Coronavirus - PANDÉMIE 2020


L’attaque biologique de Washington contre la Chine a-t-elle été un succès ?

par Mike Whitney - Le 28/09/2023.

Dans quelle mesure l’économie chinoise a-t-elle été affectée par le Covid-19 ?

Les données suggèrent que les dégâts ont été assez graves. Par exemple, en 2019, la croissance du PIB chinois était de 5,95%. Mais en 2020, la croissance du PIB est tombée à 2,24%, soit une spirale mortelle de près de 4% entièrement imputable au Covid-19. En 2021, la croissance du PIB chinois a rebondi à 8,45%, mais a ensuite fortement diminué en 2022 pour atteindre le lamentable 2,9%. Une fois de plus, la cause immédiate du ralentissement de la croissance du PIB chinois était la Covid.

Il convient de noter que la croissance du PIB chinois a atteint en moyenne plus de 9% depuis 1990. Cela représente trois décennies de croissance fulgurante qui ont soudainement déraillé en raison d’une infection virale relativement bénigne. Comment ça se passe ?

Cela s’est produit parce que les médias, les sociétés pharmaceutiques, les gouvernements occidentaux et les experts en santé publique ont grandement exagéré la létalité du Covid, ce qui a conduit à des restrictions destructrices pour l’économie. Cela était particulièrement vrai dans le cas de la Chine, qui a confiné des villes entières et des dizaines de millions de personnes pour lutter contre un agent pathogène qui a tué moins de 0,5% des personnes infectées.

Le rédacteur en chef Ron Unz estime que le Covid-19 était une arme biologique créée par les États-Unis et utilisée lors d’une attaque contre la Chine fin 2019. Selon Unz, le Covid ne dérive pas des pangolins ou des chauves-souris, mais est une arme biologique générée en laboratoire. qui visait à saboter l’économie chinoise.
Nous expliquerons comment Unz est arrivé à ses conclusions plus loin dans l’article, mais pour l’instant, nous partons du principe qu’il a raison et que les dommages infligés à l’économie chinoise étaient un acte de guerre délibéré. Mais tout d’abord, regardons quelques graphiques qui permettent d’illustrer l’ampleur des dégâts. Voici un graphique qui montre l’impact du virus sur la confiance des consommateurs :

Voilà à quoi ressemble une catastrophe en temps réel. Comme tout économiste vous le dira, lorsque la confiance des consommateurs s’affaiblit, les gens réduisent leurs dépenses, ce qui entraîne un déclin de l’activité économique qui, à son tour, se traduit par un ralentissement de la croissance. Cela est particulièrement vrai lorsque les médias se livrent à un discours alarmiste incessant dans le but de convaincre les masses qu’ils vont tous mourir d’un fléau fabriqué de toutes pièces qui se propage à travers les campagnes. C’est précisément le type de propagande qui produit un tableau comme celui ci-dessus. C’est une illustration de la guerre psychologique menée contre le peuple chinois.

La même règle peut être appliquée à la production industrielle et aux ventes au détail, qui ont également connu de fortes baisses en raison de l’attaque hybride de Washington. Regardez :

Ensuite, il y a le secteur immobilier qui a également été mis à mal pendant la pandémie. Comme vous pouvez le constater, les prix et les ventes ont chuté, entraînant de nouvelles réductions des dépenses de consommation. Lorsque les prix de l’immobilier baissent, les propriétaires se sentent moins riches et réduisent leurs dépenses. C’est pareil partout. Bien entendu, toutes ces évolutions sont très néfastes pour l’économie.

Bien entendu, d’autres pans de l’économie ont également été touchés, mais gardez à l’esprit que les dégâts économiques ne sont qu’une partie du problème. Le Covid a également causé d’importants dommages psychologiques et une instabilité politique, qui ont tous deux été presque entièrement ignorés par les médias occidentaux. Jetez un œil à cet extrait d’un article du Guardian :

Alors que le gouvernement abandonne le «zéro Covid», il faudra peut-être des décennies aux Chinois ordinaires pour s’en remettre – et beaucoup ne sont pas sûrs que cela en valait la peine… Après l’assouplissement brutal par la Chine de ses restrictions zéro Covid, de nombreux Chinois ordinaires ont du mal à faire face au traumatisme mental causé par trois années de confinements fréquents et exigent des réponses au lourd tribut qu’ils ont payé.

Vendredi, l’un des articles les plus partagés sur Sina Weibo – la plateforme chinoise de type Titter – était un article citant des experts médicaux affirmant que la dépression, l’anxiété et le syndrome de stress post-traumatique dont souffrait la population prendraient probablement entre 10 et 20 ans pour se rétablir.

Lu Lin, membre de l’Académie chinoise des sciences, a déclaré vendredi lors d’un forum que jusqu’à 20% des agents de santé, des patients et des membres du public pourraient souffrir du syndrome de stress post-traumatique et que près d’un tiers d’entre eux mis en quarantaine à la maison ont présenté des symptômes de dépression, d’anxiété et d’insomnie. D’autres experts ont fait appel aux services d’urgence pour soutenir la santé mentale de la communauté.

«Ce qui est encore plus effrayant que le coronavirus, c’est la peur et l’anxiété mentale», a déclaré un commentaire sur Weibo….

Xiao Han, un universitaire en droit libéral, a tweeté : «Pour cela, nous avons soutenu tous ces confinements insensés, l’arrêt de la production et des affaires [qui ont entraîné] des faillites, des suicides et des incendies ?… [Ils] ignorent les catastrophes humanitaires, pour cette raison- appelée sacrifice pour le plus grand bien. Les victimes peuvent-elles maintenant demander : «Pourquoi faire ?» … «Pourquoi était-ce ?» : le bilan mental des trois années de confinement de la Chine en raison du Covid .

Voici davantage d’informations tirées d’un article de recherche du NIH sur l’impact psychologique de la pandémie de COVID-19 sur la population chinoise :

En résumé, l’épidémie de COVID-19 a universellement provoqué le SSPT au sein de la population chinoise en général. De plus, le degré de détresse psychologique est associé à l’âge, à la profession et au statut socio-économique. Par conséquent, nos résultats alertent les régions aux prises avec la pandémie afin qu’elles prêtent attention à l’impact psychologique et appellent les autorités à mettre en œuvre des interventions efficaces pour faire face à ces problèmes de santé mentale . Impact psychologique de la pandémie de COVID-19 sur la population chinoise : une enquête en ligne.

Même si les auteurs semblent critiques à l’égard des restrictions fanatiques du Covid, nous ne devons pas oublier que l’OMS et les sommités d’autres organisations d’élite ont applaudi avec enthousiasme la réponse sévère de la Chine. Voici un court extrait de Bill Gates louant le «modèle» chinois de quarantaine comme un brillant exemple de la manière de gérer une grippe générée en laboratoire : Bill Gates fait l’éloge des mesures chinoises de contrôle de l’épidémie

En voici davantage sur The People’s Voice :

Bill Gates a félicité la Chine communiste pour son «excellent travail» dans la gestion de la pandémie de coronavirus, notamment les restrictions extrêmement autoritaires imposées aux citoyens ordinaires et les sanctions sévères infligées aux lanceurs d’alerte. Bill Gates félicite la Chine pour sa réponse autoritaire au COVID : «Vous êtes géniaux !», The People’s Voice

N’est-il pas un peu suspect que les élites mondialistes qui ont applaudi l’approche dure de la Chine soient les mêmes «parties prenantes» qui bénéficieront le plus d’une crise économique (ou d’une instabilité politique) en Chine ? Est-ce vraiment juste une coïncidence ?

Gardez à l’esprit que les répercussions du Covid-19 étaient probablement anticipées à la suite des exercices sur table menés des mois avant l’attaque. Quoi qu’il en soit, il ne faudrait pas être un génie pour comprendre qu’une grande partie de la population allait être sérieusement touchée si elle était enfermée chez elle pendant des mois pendant que les démagogues des médias inondaient les ondes de récits sombres. En fait, c’était sans aucun doute l’intention. Cela suggère que les auteurs savaient que la pandémie n’affecterait pas seulement l’économie chinoise, mais qu’elle aurait également un impact sur la cohésion sociale et la psyché collective du peuple chinois. C’est pour cette raison que nous pensons que le Covid-19 représente l’attaque hybride la plus réussie de tous les temps contre une nation souveraine. C’est pourquoi nous pouvons nous attendre à ce que la même chose se produise à l’avenir. Voici plus d’informations sur le chercheur en stratégie de marché, Shaun Rein :

Question : Combien de temps avez-vous été enfermé à Shanghai ?

J’ai été enfermé pendant 3 mois complets à Shanghai. Nous avons eu du mal à accéder à la nourriture. Nous n’avons rien pu acheter. Mais il ne s’agissait pas d’un simple confinement. 40% de mes collaborateurs ont été confinés 3 fois. …et ce sont les confinements qui ont provoqué beaucoup de dépression et d’anxiété. Ainsi, à l’heure actuelle, le gouvernement estime qu’environ 50% des Shanghaiens souffrent de dépression. Et c’est ce qui ébranle actuellement la confiance des consommateurs. Si vous regardez le mois d’avril, les ventes au détail ont augmenté de 18,4%, mais elles n’ont augmenté que de 12% en mai. Les consommateurs chinois réduisent leurs dépenses. … Les ménages chinois disposent de 2000 milliards de dollars d’épargne, c’est pourquoi JP Morgan pensait que l’économie se redresserait très rapidement, mais ce n’est pas le cas. … La raison pour laquelle l’économie n’a pas repris est que les Chinois ont été confrontés à de nombreuses réductions de salaires et à des congés non payés en 2022. Mais le consommateur chinois est confronté à des problèmes géopolitiques plus importants. La confiance des consommateurs chinois est la pire depuis 25 ans. La demande de crédit est faible.

Le peuple chinois estime que l’administration Biden tente de contenir la croissance économique de la Chine et de déstabiliser le parti communiste. … Le régime Biden exerce de nombreuses pressions en coulisses pour ne pas investir en Chine. (… ) Les Chinois ont le sentiment qu’ils vont connaître une stagnation de 10 à 20 ans à cause des États-Unis. Les grandes entreprises américaines qui investissent massivement en Chine veulent voir si la Chine redevient normale. Elles veulent savoir s’il y aura d’autres confinements. Elles adoptent une approche attentiste.
La seule chose sur laquelle les démocrates et les républicains peuvent s’entendre, c’est de «haïr la Chine».
Ils prônent une réduction des risques liés à la Chine, ou peut-être un découplage. De nombreuses entreprises sont nerveuses à l’égard de la Chine. Elles ne veulent pas se laisser entraîner dans les attaques politiques de Washington. (Il semble donc que le monde américain des affaires soit contre ce que fait Biden, mais ils ne veulent rien dire.  La confiance des consommateurs au plus bas depuis 25 ans, You Tube

Rebond progressif en 2023

Rein met en lumière les dommages causés par les politiques de confinement de la Chine à l’économie et à la santé mentale du peuple chinois. Ce qu’il oublie cependant de mentionner, c’est comment les restrictions «zéro Covid» ont jeté les bases de troubles sociaux massifs et d’une instabilité politique. Après trois séries de longs confinements, des manifestations ont éclaté dans tout le pays, obligeant finalement le gouvernement à modifier sa politique et à lever les lourdes restrictions qui maintenaient les gens prisonniers dans leurs propres maisons. Ceci est tiré d’un article de NPR :

Exaspérés par près de trois années de politiques strictes liées au COVID-19, les habitants de presque toutes les grandes villes chinoises ont organisé des veillées pour commémorer la vie de ceux qui sont morts alors qu’ils étaient piégés dans des conditions de confinement ou parce qu’on leur avait refusé des soins potentiellement vitaux.

De nombreux participants ont brandi des feuilles de papier blanches vierges pour représenter le manque d’action et de liberté d’expression qu’ils ressentaient dans le cadre des règles liées à la pandémie. Depuis lors, les manifestations ont été surnommées «les manifestations A4», du nom du format de papier A4 utilisé au niveau international.»…

Les manifestations constituaient également une réprimande puissante à l’encontre du dirigeant chinois Xi Jinping, qui est devenu étroitement associé à une série de réglementations vaguement appelées «zéro COVID» et destinées à maintenir le nombre d’infections au coronavirus proche de zéro. Les autorités chinoises arrêtent discrètement les personnes qui ont manifesté contre les règles du COVID, NPR

Apparemment, le PCC pensait que les agences de renseignement occidentales étaient impliquées dans les manifestations, bien qu’il n’y ait encore aucune preuve pour étayer cette hypothèse. Il y avait cependant un article sur le site Web du Council on Foreign Relations qui semblait particulièrement intéressé par les manifestations, en particulier dans la mesure où elles concernaient les vulnérabilités du gouvernement chinois. Voici un extrait de l’article :

Cette vague de protestations est particulière en raison de sa critique directe de la politique zéro COVID du gouvernement central. …La mobilisation transnationale des protestations est également remarquable. Les Chinois des grandes villes du monde, comme New York, Londres, Berlin et Paris, ont organisé des veillées et des manifestations pour sensibiliser et montrer leur solidarité avec les manifestants en Chine…….

Les manifestations prouvent qu’en dépit d’une censure et d’une répression sévères, les Chinois peuvent utiliser des outils créatifs pour faire entendre leur voix…. Il est également possible que les futures manifestations en Chine suscitent des revendications plus larges en faveur des droits civiques…. Si la population continue à formuler ces revendications, la stratégie habituelle du gouvernement visant à distraire et à dissiper pourrait éventuellement s’avérer insuffisante pour apaiser les troubles publics . Les manifestations de rue en Chine ont-elles mis fin aux politiques dures liées au COVID ? Conseil des relations extérieures

Rebond projeté pour 2023

En bref, le CFR considère la réaction aux restrictions liées au Covid comme une opportunité de commettre de nouveaux méfaits à l’avenir. (Êtes-vous surpris ?) Cela suggère que l’attaque à l’arme biologique n’était qu’une partie d’une stratégie plus large visant à la déstabilisation politique. (et, peut-être, un changement de régime.)

Quoi qu’il en soit, vous pouvez comprendre pourquoi je pense que la stratégie de Washington en matière d’armes biologiques a été un succès retentissant. Il a réduit de plus de moitié la croissance du PIB chinois, a miné la confiance des consommateurs, a érodé la confiance dans le gouvernement, a déclenché une instabilité politique et a infligé un stress post-traumatique massif à des millions de Chinois qui ont été profondément marqués par les confinements. Tout cela a contribué à freiner la croissance explosive de la Chine, ouvrant la voie à la phase 2 de la guerre de Washington contre la Chine, qui comprend davantage de droits de douane, davantage de sanctions, un blocus technologique plus strict, davantage de dénigrement anti-Chine dans les médias et davantage de provocations à Taiwan. Détroit. À mon avis, cette dernière série d’hostilités fournit des preuves circonstancielles convaincantes selon lesquelles Unz avait raison de supposer que le Covid-19 est une arme biologique «anti-économique» qui a été lancée à Wuhan, en Chine, fin 2019.

Ron Unz découvre le «Smoking Gun»

En 2020, ABC News a rapporté que les responsables du renseignement américain étaient au courant d’une épidémie de Covid à Wuhan dès novembre 2019, bien avant que l’épidémie n’ait lieu. Le rapport de l’agence de renseignement prouve essentiellement que le Covid est une arme biologique destinée à infecter la Chine. (Remarque : le rapport d’ABC a ensuite été corroboré par un article dans les médias israéliens.) Regardez cette interview de Ron Unz et du journaliste Kevin Barrett qui explique l’importance du rapport original d’ABC :

ABC News rapporte ce soir que les responsables du renseignement américain ont averti l’administration Trump dès fin novembre que le coronavirus pourrait être un «événement cataclysmique». Ces informations se sont finalement retrouvées dans le briefing quotidien du président, alors «que savaient-ils et quand» et ce qui était dit publiquement… ABC News a appris que les agences de renseignement américaines avertissaient en novembre (2019) qu’un événement incontrôlable La maladie ravageait la Chine. De graves avertissements ont été détaillés dans un rapport du Centre national militaire de renseignement médical. … Le rapport des services de renseignement de novembre a déterminé que le virus modifiait les modes de vie en Chine et constituait une menace pour les forces américaines en Asie… Les analystes ont conclu qu’il pourrait s’agir d’un événement cataclysmique.… La Defense Intelligence Agency, les chefs d’état-major interarmées et la Maison Blanche ont été informés à plusieurs reprises… (Le Pentagone a nié l’existence du rapport.)… preuve évidente de la bio-attaque COVID-19 ! , Youtube; 5:11 minutes

Ron Unz : Après que le COVID a commencé à se propager aux États-Unis et à produire un gigantesque désastre national, nos agences de renseignement ont voulu prouver qu’elles n’étaient pas responsables mais qu’elles avaient fourni l’information aux plus hauts dirigeants, qui l’ont tout simplement été ignorée. En d’autres termes, ils voulaient éviter d’être blâmés pour le désastre. Par conséquent, quatre sources de renseignement distinctes ont confirmé à ABC News que le rapport secret avait été fourni à la Maison Blanche et à nos plus hauts dirigeants en novembre, décrivant une potentielle épidémie de maladie cataclysmique se déroulant dans la ville de Wuhan en Chine. Le problème auquel ils se sont heurtés était que lorsque quelqu’un a vérifié la chronologie, ils ont réalisé qu’en novembre, il n’y avait pas eu d’épidémie de maladie cataclysmique à Wuhan.. À ce moment-là, selon toutes les connaissances disponibles et les preuves rétrospectives, probablement une douzaine ou une vingtaine de personnes commençaient à se sentir un peu malades dans une ville de 11 millions d’habitants. Il n’y avait aucun moyen pour un observateur extérieur d’être au courant de l’épidémie à ce moment-là. En fait, le gouvernement chinois lui-même n’a pris conscience de l’épidémie que fin décembre, soit 6 ou 7 semaines plus tard. Alors, naturellement, le Pentagone a immédiatement nié l’existence de ce rapport… Ils ont dit qu’il n’avait jamais existé. Cependant, une semaine plus tard, un journal israélien a confirmé l’existence du rapport, affirmant que le rapport avait été envoyé en Israël, qu’il avait été envoyé à tous les alliés de l’OTAN en novembre et qu’il avait été produit au cours de la deuxième semaine de novembre.  Encore une fois, la deuxième semaine de novembre a été bien avant que quiconque dans le monde n’ait pu être au courant de l’épidémie de maladie à Wuhan, à l’exception des personnes responsables. C’est assez proche d’une preuve irréfutable. Preuve irréfutable de bio-attaque COVID-19 !, You Tube ; 7h40 minutes

Conclusion : les seules personnes qui auraient pu être au courant d’une épidémie de Covid à Wuhan étaient celles qui ont effectivement libéré l’agent pathogène dans la population. Le rapport d’ABC prouve donc que les agences de renseignement américaines ont été impliquées dans la diffusion d’une arme biologique.

