-Uni.
Partout dans le monde, on voit bien que le vaccin n’arrête pas les infections, et n’empêche absolument pas l’épidémie de se déployer.
Prenez Singapour : ce pays a beau figurer parmi les plus vaccinés de la planète… il a connu depuis fin août sa plus haute vague de contaminations et de décès :
Explosion du nombre de morts Covid à Singapour depuis début septembre, malgré un taux de vaccination exceptionnel et de lourdes mesures de restrictions
Que dire de ce qui se passe au Vermont, l’État le plus vacciné des États-Unis ?
Le Vermont vient de battre son record de contaminations journalières (il n’y avait jamais eu autant de contaminations en une seule journée depuis début
2020)… malgré près de 90 % de sa population adulte vaccinée [3].
Même phénomène dans la ville de Waterford, en Irlande : c’est la ville la plus vaccinée du pays, avec 99,7 % de la population adulte vaccinée [4]…
…et c’est pourtant la ville qui a récemment connu le taux le plus élevé d’infections en Irlande [5].
Peut-être que le vaccin finit par rendre plus vulnérable aux infections, on ne le sait pas encore avec certitude.
Une chose est sûre, évidente : le vaccin n’empêche ni les contaminations, ni la transmission du virus.
On en a aussi des exemples tous les jours en France :
Cluster énorme de soignants à l’hôpital Saint-André à Bordeaux : 15 soignants vaccinés (par obligation) ont été testés positifs ainsi que 6 patients doublement
vaccinés [6] ;
Cluster de soignants et patients à l’hôpital de Puy-en-Velay, qui aurait touché jusqu’à 40 personnes [7], cluster au Centre hospitalier de Lons [8], etc.
Clusters dans les maisons de retraite : 20 résidents contaminés (tous vaccinés) en Vendée [9], un tiers des résidents infectés dans un Ehpad de Sarthe, dont cinq en sont morts [10].
Tout cela pointe quelque chose d’évident. Tout cela montre une vérité aveuglante, que vous avez pourtant refusé de reconnaître hier soir, Monsieur le Président :
Il faut arrêter tout de suite le « pass sanitaire », qui n’a aucun sens.
À quoi sert-il de « laisser passer » les seuls vaccinés, alors qu’ils peuvent tout aussi bien transmettre le virus et infecter les autres que les non-vaccinés ?
Cela veut dire, aussi, qu’il faut arrêter tout de suite l’obligation vaccinale des soignants.
Puisque la vaccination n’empêche pas de contaminer autrui, il faudrait tester régulièrement tous les soignants, vaccinés ou non –
c’est le meilleur moyen de protéger les patients.
Et il faut arrêter la fuite en avant de la troisième dose, quatrième dose, cinquième dose, etc.
Non, la troisième dose ne changera rien au problème car ces substances ne sont pas des "vaccins".
La troisième dose ne changera rien à la dynamique de l’épidémie, à la circulation du virus :
- car ce vaccin, avec une, deux ou trois doses, n’a jamais empêché les transmissions – la charge virale des contaminés est la même, qu’ils soient
vaccinés ou non vaccinés, récemment ou non ;
- car ce vaccin, même avec trois doses, protégera toujours très mal des infections, notamment avec les nouveaux variants.
La troisième dose ne changera rien à ce fait : ces vaccins ne sont pas un outil de lutte contre l’épidémie.
Au mieux, ce sont des instruments de protection individuelle, contre les formes graves.
Donc, il faut arrêter une bonne fois pour toutes de parler de « vaccin ». Le très respecté Peter Doshi, éditeur du British
Medical Journal, l’a dit haut et fort lors de son audition récente par un sénateur américain [11] :
« Le dictionnaire Myriam-Webster [l'équivalent du Larrousse] a dû changer sa définition du vaccin pour qu’elle puisse s’appliquer aux vaccins Covid.
Et si on appelait plutôt ces injections des « médicaments » ?
Nous avons des preuves que ces « médicaments » n’empêchent pas les infections, et ne stoppent pas la transmission du virus.
Simplement, ce type de « médicament » est considéré comme réduisant votre risque d’être très malade et de mourir du Covid.
Prendriez-vous ce « médicament » tous les 6 mois environ, peut-être pour le restant de vos jours, si c’est la condition pour que le médicament reste
efficace ?
Seriez-vous prêt à soutenir des mesures d’obligation de ce « médicament » ?
Ne pensez-vous pas qu’il faudrait se dire plutôt ceci : « attendez une seconde, si c’est le seul bienfait de ce médicament, pourquoi ne pas prendre un
médicament normal à la place ? Le genre de médicament que l’on prend quand on est malade et qu’on veut aller mieux.Et pourquoi obliger qui que ce soit à
prendre ce médicament ? »
Eh oui, il faut le dire et le répéter : les « vaccins » anti-Covid ne sont pas des vaccins, mais des thérapies (expérimentales) : dans le meilleur des cas, ils
réduisent (temporairement) le risque de formes graves. C’est donc un « médicament », et rien ne justifie de l’imposer à qui que ce soit.
Monsieur le Président, il faut arrêter la folie autoritaire et faire ceci : la troisième dose doit rester une affaire privée, une appréciation personnelle du
bénéfice-risque, à discuter avec son médecin.
Alors que faire, si le vaccin n’est pas la solution contre l’épidémie ?
D’abord, ne pas s’affoler : la moitié de la population française a déjà été en contact avec le virus, ce qui écarte le risque de vague gigantesque à
l’avenir.
Ensuite, il y a trois choses très simples à faire, pour bien passer l’hiver :
- renforcer l’hôpital – or vous avez fait le contraire, Monsieur le Président, en fermant des lits en pleine épidémie, et en imposant l’obligation
vaccinale aux soignants, ce qui a conduit à perdre des milliers de professionnels formés – et à fermer davantage de lits encore ; - traiter dès les premiers symptômes, avec des molécules pas chères et efficaces, éprouvées depuis longtemps (ivermectine, hydroxychloroquine, fluvoxamine,
anti-histaminiques, etc.)
- et faire de la prévention avec des vitamines (D en priorité, mais également C et E), des minéraux et oligo-éléments
(zinc, sélénium) et des gestes d’hygiène simple (bains de bouche et irrigation nasale) ;
Oui, la très banale vitamine D fonctionne remarquablement bien contre les formes graves, et sans le moindre risque [12][12b]. La dernière étude, venant d’Israël, est spectaculaire : seulement 3 % des patients hospitalisés pour Covid ayant un taux normal de
vitamine D sont morts, contre 26 % de ceux qui avaient une carence [13].
C’est cela, Monsieur le Président, dont il fallait parler hier soir.
J’ose le dire : vous auriez dû parler aussi de zinc et de sélénium, ces substances naturelles peu coûteuses et
accessible dans toutes les pharmacies.
Les médecins éclairés les recommandent depuis le début, mais tout récemment, des scientifiques de l’université de Gand en Belgique ont publié une étude fracassante, qui conclut
ceci :
« Presque tous les patients qui finissaient par tomber gravement malades ou même mourir à l’hôpital présentaient une grave carence en sélénium et en
zinc dans leur sang à l’admission ».
Ces carences en zinc et sélénium étaient même des facteurs de risque de Covid grave plus importants que le diabète, le cancer, l’obésité ou les maladies
cardiovasculaires [14].
Monsieur le Président, vous vous êtes enfermé dans une stratégie perdante et liberticide.
Vous avez fait le choix de l’obscurantisme du « tout-vaccin » contre la vraie médecine de la prévention et des traitements.
Vous avez fait le choix de l’abonnement vaccinal, cher à "Big Pharma", contre le serment d’Hippocrate (« d’abord ne pas nuire ») et la médecine de
terrain.
À votre décharge, vous n’êtes pas le seul dirigeant à avoir agi de façon calamiteuse, loin de là – mais en France, c’est bien vous qui avez enchaîné les décisions
désastreuses :
- tout au début, en refusant de fermer les frontières et de tester massivement les patients (y compris les rapatriés de Wuhan !) ;
- en interdisant l’hydroxychloroquine, en refusant de parler de vitamine D, en recommandant le paracétamol et en laissant les résidents d’Ehpad se faire achever au
rivotril ;
- en confinant la population, puis en reconfinant l’hiver suivant, avec des dégâts colossaux et sans le moindre impact tangible sur l’épidémie.
