La prière musulmane récitée dans l’église Saint-Louis-des-Invalides
...par le Col. Georges Michel - Le 29/05/2019
Incrédulité, honte et colère en découvrant ces images publiées sur le compte Twitter du site Fdesouche : la prière musulmane récitée en chaire – là où nos curés n’osent plus monter
depuis des décennies – dans l’église Saint-Louis-des-Invalides, la cathédrale du diocèse aux armées françaises. Une prière récitée à l’occasion des vingt ans de paix au Kosovo,
précise Fdesouche. Devant le tabernacle. Mais peut-être l’avait-on vidé de sa
Présence pour l’occasion…
C’était le 22 mai dernier. L’ambassade du Kosovo en France avait organisé un concert en hommage aux victimes du conflit au Kosovo. « Sans considération ethnique et pour rendre hommage à la France et à l’armée française qui ont
contribué à la paix dans les Balkans », expliqua l’ambassadeur Qëndrim Gashi, comme l’a rapporté Le Figaro. La Philharmonie du Kosovo, sous la direction de Baki Jashari, interpréta l’œuvre
de Karl Jenkins, L’Homme armé : une messe pour la paix, composée en 1999. Une
œuvre qui se veut universelle en reprenant des textes de diverses religions : ordinaire de la messe des catholiques, psaumes de la Bible et… appel à la prière islamique. Fallait-il, pour
autant, que cet appel à la prière soit interprété dans une église ? En chaire, qui plus est – montée en chaire qui n’est pas sans rappeler celle de l’imam, le 29 mai 1453, dans l’église
Sainte-Sophie de Constantinople tombée aux mains des Ottomans, église dans laquelle les prêtres venaient d’être massacrés alors qu’ils célébraient la messe ? La réponse par une autre
question : imagine-t-on une messe de Mozart, dans laquelle est proclamée la foi catholique, chantée dans une mosquée ? Réaction d’un ami de Boulevard Voltaire, arabophone et originaire d’un pays où les chrétiens eurent à combattre
les armes à la main pour survivre : « C’est scandaleux »…
La paix au Kosovo ? Je repense alors à cette petite église du monastère de nonnes orthodoxes de Devič, au cœur du Kosovo. Un jour, les Albanais musulmans y
crevèrent symboliquement les yeux des icônes, comme le faisaient les Turcs autrefois. L’une des religieuses fut même violée. Cinq ans plus tard, ce même monastère fut de nouveau attaqué
par des centaines d’Albanais musulmans. Les religieuses furent évacuées de justesse et le monastère partiellement détruit par le feu. Une vieille histoire qui remonte aux croisades, me
direz-vous ? Effectivement, c’était en 1999 et en 2004, durant ces vingt ans de paix célébrés aux Invalides.
En 2011, je commandais le contingent français au Kosovo. Une section de soldats français protégeait alors en permanence ce monastère. Je reçus deux
sénateurs – un socialiste, un UMP – en mission parlementaire pour étudier l’utilité de notre présence sur ce théâtre d’opération. Étonnement du sénateur UMP : est-ce bien utile de garder
ce monastère ? Je dus le traîner dans l’église pour lui montrer les stigmates encore récents du sacrilège, lui décrivant le déferlement de haine qui s’était abattu sur ce modeste
sanctuaire. Mais pourquoi ces bonnes sœurs ne vont-elles pas dans un autre monastère en Serbie ? me demanda ce sénateur. Pourquoi, Monsieur le Sénateur ? Mais tout simplement parce que,
depuis le XVe siècle,
en ce lieu, existe un monastère chrétien. Ces religieuses sont chez elles, ici.
Et aujourd’hui, en cette église Saint-Louis, au cœur de l’hôtel des Invalides, fondé par un roi très chrétien, c’est la prière mahométane qui est récitée !
Certes dans un concert. Que penserait Mère Anastasia, mère supérieure du couvent de Devič, en voyant ces images, elle qui y entra alors qu’elle n’avait encore que 15 ans ? Que penserait
Mère Makaria, supérieure du monastère de Sokolica, sur les hauteurs de Mitrovica ? Elle qui me dit un jour : « Ne laissez pas faire en France ce que nous avons laissé
faire ici au Kosovo » (je cite de mémoire).
Bataclan, prière musulmane à Saint-Louis : le général Le Ray est un dhimmi !
...par Sophie Durand - Le 30/05/2019.
Un « appel à la prière » musulmane a été chanté dans la cathédrale Saint-Louis des Invalides le mercredi 22 mai. Il s’agissait d’un concert pour le
vingtième anniversaire de la paix au Kosovo. La paix, mais quelle paix ?… Le Kosovo est-il en paix ?… Cela se saurait.
La guerre du Kosovo a débuté en 1999 par une agression par les Albanais (musulmans) contre la Serbie orthodoxe, hors tout cadre légal.