La thèse de base de Unz correspond parfaitement à notre propre conviction selon laquelle les membres de l’establishment de la politique étrangère cherchaient frénétiquement des moyens de préserver l’hégémonie de Washington face à la croissance rapide et à l’expansion régionale de la Chine. Nous pensons qu’ils sont arrivés à la même conclusion que John Mearsheimer qui a présenté son point de vue sur «l’affaiblissement de la Chine» dans un article du Buenos Aires Times . Voici ce qu’il a dit :

Les États-Unis doivent essentiellement former une coalition équilibrée pour contenir la Chine, un peu comme ils l’ont fait pendant la guerre froide pour contenir l’Union soviétique. L’Amérique a besoin d’une alliance militaire en Asie similaire à l’OTAN pour contenir la montée de la Chine. L’administration de Donald Trump a fait un travail épouvantable dans ses relations avec nos alliés en Asie. La deuxième chose que les États-Unis doivent faire est de ralentir la croissance de la Chine et de veiller à ce qu’elle ne se transforme pas en pays dominant le monde et doté des technologies les plus sophistiquées. Les Chinois ont clairement indiqué qu’ils avaient l’intention non seulement de défier, mais aussi de battre les États-Unis en matière d’intelligence artificielle, de 5G, etc. Nous devons contenir la Chine avec une coalition équilibrée et la vaincre sur les fronts économique et technologique . Une guerre entre la Chine et les États-Unis est possible (Mearsheimer, Buenos Aires Times)

Je le répète : «Nous devons contenir la Chine avec une coalition équilibrée et la vaincre sur les fronts économique et technologique.»

C’est le modèle sur lequel repose la politique chinoise de l’administration Biden, à une exception flagrante près ; elle n’inclut pas les agents biologiques interdits qui pulvérisent l’économie tout en traumatisant une grande partie de la population. Cet élément a été ajouté au mélange simplement pour améliorer les chances de Washington de freiner le développement fulgurant de la Chine, qui menace de renverser l’ordre mondial existant. Voici plus de l’interview avec Unz :

Au fil des décennies, l’Amérique a dépensé plus de 100 milliards de dollars pour développer sa technologie de guerre biologique. L’administration Trump a fait appel à Robert Kadlec, le plus grand expert américain en guerre biologique, en 2017. Et, en 2018, une mystérieuse épidémie virale a soudainement dévasté l’industrie avicole chinoise. En 2019, les troupeaux de porcs chinois ont été anéantis. Et puis, fin 2019, l’épidémie de Covid a soudainement éclaté, ce qui soulève toutes sortes de sombres soupçons sur ce qui s’est réellement passé. Preuve tangible de bio-attaque COVID-19 !, You Tube ; 10h15 minutes

Résumons:

  1. En 2017, Trump fait appel à Robert Kadlec, le plus grand expert américain en guerre biologique.
  2. En 2018, une mystérieuse épidémie virale a soudainement dévasté l’industrie avicole chinoise.
  3. En 2019, les troupeaux de porcs chinois ont été anéantis.
  4. Fin 2019, le Covid éclate.

Il s’agit du même Robert Kadlec qui écrivait ce qui suit dans un document stratégique du Pentagone en 1998 :

L’utilisation d’armes biologiques sous couvert d’une maladie endémique ou naturelle offre à un attaquant la possibilité d’un déni plausible. Le potentiel de la guerre biologique à générer des pertes économiques significatives et l’instabilité politique qui en résulte, associé à un déni plausible, dépasse les possibilités de toute autre arme humaine.

Alors pourquoi l’administration Trump aurait-elle embauché «le plus grand expert américain en guerre biologique» si elle n’avait pas prévu de l’utiliser ?

Alors, qu’est-ce que tout cela signifie ?

Cela signifie que Washington est si désespéré de maintenir son emprise sur la puissance mondiale qu’il est prêt à employer tous les moyens nécessaires (y compris les armes biologiques) pour saboter la montée de la Chine.

source : La Cause du peuple

Le terrible effondrement des naissances se confirme

Source : Le Courrier des Stratèges - Par Eric Verhaeghe - Le 03/03/2023.

Le terrible effondrement des naissances se confirme

Nous avons déjà évoqué l’effondrement de la natalité en 2022. Les premiers chiffres de 2023 confirment malheureusement cette tendance : Les naissances reculent dans des proportions inconnues jusqu’ici, parfois de plus de 15% dans certaines régions, rapportées à 2020 (qui n’était déjà pas une très bonne année). Pour l’instant, personne ne juge utile de commenter ces chiffres désastreux, mais la réalité est bien là : Le COVID a un effet terrible sur la démographie, bien au-delà de l’épidémie elle-même. Forcément, l’impact de la vaccination sur la natalité soulève une véritable question.

Dans le Grand Est, la natalité recule de plus de 15% !

Comme on le voit sur cette carte de France, toutes les régions métropolitaines souffrent d’un effondrement impressionnant de la natalité, comparée à 2020. Seules la Bretagne et la région Centre ne subissent une baisse des naissances que de 5% maximum. Les autres régions connaissent des décrochages violents, avec une baisse de plus de 15% dans le Grand Est, et des baisses de 10 à 15% dans la « diagonale » allant du Jura au Pays Basque. Cette situation est particulièrement parlante si l’on compare l’évolution du nombre moyen de naissances par jour :

Le nombre moyen de naissances par jour est tombé sous 1.900, un chiffre historique

En dehors des mois de pics de COVID (de décembre 2020 à février 2021), jamais....

Pour lire la suite : Abonnez-vous au Courrier des Stratèges.

Comment les services de renseignement américains ont-ils repéré le Covid-19 à Wuhan plusieurs semaines avant la Chine ?

Source : Le Cri des Peuples - par Will Jones - Le 19/01/2023.

Source : The Daily Sceptic, 21 décembre 2022

Traduction : lecridespeuples.fr

Voici une question qui me turlupine. Comment les analystes des services de renseignement américains ont-ils repéré ce qu’ils considéraient comme un nouveau virus dangereux en Chine, alors que rien ne prouve que la Chine l’ait repéré ou s’en soit inquiété ? Comment ont-ils repéré le signal dans tout le tohu-bohu d’une saison de grippe chinoise normale ?

Les responsables du renseignement américain ont admis dans divers médias avoir suivi l’épidémie de coronavirus en Chine depuis la mi-novembre 2019, et même informé l’OTAN et Israël à ce moment-là. Pourtant, à aucun moment des détails n’ont été fournis sur ce qui les a poussés à prendre cette mesure inhabituelle.

Voici ce qui nous a été dit, tel que recueilli par Gilles Demaneuf de DRASTIC. Le 9 avril 2020, ABC News a rapporté des informations provenant de « quatre sources » selon lesquelles « dès la fin du mois de novembre, les responsables du renseignement américain ont averti qu’une contagion balayait la région de Wuhan en Chine, changeant les modes de vie et d’affaires et constituant une menace pour la population ».

Ces inquiétudes « ont été détaillées dans un rapport de novembre du National Center for Medical Intelligence (NCMI) de l’armée », citant deux responsables connaissant bien le rapport. Ce rapport était « le résultat de l’analyse d’interceptions téléphoniques et informatiques, couplées à des images satellites ». L’une des sources a déclaré : « Les analystes ont conclu qu’il pourrait s’agir d’un événement cataclysmique » et qu’ « il a ensuite été communiqué à plusieurs reprises » à la Defense Intelligence Agency, à l’état-major interarmées du Pentagone et à la Maison Blanche.

Voir Attaque biologique ? Washington était informé d’une épidémie à Wuhan bien avant les autorités chinoises

Le reportage d’ABC ajoute que « les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle » et que le président américain a été informé en janvier :

À partir de cet avertissement en novembre, les sources décrivent des briefings répétés jusqu’en décembre à l’intention des responsables politiques et des décideurs de l’ensemble du gouvernement fédéral ainsi que du Conseil national de sécurité à la Maison-Blanche. Tout cela a culminé avec une explication détaillée du problème qui est apparue dans le Briefing quotidien du Président (APB) sur les questions de renseignement au début du mois de janvier, affirment les sources. Pour qu’un élément apparaisse dans l’APB, il faut qu’il passe par des semaines de vérification et d’analyse, selon des personnes qui ont travaillé sur les briefings présidentiels dans les administrations républicaines et démocrates. […]

« La chronologie du côté des services de renseignement peut remonter à plus loin que ce dont nous discutons », a déclaré la source au sujet des rapports préliminaires de Wuhan. « Mais il est certain que les militaires ont été informés dès la fin du mois de novembre de la nécessité de prendre position sur cette question. »

Le rapport du NCMI a été largement diffusé auprès des personnes autorisées à accéder aux alertes de la communauté du renseignement. Après la publication du rapport, d’autres bulletins de la communauté du renseignement ont commencé à circuler par des canaux confidentiels au sein du gouvernement aux alentours de Thanksgiving, ont indiqué les sources. Selon ces analyses, les dirigeants chinois savaient que l’épidémie était hors de contrôle alors même qu’ils cachaient des informations aussi cruciales aux gouvernements étrangers et aux agences de santé publique.

Cependant, les rapports des médias sont incohérents. Le même jour (9 avril), NBC News a publié le rapport suivant, affirmant que « rien n’indiquait qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là » :

Selon les responsables, les renseignements ont pris la forme d’interceptions de communications et d’images aériennes montrant une activité accrue dans les établissements de santé. Les renseignements ont été distribués à certains responsables fédéraux de la santé publique sous la forme d’un « rapport de situation » à la fin du mois de novembre, a déclaré un ancien fonctionnaire informé de la question. Mais il n’a pas été estimé qu’une épidémie mondiale mortelle se préparait à ce moment-là, a déclaré un responsable de la défense.

Voir Covid-19 : les Etats-Unis ont averti leurs alliés d’une épidémie en Chine dès novembre (médias US & israéliens)

Le général John Hyten, vice-président des chefs d’état-major interarmées, a déclaré qu’il n’avait pas vu de rapports de renseignement sur le coronavirus avant janvier :

Nous avons tout ré-examiné méticuleusement les données disponibles en novembre et décembre. La première indication dont nous disposons, ce sont les rapports de la Chine de fin décembre qui ont été publiés dans le forum public. Et les premiers rapports des services secrets que j’ai vus étaient en janvier.

Le NCMI lui-même a nié à ABC l’existence du « produit/évaluation », c’est-à-dire du rapport auquel il est fait référence (bien que certains aient suggéré qu’un rapport qui n’était pas techniquement un « produit » de renseignement ait probablement existé).

Selon un article du Times of Israel du 16 avril 2020, les services de renseignement américains « ont pris conscience de l’émergence de la maladie à Wuhan au cours de la deuxième semaine de [novembre] et ont rédigé un document classifié ». Le rapport affirme également que la Chine était au courant à l’époque : « Les informations sur l’apparition de la maladie n’étaient pas dans le domaine public à ce stade, et n’étaient connues qu’apparemment du gouvernement chinois. » Un reportage de la chaîne israélienne Channel 12 datant du même jour affirme que les services de renseignement américains « suivaient la propagation » à la mi-novembre et qu’ils ont même informé l’OTAN et Israël à l’époque, mais, de manière quelque peu contradictoire, ils ont déclaré que l’information « ne provenait pas du régime chinois » :

Un rapport secret du renseignement américain, qui mettait en garde contre une « maladie inconnue » à Wuhan, en Chine, n’a été envoyé qu’à deux de ses alliés : l’OTAN et Israël. Au cours de la deuxième semaine de novembre, les services de renseignement américains ont constaté qu’une maladie aux caractéristiques nouvelles se développait à Wuhan, en Chine. Ils ont suivi sa propagation, alors qu’à ce stade, cette information classifiée n’était pas connue des médias et ne provenait pas non plus du régime chinois.

Ces rapports médiatiques émanant d’agents de renseignement anonymes se référant à des documents d’information non divulgués ne sont manifestement pas tous cohérents. L’affirmation du Times of Israel selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre est particulièrement étrange, car ce rapport dit tirer ses informations directement du rapport de Channel 12, qui affirme le contraire. L’affirmation d’ABC News selon laquelle le gouvernement chinois était au courant en novembre d’une épidémie « hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie », mais que cette information a été gardée secrète, est également étrange. Comment une épidémie « hors de contrôle » qui « change les modes de vie » pourrait-elle être gardée secrète ? Lorsque le virus a été révélé à la fin du mois de décembre, il s’est accompagné d’une activité intense sur les réseaux sociaux en Chine. Où est passée l’activité des réseaux sociaux de novembre, où les gens parlaient d’une épidémie  hors de contrôle » qui « changeait les modes de vie et le monde des affaires » ? Où sont les images satellites montrant ces impacts sur les hôpitaux et la vie sociale ? Aucune n’a été produite, alors qu’il serait facile de le faire.

Voir Coronavirus : la Chine et l’Iran dénoncent la probabilité d’une attaque biologique

Cela nous amène à une question cruciale. La Chine était-elle au courant en novembre ? J’avais précédemment supposé que oui, mais en regardant plus objectivement, je n’ai pas vu de preuves tangibles qu’elle le savait. Le rapport 2021 des services de renseignement américains sur les origines du Covid indique que la Chine « n’avait probablement pas connaissance de l’existence du SRAS-CoV-2 avant que les chercheurs du WIV ne l’isolent après la reconnaissance publique du virus dans la population générale ». Mais avait-elle connaissance plus tôt d’une épidémie inhabituelle d’étiologie inconnue ? Rien ne le prouve.

Hormis les affirmations contenues dans les rapports médiatiques susmentionnés (qui, comme nous l’avons noté, sont largement démenties par les responsables de la défense), la seule preuve dont nous disposons provient du rapport du personnel de la minorité sénatoriale de 2022, qui a des liens avec les services de renseignement américains, en particulier avec le grand manitou de la biodéfense Robert Kadlec. Ce rapport suggère que la Chine a pris connaissance d’une fuite à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) en novembre 2019 et, à ce moment-là, a commencé à travailler sur un vaccin. Mais il ne donne aucune preuve réelle pour étayer cette affirmation, juste de vagues déclarations sur le moment où la formation à la sécurité a eu lieu et des insinuations sur le moment du développement du vaccin. En outre, l’accent est entièrement mis sur la recherche chinoise et le WIV, et pas du tout sur la recherche américaine, ce qui laisse supposer qu’il s’agit d’un « dérapage contrôlé » de la communauté du renseignement et d’un exercice de détournement d’attention.

Il convient de noter que le colonel Robert Kadlec, qui semble être à l’origine du rapport du Sénat, a été le premier directeur de la politique de biosécurité de la Sécurité intérieure sous la présidence de G. W. Bush et l’un des cerveaux des premières simulations de pandémie, y compris l’hiver noir de 2001. Lorsque le COVID-19 a frappé, M. Kadlec est devenu le principal responsable de la préparation aux situations d’urgence, coordonnant la réponse du ministère américain de la santé et des services sociaux et du gouvernement fédéral. Il est donc une figure centrale de l’établissement de biodéfense américain qui nous a apporté les confinements et ne peut être considéré comme une source d’information indépendante ou fiable.

Voir Covid-19 : le contrôle des populations par la peur était « totalitaire », admettent des responsables scientifiques

Les meilleures preuves indépendantes dont nous disposons actuellement pour affirmer que la Chine était au courant avant la fin décembre sont les rapports que Gilles Demaneuf transmet de deux scientifiques américains, Lawrence Gostin et Ian Lipkin, selon lesquels, à la mi-décembre, des contacts scientifiques chinois leur ont mentionné une épidémie inhabituelle de virus. Ce n’est pas du tout précoce, et c’est plusieurs semaines après la mi-novembre.

Il y a de nombreuses raisons de penser, comme l’indique le point presse de Channel 12, que la Chine n’était pas au courant avant décembre. Par exemple, le manque évident de préoccupation du gouvernement chinois à l’égard du virus jusqu’aux environs du 23 janvier. Le 14 janvier encore, les experts chinois déclaraient à l’Organisation mondiale de la santé qu’ils n’étaient même pas sûrs que le virus se transmette entre humains ! C’est difficile à croire, mais cela montre quand même à quel point ils n’étaient pas inquiets.

Il y a aussi l’absence de précédentes alertes de santé publique comme celle qui est apparue le 31 décembre 2019 de la Commission municipale de la santé de Wuhan, plus, comme nous l’avons noté, l’absence de toute activité sur les réseaux sociaux concernant une épidémie en novembre. En outre, il y a l’échec apparent du séquençage du virus avant la fin du mois de décembre, puis dans un laboratoire privé, ce qui fait également vaciller l’idée que la Chine développait un vaccin à partir de novembre. Il y a aussi le fait que les autorités chinoises ont semblé croire que le marché humide de Huanan était une origine plausible du virus en janvier, jusqu’à ce qu’elles examinent cette théorie et la réfutent.

Bien sûr, il peut y avoir des explications alternatives pour certains de ces éléments. Par exemple, l’histoire du marché humide peut avoir été un moyen d’étayer l’affirmation initiale bizarre selon laquelle il ne semblait pas y avoir de transmission interhumaine, ce qu’il est difficile de croire que les scientifiques chinois aient jamais vraiment cru, étant donné l’invraisemblance de cette hypothèse et le fait que les scientifiques chinois semblaient avoir conscience d’une épidémie plus large en décembre. D’un autre côté, la fuite du rapport du gouvernement chinois datant de février 2020 semble montrer que les responsables se sont empressés de regarder en arrière pour voir ce qui se passait dans les hôpitaux en octobre et novembre, sans que rien n’indique qu’ils étaient au courant à ce moment-là, et également sans indication d’une épidémie « hors de contrôle ». Peut-être s’agit-il là aussi d’un faux astucieux. Mais tout cela est-il faux ? Et dans tous les cas, où sont les preuves réelles et positives que la Chine était au courant ?

Voir Variole du singe : la Russie accuse les laboratoires biologiques militaires américains

L’apparente ignorance des Chinois contraste fortement avec ce que les responsables des services de renseignement américains ont déclaré savoir en novembre, comme le montrent les points de presse susmentionnés, qui indiquent que les analystes des services de renseignement américains « suivaient la propagation » depuis la mi-novembre et que l’armée, le gouvernement et les alliés des États-Unis étaient tenus informés. Il se peut qu’une partie de ces informations soit exagérée par les responsables des services de renseignement qui tentent de se défendre contre les accusations d’avoir manqué les premiers signes de la pandémie. Mais tout ne saurait s’expliquer ainsi.