Malgré ces erreurs coupables, je n’ai jamais désespéré de vous voir revenir à la raison. Jusqu’à hier soir. Désormais, il est clair que vous ne ferez jamais ce qu’il
faut faire.
Que vous soyez mal conseillé ou non, il n’y a désormais plus de doute : pour sortir de la crise et de la folie covidiste, on ne pourra pas compter sur
vous.
Avec vous, Monsieur le Président, on a le pire des deux mondes : à la fois l’inefficacité contre l’épidémie, et la mise en danger de nos libertés fondamentales.
Avec vous, on a la destruction progressive de l’hôpital, on a le règne tout puissant de Big Pharma, et l'on a une division profonde de notre société, entre vaccinés et
non-vaccinés, entre vaccinés deux doses et vaccinés trois doses, etc.
Vous ne vous en tirerez pas comme ça, Monsieur le Président.
Le 16 mars 2020, Emmanuel Macron déclarait à plusieurs reprises lors d’un discours1 :
« Nous sommes en guerre
! »
Cependant, la réalité sur le terrain n’indiquait pas vraiment un état de guerre. Par contre, la virtualité médiatique, quant à elle, nous mitraillait
mondialement d’une attaque virale extrême. Partout (surtout en Occident), les grands médias nous poussaient intensément à nous demander qui de nous allait survivre !
Ceux qui ne voient la vie que par l’œil médiatique ainsi que ceux qui considèrent qu’un élu est une personne honnête, bien informée et qui ne dit que des
choses dont elle s’est assurée la pertinence et la véracité, ont donc tous donné raison à la grande lucidité du président Macron qui leur annonçait que « Nous étions en guerre
! »
Imaginez, sans qu’aucun indice ne nous le laisse entrevoir, v’lan ! On nous annonce que nous sommes en « guerre » !
Mais quelle guerre ? Une guerre contre qui ? Contre un virus ??? Vraiment ?
Comment expliquer que ces gens de pouvoir qui disent que nous sommes en guerre contre un « virus
» bannissent les meilleures
armes et même les meilleurs soldatspour affronter
cette attaque « virale » ?
Comment expliquer
que le principal médicament pouvant combattre ce virus extrêmement mortel soit
interdit2?
Comment expliquer
que les principaux
experts en virologie3soient
violemment écartés de la lutte ?
Pourquoi
partout, les gouvernants utilisent des mesures policières plutôt que des mesures médicales ?
Pourquoi partout les dirigeants font appel à la police4 pour
soumettre les citoyens5 au
lieu de leur offrir plus de soins de santé6 ?
Pourquoi partout les dirigeants limitent la liberté des médecins7 et
leur interdisent de soigner précocement8 et
rapidement les gens infectés ?
Est-ce
vraiment une guerre contre un virus ?
On nous a plongés
dans la guerre, mais pas celle qu’on nous a décrite.Il n’y a jamais eu
de guerre contre un virus, la guerre a toujours été orientée contre le peuple.
Nos dirigeants ont tous dirigé leurs attaques, non pas contre le supposé « nouveau
virus », mais plutôt contre la santé des gens.
Partout les soins de santé9 ont
été sauvagement réduits10.
Partout (en Occident)11,
on s’est attaqué aux personnes âgées12.
On a réduit leurs soins13 au
point de les faire mourir. Au Québec on a laissé mourir les aînés ayant des insuffisances physiques et des maladies chroniques, seules et souvent dans leur vomi et leurs
excréments14.
La campagne de peur sur la fausse dangerosité du virus a fait en sorte que le personnel soignant n’osait plus approcher les ainés15 qu’on
disait extrêmement contagieux. Partout ce fut le même scénario.
La France utilisa le Rivotril16.
Un médicament pouvant servir à euthanasier. Le 28 mars 2020, Olivier Véran, ministre de la Santé (!), produit un décret disant :
« La spécialité
pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020 en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être
atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie… dans le cadre du covid-19 ».
En bref17,
il s’agit d’une autorisation à euthanasier les vieux18.
Bien évidemment, vous pouvez lire des dizaines d’articles expliquant qu’il ne s’agissait nullement d’euthanasie.
• « L’intox du Rivotril
et de l’euthanasie des personnes âgées »19 •
« Vérification : a-t-on
vraiment “tué les seniors au Rivotril” ? »20 •
« Covid-19 : non, le
gouvernement n’a pas autorisé l’euthanasie des personnes âgées »21 •
« Coronavirus : Non, un
décret du gouvernement ne vient pas de “légaliser l’euthanasie” »22.
La propagande dit fermement et répète et répète que le Rivotril n’a pas servi à euthanasier. Par contre, le décret pouvant facilement être interprété comme
un feu vert à l’euthanasie a bien été émis23.
De plus, tous ont constaté que les personnes âgées des CHSLD24 ou
EHPAD25 tombaient
comme des mouches et qu’aucune mesure sérieuse n’a été prise pour pallier la catastrophe. Partout, les ainés improductifs et coûteux sont décédés massivement26. C’est
un fait indiscutable.
La propagande ne cesse de crier « complotiste ».
Mais les FAITS INDISCUTABLES poussent au questionnement.
Le 18 octobre 2019, soit cinq mois avant l’annonce de la pandémie par l’OMS (le 11 mars 2020) un exercice de simulation de pandémie appelée « Event 201
»27 s’est
déroulée à l’université Johns Hopkins à New York. Cet événement fut organisé par28 le
Johns Hopkins Center for Health Security en partenariat avec World Economic Forum et la fondation Bill and Melinda Gates. La simulation est troublante par la similitude totale de la crise
qui surviendra cinq mois plus tard29. Ces
faits véritables et vérifiables sont indiscutables.
Juste avant la crise, l’arrêté du 13 janvier 2020 signé par le Directeur général de la Santé Jérôme Salomon déclare que l’hydroxychloroquine, « sous toutes
ses formes », est classée sur la liste II des substances vénéneuses30.
L’hydroxychloroquine est un médicament contre le paludisme administré à des milliards d’individus depuis 70 ans. De nombreuses études concluent à une efficacité très notable de ce
traitement précoce31. Ce
sont des faits, indéniables, véritables et vérifiables.
On a interdit des
médicaments clefs, réduit les soins de santé, annulé plusieurs chirurgies jugées non essentielles, annulé en bonne partie le suivi des gens ayant des cancers, des troubles
cardiaques et autres problèmes de santé sérieux.
On a investi des milliards en publicité32 et
en organisation pour promouvoir l’injection33 de
produits expérimentaux à caractères douteux. Depuis que ces injections massives se font, on cache les effets secondaires extrêmement sérieux34 qui
surviennent et la mortalité en croissance aux endroits où les injections ont eu lieu35.
On
s’attaque à notre santé et à la santé de nos enfants. On semble même s’attaquer à la santé des enfants à naître !
Octobre 2021 : Les équipes de pédiatrie débordées à Sherbrooke36.
Plusieurs petits bébés sont extrêmement malades. Des bébés de 8 jours de vie, 12 jours de vie, 18 jours de vie.
La fin de semaine du 16 octobre, c’étaient six bébés âgés de moins d’un mois de vie qui étaient aux soins intensifs avec de l’aide, de l’oxygène, un tube
dans la gorge pour les aider à respirer.
L’unité de pédiatrie ainsi que les soins intensifs pédiatriques de l’Hôpital Fleurimont ne dérougissent pas37.
Hausse inquiétante des bronchiolites: intubés à quelques semaines de vie38.
Il
y a de nombreux faits « VÉRITABLES ET VÉRIFIABLES » et ces faits « indéniables » sont TROUBLANTS. Il y a définitivement une guerre contre la santé des gens.
On nous fait la guerre. Nos dirigeants responsables de la santé publique ne font pas leur boulot correctement.
On nous isole, on nous masque, on nous oblige à se faire injecter un produit expérimental.
Depuis deux ans, nos dirigeants minent l’économie, ils limitent les emplois, ils nous paient pour rester à la maison. Depuis peu, ils semblent travailler à
créer une pénurie généralisée39.
L’inflation nous pousse à la pauvreté et les milliardaires
accumulent des profits comme jamais40.
Des prédateurs capitalistes cherchent clairement à installer un nouveau système
économique. On parle de la 4ème révolution industrielle41 !