Cette guerre a été financée par les USA qui ont armé l’UCK. Nous avons notre part de responsabilité dans cette boucherie : nous sommes allés donner un morceau du
berceau civilisationnel de la Serbie, notre alliée traditionnelle, aux Albanais. Quelle trahison !
Le Kosovo a par la suite proclamé unilatéralement son indépendance le 17 février 2008 face à la Serbie qui s’y opposait totalement. Les racines millénaires de la
Serbie sont systématiquement détruites par le Kosovo dans un silence général. Le Kosovo est gangrené par la corruption, l’absence d’un État fonctionnel et autres maux endémiques.
La paix n’est donc pas encore là, quoi qu’on en dise. À l’heure où se tenait ce concert, il y a toujours et plus que jamais, des troubles entre la Serbie et le
Kosovo.
La tension est au plus fort en ce moment même dans la partie du Kosovo (1, 800 000 habitants) peuplée majoritairement de Serbes (ils sont 120 000) à la suite d’une
énième opération de police kosovare qui aurait mal tourné. Le président serbe a déclaré qu’il était prêt à agir et sur le pied de guerre.
Et pendant ce temps, à Paris, on a pris le parti des Albanais, dans cette cérémonie humiliante pour la Serbie… et donné des gages à l’islam conquérant.
Cet appel à la prière était inscrit dans le cadre d’un concert intitulé « l’homme armé, messe pour la paix » de Jenkins, organisé par l’ambassade du
Kosovo à Paris.
Certains disent que l’évêque aux armées n’était pas au courant de ce concert dans la cathédrale de son diocèse. On a du mal à le croire. L’interlocuteur privilégié est le général Le Ray, gouverneur militaire de Paris. C’est de lui que dépend le musée de l’armée qui gère la cathédrale.
Tiens, tiens, le général Le Ray ?… Oui, celui-là même qui s’est opposé à l’engagement des militaires de Sentinelle présents sur place contre les terroristes du
Bataclan. La police en avait fait la demande à la préfecture de police de Paris. La réponse avait été rapide : « Négatif. On n’est pas en zone de guerre. » Un général inconscient, le
massacre par les terroristes de 130 personnes, avec 413 blessés, dont certains torturés, si ce n’est pas la guerre, qu’est-ce alors ?…
Le général Le Ray prétend n’avoir jamais reçu cette demande d’engagement mais ajoute « il est impensable de mettre des soldats en danger dans l’hypothétique
espoir de sauver d’autres personnes. Ils n’ont pas vocation à se jeter dans la gueule du loup ».
C’est une vision abjecte du rôle des militaires. La réactivité, l’improvisation ont été les mots d’ordre de nos militaires dans des conflits où rien ne se passe
jamais comme prévu. Et pourquoi alors a-t-on envoyé les deux commandos Hubert se faire tuer tout récemment s’il n’y a pas l’espoir de sauver des vies ?… Et le colonel Beltrame ?…
Grâce à cette forfaiture du général Le Ray, contre laquelle du reste une plainte a été déposée, les terroristes du Bataclan ont eu les mains libres pendant
plusieurs heures.
C’est ce même général Le Ray qui, par contre, justifie une éventuelle intervention de l’armée contre les Gilets jaunes…
Avec un tel chef, plus attentif à l’ennemi qu’à ses compatriotes, qu’il est censé défendre, on ne se sent pas trop en sécurité…
(appel à la prière)
Quant à la cathédrale des Invalides, elle n’a pas vocation à entendre résonner dans ses voûtes un chant ennemi. Des siècles d’histoire militaire de France
imprègnent ces lieux. Une histoire au cours de laquelle l’islam a été bien souvent notre ennemi…
Car que dit l’appel à la prière islamique ? « Allah est le plus grand ». « il n’y a de dieu qu’Allah ». C’est donc une déclaration de guerre
contre notre civilisation qui est formulée dans cette « prière » qui n’en a que le nom et qui est en réalité un appel à la guerre.
Tout ce qui s’est passé au Kosovo risque de se produire demain en France : invasion, occupation, expulsion des habitants non musulmans.
Mais le gouverneur militaire de Paris, le général Le Ray, n’en a cure et laisse chanter à Saint-Louis des Invalides les chants guerriers de nos ennemis, les chants
par lesquels depuis « le beau modèle » ils se rassemblent, et se comptent avant de partir vers leurs razzias, leurs pillages, leurs guerres.
Ce comportement dhimmi dans les murs de Saint-Louis des Invalides, c’est pire qu’à la prise de Byzance, où les chrétiens s’occupaient du sexe des anges pendant que
l’ennemi prenait les lieux. C’est pire qu’au Kosovo, car au moins la Serbie, elle, ne se résigne toujours pas.
Allons-nous avoir un sursaut ?… Sinon, vae victis, malheur aux vaincus.