En outre, il existe un rapport très révélateur du Dr Michael Callahan, que le Dr Robert Malone a décrit comme « le plus grand expert du gouvernement américain et de la CIA en matière de guerre biologique et de recherche sur les gains de fonction », et qui se trouvait déjà à Wuhan au début du mois de janvier « sous couvert de son poste de professeur à Harvard ». Il a déclaré à  National Geographic qu’il s’était rendu à Singapour pour traquer le virus en novembre et décembre. Il affirme avoir été mis au courant de l’existence du virus par des « collègues chinois », mais cette affirmation est très vague et pourrait être fausse :

Début janvier, lorsque les premières informations floues sur la nouvelle épidémie de coronavirus sont apparues à Wuhan, en Chine, un médecin américain avait déjà pris des notes. En novembre, Michael Callahan, expert en maladies infectieuses, travaillait avec des collègues chinois sur une collaboration de longue date en matière de grippe aviaire lorsqu’ils ont mentionné l’apparition d’un nouveau virus étrange. Rapidement, il s’est envolé pour Singapour afin d’y voir des patients présentant les symptômes du même germe mystérieux.

Il existe deux autres contrastes frappants entre les approches initiales des États-Unis et de la Chine qui méritent d’être soulignés. Premièrement, les services de renseignement et de biodéfense américains se sont montrés hautement alarmistes à propos du nouveau virus dès le mois de janvier, tandis que le gouvernement chinois est resté apparemment calme jusque vers le 23 janvier. La raison pour laquelle la Chine a changé de politique à ce moment-là n’est pas encore tout à fait claire ; apparemment, c’était lié à la reconnaissance de la transmission interhumaine, mais il est peu probable que ce soit la véritable raison.

Voir Naturel ou artificiel ? Après un an de Covid-19, un bilan sur les origines de la pandémie

Deuxièmement, les scientifiques et les agents des services de renseignement américains se sont accrochés à une théorie du marché humide qu’ils savaient fausse, étant donné que les services de renseignement américains suivaient l’épidémie depuis novembre et que les autorités chinoises elles-mêmes ont démystifié cette théorie très tôt. Malgré cela, certains scientifiques américains, y compris ceux impliqués dans la dissimulation de la fuite du laboratoire de Fauci, s’y sont obstinément tenus depuis.

Il est également important de noter que les responsables des services de renseignement et les scientifiques américains ont, dès le début, activement bloqué toute tentative d’enquêter sur la possibilité d’un virus fabriqué, d’une fuite de laboratoire ou d’une propagation précoce du virus (bien que quelques membres des services de renseignement américains semblent avoir été disposés à enquêter, mais apparemment avec l’intention d’accuser exclusivement la Chine). De hauts fonctionnaires du gouvernement auraient averti à plusieurs reprises leurs collègues « de ne pas poursuivre l’enquête sur l’origine du COVID-19 » car cela « ouvrirait la boîte de Pandore » si elle se poursuivait.

Malgré l’arrêt des enquêtes sur les origines du virus, les responsables des services de renseignement américains ont insisté à maintes reprises sur le fait qu’il n’avait certainement ou probablement pas été fabriqué et ont même soutenu la théorie du marché humide des mois après qu’elle ait été discréditée par les Chinois eux-mêmes. Le 30 avril 2020, le bureau du directeur du renseignement national américain (qui, à l’époque, était en vacance) a publié une déclaration selon laquelle : « La communauté du renseignement est également en accord avec le large consensus scientifique selon lequel le virus COVID-19 n’a pas été fabriqué par l’homme ou génétiquement modifié. » Le 5 mai 2020, CNN a rapporté un briefing d’une source de renseignement des Five Eyes [alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis] déclarant sans équivoque que l’épidémie de coronavirus « provenait d’un marché chinois ».

Les renseignements partagés entre les nations des Five Eyes indiquent qu’il est « hautement improbable » que l’épidémie de coronavirus se soit propagée à la suite d’un accident dans un laboratoire, mais qu’elle provient plutôt d’un marché chinois, selon deux responsables occidentaux qui ont cité une évaluation des renseignements qui semble contredire les affirmations du président Donald Trump et du secrétaire d’État Mike Pompeo.

Il est bien sûr impossible d’exclure la modification génétique, que ce soit à l’époque ou depuis, étant donné l’absence de virus naturels et de réservoirs animaux similaires et le fait que le savoir-faire pour effectuer les modifications existe certainement. Malgré tous ses défauts, le rapport sénatorial de 2022 a été le premier document associé aux services de renseignement à traiter d’un agent modifié comme une possibilité sérieuse, tout en essayant notamment de rejeter entièrement la faute sur la Chine. Les scientifiques américains n’en parlent tout simplement pas, une évasion qui a conduit Jeffrey Sachs à dissoudre le groupe de travail sur les origines du Covid qui faisait partie de la commission Covid du Lancet qu’il présidait, percevant de graves conflits d’intérêts et un manque fondamental de coopération de la part des scientifiques américains, qui semblaient cacher quelque chose.

Voir Le Covid-19 provient d’un laboratoire américain, selon le président de la commission du Lancet

Ma crainte est qu’il n’y ait pas beaucoup de façons crédibles d’expliquer tout cela. Pourquoi les services de renseignement américains ont-ils suivi l’apparition d’un virus potentiellement dangereux en Chine en novembre, plusieurs semaines avant qu’il ne soit prouvé que la Chine était au courant de la situation ou s’en préoccupait ? Comment ont-ils repéré un tel signal dans le bourdonnement d’une saison de grippe précoce ? Comme le souligne Gilles Demaneuf,

L’imagerie satellitaire ne permettrait pas de faire la distinction entre une sévère épidémie de pneumonie saisonnière et le début d’une épidémie de coronavirus survenant au même moment. Il est donc probable que seule une partie des données observées par le NCMI, comme les communications dans certains hôpitaux, était effectivement liée de manière évidente à quelque chose de pire qu’une mauvaise pneumonie, mais toujours standard.

Mais bien sûr, et c’est un point crucial, le COVID-19 ne se distingue pas clairement et cliniquement d’une pneumonie sévère mais toujours standard. Demaneuf laisse entendre que les analystes ont intercepté des communications de l’hôpital révélant quelque chose de distinctif qui leur a causé une inquiétude considérable. Mais de quoi s’agit-il ? Ils ne le disent pas, mais ils devraient le faire. Il est évident que ces rapports devraient être déclassifiés et mis dans le domaine public. La difficulté, cependant, est qu’il est même difficile de concevoir ce que cela pourrait être. Que se disaient les médecins pour attirer l’attention des analystes du renseignement et les inciter à informer l’OTAN et à s’envoler pour Singapour ? Quoi qu’il en soit, cela ne semble pas avoir alarmé les médecins de l’hôpital eux-mêmes, car rien ne prouve que des médecins ou des responsables gouvernementaux chinois aient remarqué ou se soient inquiétés avant la mi-décembre. Nous n’avons pas non plus vu de preuve d’une épidémie « hors de contrôle » qui « modifiait les modes de vie et d’activité », comme le prétendait ABC News. Le problème est qu’en l’absence de détails, nous nous demandons ce que cela pourrait bien être, en particulier lorsque le COVID-19 ne se distingue pas cliniquement des autres causes de pneumonie grave.

 Voir La Russie accuse les Etats-Unis d’avoir créé le Covid-19

Il existe, il faut le noter, une façon simple d’expliquer tout cela, mais ses implications sont pour le moins troublantes. Il s’agit du fait que le virus a été délibérément diffusé en Chine par un ou plusieurs groupes au sein des services de renseignement et de sécurité américains. Le but d’une telle diffusion serait en partie de perturber la Chine et en partie de servir d’exercice réel pour la préparation à une pandémie, ce qui est, comme nous le savons, la façon dont la pandémie a été traitée en pratique par les membres du réseau de biodéfense américain. Bien que choquant, cela n’est pas hors des limites du possible. Considérez ce que Robert Kadlec a écrit dans un document stratégique du Pentagone en 1998 :

L’utilisation d’armes biologiques sous le couvert de l’apparition d’une maladie endémique ou naturelle offre à un attaquant la possibilité d’un déni plausible. Le potentiel de la guerre biologique à créer des pertes économiques importantes et une instabilité politique subséquente, associé à un déni plausible, dépasse les possibilités de toute autre arme humaine.

Voir American Pravda : Covid-19 et guerre biologique

Si tel était le cas, il se pourrait que l’ajout de l’enzyme protéase furine au virus ait pour but d’accroître son caractère infectieux afin d’augmenter les chances d’apparition d’une pandémie (ils avaient peut-être déjà essayé avec un virus moins infectieux et cela n’avait pas très bien fonctionné). Le virus serait délibérément relativement bénin pour ne pas faire trop de dégâts, mais suffisamment grave pour avoir l’impact souhaité, du moins lorsqu’il est accompagné d’opérations psychologiques et de propagande. Très peu de personnes en connaîtraient l’origine, car la plupart participeraient à l’exercice en direct.

Un tel scénario expliquerait parfaitement pourquoi les services de renseignement américains ont suivi de près la propagation de la maladie en novembre, alors que la Chine n’était pas au courant. Il expliquerait également pourquoi les spécialistes américains de la biodéfense se sont montrés dès le départ beaucoup plus alarmistes que les autorités chinoises, pourquoi ils ont nié que le virus puisse être fabriqué et ont annulé tous les efforts déployés pour en rechercher les origines (et se sont accrochés à des théories discréditées), et pourquoi ils ont appliqué l’ensemble du plan de biodéfense « confinons-et-attendons-un-vaccin » alors que le virus ne le justifiait manifestement pas (et que les mesures ne fonctionnaient pas), et ont généralement traité l’ensemble de la situation comme un exercice réel. Il n’est pas contestable de souligner que la pandémie a été une occasion en or de mettre en pratique leurs plans préparés de longue date. Mais qu’en est-il si cette occasion n’a pas été laissée au hasard ?

Voir La stupéfiante censure occidentale sur les origines du Covid

Aucun d’entre nous ne souhaite tirer cette conclusion, bien sûr. Pour la réfuter, du moins en ce qui concerne cet argument, nous aurions besoin d’avoir beaucoup plus de détails sur ce que les analystes du renseignement américain voyaient et disaient en novembre 2019, ce qui expliquerait comment ils savaient ce que la Chine ne savait pas et pourquoi ils étaient si inquiets lorsque la Chine ne l’était pas.

À défaut, il est difficile de ne pas se demander si la diffusion du virus en Chine pour perturber le pays et voir comment le monde réagit n’aurait pas été une idée farfelue élaborée dans les recoins les plus profonds de l’État profond américain de la biosécurité.

Voir notre dossier sur le Covid-19.

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Le point sur la gestion suédoise de la crise sanitaire

...proposé par le Gal. Dominique Delawarde - Le 22/12/2021.

Bonjour à tous,

Vous trouverez ci après un article très intéressant qui nous vient du Canada.

Il fait le point sur le cas suédois : une toute autre approche de la gestion de la crise sanitaire qui a obtenu des résultats bien meilleurs que la moyenne européenne en jouant sur la vérité, les recommandations et la confiance réciproque entre gouvernants et gouvernés plutôt que sur le mensonge, la coercition, la multiplication des mesures de contraintes de tous ordres.

Son titre : "Comment la Suède démontre l’inefficacité des principales mesures sanitaires"

https://les7duquebec.net/archives/269073

Il peut être repris, bien sûr.

Bonne lecture

DD

Comment la Suède démontre l’inefficacité des principales mesures sanitaires


Fer de lance d’une stratégie anti-Covid mesurée, la Suède s’est inscrite en exception face à une Europe confinée. Aujourd’hui, les prédictions les plus sombres de ceux qui fustigeaient l’imprudence du pays scandinave ne se sont pas réalisées et la Suède a déserté les manchettes de journaux internationaux. Tandis que le reste de l’Europe affronte sa Xième vague, le pays du nord du continent semble avoir tourné la page Covid. Il fallait donc se rendre sur place afin de constater le résultat des décisions prises et leur impact sur la santé, au sens large, de la population. Aujourd’hui, la Suède a-t-elle éradiqué la pandémie? Second volet de notre reportage au cœur de la capitale. Source : Comment la Suède démontre l’inefficacité des principales mesures sanitaires (limpertinentmedia.com) 

 

© Pixabay
 

«La Suisse affronte désormais sa 5e vague Covid», titrait 24h début novembre. La RTS lui emboitait le pas récemment en affirmant que le pays s’approche de la situation de l’hiver dernierLes Pays-Bas reconfinentLa Norvège ressort l’artillerie lourde des mesures, dont le pass sanitaire. En France, Emmanuel Macron espère contrer la 5ème vague avec une troisième dose. Si bien qu’on en est à se demander jusqu’à combien on va encore devoir compter ainsi.

En Suède, on est pragmatique. Encore et toujours. Interrogé sur l’existence d’une nouvelle vague dans le pays la semaine dernière, Anders Tegnell, le Monsieur Covid suédois s’est fendu de la réponse suivante: «Comme je l’ai répété à plusieurs reprises auparavant, on ne sait pas si l’on est ou non dans une vague avant de l’avoir surmontée. Nous observons une légère augmentations des cas mais il va falloir attendre de voir ce qu’il se passe avant de l’appeler ou non une vague.»

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Ce flegme et cette recherche de certitudes avant d’inquiéter inutilement la population représentent à merveille la stratégie empruntée par l’État du nord depuis le début de cette crise. Celle-là même qui a permis à ses citoyens d’oublier le Covid. En effet, depuis que les quelques maigres restrictions ont été levées, fin septembre, l’affaire semble de l’histoire ancienne pour les Suédois. «Je m’aperçois qu’on en parle même plus lors de soirées entre amis, me raconte Charlotte, la jeune ingénieure française chez qui j’ai passé les premiers jours de mon trip nordique. Ce n’est plus un sujet de conversation». Même son de cloche auprès de Victor Malmcrona, journaliste local: «C’est assez étonnant de voir à quelle vitesse les choses sont revenues à la normale».

 

Prudence et proportionnalité

Contrairement à la France, à la Suisse et à la plupart des pays du monde, le gouvernement suédois n’est pratiquement pas intervenu dans la gestion de la crise sanitaire. C’est l’autorité de santé publique, la Folkhälsomyndigheten, notamment incarnée par Anders Tegnell, qui s’est occupée de tenir la population informée et de faire des recommandations. Donnant ainsi un visage plus humain au cadrage nécessaire durant cette période inhabituelle. De nombreux Suédois interrogés se sont dit très sensibles au fait que ce soit un homme en apparence lambda, en jeans-baskets, qui les tenaient au courant de la situation de façon quasi-quotidienne, les enjoignant à tel ou tel comportement le cas échéant. Plutôt que d’austères politiciens en costards. Il leur a inspiré confiance.

Les scientifiques suédois se sont basés sur l’un des principes fondamentaux d’Hippocrate: Primum non nocerePrimum Non Nocere, la suite de HOLD-UP! – les 7 du quebec : https://les7duquebec.net/archives/268656  Ne pas nuire.
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Que ce soit à la santé dans le sens général du terme, y compris la santé mentale, l’économie ou la société dans son ensemble. Une balance de ces différents éléments a guidé la stratégie suédoise. Ainsi, les seules mesures officielles étaient le lavage des mains et la distanciation sociale. Le port du masque n’a été que très brièvement recommandé dans les transports, aux heures de pointe. Les autorités ont estimé que son obligation aurait pour effet une négligence du respect des distances et qu’il ne serait de toute façon pas très utile puisque porté n’importe comment. «Il n’y a pas eu d’allers-retours dans les mesures, cela a été crescendo. Ce qui a évité beaucoup de confusion», explique Charlotte.
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«Nous arborons cette drôle d’attitude moderne de considérer la mort comme un échec plutôt que comme une partie de la vie, explique Johan Norberg, écrivain suédois et senior fellow du think-tank libertarien Catho Institute. Cependant, ce coup-ci il semblerait que nous n’ayons pas paniqué, mais davantage réfléchi aux dommages collatéraux. Oui, des gens souffrent du Covid, mais si nous fermons tout, plus encore de gens perdront leur éducation, d’autres formes de santé, souffriront de solitude, de maux psychologiques, sans parler des suicides.»

Bien loin du «nous sommes en guerre» français et de l’obligation d’avoir des attestations pour justifier ses moindres mouvements, le fait que les mesures sanitaires suédoises aient été communiquées sous forme de recommandations et non d’injonction aurait poussé les citoyens à se responsabiliser et à prendre leur destin en mains. «Les Suédois ont une longue tradition de suivi des conseils des autorités – en partie parce qu’ils n’ont jamais été conquis par des étrangers ou des aristocrates, de sorte que le gouvernement semble constitué de gens comme vous et moi, et non comme un exploiteur extérieur, pour le meilleur et pour le pire, explique Johan Norberg, – et cela vaut également pour les conseils des autorités sanitaires. Je pense que c’est l’une des raisons pour lesquelles nous avons accepté l’ouverture de notre société pendant la pandémie, avons appliqué la distance sociale volontairement, et n’avons pas exigé de fermetures.»


A (re)lire: Dans quel état est la Suède?

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Les autorités suédoises ont très vite compris que le seul moyen de se débarrasser au plus vite de ce virus était de bâtir une solide immunité naturelle. C’est pourquoi ils ont renoncé aux confinements stricts pour permettre au Covid de circuler et ainsi éviter les vagues successives rencontrées dans d’autres pays européens.

En effet, s’ils sont beaucoup plus vaccinés qu’en Suisse (81,3% des 16 ans et plus ont reçu deux doses), les Suédois sont surtout immunisés davantage contre la maladie: «Les récentes analyses de sang sur un total de 2959 personnes vivant dans huit régions différentes de Suède révèle des anticorps contre le Covid chez 75,6% d’entre elles», relate l’Agence de santé publique du pays, interrogée sur la question.

La semaine dernière, les «cas» dénombrés en Suède s’élevaient à 706, contre plusieurs milliers en Suisse. Jusqu’à aujourd’hui, le royaume du nord a enregistré 1’179’192 «cas», 7939 personnes en soins intensifs et 15’065 morts. Soit 1,500 par million d’habitants, alors que la moyenne européenne est à 1,800.

«La Suède a moins de morts que la plupart des pays européens, ce qui tend à prouver que la distanciation sociale fonctionne et que les pays qui ont imposé le confinement n’ont fait que retarder les décès, pas les stopper, selon Johan Norberg. Le fait que la Suède n’a jamais eu l’ambition désespérée de se débarrasser complètement du virus, contrairement à beaucoup d’autres nations, signifie qu’on a désormais l’impression de pouvoir tourner la page. La plupart des pays font des allers-retours dans leurs mesures, en ouvrant et en refermant sans arrêt, mais nous avons appris à faire différemment.»

Sur le plan économique également, la Suède est la nation européenne qui a le plus de facilité à se remettre de la pandémie.

Le monde à l’envers

Susie semble rassurée que je ne sois pas là pour rajouter une couche d’angoisse autour de cette histoire. Derrière le bar du O’Learys, où elle distribue les pressions d’une main experte, Susie me fait part de son avis, entre deux clients. Elle n’est pas vaccinée, n’a pas l’intention de le faire et estime que toute cette histoire va beaucoup trop loin. Elle ne faisait (vraiment) pas partie de ces Suédois qui ont critiqué la stratégie de leur pays – au début de la pandémie – la considérant trop laxiste.