Une idée de Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial. Schwab est devenu un véritable gourou pour les capitalistes sauvages. Entouré des milliardaires puissants qui possèdent et
contrôlent la quasi-totalité du monde politique et médiatique, cet individu a un comportement de psychopathe.
En novembre 2020, le gourou Schwab a déclaré42 que
la « pandémie » offrait une opportunité pour en arriver à mettre en place son Great Reset43.
Le premier ministre québécois a lu44 et
a apprécié le livre de son gourou Klauss Schwab45.
Le gourou Klauss Schwab nous explique La Quatrième révolution industrielle : ce qu’elle implique et comment y faire face46.
Le gourou dit :
« Nous sommes à
l’aube d’une révolution technologique qui va fondamentalement changer«nos
relations aux autres » ainsi que notre façon de vivre et de travailler.
… une chose est sûre
: notre réponse doit être globale. Elle doit impliquer toutes les parties prenantes au niveau mondial : le secteur public, le secteur privé, le monde académique et la société
civile.
La révolution
numérique se caractérise
par une fusion des technologies qui gomme les frontières entre les sphères physique, numérique et biologique. … la révolution pourrait perturber les marchés du travail et
ainsi renforcer les
inégalités ».
Ce n’est pas de la
théorie. Des malades mentaux nous gouvernent et suivent les directives d’une secte de psychopathes milliardaires. Ils contrôlent la politique occidentale. Ils contrôlent les
médias occidentaux. Ils contrôlent les grands d’internet. Et ils contrôlent la justice occidentale.
C’est une guerre
comme nous n’en avons jamais vu. Ils tuent en premier les cerveaux puis peu à peu, ils prennent nos libertés, nos bonheurs, notre humanité.
En lisant ce matin l’excellent article de Serge Charbonneau (RI 16/11/2021 –
« Nous
sommes en guerre ! » ci-dessus), les trois phrases clés de sa conclusion m’ont frappée et interpellée, au point de les développer un peu ici.
« Des
malades mentaux nous gouvernent. »
Pour avoir lu quelques articles, visionné quelques vidéos à ce sujet, et pour avoir eu une certaine expérience dans mon entourage immédiat à ce sujet, je suis
aujourd’hui tout à fait convaincue que leur pathologie est telle qu’ils n’en guériront jamais, tant elle leur est intimement et irrémédiablement liée.
Le génie confine à la folie …
« C’est
une guerre comme nous n’en avons jamais vue. »
La guerre qu’ils ont sciemment, délibérément et aujourd’hui ouvertement engagée contre l’humanité en 2020, est une guerre comme jamais nous n’en avons encore
vue.
Il serait donc vain et illusoire de se préparer une fois de plus à la dernière guerre que nous avons vécue sur notre sol.
« Elle (cette guerre)
peut être qualifiée d’hybride. Elle joue
sur la complexité de l’environnement et utilise tout le registre des activités et des oppositions humaines. Elle mêle des
« opérations » diplomatiques, économiques, militaires, psychologiques et informationnelles. Elle provoque des agitations, des troubles sociaux, des contestations de tous ordres dans le
pays ciblé. … Elle met en œuvre, par essence, toutes les armes aussi bien par nature que par destination. En substance, les incertitudes et
fractures d’un pays peuvent provenir d’agressions destinées à lui imposer une soumission ou des modifications de comportement. Dans cette forme de guerre l’ensemble des failles de
l’adversaire est propice à utilisation. » – Général Dominique Delawarde – «Une France qui va mieux ?
Vraiment … ? ») Général Henri Roure « La France face aux
menaces »
Aujourd’hui, le complexe militaro-industriel se frotte les mains : ils vont bientôt avoir une « vraie guerre » pour se remplir à nouveau les
poches.
Toutes les armes vont bientôt être de sortie : conventionnelles, nucléaires, bactériologiques (SARS-COV2,
…), informationnelles (MMS)
et surtout psychologiques (ingénierie
sociale), afin d’anéantir en 10 ans, entre 2020 et 2030, 90% de l’humanité, comme prévu depuis 1972 par le Club de Rome (in Rapport Meadows).
Mais cette fois-ci, ils ont compris …
Ils ont d’abord attaqué le cerveau des « humains » pour en faire des zombies dociles, obéissants, taillables et corvéables à merci, afin de mener à bien,
sans résistance aucune, le génocide des « inutiles anciens », pour commencer, à grands coups de « rivotril » et autres petites choses pas très avouables.
Ils procèdent actuellement à un gigantesque « essai thérapeutique » planétaire, destiné à tester puis à éliminer les « inutiles » suivants sur
la liste : personnes atteintes de maladies physiques, personnes atteintes de troubles mentaux, et réfractaires au système du « tout vaccin » et du « pass sanitaire », que
l’on veut nous imposer de force, et quel qu’en soit le prix.
Au suivant ! … Au suivant ! … Au suivant ! …
« Si
nous n’agissons pas, ils auront notre peau. »
Et quand viendra votre tour, vous ne vous en rendrez même plus compte car ils vous auront totalement et irrémédiablement détruit le cerveau …
Quand les zombies sont venus
chercher les vrais-faux malades du covid, je n’ai rien dit, je n’étais pas malade du covid.
Quand ils ont enfermé les
anciens dans leur EHPAD pour qu’ils n’attrapent pas le covid, je n’ai rien dit, je n’étais pas ancien.
Quand ils sont venus chercher
les lanceurs d’alerte pour qu’ils ne parlent plus du Covid, je n’ai rien dit, je n’étais pas lanceur d’alerte.
Quand ils sont venus me
chercher parce que j’étais réfractaire au vaccin anti-covid et au pass sanitaire, il ne restait personne pour protester.
(d’après Pasteur Martin
Niemöller)
De petite lâcheté en petite lâcheté de nos dirigeants et de nos parlementaires, de petite reculade en petite reculade de nos juristes, de petit silence en petit
silence de nos médecins, de 3e dose en 4e dose, de 5e vague en 6e vague, les chiens journalistiques et les covidiots ont aboyé en chœur et la caravane funéraire est passée, mais vous étiez dedans
et vous ne l’avez pas vue …
Vous êtes-vous demandé un seul instant ce qu’allait devenir les jeunes générations ?
Je ne le crois pas car vous avez laissé tous nos dirigeants détruire votre cerveau et votre âme !
Le point sur l'Autriche - et sur la recherche en France ....
...par le Gal. Dominique Delawarde - le 18/11/2021
Bonjour à tous,
Alors que les médias mainstream français nous ont présenté des micro-trottoirs réalisés en Autriche, laissant entendre que la
population approuverait la mesure de confinement des non vaccinés, la réalité du terrain paraît bien totalement différente.
La police et l’armée refusent de contrôler les pass sanitaire au nom de « la liberté et la dignité humaine ». Elles se
joindront d'ailleurs à une grande manifestation contre le confinement obligatoire le 20 novembre 2021 à Vienne.
En clair, notre gouvernance et nos médias qui aimeraient bien que la France imite l'Autriche tentent de vendre à l'opinion
française de fausses informations sur ce pays.
A force de vouloir aller trop loin. ils oublient qu'une large proportion des vaccinés, en France plus qu'ailleurs, l'a fait sous
la contrainte et ne les soutiendra pas dans leur jusqu'au boutisme vaccinal, d'autant que celui ci s'avère de plus en plus inefficace, et même dangereux pour certains individus. "On
peut débattre de tout sauf des chiffres". Les citoyens sont attachés à leur liberté et se lèveront pour la défendre. Ils ne seront pas moins irrités que les autrichiens, si on la
leur retire .....
Dans un autre ordre d'idée,vous trouverez sur le lien ci après la dernière vidéo de Raoult qui fait un point édifiant et documenté
sur le déclin de la recherche en France et avance ses explications. Cette vidéo a été visionnée plus de 320 000 fois en 24 heures sur le seul site de
l'IHU.
Que faut-il penser du confinement des non vaccinés en Autriche ?
...par le Gal. D. Delawarde - Le 19/11/2021.
Bonjour à tous,
A la veille de la manifestation nationale prévue à Vienne, en Autriche, vous trouverez en document attaché, un article de DD sous
le titre: Que faut-il penser du confinement des non vaccinés en Autriche ?