...Y aurait-il un lien avec la pétition lancée par le Gal. D. Delawarde et le collectif pour la paix au Kosovo en vue de la visite du
Président Serbe à Paris début juillet ???
Le Diocèse aux Armées françaises a appris ce mercredi 29 mai le déroulement d’une soirée tenue le 22 mai dernier dans la cathédrale Saint-Louis des
Invalides. Le Diocèse souhaite rappeler qu’il est simple utilisateur de la cathédrale, dont le musée de l’Armée est affectataire. A ce titre, seuls les offices religieux relèvent
de l’autorité de l’Evêque aux Armées, en lien avec le Gouverneur des Invalides.
Dans le cas de ce concert, il s’agissait d’une mise à disposition des lieux par l’affectataire au bénéfice de l’ambassade de la République du Kosovo
pour y donner une œuvre, « L’homme armé, une messe pour la paix », commémorant les 20 ans de la fin de la guerre au Kosovo.
A la suite de ce concert, l’Evêque aux Armées a prononcé une prière d’invocation et d’intercession au cours de la messe de la
Solennité de l’Ascension du Seigneur le jeudi 30 mai 2019 à 11 heures.
Profanation inacceptable
...par le Gal. Antoine Martinez - le 02/06/2019.
Le 22 mai dernier, un événement particulièrement odieux, humiliant, insupportable et inacceptable s'est déroulé dans la
cathédrale Saint-Louis des Invalides, haut lieu symbolique de nos armées et donc de l'histoire de France, de cette France qui est, faut-il le rappeler,
la fille aînée de l'Eglise, depuis le baptême de Clovis.
Un concert y a, en effet, été donné à l'initiative de l'ambassadeur du Kosovo, représentant d'un
Etat pour le moins controversé, sous le prétexte invoqué de vingtième anniversaire de « la paix
au Kosovo ». Et ce concert intitulé « L'homme armé, messe pour la paix » contient un appel à la
prière musulmane qui a outrageusement résonné dans cette cathédrale. Il s'agit d'une inacceptable profanation délibérée.
Car, il est de notoriété publique que cette œuvre comporte cet appel à la prière.
Et personne ne peut croire que l'ambassade du Kosovo, organisatrice de cet événement, a agi de façon irréfléchie et sans
arrière-pensées. Bien sûr qu'elle a porté son choix pour ce concert sur ce haut lieu symbolique à la fois militaire et catholique. Avoir envisagé d'y
réciter le coran c'est vouloir délivrer, sur une terre qui n'est pas terre d'islam,.le message de conquête imposé aux musulmans par leur texte sacré. C'est, en outre, montrer la voie à suivre à l'exemple du Kosovo qui, avec l'arme démographique, a
réussi, en l'espace d'un siècle à peine, à déposséder les Serbes du cœur historique de la Serbie. Les
Français doivent savoir que c'est exactement ce qui attend notre pays s'ils ne réagissent pas à cette folle politique immigrationniste prônée par nos élites politiques. Des pans entiers de notre territoire sont d'ailleurs déjà abandonnés à une autre
loi que celle de la République.
Comment a-t-on pu laisser se dérouler un tel concert dans cette cathédrale qui porte les
drapeaux des victoires de nos pères ? Honte à ceux qui ont permis cette profanation humiliante
et se sont rendus coupables de soumission et d'abdication face à l'inacceptable. Accepter cette
démission, cette capitulation, c'est trahir l'âme de la France.
Pourtant, nombreux sont les signaux d'alarme émis depuis très longtemps par des lanceurs
d'alerte – qu'on essaie de faire taire – sur les intentions véritables de l'islam conquérant, et par
nature politique, qui sont d'ailleurs inscrites dans son texte sacré.
Des responsabilités doivent être établies dans cette affaire infâme, en particulier celles de
l'autorité décisionnaire. Mais aujourd'hui, face à cet événement gravissime, face à cette
profanation scandaleuse et douloureuse à nos cœurs d'officiers et sous-officiers français et
chrétiens, la Grande muette, gardienne du temple, ne peut pas rester silencieuse. Son silence
dans ces circonstances sombres et inexcusables serait mal interprété, alors que dans le même
temps nos soldats se battent à l'extérieur contre le terrorisme islamique et que certains y
laissent leur vie avant que leurs cercueils soient accueillis dans ce temple symbolique pour leur
rendre un dernier hommage. Les chefs militaires doivent s'exprimer sur cet événement
scandaleux et le dénoncer. Lorsqu'on porte l'uniforme, on est, certes, soumis au devoir de
réserve et on peut comprendre que les généraux aient quelques réticences à exprimer leurs
opinions. Ce n'est pas dans leur culture. Mais dans les circonstances présentes, se retrancher
derrière ce devoir de réserve serait suicidaire pour la France.