«J’ai le sentiment que certains Suédois auraient aimé que le gouvernement soit plus strict. En particulier parce qu’ils voyaient ce qu’il se passait ailleurs, raconte Nicole, directrice d’une école internationale. Ce n’est pas évident d’être dans le seul pays du monde à suivre une autre route».

Victor Malmcrona confirme: «Des gens voulaient des actions plus directes, mais il n’existait pas de loi pour permettre au gouvernement de mettre en place un confinement, par exemple. Il y a eu des modifications de la loi plus tard, mais je pense qu’il était plus rassurant que ce soit l’Agence publique de santé qui prenait ces décisions plutôt que les politiciens. Mais la stratégie suédoise a été la cible de bien des critiques dans les maisons de retraite notamment, parce que beaucoup de personnes âgées sont mortes. Localement, beaucoup de restaurants et de bars étaient furieux de devoir rester ouverts, de ne pas recevoir de véritable compensation économique et de devoir mettre en place des restrictions eux-mêmes».

Covid, fin de partie?

Dans les rues de Stockholm, ainsi que dans les magasins, dans les transports et dans les gares, les masques se comptent sur les doigts de la main et cela a un effet considérable sur l’atmosphère ambiante. «On n’en a jamais vraiment mis et lorsqu’on en voit en ville, ce sont des touristes», raconte Charlotte. Une douce et sereine ambiance insouciante trop longtemps disparue flotte sur la cité.

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Difficile de trouver des masques en Suède © A.D
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 Seul l’avenir nous permettra de distribuer les bons et les mauvais points dans les différentes stratégies contre la pandémie, mais nous pouvons déjà nous en apercevoir: le seul pays d’Europe qui n’a pas confiné sa population s’en sort mieux que les autres, tendant ainsi à prouver l’inefficacité des mesures prises par nos dirigeants. Pire, leur contre-productivité, puisque ces décisions ne sont – et de loin – pas sans conséquence.

Non seulement elles ont plongé les jeunes générations dans des états de sidération et d’angoisse dont elles mettront un temps incalculable à se remettre. Voir:  Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec 


 

A (re)lire: Enfance Covid: le cercle vicieux de la maltraitance

Si l’on va devoir attendre l’année prochaine pour connaître les statistiques suisses sur les suicides depuis le début de la pandémie, l’Espagne a déjà pu sortir quelques chiffres sur le sujet. Ceux-ci révèlent que le nombre de suicides chez les moins de 15 ans a doublé en 2020.

Mais en plus, elles ont profondément fracturé la société sur le long terme. Divisant la population jusqu’à évoquer, pour certains, des relents totalitaires. Contrairement au nombre de mort que l’on trouve en quelques clics, on n’a pas encore commencé à comptabiliser les conséquences à long-terme des mesures qui rythment nos vies depuis près de deux ans. On sait juste qu’elles seront pire que les causes.

«Je pense que plus on reste éloignés et plus on est effrayés les uns des autres et c’est dangereux, conclut Johan Norberg. C’est une des raisons de la résurgence du nationalisme dans le monde. J’espère vraiment qu’il va se rouvrir maintenant».

La CNIL pointe l’absence d’évaluation sanitaire des mesures contraignantes adoptées grâce au coronavirus

...par Karine Bechet-Golovko - Le 01/12/2021.

 

Dans son dernier avis, la CNIL insiste sur l’absence à ce jour d’évaluation d’une efficacité sanitaire des mesures de contrôle et des fichiers établis grâce au Covid en France, notamment concernant le fameux pass sanitaire. Puisque ces mesures sont globales, qu’une pression énorme est exercée en Russie pour qu’elles y soient implantées de force, il est intéressant de jeter un oeil sur ce texte.

 

Avec le Covid, l’on a l’impression que l’instauration de bases de données, notamment grâce au pass ou aux QR Codes, devant permettre de contrôler nos déplacements, nous transformant en fournisseur de cette nouvelle richesse du nouveau monde, sont devenus une fin en soi, que leur impact sanitaire n’a jamais été sérieusement évalué et finalement n’intéresse absolument personne. Or, ils sont justifiés dans le discours politique globaliste que, justement, en raison de leur impact sanitaire, a priori positif.

Pour autant, aucune évaluation indépendante et sérieuse n’a jamais été effectuée. En France, la CNIL, organe bien loin de toute résistance au pouvoir, ne cesse de souligner les dangers de fuites de données et de conservation trop longue de toutes ces données personnelles. Mais surtout, à chaque avis consultatif elle demande au Gouvernement d’établir des critères d’évaluation de l’efficacité de ces mesures, elle lui demande après 18 mois de fournir cette évaluation. Et rien. C’est un long processus d’ignorance volontaire, rendu possible par ce sentiment d’impunité, dont s’illusionnent et s’enivrent les dirigeants nationaux aujourd’hui. Illusion, car il faudra rendre des comptes et ils seront alors en première ligne pour prendre de plein fouet la rage populaire. C’est certainement ce qui rend d’ailleurs l’enivrement nécessaire. 

Cette doléance insistante de la Cnil n’est pas récente, mais le ton monte. Dès son premier avis en septembre 2020, la commission « demande que des indicateurs soient mis en place ».

Le deuxième en janvier 2021, « estime qu’il est indispensable de développer des initiatives et des indicateurs permettant d’évaluer pleinement l’effectivité sanitaire du dispositif dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de COVID-19  ».

Et le troisième en juin 2021 « attire l’attention du Gouvernement sur la nécessité de produire des éléments permettant d’évaluer pleinement l’efficacité des fichiers mis en œuvre […] plus d’un an après le début de la crise sanitaire  ».

Dans son quatrième avis, la CNIL demande des comptes, après une énumération inquiétante de tous les fichers mis en place « pour notre bien », qui regroupent une quantité d’informations personnelles et sensibles anormale :

« Enfin, la CNIL insiste sur la nécessité que les éléments qui permettent d’apprécier l’efficacité des traitements susmentionnés lui soient rapidement transmis, afin de continuer l’exercice de sa mission. En effet, malgré plusieurs demandes, une telle évaluation n’a, à ce jour, pas été transmise à la CNIL. À cet égard, elle tient à souligner que l’utilisation des dispositifs précités reste conditionnée à des garanties relatives à leur efficacité. »

J’espère sincèrement que le pass n’est pas considéré comme un « traitement », mais de toute manière cela souligne bien l’absence totale d’évaluation sanitaire des méthodes expérimentales, qui sont imposées aux populations. Ce qui confirme que le sanitaire n’est qu’un prétexte à des changements de gouvernance, à un changement de société, à l’instauration de ce « nouveau monde », de cette utopie triste et anti-humaine.

Karine Bechet-Golovko

Sources

– Russie Politics

 

- Le saker

La face cachée des réanimations en 2020

...Agoravox - décoder l'éco - Le 06/12/2021.

Pour mémoire, dans l’épisode précédent nous avons montré que finalement l’hôpital n’a jamais débordé en 2020 malgré toute la propagande réalisée à ce sujet. Le rapport de l’ATIH spécifique à la gestion de la crise Covid-19 par l’hôpital[i] a montré que les patients Covid-19 ont seulement représenté 2% des patients passés à l’hôpital, ce qui est insignifiant. Le rapport de l’ATIH sur les hospitalisations toutes causes confondues[ii] nous a montré que l’hôpital français était en sous-régime pendant toute l’année 2020 avec 10% de séjours en moins par rapport aux années précédentes.

Nous avons pu voir également, que même au plus fort des crises, le nombre de patients Covid-19 n’a représenté au maximum que 3,7% d’une activité normale. Enfin nous avons vu que la Région qui a connu la plus forte proportion de séjours Covid-19 en 2020 est l’Ile-de-France avec seulement 2,2% de séjours Covid-19.

Ainsi, l’hôpital français n’a jamais débordé en 2020, il a même fonctionné en sous-régime et donc abandonné de nombreux patients du fait des différentes mesures mises en place. La Covid-19 n’a pas eu d’impact visible sur les hospitalisations, ni sur l’ensemble de l’année, ni pendant les crises. Seules les décisions politiques ont été responsables de sa désorganisation.

Les défenseurs infatigables du gouvernement ou de la théorie de la pandémie mortelle opposent toujours 2 arguments à ces chiffres, pourtant difficilement contestables :

  • Ils affirment que la statistique du nombre de patients admis pour Covid19 ne représente pas bien les tensions extrêmes qu’a connu l’hôpital (de façon incontestable puisque vues à la télé) et qu’il faut explorer les autres, notamment les jours d’hospitalisations.
  • Ils affirment que les services de soins critiques et de réanimations sont les vrais révélateurs de la pandémie, (montrant son caractère extrêmement dangereux) et qu’ils étaient complètement saturés.

Dans cet article, nous allons terminer l’étude de ces 2 aspects pour montrer qu’il n’y a absolument eu aucune saturation nulle part et quel que soit l’indicateur retenu. Aucun argument logique ou rationnel ne permet de défendre l’histoire racontée sur l’hôpital Français depuis 18 mois. Nous ne doutons pas que les adeptes d’une religion trouveront toujours quelque chose pour la défendre. Il s’agit juste de permettre à ceux qui souhaiteraient faire usage de bon sens de comprendre le fantasme qui nous est servi.

 

lien vers la vidéo : https://youtu.be/DP27OA-8bzE

  1. L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible quelle que soit la statistique retenue

Les défenseurs de la théorie de la pandémie mortelle rétorquent que les patients Covid-19 sont restés plus longtemps que les autres patients (18 jours en moyenne contre 8 jours pour ceux hospitalisés pour grippe en 2019).

Nous devons donc comparer le nombre de jours passés à l’hôpital en Médecine, Chirurgie obstétrique et Odontologie (MCO) par les patients Covid-19 (2 489 030) au nombre de jours total d’hospitalisation MCO (69 000 000). Les jours d’hospitalisation de patients Covid-19 ont donc représenté 3,6 % des journées d’hospitalisation sur l’année. Il s’agit donc d’une activité mineure de l’hôpital. Ajoutons que le nombre de journées d’hospitalisations a chuté de 10 % par rapport à 2019. Il n’y a donc pas eu de saturation là non plus. Il y a eu presque trois fois plus de jours de soin non utilisés que de jours de soin consacrés à la Covid-19. Là encore, en regardant le nombre de journée on ne conclut pas à une saturation de l’hôpital, mais au contraire à une grave sous-utilisation des services hospitaliers (Figure 1). Ces statistiques témoignent de l’abandon de soin de l’année 2020 à cause de la panique injustifiée liée à la Covid-19.

Figure 1 : Comparaison du nombre de journées d'hospitalisations en MCO entre 2019 et 2020

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Source : Rapport d’analyse MCO de l’ATIH

 

Nous n’avons pas de statistiques mensuelles des jours passés à l’hôpital, mais si on considère que la répartition mensuelle des journées hospitalisées est la même que celle des arrivées à l’hôpital, alors on en déduit que la part liée à la Covid-19 est 2 fois plus importante pendant les « vagues », donc qu’au maximum, les journées d’hospitalisations Covid-19 ont pu représenter 7,5 % des journées d’hospitalisation totales. Ainsi, même en nombre de journées, la Covid-19 n’a entrainé de saturation à aucun moment, nulle part.

  1. L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible sur les soins critiques

Le dernier argument médiatique concernant l’hôpital est la saturation des services de soins critiques et parmi ceux-ci, les services de réanimation. Le rapport de l’ATIH sur la Covid-19 nous informe que 45 732 patients ont été admis en soins critiques pour Covid-19 avec 645 328 jours d’hospitalisation (Figure 2). Les soins critiques se composent, dans l’ordre de gravité de l’état du patient, des services de soins continus, des services de soins intensifs et des services de réanimation.

Figure 2 : Nombre de patients et de jours en soins critiques pour Covid-19

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Source : Rapport d’analyse COVID de l’ATIH

Les patients admis en soins critiques pour Covid-19 ont représenté 5% des patients en soins critiques en 2020 et 8 % des jours de soins critiques (Figure 3). Il s’agit donc là-aussi d’une activité faible dans un contexte de baisse.

Figure 3 : Poids des patients Covid-19 dans l'activité hospitalière MCO, en 2020

Source : Rapport d’analyse COVID de l’ATIH

 

En effet, sur l’année 2020, comme pour les soins classiques, le nombre de séjours avec passage en soins critiques a baissé par rapport à 2019 de l’ordre de 5,9 % (Figure 4). Du fait des déprogrammations et de la non prise en charge de patients, les soins critiques ont également été sous utilisés. Là aussi, la désorganisation du soin a pénalisé les Français qui ont été moins soignés que les autres années.

Figure 4 : Evolution 2019/2020 du nombre de séjours en soins critiques

Source : Rapport d’analyse MCO de l’ATIH

  1. L’activité Covid-19 de l’hôpital pour les réanimations : une augmentation en trompe l’œil

La seule statistique qui a augmenté en 2020 concernant l’hôpital est celle du nombre de patients et de journées en services de réanimation. Tout le reste a baissé, y compris le reste des soins critiques. Cette augmentation est de 2,9 % sur l’année par rapport à 2019 concernant les séjours. Il s’agit donc d’une augmentation très faible, mais dans un contexte de déprogrammation et de non prise en charge massive. Ainsi les patients Covid-19 ont représenté 11 % des patients en réanimation et 19 % des journées de réanimation. Les mois de mars et de novembre 2020 ont connu respectivement +9 % et +12 % de séjours en réanimation qu’en 2019 (Figure 5).

Figure 5 : Evolution 2019/2020 du nombre de séjours de réanimations

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Source : Rapport d’analyse MCO de l’ATIH

Mais ces augmentations sont à analyser en prenant en considération les changements importants réalisés à ces moments. Le rapport de la Cour des Comptes sur les soins critiques[i] nous éclaire sur la situation réelle de ces services tout au long de l’année 2020 : « À compter de la mi-mars 2020 toutefois, une transformation très rapide et à large échelle de lits de soins critiques et la création ex-nihilo d’unités de réanimation éphémères ont fait passer le nombre de lits installés de 5 080 en mars à 10 133 le 15 mai, avant de redescendre à 8 320 lits le 15 juin 2020 ».

Ainsi, les mêmes lits et personnels considérés en 2019 comme s’occupant de soins continus ont été considérés comme s’occupant de lits de réanimation en 2020, avec des patients Covid-19. Il est donc tout à fait normal d’observer une chute de l’utilisation des lits de soins continus et une augmentation de l’utilisation des lits de réanimation, puisqu’il y a eu un transfert entre les deux. Ainsi, le nombre de jours d’utilisations de lits de réanimation a augmenté de 10,5% en 2020, par rapport à 2019, mais cette hausse est plus que compensée par la baisse d’utilisation des lits des services de soins continus (Figure 6). Il y a donc un transfert qui masque une sous-utilisation des capacités.

Figure 6 : Nombre de journée en soins critiques en 2019 et 2020

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Source : ScanSanté fiches de synthèse

Il y a une confusion entretenue médiatiquement entre le fait d’avoir une réelle saturation des capacités de réanimation et le fait d’avoir des chiffres de réanimation qui augmentent juste parce que des lits de soins continus ont été requalifiés en réanimation.

Au bilan, il y a juste un jeu d’écriture entre les différents services de soins critiques. Nous avons constaté précédemment qu’ils ont été largement sous utilisés. D’après la Cour des Comptes, il y avait 5080 lits de réanimation au début du mois de mars 2020. Leur nombre a été doublé, principalement en changeant de catégorie de soins continus. Cependant, l’utilisation réelle de ces lits n’a augmenté que de 10 %. Cela signifie nécessairement que les capacités ont été bien trop agrandies par rapport aux besoins réels et donc qu’une partie conséquente de ces lits est en fait restée vide (Figure 7).

Figure 7 : schématisation de l'évolution des capacités et évolution des lits de réanimation

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Source : Cour des Comptes et rapport MCO de l’ATIH

  1. En 2020, de nombreux Français sont morts chez eux au lieu d’être soignés à l’hôpital

Dès le premier trimestre 2020, des mesures structurantes concernant la politique de santé publique ont été prises :

  • Le confinement, c’est-à-dire une limitation extrême des mouvements et l’ordre à tous les Français de rester chez eux.
  • L’interdiction aux médecins de ville d’appliquer leur art, autrement-dit de proposer des traitements pour limiter le risque de complication. Le débat s’est focalisé sur l’hydroxychloroquine, mais l’interdiction ne se limite pas à cette molécule, mais à toute substance en dehors du doliprane.

 

Concernant les impacts du confinement, le 7 mai 2020, dans son bulletin épidémiologique[ii], Santé publique France tire la sonnette d’alarme sur le renoncement au soin. En France, environ 80 000 infarctus sont dénombrés chaque année[iii], soit 13 000 attendus pendant la période de confinement. De même, 150 000 AVC sont comptabilisés chaque année[iv], soit 25 000 en 2 mois.

 

Santé publique France nous révèle que pendant la dernière semaine de confinement, les hôpitaux ont relevé 300 personnes de moins aux urgences AVC et 300 personnes de moins aux urgences cardiaques qu’à la même époque en 2019. Sur 8 semaines, cela fait 2 400 personnes non soignées pour chaque pathologie. Le rapport de l’ATIH sur les MCO confirme cette statistique en révélant un manque de 3 000 soins d’AVC entre mars et mai. Deux hypothèses sont alors possibles :

 

  • Les Français n’ont pas fait d’AVC ni de crises cardiaques pour laisser toute la place aux malades identifiés « Covid-19 ».
  • Les Français n’ont pas été pris en charge du fait de l’ordre de ne pas consulter et de rester chez soi. Ce ratio étalé sur 8 semaines représente 4 800 personnes non soignées.

 

Les pathologies non soignées du fait de l’ordre de ne pas consulter et de rester chez soi, ainsi que la peur panique engendrée par la pression médiatique quotidienne peuvent expliquer la surmortalité à domicile en France sur cette période détaillée sur le site de l’Insee[v] (Figure 8). Ces décès ne sont pas considérés comme ayant un quelconque rapport avec la Covid-19. Ils apparaissent pourtant aux mêmes périodes que ceux attribués à cette maladie, et surtout, pendant le confinement.