Pour ceux qui cherchent encore des informations alternatives, documentées et sourcées sur l'immunité contre la Covid 19, vous trouverez sur le lien ci après un article de Robert Bibeau, l'un de
mes nombreux correspondants et amis canadiens, sous le titre:
"122 études confirment l’immunité naturellement acquise contre le Covid-19: Documentées, liées et citées"
L’idée de confiner les seuls non vaccinés le 15 novembre dernier pour une épidémie qui aura tué en deux ans, fin 2021, moins de 0,7 pour mille habitants sur la
planète, en très forte majorité des vieillards déjà malades ou très malades, paraissait déjà tout à fait saugrenue. Il n’est pas surprenant que cette idée soit venue d’Autriche, pays qui a,
rappelons le, enfanté le plus grand monstre du XXème siècle, bien connu sous le prénom d’Adolf. Rappelons que cet autrichien s’était forgé une très
mauvaise réputation pour ordonner et imposer des « confinements » pour de multiples causes, que ces «
confinements » ont, dans une large part des cas, entraîné la mort des « confinés » et ce, dans l’indifférence quasi totale de ses compatriotes ..... qui
ne semblent guère s’être améliorés depuis ... puisqu’ils continuent de porter au pouvoir le même genre d’individu ....
S’il est vrai qu’au début du siècle dernier, on confinait encore les lépreux dans les léproseries et
les tuberculeux dans des « sanatoriums », avant la découverte des traitements antibiotiques vraiment efficaces et
éprouvés, les plus anciens d’entre nous se souviennent de la saga beaucoup plus récente de l’apparition du Sida, tout aussi contagieux et beaucoup plus
mortel que la Covid-19, et qui, lui, a tué et tue encore beaucoup de jeunes.
Rappelons que le Sida, apparu en 1981, a tué, depuis lors, 25 millions d’individus, majoritairement
jeunes, sur la planète, et qu’il continue de tuer 1,5 millions d’individus chaque année, sans que le monde ne s’en émeuve
outre mesure ....
Questions :
- A-t-on, à l’époque, imposé la présentation d’un pass sanitaire pour autoriser la « copulation » homo ou
hétéro-sexuelle, alors qu’il s’agissait bien d’une question de sécurité sanitaire nationale et mondiale ?
- Les politiques de l’époque n’ont-ils pas hurlé « au fascisme » à l’égard de ceux qui
proposaient le confinement des sidaïques en «sidatorium» pour protéger les populations ?
- N’ont-ils pas immédiatement fait référence, dans leurs protestations anti-sidatorium, aux
camps d’internement de la 2ème guerre mondiale ?
- N’ont-ils pas dénoncé, à l’époque, la stigmatisation d’une partie de la population ?
Et voilà que, dans plusieurs pays, on commence à évoquer le confinement à domicile, érigé en
« covidarium », de ceux qui refusent l’injection d’un produit expérimental, alors même que ce
produit semble bien générer plus d’effets secondaires graves que de protection. (On peut débattre de
tout, sauf des chiffres) ......
Où est la protection d’un vaccin qui, après 8 milliards de doses injectées sur la planète,
n’empêche pas le doublement de la contamination et des décès en 2021, par rapport à 2020 ? (on peut débattre de tout, sauf des chiffres).
Où sont l’efficacité et le miracle vaccinal attendu ?
N’a-t-on pas confondu, l’été dernier en Europe, par erreur d’appréciation, la rémission estivale de la maladie
avec une sorte de rémission « vaccinale » fantasmée ? D’où le retour de bâton hivernal prévisible avec un vaccin qui ne protège pas ....
Pourquoi, tant qu’on y est, ne pas confiner les obèses, ou les diabétiques, personnes à risque?
On réalise bien que les décisions prises, visant à contraindre les populations à la vaccination, sont plus politiques que
sanitaires. Partout où elles ont été appliquées sans discernement, ces mesures de contrainte se sont traduites par des bilans désastreux dans la gestion
de cette épidémie. C’est particulièrement le cas en France qui se situe dans le peloton de queue pour la gestion de l’épidémie,
si l’on s’en tient à son bilan (on peut débattre de tout, sauf des chiffres) ....
La vaccination et/ou le confinement des non vaccinés vont-t-ils devenir obligatoires tous les ans ?
Tous les semestres ? Tous les mois ? Au plus grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques, .... et des hommes
politiques qui bénéficient de leurs largesses lors des campagnes électorales ? Ou finira-t-on par se rabattre sur le « vivre avec », comme on a su le
faire avec le Sida, en utilisant des traitements précoces qui ont fait leurs preuves et rendra-t-on aux praticiens l’entière liberté de prescrire ? L’avenir très
proche nous le dira.
Il est recommandé aux vaccinolâtres les plus inquiets de prendre dès aujourd’hui une carte de fidélité. Elle ne les empêchera pas d’être contaminé ni de mourir, mais ils mourront « rassurés ». C’est tellement mieux.
Elle devrait remplacer le QR code du Pass sanitaire bientôt, à moins que cette
épidémie, comme toutes les grandes épidémies du passé, ne finisse par s’éteindre naturellement. N’ayez aucune illusion, on vous expliquera que c’est grâce aux vaccins Covid et vous serez sommés de le croire.
La manifestation organisée demain 20 novembre en Autriche contre les mesures inappropriées
prises par la gouvernance a déjà fait reculer le gouvernement autrichien avant même qu’elle n’ait
lieu puisque celui ci, dans son « jusqu’au boutisme vaccinal », décide de punir collectivement la
population autrichienne toute entière dans un ultime effort pour la diviser davantage.
Le confinement s’appliquera donc à l’ensemble de la population à compter du 22 novembre. Cette
dernière idée du gouvernement autrichien, à la veille de la manifestation nationale, ne vise évidemment pas une
amélioration de la situation sanitaire qu’il sait pertinemment qu’il n’obtiendra pas.
Elle vise à couper l’herbe sous le pied des manifestants qui refusent massivement l’enfermement d’une catégorie
de citoyens, présentés comme responsables de l’aggravation de la situation. Elle vise aussi à désigner les non-vaccinés comme responsables de l’enfermement de tous et à jeter face à face les vaccinés et les non-vaccinés. Ce genre de méthodes de
gouvernement montre ce que deviennent aujourd’hui les droits de l’homme dans une « coalition occidentale » en panique, voire en perdition ?
S’il faut vraiment désigner des responsables dans cette aggravation de la situation autrichienne,
qui touche aussi bien les vaccinés que les non vaccinés, ce sont les lobbies pharmaceutiques qui ont été incapables de
produire un vaccin efficace et qui ont vendu au monde entier des produits non aboutis, en tentant d’arriver premier dans une course effrénée aux
profits. C’est aussi simple que cela.
Quant aux politiciens français (Xavier Bertrand et Valérie Pécresse entre autres), candidats à la
candidature aux présidentielles, qui ont, dans des déclarations maladroites, déclaré ne pas exclure le confinement des
non-vaccinés, ils ont révélé leur véritable nature et ont probablement perdu une occasion de se taire, .... et peut être aussi quelques centaines de
milliers de voix potentielles, dont la mienne.
...par le Gal. Dominique Delawarde - Le 24/11/2021.
Bonjour à tous,
Aujourd'hui, deux documents intéresseront ceux qui se posent encore des questions sur la crise
sanitaire.
Ceux qui, bardés de certitudes, ne s'en posent pas et ne s'en sont jamais posés depuis le début, ceux qui sont dans
la confiance aveugle dans nos exécutifs politiques et de santé et dans " la faction auto proclamée scientifique" drivée par Big Pharma", peuvent passer leur chemin. Ils gagneront du
temps.
1 - Le premier document est la partie 2 du documentaire Hold up qui avait fait couler beaucoup d'encre lors de sa
parution, il y a juste un an, le 11 novembre 2020, et qui avait connu un gros succès d'audience en France (+ de 6 millions de vues malgré sa longueur: 163 minutes, et malgré la censure de you
tube). Cette première partie avait été vivement critiquée et combattue par l'exécutif et les médias mainstream français, jamais avares de qualificatifs du type "complotiste" ou "d'extrême droite"
pour tenter de discréditer ceux qui contestent le discours "officiel".