Figure 8 : Nombre de décès quotidiens à domicile en France

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Source : Insee

Sur mars-avril 2020, mortalité française au-dessus de la moyenne est de 5 200 décès. Ce nombre est extrêmement proche de l’estimation des 4 800 personnes non soignées pour constituer un indice fort sur la cause réelle de décès de ces personnes : l’abandon de soin. La Cour des Comptes relève également cette situation dans son rapport sur les Soins Critiques : « À titre d’illustration, une étude italienne publiée en février 2021 met d’ores et déjà en évidence durant la première vague épidémique, une forte baisse des séjours hospitaliers pour infarctus du myocarde en région Émilie-Romagne (- 42 %) et, de façon concomitante, une hausse de la mortalité extrahospitalière pour cette même cause (+ 62 % de février à avril 2020). »

  1. En 2020, de nombreux Français sont morts à l’hôpital par manque de soins précoces

La période de mars-avril 2020 est extrêmement particulière dans toute l’histoire du soin, car il s’agit de la première fois que l’on demande à des malades de ne pas consulter de généraliste, en particulier dans le cadre d’une infection respiratoire (Figure 9)

Figure 9 : Affichettes officielles françaises

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Cet ordre a entraîné un comportement de la population inédit dont on peut voir les effets sur les statistiques d’achat de médicaments en pharmacie de la base de données Médicam.

En représentant la base remboursable de tous les médicaments vendus par les pharmacies en France, chaque mois (Figure 10), on observe que le mois de mars 2020 a connu une hausse de 13 % des ventes de médicaments par rapport à la moyenne 2017-2019, représentant le provisionnement des Français à la suite de l’annonce du confinement généralisé. Les mois d’avril et mai 2020 présentent au contraire, des baisses de 15 % et 14 % par rapport à la moyenne. Ces baisses sont le reflet de la non-prescription par les médecins à la suite de l’ordre de ne pas consulter.

 

Figure 10 : Base remboursable mensuelle des médicaments distribués en pharmacie

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Cette chute est cependant bien plus forte concernant les traitements habituels prescrits dans le cadre des infections respiratoires aiguës. En particulier les antibiotiques permettant d’éviter les surinfections ont connu une chute sans précédent (Figure 11).

Figure 11 : Base remboursable mensuelle des antibiotiques distribués en pharmacie

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En mars, le provisionnement n’a pas existé et le total d’antibiotiques vendus est inférieur de 1 % à la moyenne 2017-2019. En avril et mai, les chutes de ventes furent respectivement de 40 % et 47 %. Depuis cette période, la vente d’antibiotiques est restée à des niveaux extrêmement bas, reflet du choix de ne pas proposer ce traitement en cas d’infection respiratoire.

A contrario, les français ont suivi les injonctions gouvernementales en ingérant massivement du Doliprane à cette période (Figure 12). Pour mémoire, ce médicament n’est utilisé dans ce cadre qu’en tant qu’antalgique (anti-douleurs) et antipyrétique (anti-fièvre). Il n’a donc pas la même visée thérapeutique qu’un antibiotique. L’ANSM[vi] rappelle d’ailleurs que le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie dans certains cas de surdosage, pouvant conduire à des greffes du foie (1ère cause de greffe hépatique d’origine médicamenteuse en France).

Une étude australienne[vii] a également averti en 2019 d’une recrudescence du nombre d’hospitalisations et de décès liés à des surdoses de ce médicaments.

Figure 12 : Base remboursable mensuelle de Doliprane distribué en pharmacie

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Ainsi, ce choix de ne pas laisser les médecins de ville proposer de traitements dans le cadre d’une infection respiratoire aiguë pendant les mois de mars et d’avril, a entraîné une dégradation sans précédent de l’état de santé des patients. La non-prescription d’antibiotiques aura permis aux bactéries de proliférer chez les patients âgés et affaiblis. Ainsi, à partir de fin mars, l’arrivée de ces patients qui décéderont à l’hôpital, n’est pas le signe du caractère exceptionnel de la maladie, mais celui du caractère exceptionnel de la situation : pas de prise en charge précoce, et pas de traitement antibiotique.

Ce réel défaut de prise en charge précoce pesant ensuite sur l’hôpital a été quantifié par deux membres du Conseil Scientifique, Arnaud FONTANET et Simon CAUCHEMEZ, pourtant à l’origine de cette stratégie. Leur article dans Science[viii], utilise les données hospitalières françaises et notamment le temps de passage jusqu’à la réanimation et jusqu’au décès depuis la prise en charge du patient. Les courbes les plus intéressantes ont depuis été supprimées de l’article principal, mais sont toujours disponibles dans les données complémentaires. Aux pages 15 et 16 sont détaillés les nombres de jours que mettent les patients arrivant à l’hôpital avant d’aller en réanimation (Figure 13 graphique de gauche) et le nombre de jours qu’ils mettent avant de décéder (graphique de droite).

 

Figure 13 : Délai entre l'entrée à l'hôpital et l'entrée en soin intensif ou le décès

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Ainsi, 50 % des patients arrivant à l’hôpital sont placés en réanimation dès de le premier jour et 17 % des patients décèdent dès le premier jour. Ces ratios énormes prouvent que les patients arrivent trop tard à l’hôpital. On observe d’ailleurs une très forte différence entre le nombre de décès au jour 1 et le nombre de décès au jour 2, illustrant qu’une grosse partie des arrivées n’est plus sauvable. Les auteurs en déduisent d’ailleurs qu’il y a 2 courbes séparées, entre ceux décédant très tôt et les autres et concluent à un Covid-19 court et un Covid-19 long. C’est l’explication restante dans l’article toujours en ligne. Une lecture moins orientée déduit de cet énorme ratio de décès au premier jour, que les soins sont trop tardifs. Il est donc très probable que les décédés des jours suivants soient également pour beaucoup du fait de personnes dont l’état a eu le temps de s’aggraver et dont certains auraient pu survivre si les soins avaient été précoces. Ces 17 % de patients arrivés trop tard représentent 3 000 personnes sur les 17 570 décès déclarés Covid-19 à l’hôpital sur cette période. Si on considère qu’un décès dans les 3 jours à l’hôpital est un signe d’une prise en charge trop tardive, le total de décès potentiellement évitable est alors de 6 000. Ce total de 6 000 est à rapprocher de la surmortalité hospitalière de la période : 7 170 personnes.

  1. L’activité Covid-19 de l’hôpital : une activité lucrative ?

La surmortalité hospitalière se mesure en calculant le surplus de mortalité sur la période aux statistiques habituelles. Les hôpitaux ont commencé à remonter des décès Covid-19 à partir du 18 mars 2020 (Figure 14 courbe orange). On constate, en effet à partir de cette date, une augmentation du nombre de décès dans la mortalité générale de l’hôpital (courbe grise).

Figure 14 : Nombre de décès quotidiens à l'hôpital en France

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Le nombre de décès enregistré à l’hôpital entre novembre 2019 et février 2020 est en moyenne de 931 par jour. Ce nombre a bien été franchi quotidiennement à partir du 18 mars 2020, date à laquelle les hôpitaux ont commencé à remonter des décès estampillés COVID 19, et jusqu’au 18 avril 2020, avec un maximum à 1 345 le 31 mars 2020. Durant cette période entre le 18 mars 2020 et le 18 avril 2020, le nombre de décès à l’hôpital est passé en moyenne à 1 150 par jour. Cela représente donc 200 décès de plus par jour. Pendant cette période, le nombre de décès identifié COVID 19 a été de 370 par jour en moyenne. Ainsi, le nombre de décès remontés déclarés Covid-19 est 2 fois plus élevé que l’augmentation du nombre de décès total constatée.

A partir du 18 janvier, plus les hôpitaux remontent de décès liés à la Covid-19 et moins ils remontent de décès liés à d’autres pathologies. On voit nettement la courbe bleue baisser lorsque la courbe orange augmente et inversement.

Au bilan, la surmortalité hospitalière représentant le surnombre de décès à l’hôpital sur la période du 18 mars au 30 avril 2020 est de 7 170 personnes. Ce nombre est 2 fois plus petit que le nombre de décès attribués à la Covid-19 par l’hôpital sur cette période : 14 283. Nous avons vu précédemment que la mention Covid-19 a été appliquée pour 20% des cas à des patients ne se présentant initialement pas pour Covid-19. Cette pathologie a été identifiée avec beaucoup de largesse, due à la définition très souple d’un « malade Covid-19 ». On observe que le nombre de décès Covid-19 remontés par les hôpitaux dans la semaine du lundi 23 mars 2020 au dimanche 26 mars 2020 est de 282 en moyenne. Cette moyenne explose à partir de la semaine suivante pour passer à 469, puis 480, avant de commencer à redescendre avec l’arrivée des beaux jours. On ne peut pas écarter l’hypothèse que l’augmentation très forte visible fin mars vienne uniquement du changement de la stratégie de comptage au moment où les hôpitaux ont pu déclarer des malades Covid-19 à partir de simples « radios évocatrices ».

Rappelons que la mise en place de la Tarification à l’Acte (T2A), mise en place par Jean Castex a radicalement changé la façon d’envisager le soin en France. Les hôpitaux sont désormais rémunérés en fonction des actes qu’ils produisent et non pas pour répondre au besoin d’assurer des services publics. Cette politique permet de justifier la fermeture de toutes les structures trop petites pour atteindre un seuil de rentabilité et ainsi abandonner de nombreux territoires. Elle force également les hôpitaux à mettre en place des stratégies pour s’orienter vers des activités rentables.

Une de ces stratégies est de déclarer le code d’intervention le plus rentable possible lorsqu’arrive un patient. Nicole DELEPINE, pédiatre, oncologue, prend exemple d’un patient arrivant pour une chimiothérapie de base rapportant 5 000 € à l’hôpital, mais qui rapporte 12 000 € si une infection est découverte sur le patient[ix]. Il y a donc plus qu’un intérêt, mais une nécessité de trouver sur un maximum de patients hospitalisés, des infections, pour rentabiliser son séjour. Le déploiement des tests RT-PCR, leur très haute sensibilité et leur faible spécificité laissée à la libre interprétation du laborantin, sont une aubaine financière pour les hôpitaux. Si on ajoute que le test positif n’est même pas nécessaire pour déclarer un malade infecté de la Covid-19, mais qu’une « radio évocatrice » (qui nécessite donc une radiographie qui sera facturée) suffit, sans qu’il soit question de mentir à aucun moment, il devient quasi systématique de classer toute personne âgée qui tousse en « Covid-19 » et de la placer en réanimation, surtout lorsqu’il y a des places à prendre à la suite de la réorganisation qui a fait rentrer dans cette catégories les lits de soins continus.

Un tract de la CGT de mai 2020 nous informe des codages prévus à cette époque pour la Covid-19 rentrant dans les catégories des infections respiratoires[x]. Le classement en Covid-19, donc en infections et inflammations respiratoires au lieu d’une maladie virale classique permet d’augmenter la valorisation de 480 € par patient et par séjour (Figure 15). Le classement en réanimation au lieu de soins continus permet une augmentation de valorisation de 484 € par patient et par jour.

Figure 15 : Tarif par type de séjour

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La conclusion reste rigoureusement identique à l’épisode précédent : nous pouvons dire que nous avons montré dans de nombreux articles et vidéos que la mortalité sur l’année 2020 ne peut en aucun cas être attribuable à la seule Covid-19 et est bien trop faible pour justifier la moindre mesure coercitive. Grâce à l’ATIH, nous savons dorénavant qu’il en est de même pour les hospitalisations, donc les réanimations. Le catastrophisme médiatique est toujours une mise en scène justifiant la répression.

Toutes ces statistiques proposées par l’ATIH ne font que nous confirmer que nous faisons face depuis 2 ans à des choix idéologiques, politiques ou financiers de la part des décideurs, et qui n’ont rien à voir avec la santé des Français.

 

Source : Agora Vox

 

La gestion de l'épidémie : Erreurs, incompétences, fautes, mensonges

...par Alain Bauer - Le 22/07/2021.

La médecine et la santé publique à l'épreuve du COVID

...par Jean-Dominique Michel - Le 30/05/2021.

Covid-19 – Quelques enseignements géopolitiques inattendus

...par le Gal. Dominique Delawarde - Le 16/04/2021.

Source : RzO International

 

Avant d’aborder, lorsque le temps sera venu, les conséquences géo-économiques de la crise sanitaire, et notamment leur rôle d’accélérateur dans la bascule de puissance entre la coalition occidentale et la coalition eurasiatique, les réponses à deux questions apportent, dès à présent, des éclairages intéressants.

1 – Qu’en est-il du degré de confiance accordé par la communauté internationale aux Russes et aux Chinois ainsi qu’à leurs vaccins ? Quels sont les pays qui traitent avec eux ? Quels sont les pays qui rechignent à le faire et pourquoi ?

2 – Quid des conséquences de la crise sanitaire sur la cohésion nationale des grands États affectés par l’épidémie.

Les premiers éléments de réponses semblent d’ores et déjà connus et sont exposés ci après.

Le degré de confiance accordé aux Russes et aux Chinois pour leurs vaccins atteint un niveau inattendu sur l’ensemble de la planète

S’agissant du vaccin russe Spoutnik, 2ème vaccin le plus utilisé au monde, il est déjà employé dans 60 pays représentant plus de 3 milliards d’habitants. En voici la liste exhaustive au 14 avril 2021 dans le tableau ci après. L’agrément du Spoutnik V étant à l’étude dans d’autres pays, cette liste évoluera.

Commentaires DD :

• Sans surprise, l’Amérique septentrionale (USA+Canada) et ses vassaux de l’UE, sont à la traîne dans les procédures d’agrément du vaccin russe pour des raisons géopolitiques évidentes. Le vaccin russe est considéré comme un vecteur d’influence par les occidentaux qui préféreraient, sans le moindre doute, voir « crever » leur population plutôt que de reconnaître une quelconque qualité à un produit russe (russophobie institutionnelle oblige). Par ailleurs, les lobbies pharmaceutiques occidentaux exercent des pressions insistantes sur une AEM (Agence européenne du Médicament) particulièrement corruptible, pour éviter de partager leurs profits avec d’autres … Il faut dire que si l’AEM donnait son agrément, le vaccin Spoutnik deviendrait le vaccin le plus répandu sur l’ensemble de la planète, ce qui est, géopolitiquement, inenvisageable pour des occidentaux qui croient toujours fermement en leur supériorité en tous domaines.

• Notons tout de même que trois pays membres de l’UE (Hongrie, Slovaquie et Hongrie) se sont déjà passés, dans l’urgence, de la procédure d’agrément européenne conduite par l’AEM, agence à laquelle certains États européens, dont la France, semble avoir délégué leur souveraineté dans le domaine sanitaire, ce qui n’a jamais été prévu par les traités … C’est un abandon de souveraineté de plus à la Commission européenne par la gouvernance française, ce qui n’est pas surprenant de la part d’un exécutif « Macron », premier violon de la supranationalité européenne.

• Notons que d’autres États de l’UE (Allemagne notamment) s’apprêtent à se passer du « feu vert » de l’UE si la procédure « AEM » continuent de traîner délibérément en longueur, comme elle le fait aujourd’hui.

• Si la Chine n’est pas sur la liste, c’est qu’elle a ses propres vaccins, qu’elle les produit à un rythme jugé suffisant et qu’elle n’entend pas laisser à quiconque, même à un pays allié, la capacité d’intervenir dans la santé de sa population alors que celle ci est loin d’être aussi menacée que d’autres.

• On notera avec intérêt la forte pénétration du vaccin russe dans de grands pays asiatiques (Inde, Pakistan, Iran, Philippines), et, sans véritable surprise, en Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Égypte). Elle constitue un indicateur intéressant de confiance dans la science et la gouvernance russe…

• On notera aussi, une pénétration très importante du vaccin russe dans les plus grands, et surtout les plus peuplés, pays d’Amérique latine (Brésil, Mexique, Argentine).

Qu’en est-il des vaccins chinois ? Ils sont employés dans 45 pays, dont les populations représentent près de 3 milliards d’habitants. Une vingtaine d’entre ces pays sont aussi clients du vaccin russe Spoutnik.

Commentaires sur l’emploi des vaccins chinois :

• Comme pour la Russie, on constate une très bonne pénétration du vaccin chinois en Afrique et en Amérique latine.

• Comme pour la Russie, pour les mêmes raisons, et donc sans surprise, on constate les réticences de l’UE à délivrer un agrément aux vaccins chinois.

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Extraits de quelques résultats de sondages qui interpellent

Les sondages ci après ont été effectués dans différents pays par l’Institut anglo-saxon You Gov, plutôt favorable aux pouvoirs occidentaux en place aujourd’hui, et les résultats ont été présentés  sur le site de l’Imperial Collège de Londres. Si biais il devait y avoir dans les résultats, il serait donc plutôt favorable au « mainstream » occidental …

Question 1 posée le 20 Septembre 2020 : (avant le 2ème épisode épidémique) – source : Covid 19 Behaviour Tracker

Selon vous, votre pays est-il plus uni ou plus divisé qu’avant l’épidémie de la Covid 19 ?

Commentaire DD :

Les divisions internes étaient donc déjà perçues « en hausse sensible » par les populations des principaux pays de l’OTAN, avant même que ne surviennent les 2ème et 3ème épisodes épidémiques, plus meurtriers que le premier. Ce sondage n’a pas été réactualisé depuis le 20 septembre 2020, mais on peut imaginer que les résultats ne se sont pas améliorés au cours des 7 derniers mois … C’est peut être la raison pour laquelle les médias mainstream ne l’ont jamais diffusé, ou réactualisé.

Des pays manquant de cohésion nationale n’aborderaient pas dans de bonnes conditions un conflit de grande ampleur. En politique étrangère, ce n’est peut être pas le meilleur moment pour multiplier les provocations tous azimuts et pour chercher la bagarre aux frontières de l’Eurasie … (Ukraine, Moyen Orient, mer de Chine). Un occident en déclin y a certainement plus à perdre qu’à gagner.

Question 2 posée entre le 25 mars et le 8 avril 2021 par You Gov – source : Covid 19 Behaviour Tracker

Selon vous, votre gouvernement a-t-il bien ou mal géré la crise sanitaire ?

Commentaires DD :

Beaucoup de résultats étonnants dans le tableau qui précède. Mais la prise en compte de la date du sondage semble importante avant de se risquer à commenter.

• Au début d’avril 2021, les citoyens USA seraient donc satisfaits de leur gouvernance alors qu’ils ont enregistrés les résultats les plus désastreux de tous les pays sondés … ??? (Peut être parce que You gov est un institut de sondage anglo-saxon … ??)

• Avec 48% de citoyens israéliens qui pensent, en avril 2021, après une campagne de vaccination éclair, que leur gouvernance a mal géré la crise sanitaire contre 44% qui pensent le contraire, les résultats ne semblent pas à la hauteur de ce que nous rapportent inlassablement les médias mainstream occidentaux … mais on connaît le biais pro-israélien de ces médias contrôlés, pour la majorité d’entre eux, par des milliardaires proches de l’État hébreu. Les résultats de ce sondage sont pourtant cohérents avec les résultats des élections du 23 mars qui ont clairement sanctionné le parti de Netanyahou.

• La France est, avec l’Allemagne, un des pays où le gouvernement est le plus sévèrement jugé. Il reste à savoir si le parti au pouvoir sera vraiment sanctionné dans les élections régionales et départementales de juin prochain ou si ses représentants, soutenus comme au premier jour par les médias mainstream, réussiront, ou non, à s’infiltrer, par le jeu des alliances au second tour (avec le Modem, LR, écolos ou autres), dans les exécutifs régionaux et départementaux.