J'observe que l'évolution du cas suédois donne, désormais chaque jour, raison à la thèse avancée par
le documentaire HOLD UP 1 et que Wikipédia colporte désormais de grosses "FAKE NEWS" en écrivant " LePortugal, qui possède une population comparable à la Suède et qui a mis en place un
confinement strict au printemps (2020), a un taux de mortalité inférieur de deux
fois à celui de la Suède. La Finlande et la Norvège, qui sont voisins de la Suède, ont
confiné et ont eu environ 10 fois moins de morts que la Suède. Wikipédia gagnerait en crédibilité en réactualisant sa critique de Hold Up 1 sur le cas
Suédois.
La véritté d'aujourd'huin'est plus celle d'hier (on peut débattre de tout sauf des chiffres) . Elle est devenue la suivante en reprenant la formulation de
Wikipédia:" Le Portugal, qui possède une population comparable à la Suède et qui a mis en place un confinement strict au
printemps 2020, a aujourd'hui un taux de mortalité supérieur de 20%à celui de la Suède. La Finlande et la Norvège, qui sont voisins de la
Suède, ont confiné et ont eu environ 6 à7 fois moins de morts que la Suède, mais les Pays Baltes,
également voisins, ont presque autant de morts, à eux trois, que la Suède, (pour une population totale deux fois moindre ....)
Cette vérité d'aujourd'hui devrait être complétée par le constat que la Suède est sortie de l'épidémie depuis cinq mois, alors que le Portugal, la Finlande et la Norvège ne le
sont pas. Sur les 7 derniers jours par exemple, la Suède n'a déclaré qu'un seul décès, la Finlande 28 décès pour
moitié moins d'habitants, la Norvège 51 pour moitié moins d'habitants, le Portugal 74 pour une population comparable. La Suède n'a connu
que deux épisodes épidémiques à ce jour, le Portugal, la Norvège et la Finlande connaissent aujourd'hui un nouvel
épisode épidémique qui pourrait bien s'avérer plus meurtrier pour eux que les précédents.
Le bilan de gestiond'une
épidémiene se juge qu'à la fin, voire
plusieurs années après la fin. Nous verrons donc évoluer les choses au fil du temps. Très bien partis en 2020, les pays du pacte de Visegrad et les pays de l'Est de l'Europe se retrouvent parmi
les derniers de la classe européenne en fin d'année 2021 .... En revanche, les situations de la Suède et de la Chine ne cessent de s'améliorer .... comparativement aux
autres.
Ce nouveau documentaire Hold Up (2ème partie) 2021 est bien meilleur que le premier de 2020, tout simplement parce qu'il est plus court (77 minutes) et donc plus percutant.
2 - Un article de 3 pages sous le titre : "Le paradoxe du réfractaire".
Il classe les vaccinés et les non vaccinés en différentes catégories et tentent d'expliquer les comportements actuels et futurs de chacune de ces catégories. Il est donné, en document attaché,
sous deux formats.
Bonne lecture
DD
Vaccins : Le paradoxe du réfractaire
...par Gérard Luçon - Le 20/11/2021.
Je vais tenter de donner quelques éléments suite à une discussion que j’ai eue (en roumain) avec une psychologue roumaine
également spécialiste des mécanismes de fonctionnement du cerveau, de la médecine quantique et de la médecine chinoise (rien
que ça...).
La discussion a démarré sur le sujet suivant, question posée par moi-même : que faire face au « vaccin » et aux «
vaccinés » ?
En préambule je me permets de rajouter que ma psychologue est chrétienne orthodoxe et créationniste, moi je suis athée et
évolutionniste, et qu’elle a aussi conclu avec ceci :
" ils ont séparé l'homme de Dieu, puis ils ont séparé l'homme de l'homme, et maintenant ils s'attaquent à séparer l'homme de lui-même" ...
ça donne à réfléchir, non ?
Voici, traduit en français, notre échange.
Selon cette psychologue, il y a plusieurs catégories de vaccinés (et de réfractaires) et chacune des catégories peut
générer des différences majeures de comportement ainsi qu'avoir une incidence majeure au plan des séquelles.
1er cas : Celui qui croit « dur comme fer » en la médecine, le « darwiniste », l’évolutionniste,
et qui est allé directement se faire vacciner en toute confiance.
2ème cas : Celui qui, par intérêt « secondaire » a accepté le vaccin, pour partir en vacances,
pour aller au restaurant, pour continuer à voir sa mère en EHPAD, donc sous une certaine
forme de contrainte... sans être réellement convaincu de son efficacité, et qui,
accessoirement, a aussi (et dans la foulée) fait vacciner son gosse pour qu’il continue dans
son club sportif.
3 ème cas : Celui qui s’est fait vacciner pour ne pas perdre son emploi, donc sous une forme
certaine de contrainte.
4ème cas : Celui qui refuse le vaccin avec diverses argumentations, soit qu’il est réfractaire à
toute injection (par exemple les témoins de Jehova encore que leur position ait récemment
évolué sur ce sujet, qu’ils considèrent désormais comme un choix personnel entre le Témoin
et son Dieu), soit en corollaire qu’il n’a aucune confiance dans l’évolutionnisme et s’en remet
à Dieu (créationnistes), soit qu’il a d’autres repères (médecine chinoise par exemple) ou un
niveau de connaissance lui permettant de comprendre ce qui se passe avec des vaccins
« génétiques » (protéine Spike, échanges ente les cellules humaines même sans contact direct
entre elles, ...).
Reprenons donc chaque catégorie :
1 er cas : Le Darwiniste Über Alles, c’est probablement le plus dangereux, et pour diverses
raisons :
-drapé dans sa certitude il va accumuler les rappels, ne prendre aucune précaution vis-à-vis
des autres, claironner haut et fort (et pourquoi pas avec dédain) que « lui l’a fait ». Ne lui
viendra pas en tête qu’il est devenu contagieux, porteur malsain, et il va pourvoir disséminer
urbi et orbi, dans la joie et la bonne humeur, les variants que nos docteurs Folamour ont eu
l’idée de baptiser de noms faisant référence à l’alphabet grec. Le „Omacron” n’existant pas,
et après le „Bêta Pi”, j’attends le variant « Xi » pour voir la tête du président chinois.
A un moment il va découvrir qu’autour de lui ça « tombe comme à Gravelotte », y compris
parmi ses égaux, les autres vaccinés, et commencer à douter, puis très certainement perdre de
sa superbe et être rongé de l’intérieur. Dès lors on peut s’attendre à des réactions
particulièrement violentes de celui qui a été berné, et empoisonné !
-lui ne s’est pas posé trop de questions sur ce qui se passe dans son pays, et encore moins au plan planétaire si ce
n’est cette relation douteuse entre un pangolin et une chauve-souris, il
regarde avec délectation les clowns de BFM WC débiter leurs âneries et leur propagande, il
est de la société de consommation et s’y trouve « confortable » donc ...
-bien moins dangereux que l’évolutionniste, il va prendre quelques précautions mais lui aussi
va avoir du mal à intégrer qu’on lui a injecté une « substance venimeuse » et qu’il va la
transmettre à ceux pour lesquels il s’est fait vacciner : Ses parents, ses petits enfants, les
collègues du club de sport (ou de fitness)...
-à un moment donné lui aussi va peut-être développer les symptômes dont la presse française
ne nous parle pas, essoufflement, rougeurs, perte de la capacité de concentration ; à ce sujet
on assiste depuis le début de cette année à une multiplication des accidents routiers
« inexplicables » et dans lesquels, cette fois, ce n’est pas l’utilisation du téléphone intelligent
qui en est la cause !
-comment va-t-il réagir, étant dans une contradiction majeure : avoir choisi sans discernement mais sans avoir été
réellement obligé de choisir. Je ne suis pas certain que la fameuse résilience, que nos politiciens ont découverte l’an dernier pour nous
faire accepter le masque, le confinement et les amendes, lui soit d’une grande utilité. Nous pouvons imaginer
qu’il va développer, outre les effets directs liés à son « empoisonnement volontaire », un profond sentiment de culpabilité, de honte, avec les
conséquences psychologiques afférentes (troubles somatiques, déclenchement de maladies dites „auto-immunes”) ; et
aussi de possibles violences contre ceux qui ne l'auront pas suffisamment informé ou... contre ceux qui lui ont menti.
Ce lien aussi est intéressant, on y apprend que les vaccins sont dilués avant d’être
injectés, et que ce travail est „manuel”, quelques gaines d’ellébore, une louche d’eau salée ..