• L’insatisfaction des Japonais, dont les pertes ont pourtant été très limitées, est très surprenante et difficile à expliquer en première analyse. Elle n’est pas cohérente avec le précédent sondage de septembre 2020 sur l’unité nationale. Seule la date du sondage peut expliquer les résultats.

En effet, ce sondage survient juste après un deuxième épisode épidémique cinq fois plus meurtrier que le premier pour le Japon. Par ailleurs, le peuple japonais est, après la France et les USA, l’un des plus vaccino-sceptique au monde. Il n’est pas certain qu’il apprécie beaucoup toutes les mesures autoritaires de santé qu’on lui impose… Il est heureux de constater qu’au delà de sa discipline légendaire, le peuple japonais se pose parfois des questions.

Dominique Delawarde

Ordre des médecins et liberté de prescription, de pensée, d’expression.

...par le Dr. Gérard Maudrux - Le 23/02/2021.

 Publié le 23/02/2021 à 10:42
Ordre des médecins et liberté de prescription, de pensée, d’expression.
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Nous relayons ce jour une tribune du Dr Gérard Maudrux publiée ce 23 février 2021 sur son blog en réponse au Conseil de l’Ordre des médecins qui l’a convoqué récemment. Rappelons que le Conseil de l’Ordre a entamé une campagne de convocation de certains médecins ayant comme point commun d’avoir traité leurs patients avec de traitements précoces en respect de leur serment d’Hippocrate.

 

Le Dr Gérard Maudrux est un iconoclaste parmi les médecins, dans une première vie chirurgien urologue libéral à Grenoble, il a présidé pendant 18 ans et jusqu’à la fin de 2015 la Caisse autonome de retraite des médecins de France, la CARMF. Il tourne la page avec un seul regret : avoir encore des choses à dire, une vision non conformiste du système de santé à présenter. Car ses idées (il a fondé Action santé pour lutter contre la loi Evin en 1991, il veut bloquer la fuite en avant des charges, est favorable à une retraite à la carte…), le Dr Maudrux les a toujours défendues le verbe haut, au besoin seul contre tous.

Dans un debriefing récent, le Dr Maudrux nous expliquait que les médecins avaient peur et se taisaient.  De son coté, il n’a pas hésité à saisir le Conseil d’Etat avec l’assistance de Me Teissedre pour une requête pour une recommandation temporaire d’utilisation pour l’Ivermectine.

Dans son post il reprend tous les éléments qu’il a adressé devant le Conseil de l’Ordre à commencer par le seul traitement proposé le Doliprane et le « restez chez vous ».

 

Nous reproduisons la tribune en entier ci-dessous :

Fidèle à sa ligne de conduite depuis le début, l’Ordre fait respecter les directives du gouvernement : hors Doliprane, il ne doit pas y avoir de traitement ambulatoire du Covid. Il faut donc faire pression sur ceux qui traitent, ceux qui en parlent.

Faisant partie du lot, j’ai donc été convoqué pour m’expliquer sur ce blog, et savoir si je dois être envoyé devant une chambre disciplinaire. Comme cette convocation a été faite à la demande du Conseil National, je me suis contenté de remettre un courrier pour le président de ce Conseil, et comme il agit au nom de tous les médecins, il me semble que tous les médecins, qui peuvent penser que j’ai enfreint quelques règles, ont le droit aussi d’avoir cette réponse. Par correction j’ai attendu 6 jours, que le destinataire en ai eu connaissance. Voici ce courrier.

Monsieur le Président, cher confrère

Vous avez souhaité recueillir mes « explications sur les affirmations que je porte au sujet de certains traitements controversés ». Les paroles pouvant être déformées, je préfère les écrits. En réponse, vous trouverez donc ci-joint un dossier complet sur l’Ivermectine, objet de mes billets depuis 2 mois, billets documentés, afin d’informer sur le résultat des études sur cette molécule, et de l’avancée du dossier administratif. Parallèlement j’effectue des interventions auprès des autorités sanitaires de notre pays, avec les mêmes sources, afin que les choses soient faites correctement. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament a d’ailleurs jugé que nous avions suffisamment d’arguments pour qu’elle examine la possibilité d’une Recommandation Temporaire d’Utilisation, tout en nous précisant dans son mémoire que sa prescription était autorisée sans RTU,  « après évaluation du bénéfice pour le patient, au regard des risques potentiels », en rappelant les Articles R. 4127-8 et L. 162-2 du Code de la Santé Publique, dispositions légales que j’ai également immédiatement rappelées dans un récent billet pour les confrères : la Loi, rien que la Loi.

Je tiens à préciser que j’ai le souci d’inscrire mes intervention dans le strict cadre de ces lois, dans le respect du Serment d’Hippocrate, du Code International d’Ethique, des déclarations Genève de 1947 («Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé»), d’Helsinki de 1964, toutes signées par l’Ordre et transposées dans le Code de Déontologie, notamment l’Article R.4127-13 du Code de la santé Publique, assoupli par le Décret n° 2020-1662 du 22 décembre 2020 « portant modification du code de déontologie des médecins et relatif à leur communication professionnelle ».  

Je crois devoir le faire, car notre pays a fait le choix de mettre en danger des droits et libertés fondamentaux en rapport avec ces serments, codes et déclarations, sans que les confrères ne soient défendus par quiconque.

Je vous signale au passage que j’ai fait le choix d’une intervention raisonnée, à destination des confrères, sur plateforme dédiée aux médecins, sans aucune présence ni sur Twitter ni sur Facebook. Mes informations sont toutes vérifiées, je ne fais que reprendre des études et articles que tout le monde peut trouver, sans rien inventer, je donne mon avis, ce qui est encore légal dans notre pays, et prends toujours soin de mettre le maximum de liens, afin que le lecteur puisse accéder à la source, à des opinions différentes, et qu’il se fasse sa propre idée, éclairée. Je n’ai jamais établi de protocole, chaque praticien devant rester libre de ses choix en fonction de ce qui se dit, s’écrit, se fait, et chaque patient étant différent.

Vous trouverez donc ci-joint tous les éléments ayant alimentés ma réflexion, 138 pages afin que vous puissiez vérifier que mes propos sont le fruit d’une recherche sérieuse et de nombre de publications, aucune n’étant un « Fake ». D’ailleurs je mets systématiquement les liens dans les différents billets, pour une information complète et objective.

Pièce 1 :  En raison de la volonté des autorités de brider toutes les recherches de traitements ambulatoires appropriés contre le Sars-Cov-2, (y compris de vous même quand la Carmf a souhaité colliger au tout début les résultats de traitements possibles sur les médecins contaminés, afin d’en faire profiter tout le monde et avancer sur des bases vérifiables et contrôlées), encore récemment avec l’Institut Pasteur, il n’y a qu’une seule étude française sur l’efficacité de l’Ivermectine (publication ci-jointe). Dans une Ehpad de Seine et Marne, les pensionnaires et le personnel ont été protégés à 100% suite à un traitement d’Ivermectine, consécutif à une épidémie de gale. Cette protection aurait dû être connue, les Argentins ayant fait une expérience sur 1 200 soignants de 4 hôpitaux au contact du Covid. 800 avaient reçu de l’Ivermectine, 400 non. Après deux mois et demi, 0 Covid dans le personnel traité, 58% chez les non traités. Pendant ce temps, on refuse que les médecins essaient de reproduire ce qui a été constaté chez nous ou à l’étranger, et nos hôpitaux ont des difficultés pour tourner avec parfois 25 à 30% du personnel touché (Compiègne, Dieppe, Saint Gaudens,…). Cela a été l’objet d’un de mes billets. Encore il y a 2 jours, dans le Républicain Lorrain (16/02), alerte rouge à l’hôpital de Jury, 114 soignants touchés et en arrêt, situation ingérable qui n’aurait pas dû arriver si on ne freinait pas des informations comme les miennes. Vérifiez, ce ne sont pas des informations fantaisistes, il y a maintenant 11 études sur le sujet (3ECR), portant sur plus de 7 000 patients, avec une efficacité moyenne de 89%, ce qui ferait 12 arrêts de travail au lieu de 114.

Pièce 2 :  Notre recours devant le Conseil d’Etat. Je suis intervenu personnellement lors de l’audience, mon discours sur l’urgence du traitement et l’intérêt de l’Ivermectine, que j’ai développé dans nombre de billets, n’a pas été critiqué, ni par les représentants de l’ANSM, ni par celui du ministère de la santé. Le juge ayant même insisté sur cette urgence. Il n’a pu toutefois accéder à notre demande, objet du recours, l’ANSM ayant anticipé celle-ci, nous avions obtenu satisfaction juste avant l’audience.

Pièce 3 :  Le mémoire de l’ANSM. Repris dans des billets.

Pièce 4 :  La délibération du Conseil d’Etat. Repris dans des billets.

Pièce 5 :  Le dossier envoyé à l’ANSM par Me Teissedre à la suite de l’audience au Conseil d’Etat. J’ai par ailleurs accès à des informations scientifiques vérifiées, via mon avocat, lui-même en contact avec les dirigeants d’une société cotée en bourse qui développe l’Ivermectine dans le cadre d’un projet mondial, qui confortent mon opinion et peuvent étayer la solidité de mon discours.

Pièce 6 :  Dans notre pays, nos virologues et infectiologues étant considérés comme des charlatans, je me suis donc tourné vers les travaux de scientifiques étrangers, expérimentés, compétents, reconnus dans le monde entier, comme le Dr Hill, 30 ans de virologie, plus de 200 publications dans les plus prestigieuses revues médicales, et qui été chargé par l’OMS via Unitaid de faire un rapport sur l’Ivermectine. Vous trouverez ci-joint le fruit de ses recherches dont les résultats globaux montrent une mortalité divisée par 5. 

Pièce 7 :  Outre le Dr Hill, et pour ne pas vous envoyer une pile fastidieuse de la plus de soixantaine d’articles que j’ai pu lire pour ne pas écrire n’importe quoi, comme certains semblent le penser, vous trouverez sur https://c19ivermectin.com  les coordonnées de ces articles que j’ai lus, ce ne sont pas les seuls. Vous trouverez ci-joint le résumé de la méta analyse correspondant à ces articles. 40 études retenues, 288 auteurs, 14 717 patients. Il y a les 11 études en prophylaxie avec 89% de résultats, il y en a 12 en phase précoce montrant 81% d’efficacité, 20 randomisées avec 72% de résultats, etc..  Tout ceci est relaté au fil de mes billets, vous voyez que mon opinion repose sur des bases bien documentées. Dans cette liste, aucune étude ne montre une inefficacité du traitement. Les moins significatives sont des séries de sujets de moins de 40 ans, qui n’ont pas besoin de traitement, donc difficile de faire mieux, et même là on a des résultats, comme une division par deux de troubles comme l’anosmie et l’agueusie, 2 mois et demi au lieu de 5 mois.

Pièces 8 et 9 :  Comme vérité d’un côté de l’atlantique n’est pas forcément vérité de l’autre côté, je vous invite également à consulter mes autres sources, avec les travaux des docteurs Paul Marik et Pierre Kory, médecins invités à présenter leur travail devant le Sénat américain et devant le National Institut of Health, qui a ensuite modifié sa position, de défavorable à neutre, en attendant d’autres études pour aller plus loin. Les constatations sont les mêmes que Hill. Je vous invite pour cela à aller sur  https://ivermectine-covid.ch/videos-sous-titrees/ . Je collabore avec ce site qui a traduit de manière fidèle leurs vidéos, avec relectures, afin que chacun puisse avoir accès à une information claire pour se faire une opinion sans obstacle linguistique. Je conseille particulièrement celle de Paul Marik qui explique tout en 70 diapositives, et qui démontre que l’Ivermectine est le seul produit qui est actif à tous les stades : en prophylaxie, en phase précoce, en phase plus tardive, et même en réanimation (comme dans une étude Turque citée par Prescrire, sauvant 1/3 des vies à ce stade). 

Pièce 10 :  Je vous invite à regarder peut-être en premier la vidéo de l’interview du Dr Tess Lawrie, qui a fait l’objet d’un de mes billets. Ce médecin Sud-Africain, chercheur en Grande Bretagne, directrice d’une société indépendante de Conseil en Médecine basée sur des preuves (Evidence-Base Medecine Consultancy Ltd), traquant les bonnes et les mauvaises publications. Son travail sur l’Ivermectine, fait selon les règles Cochrane, les plus pointues en la matière, comme elle a l’habitude de le faire pour l’OMS pour ses recommandations pour le monde entier. Les résultats sur les seules études les moins discutables, contrôlées (ECR, RCT) montrent une diminution de la mortalité de 83%. 

Pièce 11 :  En Europe, de plus en plus de pays s’y mettent, en étudiant ou autorisant. Les résultats devraient bientôt se voir. Ci-joint la lettre du Professeur Wathelet, virologue belge, spécialiste des coronavirus, à son ministre de tutelle, faisant état de l’efficacité de ce traitement. L’Ivermectine serait devenue une denrée rare en Belgique. Bien que non utilisée massivement, ce pays qui a passé une mauvaise année 2020, a abordé une seconde vague en octobre novembre pire que la nôtre. Depuis 2 mois ce pays a une mortalité 2 fois inférieure à la nôtre. Même chose de l’autre côté de l’Atlantique, au Mexique, un seul état a distribué massivement l’Ivermectine, le Chiappas, avec une mortalité de 75% inférieure à la moyenne du pays. La ville de Mexico voyant cela est passé outre aux consignes gouvernementales il y a peu, et est en train de casser sa courbe journalière. Ceci pour vous dire que les exemples de ce type sont en train de se multiplier dans le monde, et que je suis bien obligé de voir ce qui se fait ailleurs, vu qu’on n’essaie rien chez nous, et de faire confiance à ces médecins spécialistes étrangers plutôt qu’à nos sommités médicales qui renient le serment d’Hippocrate, refusant non de soigner, mais d’essayer de soigner et de chercher un traitement.

Sachez que je ne me fais pas d’illusions quant à la réponse de l’ANSM, qui sera guidée non par des impératifs médicaux mais politiques. Elle bottera probablement en touche, avec un oui mais non, demandant d’autres études, comme s’il n’y en avait pas assez, qui de plus ne sont pas contradictoires comme pour la chloroquine, toutes allant dans le même sens. En ce qui concerne le risque autorisant à conduire à cette RTU ou à une prescription hors AMM, sachez aussi qu’il est quasiment nul. 4 614 déclarations d’effets secondaires en 30 ans dans le monde pour 4 milliards de prescriptions (0,0001%), source OMS. Dans son dernier rapport du 11 janvier sur ces effets secondaires dans le traitement de la Covid, l’ANSM signale 0 problème. Sur les 15 143 spécialités pharmaceutiques remboursées en France, c’est certainement la molécule, ou une des molécules qui présente le moins de risques, ce n’est pas pour rien qu’elle a eu un prix Nobel de Médecine. Ce sont toutes ces sources, OMS, ANSM, Ameli, qui alimentent le contenu des billets. Concernant cette innocuité, s’il y a présomption d’efficacité, vu l’absence de risque, pourquoi ne pas donner une chance à nos patients, aussi minime soit-elle ? N’est-ce pas notre devoir, n’avons-nous pas, n’avez-vous pas prêté serment pour cela ?

Le 15 février, en séance, le médecin responsable de l’OMS a annoncé qu’ils étudiaient le dossier de l’Ivermectine, expliquant que, comme il y avait beaucoup de séries, ils allaient en faire l’addition (ce que j’ai toujours proposé) pour sortir des résultats plus corrects afin de revoir leur position dans 6 à 8 semaines, le ton laissant entrevoir une issue favorable. Je suis triste pour notre pays. L’ANSM, les autorités médicales et politiques attendent que d’autre pays avancent les premiers, que l’OMS, que l’Europe fasse les premiers pas. L’Inde a franchi le pas et a déjà commercialisé 120 millions de kits Ivermectine et a 90 décès par jour pour 1 300 millions d’habitants, contre 5 fois plus de morts chez nous pour 20 fois moins d’habitants ! Dois-je le cacher ? Nous avons perdu en matière de santé toute souveraineté, incapables de clairvoyance, d’analyse, de décision. L’OMS est en train de faire ce qu’il faut, à l’allure de l’escargot, mais vous verrez qu’on y arrivera, vu les constatations sur le terrain, il ne peut en être autrement. Les pressions diverses, non médicales, n’y pourront rien. Nous avons aussi perdu tout bon sens. Tout ceci fait aussi partie de mon combat, vous ne pourrez m’empêcher d’essayer de redonner à la médecine française les lettres de noblesse qu’elle a perdue, de redonner aux confrères la confiance en soi qu’ils ont perdus, le libre arbitre qu’on leur a pris.

Si l’Ivermectine est l’objet de tous mes billets depuis bientôt deux mois, il m’est aussi arrivé d’évoquer d’autres traitements que vous dites « controversés », le débat étant encore autorisé en France. J’ai fait il y a 2 mois un tour d’horizon de ces autres traitements. Il y a deux mois et demi, j’ai parlé de l’Azithromycine, qui me paraît un pilier également essentiel du traitement précoce. Comment en ai-je parlé ? Le tiers de l’article est une petite histoire de la médecine, concernant des maladies à priori non infectieuses, guéries avec des antibiotiques, comme l’ulcère d’estomac, avec prix Nobel à la clé pour des chercheurs, considérés avant comme charlatans par leurs pairs ! Le second tiers, c’est pourquoi, comment, pour savoir si cela pouvait marcher et comment, avec notamment les travaux sur les germes intracellulaires et leur rôle facilitateur dans la multiplication des virus. Ensuite je dis que des confrères prescrivent depuis fort longtemps, avec satisfaction, et je déplore que ces résultats ne soient pas examinés, qu’il n’y a pas d’études sur le sujet. Je donne aussi la position et les consignes du Directeur Général de la Santé. Où est le problème dans mes propos ?

Je signale à ce sujet, que j’ai été un des premiers en France à parler de l’Ivermectine qui depuis a montré son intérêt. Si je l’ai fait, c’est parce que j’ai écouté, entendu et cru un confrère qui en avait traité une trentaine. Ais-je le droit de m’insurger que l’on n’écoute pas les confrères qui ne s’occupent pas de leur pédigrée et de leur liste de titres et travaux, mais de leurs patients, et qui ont une expérience infiniment supérieure à ceux qui publient ? Résultat, 10 mois après ma « découverte », il faut que ce soit le reste du monde qui nous démontre que l’on aurait pu sauver des vies dans les Ehpad et résoudre le problème de nos hôpitaux qui perdent leurs soignants. On avait tout cela sous les yeux ! Faut-il continuer à le cacher ? Pour quels motifs ?

J’ai aussi continué le tour des traitements avec la liste de tout ce qui se prescrivait, relaté dans la littérature. J’ai cité une dizaine de produits, toujours en posant la question : pourquoi ? Je me suis donc contenté de rechercher les modes d’action possibles, décrits, sans aller plus loin, restant neutre. Des explications techniques, des faits, sans opinions personnelles, c’est tout. Où est le problème ? Je me permets aussi, lorsque la presse évoque des médicaments prometteurs, de relayer l’information, comme le billet consacré au Ruxolitinib en réanimation. Interdit de relayer les articles intéressants ? De même avec la Nigelle. Qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai relaté une étude très intéressante, ensuite toujours la même question : pourquoi, comment ? Alors j’ai cherché le principe actif, molécule bien étudiée dans les années 80, très intéressante, et j’ai écrit qu’il faudrait peut-être reprendre ces recherches. Quant à l’étude, j’ai dit qu’il en fallait d’autres pour vérifier cette efficacité, qu’on ne pouvait juger sur une seule étude. Toujours le même esprit : informer, vérifier.

Reste enfin l’hydroxychloroquine, dont je ne parle plus depuis des mois, car trop conflictuelle. Je ne pouvais pas faire le tour de tous les médicaments utilisés, avec ou sans raison, ce n’est pas à moi de juger, sans la citer. Je l’ai fait pour signaler les études contradictoires faisant qu’on ne savait pas ou plus quelle était son efficacité. Quand j’en parlais il y a longtemps, j’ai toujours évoqué honnêtement ce doute, mais aussi déploré que ce doute était volontairement entretenu par les autorités. On a vu ce médicament que les confrères prescrivaient depuis des lustres, sans problème, devenir « dangereux » alors que le tiers de la planète en avait déjà pris au moins une fois sans problème, les médecins en connaissant les effets indésirables et sachant les maitriser, c’est leur métier. On a vu des publications scandaleuses, jamais en traitement précoce, mensongères et trafiquées, immédiatement encensées et utilisées par les autorités pour bloquer toutes les études qui auraient pu permettre de mettre un terme à cette polémique. On a vu ces autorités cacher les résultats de leurs propres études (Discovery). Je ne fais que décrire tout cela, n’est pas la réalité ? Faut-il la cacher ?

Suite à votre demande, je me suis posé la question de la légitimité et de la compétence de l’Ordre à donner un avis sur ces études que je vous communique. Je fais donc appel à vous, en tant que médecin, ainsi qu’aux membres du Conseil, pour donner votre sentiment de médecins sur les résultats de ces études et sur l’intérêt qu’il y a à faire avancer ce dossier, et plus généralement celui du traitement précoce. Il s’agit d’un problème de santé publique important, vital, urgent. La vaccination, qui règlera une grande partie du problème, n’est que prophylactique. Elle doit être associée à un traitement curatif que l’on ne doit pas ignorer comme on le fait dans notre pays, car c’est ignorer que le vaccin ne fera pas tout, qu’il y a des gens qu’on ne peut vacciner, qu’il y a des gens qui le refusent, qu’il y a surtout des mutations inévitables et malheureusement une immunité qui ne dure pas aussi longtemps qu’on l’aurait espéré.

J’ai pris cette responsabilité devant les confrères et les patients pour défendre certaines valeurs, et il me paraît légitime, indispensable que vous preniez aussi vos responsabilités. Vous m’avez demandé des explications concernant ce qui étaye mes propos. Maintenant que vous avez ces éléments, vous m’avez interpellé, au nom des confrères sur ces points, vous vous devez de me répondre, de leur répondre sur ces points.

1/ Est-ce qu’il y a de fortes présomptions concernant l’existence d’un traitement préventif contre le Sars-Cov-2 pour les soignants et personnes sensibles, ou est-ce que j’ai tort de le penser ?

2) Est-ce qu’il existe de fortes présomptions concernant l’existence d’un traitement curatif abordable, contre le Sars-Cov-2, ou est-ce que j’ai tort de le penser ?

3) Est-ce que l’Ivermectine, peut-être confiée sans danger aux praticiens souhaitant le prescrire, ou ai-je tort de le penser ?

Pour votre réponse, je signale que je parle de présomption d’efficacité, pas la preuve (le terme de présomption étant utilisé dans les textes). Je vous demande de ne pas vous défiler en critiquant la qualité des études publiées, comme le font ceux qui critiquent sans rien proposer. Nous souhaitons une réponse de médecins, sur les résultats seuls, c’est ce qui intéresse le soignant et le patient. Nous ne sommes pas là pour juger de la qualité d’un rédacteur, mais d’un résultat thérapeutique.  En tant que médecin, nous n’avons pas la prétention de guérir toujours, mais de « guérir parfois, soulager souvent, soigner toujours «  écrivait Ambroise Paré. C’est ma devise, ma conception du serment d’Hippocrate, est-ce celle du Conseil de l’Ordre ? De son Président ? Cette réponse s’inscrit dans l’Article 1 du décret du 22 décembre, Art. R. 4127-19-1-III.

Enfin, puisque nous y sommes et que vous vous occupez de contrôle de publications médicales, je me dois, toujours pour respecter les différents codes qui s’imposent à tous, d’appliquer encore une autre disposition du Code International d’Ethique de l’AMM, ratifié par l’Ordre. Il y est écrit, je cite, que : « le médecin devra être honnête avec ses patients et ses collègues et signaler aux autorités compétentes les médecins dont la pratique est dépourvue d’éthique et de compétences ou qui ont recours à la fraude et à la tromperie ». Je me dois donc de signaler le comportement de notre confrère le Dr Bruno TOUSSAINT, directeur de publication de la revue Prescrire, suite à un article que vous trouverez également ci-joint (pièce 12), qui n’informe pas, mais manipule la vérité. En effet, cet article dit que l’Ivermectine est inefficace, et en veut pour preuve 9 études qui le montrent. Or j’ai lu ces 9 études, toutes disent le contraire et affichent des résultats positifs. L’auteur ne peut pas ne pas le savoir s’il a lu ces études. En affirmant le contraire, en jouant sur le fait que le lecteur lui fait confiance et n’ira pas lire les articles puisque lui-même l’a déjà fait, il donne volontairement une information totalement fausse. C’est plus qu’un manque d’objectivité, c’est un mensonge. Faut-il une plainte ou ce simple signalement est-il suffisant ? Ces méthodes ne portent-elles pas atteinte à la moralité, à la probité de la profession ? Je ne peux que déplorer ces comportements à l’opposé du mien, toujours à la recherche de la vérité.

J’espère avoir répondu à toutes vos interrogations, et j’espère que certains de mes propos ne vous ont pas heurté, si c’est le cas veuillez m’en excuser, mais c’est sans doute parce que j’ai été profondément heurté par le sentiment d’une mise en doute de mon honnêteté intellectuelle et de ma probité. Cela fait 30 ans que vous et la profession me connaissent, connaissent mes prises de positions franches, parfois dérangeantes, toujours étayées et honnêtes, avec un objectif constant : la vérité. Jamais en 30 ans on n’a relevé une seule erreur dans mes constats, mes prévisions, mes propos, et ce n’est pourtant pas faute d’avoir du monde pour les dénicher afin de me faire taire.

En espérant avoir répondu à vos attentes, veuillez agréer Monsieur le Président, l’expression de mes salutations respectueuses et confraternelles.

Auteur(s): Dr Gerard Maudrux pour FranceSoir

Covid : Questions sur les vaccins

...par le Dr. Gérard Maudrux - Le 19/02/2021.

Source : L'ŒIL D'UN ANTI-CONFORMISTE

 

Puisque l’Ordre des médecins me reproche « des affirmations à propos de certains traitements controversés » (je ne sais d’ailleurs toujours pas de quelles affirmations il s’agit) et que je suis sous enquête afin de savoir si je dois être traduit devant une chambre disciplinaire, je dois revoir ma communication afin de rentrer dans les rangs. Je ne vais donc plus «affirmer» à propos de « traitements controversés », et je me contenterai de poser des questions au lieu d’affirmer, et je parlerai des vaccins, non controversés mais défendus par l’Ordre.

J’ai trouvé plein d’articles sur le net, à propos des vaccins. Ce sont probablement des fake news, mais je me pose beaucoup de questions, j’espère que quelqu’un pourra m’éclairer (peut-être l’Ordre ?) et qu’il n’en est rien.

Est-il vrai que le vaccin AstraZeneca est de plus en plus refusé par les soignants, dont 50 à 70% des vaccinés, peuvent avoir des effets secondaires plus ou moins supportables ?

Est-il vrai que dans les hôpitaux de Brest et de Quimper, 20 à 25 % du personnel vacciné a dû être mis en arrêt ? Que plusieurs hôpitaux cessent les vaccinations ? Qu’ailleurs on réserve le Pfizer pour le personnel et l’AstraZeneca pour les patients ?

Si ces vaccins donnent de telles réactions chez les 40-50 ans, qu’est-ce que cela peut donner chez les plus de 75 ans ?

Est-il vrai que l’ANSM a reçu 149 déclarations d’effets secondaires les 4 premiers jours de la vaccination par AstraZeneca, essentiellement chez des jeunes (âge moyen 34 ans)

Est-il vrai que Camille le Houx, 108 ans, doyen de Bretagne, s’est fait vacciner le 27 janvier, et est décédé 5 jours plus tard ?

Est-il vrai que Madeleine Fourrier, 110 ans, doyenne de Saône et Loire, est décédée 5 jours après avoir été vaccinée ?

Est-il vrai qu’il y a 1 mois déjà les Norvégiens avaient signalé 29 morts après vaccination chez les patients de plus de 75 ans, sur 42 000 vaccins ?

Est-il vrai que Reuters Fact Check (équivalent de AFP Factuel) suggère qu’ils soient plutôt décédés de morts naturelles ?

Est-il vrai que 46 résidents de maisons de retraite en Espagne soient décédés dans le mois qui a suivi leur vaccination ?

Est-il vrai que 11 des 41 résidents d’une maison de retraite en Allemagne sont décédés suite à la vaccination, décès qualifiés de « tragique coïncidence » ?

Est-il vrai que 22 pensionnaires (sur 72) de la maison de retraite de Pemberley House à Basingstoke sont décédés suite à une épidémie de Covid, qui « a commencé lorsque les résidents ont commencé à recevoir leurs premiers vaccins contre les coronavirus. L’Agence de régulation des médicaments et des produits de santé (MHRA) a déclaré que rien ne laissait entendre que le vaccin était responsable de ces décès. »   

Est-il vrai que 24 pensionnaires (sur 137) de la maison de retraite du Comté de Cayuga dans l’Etat de New York, sont décédés d’une épidémie de coronavirus qui a démarré en même temps que la vaccination (22 décembre). Cet établissement n’avait pas eu de décès avant.

Est-il vrai que 10 pensionnaires d’une maison de retraite de Göteborg en Suède, ayant reçu leurs 2 doses de vaccin les 27 décembre et 19 janvier, ont contracté par la suite la Covid ?

Est-il vrai que Gibraltar, qui ne comptabilisait que 10 décès du Covid en 2020, et qui a débuté la vaccination le 10 janvier, comptabilisait 70 décès le 27 janvier, essentiellement des personnes très âgées, chiffre confirmé par le gouvernement ? Reuters Fact Check (et le gouvernement) affirment qu’il n’y a pas de rapport de cause à effet.

Est-il vrai que 10 pensionnaires très âgés et hospitalisés en Allemagne, ont été victimes d’une coïncidence, de moins de 24H à 4 jours après vaccination ? Une enquête est en cours.

Est-il vrai qu’en date du 12 janvier, 17% des patients gravement malades hospitalisés en Israêl, sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation ?

Est-il vrai que la campagne de vaccination dans une maison de retraite à Inverness dans les Highlands a entraîné une épidémie de coronavirus touchant 35 pensionnaires et membres du personnel ? 

Est-il vrai que la première maison de retraite à avoir vacciné en Ecosse le 14 décembre (foyer Abercorn à Hamilton) a été rapidement touchée par une épidémie après la première injection, avec 51 personnes touchées ?

Est-il vrai que les essais phase 3 de AstraZeneca ont été faits d’abord en Angleterre, en Afrique du Sud et au Brésil, et que les variants à problèmes sont apparus en même temps dans ces 3 mêmes pays ?

Est-il vrai que l’Afrique du Sud a arrêté les vaccinations avec AstraZeneca, et revend son stock car cela ne marche pas sur son variant ? Est-ce vrai qu’en France on distribue AstraZeneca dans des départements où ce variant atteint 40% des séquençages ?

Est-il vrai que la UK Medical Freedom Alliance a signalé au secrétaire d’État à la santé et à deux organismes de surveillance des vaccins, que les données de l’Office for National Statistics montrent que les décès des résidents ont triplé entre le 8 et le 22 janvier, à un moment où le taux de vaccination dans les maisons de soins augmentait massivement ? Ils auraient fourni des graphiques similaires pour Israël, l’Irlande, le Bahreïn et la Jordanie.

Est-il vrai que le taux de mortalité Covid en Israël depuis mi-décembre, date des premières vaccinations, est 3,5 fois plus élevé que depuis le début de l’épidémie jusqu’à mi-décembre ?

Est-il vrai que dans cette Ehpad en Moselle, qui a vacciné ses 60 pensionnaires en janvier, a eu depuis 17 décès, nombre de médecins ayant démissionné avant, et le médecin coordinnateur après ?

Est-il vrai que l’ANSM a fait savoir qu’au 15 janvier il y avait 388 730 personnes vaccinées et 9 décès constatés ? Rassuré de voir qu’en France les choses se passent beaucoup mieux que dans le reste du monde (sincèrement, et pour nos anciens).

Est-il vrai que la HAS avait estimé en décembre qu’ »il serait utile de disposer d’études complémentaires pour les plus de 75 ans », argument pourtant avancé pour déconseiller l’Ivermectine ou l’Azithromycine ?

Est-il vrai que la FDA a estimé que l’on manquait de données quant à l’efficacité du vaccin d’AstraZeneca chez les personnes âgées de plus de 55 ans ?

Est-il vrai que la DGS, l’ANSM, Le Télégramme, Ouest France, La Gazette de Basingstoke, le Südkurier, Children Health Defense, le Business Standard, le Daily Record, NewsTvHighlands, Israel National News, Syracuse, France Bleu, Capital et d’autres qui donnent toutes ces informations sont des sources complotistes ?

Est-il vrai qu’en mars 2020 tous les pensionnaires et personnel d’une Ehpad de Seine et Marne ont été protégés du Covid par Ivermectine avec 0 morts ? Est-il vrai que Le Parisien, fin mars, classait cette histoire et les décès en Ehpad de Fake News ?

Est-il vrai qu’à ce jour, l’OMS, via Vigibase, a recensé depuis le premier janvier 82 400 problèmes dans le monde avec le vaccin Pfizer, et 87 avec Ivermectine ?

Est-il vrai que l’Ivermectine pourrait être utilisée dans les Ehpad avec autant d’efficacité que le vaccin avec un risque zéro ? Vivement que cela arrive pour mettre fin à toutes ces interrogations.

L’Ordre des médecins de la Moselle a organisé dans ses locaux en janvier une séance de vaccination pour les soignants, avec Pfizzer. 600 vaccinés. Elle renouvelle cette fois avec AstraZeneca : 50 inscrits seulement, motif : on ne veut pas de ce vaccin. L’Ordre a alors demandé à l’ARS qui fournit de le changer avec du Pfizzer, ce qui est fait, grâce à Monsieur Véran. Résultat : on passe de 50 à 500 inscrits. L’AstraZeneca, lui, sera distribué aux mêmes médecins pour leurs patients. Question : est-il normal que des médecins vaccinent avec un vaccin qu’ils refusent pour eux-mêmes, le tout organisé par l’Ordre des médecins et avec sa bénédiction ?

 

PS : J’ai lu aussi que les vaccins chinois, sortis en même temps, étaient préparés à partir de virus atténués et non de protéines (donc non sensibles aux variants), comme les vaccins de la grippe saisonnière, pour laquelle je me fais vacciner chaque année. Vivement que le gouvernement en commande, que je puisse me faire vacciner et le conseiller à tous.

Dernière minute : encore un fake, cette fois du Midi Libre. Et un de plus, mort à 36 ans après vaccination. Mais soyez rassurés, il est mort non du vaccin, mais d’un covid asymptomatique contracté 3 semaines plus tôt, tellement virulent qu’il ne s’était aperçu de rien avant de se faire vacciner : https://www.midilibre.fr/2021/02/19/covid-19-un-medecin-vaccine-meurt-a-36-ans-probablement-dun-syndrome-tres-rare-du-virus-9382584.php . Certes il n’est pas mort du vaccin, mais probablement du Covid, mais n’y aurait-il pas un facteur déclenchant ayant entrainé la mort ?

La Rochelle - Le coup de gueule d'un médecin généraliste.

Le 06/02/2021.

Professeur Raoult au Défi de la vérité

"France Soir" - Le 12/02/2021

Ni dernier de la classe, ni girouette

Le 09/02/2021.

(Arbeit)… nein !… dorénavant : « Impfung macht frei » !

...par Daniel Vanhove - Le 18/01/2021.

 

Jusqu’où ira donc la soumission aux diktats des Bigpharmas ? Je pensais n’avoir plus à y revenir pour travailler enfin à autre chose, mais chaque semaine qui passe nous amène son lot de nouvelles mesures ‘anti-covid’, toujours aussi incohérentes, et sans pour autant voir le bout du tunnel. M’y revoici donc, bien malgré moi…

Pourtant, les chiffres qui devraient orienter les décisions des autorités politiques sont clairs : malgré une campagne médiatique digne des anciens pays d’Europe de l’Est, ce virus ne cause pas plus de décès qu’un autre, tel l’Influenza de la grippe, mystérieusement disparue, hé-hé… Et les 95% des victimes classées « Covid » sont nettement identifiées comme personnes âgées (plus de 82 ans) et/ou déjà atteintes de pathologies diverses (faiblesse respiratoire, maladies cardio-vasculaire, diabète, sur-poids, cancers, etc.). Dès lors, pourquoi s’obstiner à vouloir tout arrêter de la vie d’une société, d’un pays entier ?

Rien n’y fait. Nous découvrons la toute puissance de certains lobbies. Et les gouvernements en sont définitivement complices. L’épisode d’une secrétaire d’État belge qui a « lâché » le prix des vaccins et s’est fait remonter les bretelles sans faire l’objet de toute l’attention que cette révélation méritait, démontre qu’il y est bien question de gros sous. Et il faudrait que des journalistes d’investigation fouillent cette part ‘confidentielle’ de certains contrats, afin de déterminer quels en sont les divers bénéficiaires.