C’est manifestement la situation la plus terrible et de loin la plus inhumaine, à savoir obliger quelqu’un à s’injecter
un produit dont il sait qu’il est dangereux mais qu’en le refusant il perd son emploi avec les conséquences afférentes : perte du pouvoir
d’achat, risque de ne plus pouvoir honorer les factures, les échéances des emprunts. Sous une formulation
certainement excessive on peut dire qu’ils ont eu à choisir, suicide socioprofessionnel ou suicide vaccinal !
La veille de la mise en place du fameux chantage vaccin/travail, une amie est allée tenter de soutenir les manifestants,
voici son récit : "Ayant eu vent d'une ultime action des réfractaires à J-1 du personnel de mon hôpital local par une aide-soignante vue à
la manif de samedi je suis allée passer 2 heures devant l'hosto pour les soutenir un peu, une grande majorité
est allée forcée, la boule au ventre et en pleurs se faire piquer pour ne pas perdre son job, seuls quelques purs et durs étaient présents, ils ne
seront plus à leur poste demain, ils n'auront plus de salaire non plus, je suis plutôt une personne forte et optimiste, mais je
dois avouer que de les voir j'avais vraiment les boules, j'ai tenu 2 heures puis j'ai fondu en larmes une
fois dans ma bagnole, j'espère de tout coeur que cette saloperie de loi va s'arrêter avant de faire encore plus de dégâts...".
Que peut-il se passer dans la tête de ces vaccinés « de force », à chaque bouton ou rougeur qu’ils vont découvrir sur
leur corps ? Minés de l’intérieur, s’attendant à développer ces réactions plus ou moins graves, cette situation risque de se concrétiser par des
troubles somatiques s’ajoutant au développement de réactions physiologiques et physiques, voire d’aider à
leur mise en évidence !
4 ème cas : Le réfractaire :
Lui et quelles que soient ses motivations, risque de devenir le bouc émissaire, l’empêcheur de tuer en rond, et,
reprenant ces vers de Georges Brassens :
Je ne fais pourtant de tord à personne, en suivant mon ch’min de petit bonhomme,
Mais les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux,
Tout le monde me montre au doigt sauf les manchots, ça va de soi.
... en attendant qu’il soit vacciné de force
Tout l’monde viendra me voir pendu, sauf les aveugles, bien entendu !
Le plus intéressant, ou comique, dans cette affaire c’est qu’on va lui interdire tout accès à la vie sociale et
économique, faisant ainsi qu’il aura moins de risque de se faire contaminer par les vaccinés ... ce que ma psychologue a baptisé "Le paradoxe
du réfractaire” !
Et un témoignage personnel provenant d’une amie : Refoulée de l'office du tourisme hier
juste pour y prendre des cartes et quelques renseignements sur les points à voir du coin, sous
prétexte qu'il y a une salle d'expo au sous-sol et que donc il faut le pass... J'ai beau avoir
envie d'en rire, c'est la 2ème fois, après avoir été jetée comme une malpropre d'un évènement
que je devais couvrir, que je me sens comme une pestiférée et que malgré moi j'en éprouve
Dans l’article précédent : « Nous sommes en guerre
! »1,
nous avons constaté qu’il y a une guerre contre la santé des gens, tant physique que psychique. On nous isole, on nous masque, on nous oblige à nous faire injecter un produit
expérimental.
Nos dirigeants responsables de la santé publique n’agissent pas pour améliorer la santé de la population. C’est un fait INDÉNIABLE. Après 20 mois, nous
constatons que la santé physique et psychique de beaucoup de nos concitoyens s’est considérablement détériorée.
Chaque jour, les décisions politiques empirent la situation. Les « élus » interdisent les médicaments qui soignent efficacement les gens. Le docteur
albertain, Daniel Nagase, le dénonçait ouvertement le 1er octobre dernier à Vancouver2.
La description qu’il fait des interdictions qu’on impose aux médecins est hallucinante. Il est totalement incompréhensible que des journalistes sérieux n’aient pas fait la Une de leurs
journaux avec les déclarations du Docteur Nagase.
On soutient qu’il y a une crise « sanitaire »
et on interdit aux médecins de soigner précocement et efficacement les gens. On oblige les médecins à dire aux gens infectés : « Restez chez vous et
attendez que ça empire ».
Depuis des années, nos dirigeants politiques réduisent les lits dans les hôpitaux. Et malgré qu’on nous martèle depuis 20 mois que l’on vit une crise
« pandémique »,
aucun budget supplémentaire n’est octroyé pour augmenter ce nombre de lits. En France, en plein Covid, 5700 lits d’hôpital ont été supprimés en 20203.
On
constate des scénarios IDENTIQUES à travers tout le monde occidental
Au Royaume-Uni le graphique montrant la diminution du nombre de lits d’hôpitaux est édifiant4.
On constate que cette perte de lits n’a pas été freinée avec l’arrivée du fameux « covid ».
Au contraire, ils ont accentué les fermetures pendant ladite « pandémie ».
En Allemagne, on parle de ce manque de lits dans les hôpitaux5.
En Australie, 8% des lits pour les soins sont disparus6 pendant
la supposée « pandémie ».
Partout on justifie la fermeture de lits par un manque de personnel.
On constate que les gouvernements ont tous les mêmes politiques. Comme s’ils suivaient tous les mêmes directives ! Partout on préfère payer des policiers
plutôt que de bien payer les infirmiers et infirmières. Le personnel soignant quitte.
Faute de personnel, en pleine crise dite « sanitaire »,
on ferme des lits, partout !
Des centaines de lits fermés dans les hôpitaux du Québec cet été7.
Des
patients n’ont pas droit à plusieurs services médicaux dans 13 régions du Québec.
France, fermeture d’au moins 20% de lits en raison d’un manque de personnel9.
Belgique, Coronavirus : les hôpitaux ferment des lits de soins intensifs par manque de personnel10.
Partout, on reporte les chirurgies et les greffes jugées « non urgentes ». Le dépistage et le suivi des patients ayant des maladies chroniques
deviennent, partout, pratiquement inopérants. Les gens souffrant de diabète, de maladies cardiaques, de cancer, d’hypertension, d’AVC, de maladies pulmonaires, d’asthme et autres sont
dans bien des cas laissés à eux-mêmes. En bref, partout, la santé est menacée, voire sévèrement attaquée. On nous fait clairement la guerre.
Nous sommes attaqués non seulement du point de vue de la santé, mais aussi du point de vue de l’économie. En utilisant le fallacieux prétexte
« sanitaire »,
nos dirigeants interdisent plusieurs commerces et plusieurs entreprises. De nombreux emplois ne peuvent plus être exercés. On paye les gens pour rester à la maison. On crée ainsi
délibérément une pénurie de main-d’œuvre. Tous les petits salariés découvrent qu’ils ont le même revenu en restant à la maison. Alors, pourquoi aller travailler !
Les conséquences sont claires. Il y a un an, en décembre 2020, on comptait 10 000 restaurants fermés au Canada11.
En septembre 2021, la ville de Québec comptait 175 fermetures de restaurants12.
En plus de réduire la clientèle en imposant des mesures dites « sanitaires »
obligatoires et désagréables, ils réduisent la main-d’œuvre en payant les gens à ne rien faire. L’attaque contre
l’économie locale est flagrante et dévastatrice.
Aujourd’hui, des rumeurs de pénurie menacent et insécurisent la population. De plus, l’inflation dans le secteur alimentaire et énergétique est
notable. Cela entraine la détresse des moins nantis. Il y a une guerre
évidente contre la classe moyenne et, bien sûr, contre les plus démunis.
Pendant
que tout est mis en place pour accentuer la pauvreté, les milliardaires accumulent des profits comme jamais !
C’est toujours ainsi en temps de guerre, les milliardaires crapuleux s’enrichissent. On les appelle « les profiteurs de
guerre »13.
Sans pour autant s’en scandaliser, les journalistes nous expliquent comment les super-riches se sont enrichis pendant la « pandémie »
du fameux « covid-19 »14.
C’est la guerre ! Vive la guerre disent
les riches !
On
nous baigne dans le mensonge !
La
propagande nous agresse au quotidien.
En temps de guerre,
la propagande et la désinformation font partie de l’arsenal militaire. Ce sont de véritables armes de guerre à part entière. Les belligérants utilisent ces armes pour
orienter l’opinion ou le moral de leurs adversaires. Ils peuvent ainsi soit endormir leur ennemi ou accentuer son sentiment de sécurité ou encore de faiblesse.
L’un des meilleurs exemples de l’utilisation du mensonge pour vaincre l’ennemi est le cheval de Troie. Il représente tout l’art de la guerre et de la ruse.
Les envahisseurs grecs sont parvenus à faire considérer ce cheval comme étant une offrande faite à la déesse Athéna et ils ont fait croire aux Troyens que s’il en prenait possession, il
rendrait la ville de Troie imprenable. Pendant des semaines la propagande a donc été utilisée pour bien inculquer dans l’esprit des Troyens qu’il leur fallait ce cheval. Vous devinez bien
que dès qu’ils purent s’en emparer, les Troyens complètement obnubilés ouvrirent toute grande leur porte pour faire entrer le foutu cheval et par le fait même l’ennemi qui s’y était
caché.
En
temps de guerre, il faut scruter minutieusement la réalité.
Il
y a les faits incontestables et il y a… « la propagande ».
Tout
d’abord, les faits incontestables :
Le gourou Schwab ne cache pas que son groupe vise à utiliser des puces implantées aux Humains pour les suivre et même les contrôler15.
Il ne s’agit pas de théories complotistes, c’est lui-même qui décrit cet objectif16.
Il y a 11 ans lors d’une conférence, Bill Gates disait que pour réussir à diminuer les gaz à effet de serre, il fallait réduire la population. Il disait (à
2’35 »)17 :
« Le monde est
aujourd’hui à 6,8 milliards de personnes et nous nous dirigeons vers 9 milliards. Si nous faisons un bon travail avec les nouveaux vaccins et les services de santé et de reproduction,
nous pouvons réduire cette croissance de 10 à 15% ».
L’accroissement de la population obsède cette élite qui possède la richesse mondiale18.
Les Guides Stones de Georgie nous le laissent clairement voir. Ce monument SPECTACULAIRE fabriqué à grand coût et selon de renversantes données
scientifiques vaut la peine d’être étudié. Le très riche « philanthrope »
(sic) qui a financé ce projet a fait en sorte de rester dans l’anonymat le plus total.
Cette œuvre monumentale donne l’impression de résumer à elle seule cette secte qui nous fait la guerre. Prenez le temps de survoler ses caractéristiques. «
L’énigme des GEORGIA GUIDESTONES »19.
On y découvre, entre autres, gravés dans le granite, dix commandements transcrits en 8 langues.
On peut y lire que la population mondiale devrait être limitée à 500
000 000 personnes ! Renversant n’est-ce pas !
Est-ce à dire que les injections qu’on nous présente comme étant des « vaccins »
et qui nous sont administrées avec insistance visent cet objectif ?
C’est du délire me direz-vous ! Effectivement c’est du réel délire, mais cette inscription est bel et bien gravée dans le granite depuis plus de 40 ans. Un
inconnu, extrêmement riche, a commandé cette œuvre et a fait graver ce chiffre !
Il semble que la croissance de la population soit une véritable obsession des extrêmement riches. Ils ne s’en cachent pas20,
ils veulent réduire la population. Sommes-nous victimes de ces fous ?
Cette guerre a-t-elle pour ultime objectif de nous éliminer massivement ?
Ce serait donc eux, ces milliardaires qui se rencontre à Davos ou dans ces rendez-vous sélects du Bilderberg21,
du Club de Rome22,
du Bohemian Grove23,
de la Société Fabienne24,
des diners français du club sélect le Siècle25 ou
du Council on Foreign Relations (CFR)26 qui
nous feraient cette guerre sans merci !
Ces milliardaires psychopathes sont tous extrêmement riches et ils ont un pouvoir notable sur les politiciens, sur les médias ainsi que sur toutes les
grandes industries, qu’elles soient alimentaires, énergétiques, industrielles, militaires et bien sûr pharmaceutiques.
Ce sont eux le « Deep
State » et ce sont eux qui vraisemblablement nous font la guerre.
Ils semblent vraiment vouloir notre peau.
Une fausse « pandémie de Covid » entièrement orchestrée
… a été utilisée pour
détruire la santé, les libertés civiles et la relation médecin-patient.
Chers lecteurs, réfléchissez un instant au caractère extraordinairement coercitif du programme de vaccination. Comment expliquer l’accent qui est mis sur la
vaccination forcée des populations et les méthodes tyranniques employées dans des sociétés libres, alors que même Big Pharma et les institutions médicales corrompues reconnaissent que la
protection accordée par le vaccin est très courte et disparaît rapidement ?
Selon l’institution médicale elle-même, la double vaccination n’est plus une protection. Il faut des injections de rappel tous les six mois pendant toute
votre vie.
C’est particulièrement troublant lorsque nous prenons en compte les faits établis suivants :
1. La mortalité du Covid est très basse. Le virus tue surtout ceux qui ont des co-morbidités et qu’on a mal ou pas du tout soignés.
2. Le vaccin réduit notre immunité naturelle.
3. Le vaccin est la cause de nombreux effets indésirables, y compris la mort et des handicaps à vie. Le CDC (Center of Diseases Control) et l’OMS
reconnaissent que les instituts qui enregistrent les effets négatifs sous-estiment grandement le nombre de morts et des autres effets indésirables. Jamais au cours de l’histoire on a
maintenu en usage un vaccin ou un médicament qui aurait produit ne serait-ce qu’une faible fraction des morts et des préjudices recensés.
4. Le vaccin produit des « variants »
qui sont résistants au vaccin et au système immunitaire affaibli des vaccinés. Il faut de nouveaux vaccins pour traiter les nouveaux « variants »,
ce qui produit encore plus de « variants ».
5. L’institution médicale a bloqué autant qu’elle a pu le traitement contre la Covid-19 avec deux médicaments connus, efficaces et bon marché :
l’Ivermectine et l’HCQ. Des médecins qui ont sauvé des vies avec ces traitements ont été renvoyés pour cela.
6. Des experts scientifiques et médicaux de renom et de haut niveau, y compris des lauréats du prix Nobel, ont été censurés ou réduits au silence pour avoir
mis en garde contre les effets du vaccin et conseillé au contraire un traitement efficace.
7. Les médias clament d’une seule voix mensongère que la vaccination est notre seul espoir.
8. Il a été démontré que dans un grand nombre de pays (je m’en suis fait l’écho) les cas de Covid et les morts du Covid grimpent avec la vaccination et que
la majorité des cas et des morts du Covid, pour de nombreuses classes d’âge, sont des vaccinés.
9. Il est scientifiquement établi que les vaccinés diffusent le virus au moins autant, sinon plus que les non-vaccinés.
10. Il est clairement établi que les non-vaccinés qui s’en remettent à l’immunité naturelle sont mieux protégés que les vaccinés.
Étant donné ces faits connus, scientifiquement établis, qu’est-ce qui justifie la vaccination de masse ? Pourquoi insister sur la vaccination des enfants
quand on sait que la protéine de pointe s’attaque aux ovaires et aux testicules, sinon selon un programme de réduction de la fertilité ? Pourquoi d’ignorants moulins à paroles de la
télévision, à peine capable d’épeler leur nom, se croient-ils permis de s’en prendre à des scientifiques de renom qui nous disent la vérité ?
Il y a assurément beaucoup de bonnes raisons de conclure que la « pandémie de
Covid » est un plan orchestré.
Quels en sont les éléments évidents ?
1. Des profits à jamais pour Big Pharma, des subventions pour les écoles médicales liées à Big Pharma, les profits des brevets à se partager pour le
personnel des instituts nationaux de santé, des contributions de campagne pour les sénateurs, les représentants et les candidats à la Présidence.
2. L’arme de la peur pour faire sauter les protections des libertés civiles et pour accroître le contrôle sur la population.
Ces deux premiers éléments sont évidents. Le troisième élément du complot est presque aussi évident mais nettement plus difficile à croire pour bien des
gens – la réduction de la population.
Avant de vous moquer, posez-vous la question :
1. Pourquoi vacciner les enfants, lesquels ne sont pas affectés par le Covid, avec un vaccin connu pour attaquer les cellules reproductrices et causer des
avortements.
2. Pourquoi vacciner des gens alors qu’il y a des traitements connus, sûrs, efficaces et bon marché ?
3. Pourquoi s’en prendre à ces traitements comme étant dangereux et s’efforcer d’empêcher leur usage ? Comment les institutions médicales peuvent-elles
bloquer l’Ivermectine et l’HCQ pour des raisons de sûreté et de prudence alors qu’elles promeuvent un vaccin expérimental dangereux pour la population mondiale ?
4. Pourquoi interdire les avertissements lancés par des experts renommés ? Si le vaccin était la seule solution, ou même une solution, on pourrait en
débattre publiquement.
Considérez que le Forum économique mondial a disposé d’un demi-siècle pour endoctriner et laver le cerveau des dirigeants économiques et politiques. Il a
été fondé le 24 janvier 1971 et la rencontre annuelle à Davos est devenue un événement prestigieux. Les dirigeants se bousculent pour obtenir une invitation, tant le fait d’y participer
est devenu une insigne marque de prestige. Le Forum économique mondial est financé par un millier de grandes entreprises mondiales multimilliardaires dont les dirigeants se sont emballés
pour la Grande Réinitialisation appliquée à la réduction de la population, la fin de la souveraineté nationale et de l’autonomie individuelle. La Grande Réinitialisation est le programme
de la tyrannie.
L’orchestration de la pression pour la vaccination universelle va si loin que des pays qui naguère étaient considérés comme faisant partie du « monde
libre » sont maintenant des États totalitaires – voyez l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l’Italie. L’effort pour étendre la tyrannie à la France et à l’Allemagne
rencontre une résistance populaire. En Amérique, la principale résistance vient des infirmières et du personnel soignant qui ont constaté le terrible impact du vaccin sur ceux à qui on
l’injecte.
Chacun se doit de considérer ce qu’implique la censure des experts indépendants qui connaissent la vérité alors que d’ignares moulins à paroles récitent le
narratif officiel.
Avec l’assassinat de la vérité, ce sont également la liberté, la moralité et la justice qui sont tuées. Allez-vous rester assis et ne rien faire contre cela
?
Le « test
covid » PCR fut utilisé pour créer l’apparence d’une pandémie.
• Le lauréat du prix Nobel Kary B. Mullis fut l’inventeur de la technique de la réaction en chaîne par polymérase, laquelle est analysée dans l’article
suivant. Le docteur Kary Mullis, qui est mort le 7 août 2019 à 74 ans, a fortement insisté sur le fait qu’on ne peut pas diagnostiquer une infection ou une maladie avec le PCR-RT.
« Le
PCR est un processus. Il ne vous dit pas si vous êtes malade … la mesure n’est pas fiable ». Mullis décrivit le PCR-RT comme une « technique »
plutôt que comme un « test ».
• 7200 médecins et scientifiques du monde entier ont signé la
Déclaration de Rome pour alerter les citoyens sur les conséquences mortelles du comportement sans précédent des décideurs politiques et des autorités médicales.
• 57 éminents scientifiques et médecins diffusent une
étude bouleversante sur les vaccins anti-Covid et exigent l’arrêt immédiat des vaccinations.
...par le Gal. Dominique Delawarde - Le 15/12/2021.
Bonjour à tous,
Je vous propose aujourd'hui deux analyses:
1 - Le premier sous le titre COVID-19
– Année 2021 – Vaccination Échec total de la stratégie du «tout vaccinal» dans la gestion de la crise
sanitaire est une analyse des données disponibles sur la vaccination et l'évolution de la
mortalité et de la contamination dans le monde en 2021 sur laquelle j'ai beaucoup travaillé pour la rendre intelligible au plus grand nombre. Elle fait l'objet des deux dernières pièces jointes. C'est un même
texte sous deux formats (pdf et odt.)
2 - Le deuxième, lié au premier, concerne les traitements précoces. Il s'agit d'une courte
présentation du livre du Journaliste d'investigation Jean-Loup Izambert sur "Le scandale de l'Ivermectine. Après un premier
best seller paru sous le titre "Le virus et le Président", Jean-Loup Izambert aborde, de manière argumentée et documentée,
le problème du rejet tenace des traitements précoces, efficaces et peu onéreux par les gouvernements occidentaux, dans le seul but d'imposer la stratégie vaccinale, au profit de Big Pharma. Les 4
premières pièces jointes concernent ce livre paru le 12 décembre 2021.
À l’heure où une véritable hystérie sanitaro-sécuritaire s’empare du pouvoir afin de renforcer la criminalisation des Français de plus de 18 ans
officiellement réfractaires à la « vaccination » ARN-m, il n’est pas inutile de procéder à quelques rappels. Durant la période s’étalant, du
31 mai au 11 juillet 2021, les non-vaccinés représentaient « près de 85% des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques », selon les
documents officiels sur lesquels s’appuie la macronie. Mais ça, c’était la moyenne sur une période où la vaccination de masse était encore relativement balbutiante. Il existait alors un
important biais statistique : bien davantage de non-vaccinés que de vaccinés dans la population : durant cette période, la proportion des individus doublement vaccinée s’est
montée en
moyenne à 27%, contre un peu plus de 73% à la fin de l’année 2021… 85% des entrées hospitalières pour une
proportion de 73% de la population du 31/05 au 11/07/2021, c’est tout de suite beaucoup moins impressionnant ! Qu’en est-il donc aujourd’hui de la situation, alors qu’on nous
présente en boucle des reportages sur des services de réanimation soi-disant encombrés de vilains irresponsables anti-vax ? Si l’on recherche sur le portail gouvernemental officiel, une
chose saute d’abord aux yeux :
Selon cette capture d’écran prise le 03/01/2022, les données mises en avant sur la plateforme gouvernementale datent de juillet 2021 ! Eh, il faudrait
peut-être un suivi plus régulier et mettre à jour vos chiffres !…
Nous voulons bien débattre, mais encore faudrait-il des chiffres récents, pour juger de l’évolution ! Et là, il faut partir à la chasse et s’armer de
patience ! Aucun chiffre global, comme celui de la propagande gouvernementale élaborée en juillet 2021 ne sort immédiatement sur les moteurs de recherche… On peut trouver des
données régionales partielles, sans savoir sur quels critères telle ou telle région est présente ou absente du panel (même si on s’en doute un peu…) En outre, le référentiel a été
changé : on ne parle plus de proportion de vaccinés et de non-vaccinés en réanimation, mais de nombre de réanimations par million d’individus. En bref, tout est fait pour nous empêcher
d’interpréter les chiffres de façon simple et comparable et donc entretenir le flou et manipuler l’opinion… Pour trouver facilement des chiffres récents, il faut passer par le filtre de
la presse-tituée de masse, qui se borne d’ordinaire à recopier les dépêches prémâchées et prédigérées de l’AFP et de Reuters…
Dans un article intitulé « Covid-19
: pourquoi y a-t-il plus de vaccinés que de non-vaccinés admis à l’hôpital ? » datant de la mi-décembre 2021, nous dénichons enfin des chiffres assez récents et commençons à
comprendre le pourquoi de cette difficulté d’investigation. L’article donne bien des chiffres pour les tests PCR (bidons…) et des hospitalisations, … mais RIEN sur les patients en soins
critiques ni les décès ! À défaut de disposer des chiffres concernant les réanimations et les décès, on peut légitimement se demander si la raison n’est pas délibérée parce qu’ils
seraient trop dissonants… Première remarque : la méthode ! On a changé de référentiel : on ne parle plus de proportion des vaccinés ou de non-vaccinés, mais d’incidence pour chaque
population…
Le nombre d’hospitalisations chez les non-vaccinés se montait donc aux alentours de 75 par million à la mi-décembre. Celui des double-vaccinés à 20 par
million et celui des vaccinés avec rappel à près de 5 par million. La différence peut sembler colossale au premier abord, mais 75 par million, ça ne fait jamais en théorie que 5025
patients non vaccinés hospitalisés pour 67 millions d’habitants. Et ce ne sont pas là les patients en soin critique… Notre système de santé est-il si dégradé qu’il ne soit en
mesure de gérer ce modeste afflux de cinq milliers de patients Covid ? Sur la base d’une double vaccination, la France compterait 1675 patients hospitalisés pour 67
millions d’habitants. Sans égards à l’analyse des hospitalisations en fonction des classes d’âge, la balance bénéfice/risque serait globalement positive avec un différentiel de
3350 patients hospitalisés à un instant donné (le haut du pic enregistré à la mi-décembre)… Mais rien de mirobolant…