La peur entretenue par d’autres lobbies (médiatiques) et l’inculture politique des masses font le reste. Résultat : nous avons sous les yeux des populations tétanisées, soumises, prêtes aux comportements les plus irrationnels pour se sauver d’un virus qui, comme la plupart se transmet en mutant au fil des saisons, ce dont profitent les voyous aux manœuvres pour déclarer qu’il est de plus en plus dangereux, ce qui n’est pas prouvé. On se croirait en période de peste bubonique, alors qu’il s’agit d’un virus commun de la famille des coronavirus bien connue des scientifiques. Et que toute les stratégies préconisées par l’OMS – dont il y aurait beaucoup à dire en termes d’intérêts cachés – le sont sur base de « modélisations » et non de preuves avérées.

Quelques foyers de contestation à ces déferlantes mensongères existent bien ici-et-là – où malheureusement certains se perdent dans des délires qui amènent plus de confusion que d’éclairages auprès de citoyens déjà déboussolés – mais leurs voix sont étouffées par la plupart des ténors politico-médiatiques… Dont les plus zélés encouragent les citoyens à la délation pour punir ces « complotistes » de ne pas obtempérer, déclarant que c’est par leur comportement rebelle qu’ils empêchent le « retour à la normale » pour l’ensemble des autres. Pas vraiment étonnant dans un pays dont le président parlent d’eux comme de « connards » préférant réhabiliter un traître à la Nation en la personne du maréchal Pétain, et dont des députés (p.ex. Valérie Six – UDI), alliés au gouvernement, prennent comme exemple à suivre, l’immonde régime d’apartheid israélien qui choisit de soigner sa population juive et non sa population arabe.

Pour justifier des mesures toujours plus absurdes, est-il annoncé – sans aucune preuve scientifique – que le virus circule dans l’air ? Les gens se masquent même en rase campagne, quand ils font du vélo, du jogging ou se baladent en pleine forêt. Leur dit-on qu’il faut se prémunir de sa virulence « hors du commun » ? Ils y ajoutent le masque même seul au volant de leur voiture. Leur est-il avancé que ce maudit virus se propage surtout après 18h ? Ils acceptent sans broncher des couvre-feux dont rien ne prouve l’utilité. Les empêche-t-on de se réunir à plus de quelques personnes ; les encourage-t-on à garder leurs papy et mamy éloignés ; leur interdit-on de s’embrasser ; à ne surtout pas surseoir aux « gestes barrières » salvateurs – même vaccinés ! ; les presse-t-on d’aller se faire tester – test qui ne délivre son résultat qu’à un moment précis et peut donc se révéler dépassé le lendemain en fonction des rencontres et des activités du jour ? Ils s’exécutent avec une docilité confondante… jusqu’à masquer leurs enfants, sans se demander s’ils ne font pas pis que bien… quand des spécialistes alertent pourtant des conséquences à terme sur la perte d’immunité d’une jeunesse sacrifiée, y compris psychologiquement. Et jusqu’aux conseils de la BBC de faire l’amour avec un masque en choisissant des positions qui évitent le face-à-face ! Mais, quelle folie, quelle bêtise, quelle déraison ! Dans quelles sociétés absurdes et imbéciles nous enfonçons-nous, aussi passivement !?

Depuis le début, j’ai dit et écrit comme quelques autres trop rares, que tout ceci n’était que calcul sordide des Bigpharmas qui avaient déjà essayé de nous piéger de la sorte, sans y parvenir (rappelez-vous de la campagne des vaccins lors de la « Grippe H1N1″…) avec les millions de doses commandées par les États qui ont dû négocier leur reprise ou leur revente à d’autres pays. Si donc nous sommes quelques « complotistes » simplement parce que nous choisissons de regarder tout cela avec recul, que dire de cette clique et sa course aux vaccins, sinon qu’elle est assurément « conspirationniste » : une telle campagne ne s’improvise pas !

Par ailleurs, les vaccins – comme les masques où la mention figure sur les boîtes – sont déjà annoncés comme ne protégeant pas d’une possible (ré)infection du virus – tout comme ceux contre la grippe, d’ailleurs. Et les laboratoires qui les ont produits se sont prudemment préservés de toute possibilité de recours à leur encontre. Aucun impact !, la population s’impatiente pour savoir quand les vaccins seront enfin disponibles. En fait, le constat est terrible : il ne reste plus qu’à leur indiquer les wagons dans lesquels monter. Dorénavant, la formule à l’entrée des camps nazis « Arbeit macht frei » (Travailler rend libre) est dépassée, au profit de « Impfung macht frei » (Se vacciner rend libre) qui marquera l’entrée des centres de vaccination réclamés par plusieurs élus, et où des files se candidats se pousseront !

Je le redis : rien n’y fait : nous voyons qu’une « intox » qui cible particulièrement l’émotionnel, répétée en boucle chaque jour, finit par convaincre en moins d’un an la plupart des citoyens du message qu’elle véhicule, même quand celui-ci s’appuie sur des données contestables, comme le sont « les tests PCR » utilisés et manipulés pour annoncer le nombre de « cas » – ce qui en soi ne veut rien dire – comme certains l’ont dénoncé .

Or, les problèmes sont vraiment ailleurs : d’abord, il se trouve dans cette volonté des gouvernements de liquider tout le secteur public, hôpital compris, au profit du privé, comme ils l’ont déjà fait avec d’autres pans de la société, avec des bilans souvent désastreux, et s’apprêtent à continuer avec le système des pensions qu’ils veulent privatiser également. Ces équipes de jeunes cadres dynamiques acquis au néolibéralisme, pensent qu’un État se gère comme une entreprise, comme une « start-up », mais au vu des résultats, ils tentent de camoufler leur immaturité, leur incompétence aux affaires d’une Nation, leurs sombres calculs, et surtout leurs échecs patents, par toujours plus de vaines agitations.

Le second problème est que cela ne fait pas la « Une » des principaux médias puisque ces derniers en sont les complices directs et préfèrent relayer les « intox ». Ainsi, après des années de coupes budgétaires et d’économies dans le secteur « santé », et malgré leurs promesses répétées, aucun gouvernement européen n’a investi sérieusement dans des lits et des infrastructures supplémentaires face à l’ampleur d’une crise dont ils ne cessent pourtant de nous répéter les dangers. Et là, ils dépensent des milliards pour des thérapies géniques baptisées « vaccins » sans même avoir le recul nécessaire pour en vérifier la fiabilité. Le vaccin de la grippe n’a été mis sur le marché qu’après plus de 10 ans de recherches. Celui du Covid après quelques mois. Pour le coup, aucune application du sacro-saint « principe de précaution ». Or, de plus en plus de cas (Norvège, Palestine occupée appelée « Israël », Grande-Bretagne,…) semblent indiquer des réactions d’intolérance parfois mortelle, aux dits « vaccins », et augmenter de manière fulgurante le nombre de contaminés, or ce n’est que le début, sachant que des effets secondaires apparaissent parfois des années plus tard.

Troisième problème (et peut-être le plus difficile) : les mentalités occidentales et particulièrement européennes, se considèrent depuis longtemps, comme supérieures. Nos gouvernements, nos médias, nos « experts » en toutes matières, nos technocrates et fonctionnaires, mais aussi une très large part de nos populations ont cette fâcheuse tendance à regarder tout ce qui vient de l’extérieur à l’occident comme inférieur, moins évolué voire sous-développé. Alors qu’il faudrait fondamentalement remettre en question les certitudes qu’on nous assène, cette suffisance n’aide pas lorsqu’il faut au contraire être ouvert et à l’écoute de ce que d’autres ont mis en place pour affronter ce genre de crise d’où ils semblent sortir plus rapidement que nous, et dans de meilleures conditions.

Enfin, certains « experts » nous expliquent que la crise majeure qui guette l’ensemble de l’économie mondiale d’un véritable effondrement est le gonflement de la dette globale, évaluée selon eux à environ 250 000 milliards de dollars (vous avez bien lu ?!). Que dire alors des annonces de prêts aux entreprises, aux indépendants et autres acteurs pour tenter, d’un côté, de maintenir à flots et sauver ce qui peut encore l’être, d’une économie qu’ils torpillent de l’autre, par la multiplication de mesures absurdes ? Ces choix politiques incohérents qui paralysent l’ensemble de l’activité de la société ne font qu’augmenter par milliards cette dette. Cherchez l’erreur… ou plutôt, l’imposture !

Pour conclure, qu’y a-t-il à attendre de la part d’élus qui n’ont comme tout horizon que leur plan de carrière et leur réussite personnelle ? Et combien de temps faudra-t-il encore attendre pour voir se mettre en place une vraie désobéissance civile, le renversement de cet ordre mafieux et la reprise des États par une réelle démocratie populaire ?

En 2010, dans ce que d’aucuns ont perçu comme son testament aux futures générations, Stéphane Hessel nous livrait son petit essai Indignez-vous, où il prévenait des risques du remplacement de la dictature hitlérienne par celle des marchés financiers. Il y rappelait les engagements pris par le CNR (Conseil national de la Résistance) servant de fondements à la démocratie. À peine 10 ans plus tard, les jeunes générations ont-elles perdu cette capacité à s’indigner, condition première avant de pouvoir se fédérer et s’engager contre cette dictature des marchés et leurs stratégies morbides à tirer profit de n’importe quelle situation dont l’ardoise est systématiquement payée par le peuple.

Réseau Sentinelle, SOS médecins, Urgences ne voient plus de Covid19.

Stop couvre-feu !

...par le Dr. Gérard Delépine - Le 13/01/2021.

Stop couvre-feu !
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Source : France Soir

 

Tribune : L’épidémie est terminée en France, mais les médias disent le contraire et la propagande terrorisante est plus active que jamais.

L’imagination au pouvoir : Pendant la vague de mars, c’était le décompte journalier morbide des morts, puis en octobre des « cas » ( sur tests non fiables avec 97 % de faux positifs ) et actuellement faute de malades et même de testés positifs, on agite le « variant » anglais dont rien ne prouve la dangerosité ! Nos dirigeants acceptent l’idée, enfin, que les virus mutent, comme le pr Raoult l’a expliqué à la France entière depuis des mois. Si à chaque mutant c’est la panique, notre économie sera morte dans l’année, comme de fait le plan Davos le souhaite et l’organise depuis des années sous le prétexte de cette pseudo peste qui n’a pas tué plus que bien d’autres grippes des années passées.

 

Le scénario actuel et la réalité

Depuis plusieurs semaines, le gouvernement et les médias complices agitent à nouveau la peur pour faire accepter des couvre-feux, sans aucun intérêt sanitaire réel[1]. Ils prétendent que le Covid19 revient plus méchant que jamais, revigoré par une mutation anglaise ou sud-africaine[2]. Ils affichent pour nous convaincre un nombre croissant de « cas » PCR positif dont même l’OMS reconnaît la non-fiabilité [3] [4] [5] et les inconvénients[6]. Or les « cas » ne sont majoritairement ni des malades, ni des contagieux, ni des porteurs de virus et ne témoignent donc pas de la réalité de l’épidémie, mais principalement du nombre de tests réalisés et du nombre de séances d’amplifications pratiquées.

Une épidémie ne se mesure qu’au nombre de malades, individus qui souffrent de symptômes et qui consultent leur médecin pour un diagnostic ou un traitement.

 

Le réseau sentinelle

Le réseau Sentinelle est un réseau de recherche et de veille sanitaire en soins de premiers recours en France métropolitaine. Créé en novembre 1984, il est développé sous la tutelle conjointe de l'Institut national de la santé, de la recherche médicale et de Sorbonne Université. Il fédère plus de de 1400 médecins de ville, généralistes et pédiatres. C’est lui qui permet de suivre chaque année les épidémies de bronchiolite, grippe, gastro entérite, rougeole et rhume et leurs virulences. Cette année, il a étendu la surveillance des maladies contagieuses habituelles au Covid19. Ses données sont plus pertinentes que celles de Santé Publique France qui publie principalement les données hospitalières et dépend du ministre qui veille à ce que ses publications ne gênent pas sa propagande terrorisante.

Car ce qui différencie le Covid19 des épidémies précédentes n’est ni sa virulence, ni sa mortalité, mais le traitement médiatique qui lui est réservé. Lors des épidémies sévères précédentes, le ministère rassurait la population.

 

Depuis le début de la crise actuelle, le ministère et les médias s’efforcent au contraire de paniquer la population afin de faire accepter des mesures pseudo-sanitaires qui n’ont jamais démontré qu’elles pouvaient être utiles, et dont chacun mesure chaque jour la nocivité tant sur la santé globale que sur l’économie, les chômeurs, les salariés précaires, les pauvres, les cafés -restaurants, le monde de la culture et du sport, les petits commerçants.

Les jeunes adultes sont les premières victimes au profit des grandes chaînes, des GAFA et des super riches, sans que ces mesures ne permettent de sauver nos vieillards poussés également au syndrome de glissement par abandon de la vie qui mérite d’être vécue (entourée des siens, des amis etc..) aidés de plus vers la mort par le Rivotril des décrets de mars et octobre, à injecter en cas de problème respiratoire et de « suspicion » de covid.

 Les traitements précoces qui résoudraient facilement la grande majorité de ces épisodes infectieux sont toujours interdits contre toute logique sanitaire, qui manifestement n’est pas l’objectif. Les médias continuent à ancrer dans les cerveaux des téléspectateurs qu’il n’existe par de traitement, mensonge énorme répété par les ministres et l’argument d’autorité est tragique. Pourtant la mortalité très basse des pays qui utilisent le traitement Raoult, l’ivermectine ou l’artémisine depuis de début de l’épidémie sont des preuves scientifiques bien établies que nos gouvernants ne veulent pas reconnaitre. Le but est évidement de prolonger la crise et la ruine de la classe moyenne et de nous faire   consommer du remdesivir, puis les vaccins géniques non testés sur plus de deux mois, et leurs risques majeurs.

Et pourtant l'épidémie est vraiment terminée

Réseau sentinelle : où sont les malades Covid19 en fin d’année 2020 ?

Depuis début septembre2020, 543 patients présentant une Infection Virale Aigue (IRA) ont été vus en consultation de médecine générale et de pédiatrie et ont été prélevés dans le cadre de la surveillance Sentinelle, prélèvements essentiellement nasopharyngés testés pour différents virus respiratoires, dont le SARS-CoV-2 (COVID-19) et les virus grippaux.

En semaine 52 : aucun n’était positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) (0/17 testés) En semaine 53 : aucun prélèvement ne s’est révélé positif au SARS-CoV-2 (COVID- 19) parmi les échantillons prélevés, et 17 patients présentant une IRA vus en consultation 23,1%) étaient positifs au hRV (virus du rhume).

 

Cette absence confirmée de malade de Covid19 en consultation de ville dure depuis la semaine 47.

 

Ces données permettent d’estimer qu’en fin d’année 2020, le taux d’incidence des cas d’infections respiratoires aigües dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale était inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants[7], représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste.

 Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes.

La quasi-disparition des malades Covid19 est aussi observée par SOS médecins

 

Et aux urgences des hôpitaux :

 

 

Cette quasi-absence de malades Covid19 vus en médecine générale et en pédiatrie, par SOS médecins et aux urgences hospitalières dément les propos alarmistes du ministère basés sur des tests majoritairement réalisés en dépistage sur des asymptomatiques, qui ne sont ni malades, ni porteurs de virus entiers, ni contagieux. Si l’épidémie était encore active, les médecins généralistes devraient voir de nombreux malades covid19 ; or ils n’en voient plus.

 

Alors pourquoi cette désinformation gouvernementale permanente ?

On ne trouve pas d’autre explication que la volonté de prolonger la panique dans la population et l’état d’urgence indéfiniment pour justifier des mesures prétendument sanitaires, alors que rien ne prouve qu’elles puissent avoir le moindre impact sur la propagation d’une éventuelle épidémie.

La finalité de cette propagande mensongère est vraisemblablement de réaliser le programme de Davos bien détaillé dans le livre de Schwab en supprimant, entre autres, 75% des restaurants indépendants par le maintien des confinements et interdictions de travailler jusqu’en décembre 2021 précisément prévu par le rapport 9 de Ferguson, dont toutes les prédictions se sont révélées fausses  [8] ,[9] mais que le gouvernement suit à la lettre.

Les prophéties sont là pour conditionner la population naive et non pour aider à la sécurité sanitaire. Le déroulement de la gestion de l’épidémie le démontre jour après jour.

 

 

Sortir de l'emprise du gouvernement sur la population

Que peuvent faire les innombrables victimes de ces mesures aberrantes ?

Cesser d’avoir peur d’un virus qui rend actuellement beaucoup moins de gens malades que les rhumes saisonniers.

Cesser d’être dupe de la propagande des médias et des promesses gouvernementales : indemnisations et réouvertures prochaines toujours prévues dans 15 jours et toujours reportées à cause de « cas » dont le nombre augmente toujours juste avant une décision pour la justifier (alors qu’elle a été prise en réalité bien longtemps auparavant). Le but de cette politique est de pousser à la faillite un maximum d’établissements pour que les chaînes puissent accaparer le marché.

Expliquer autour de soi que pratiquer des tests PCR quand on est en bonne santé ne sert à rien, ni pour celui qui les subit[10] , ni pour ses proches[11] mais contribue uniquement à alimenter la propagande gouvernementale pour prolonger l’état d’urgence et les fermetures. Stop tests !

Rappeler à tous les résultats catastrophiques de la politique sanitaire française suivie jusque-là et qui nous a placés, avec les pays qui confinent durement, dans le top 5 européen des plus fortes mortalités Covid19. Stop politique mortifère !

Informer ses élus, maires, députés en leur montrant les données de ce réseau Sentinelle qui montre que l’épidémie est derrière nous, leur rappelant que la prolongation des restrictions tue l’économie, obère l’avenir des jeunes[12] et menace à terme la vie de plusieurs dizaines de milliers de français, sans protéger réellement qui que ce soit.

Porter plainte en justice contre les responsables de ces mesures pour faire indemniser à leur juste valeur les préjudices subis. Que les responsables paient !

Manifester pacifiquement pour le respect de nos libertés fondamentales : liberté de travailler, liberté de circuler, liberté d’exprimer ses opinions, liberté de prier, d’aller au restaurant, au théâtre ou au musée, à la faculté, dans les bars ou en discothèque etc. Sans masque, qui n’est que témoin de la soumission que nous impose les dirigeants soumis à l’OMS, sauf en quelques pays plus respectueux de leurs peuples comme la Finlande, l’Islande, la Suède[13], la Norvège[14], la Biélorussie.

LIBERTE !

                [1] Aucun essai randomisé, ni aucune étude historique n’accrédite l’efficacité du couvre-feu contre une épidémie qui brime surtout les jeunes alors que les seuls qu’il faut protéger sont les séniors déjà malades. [2] Coronavirus : pourquoi le variant sud-africain inquiète les scientifiques ? les chercheurs n’ont pas constaté une hausse de la mortalité directement liée à ce variant. [3] OMS Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs ivd 15 12 2020 https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users [4] Cour d’appel de Lisbonne du 26-08-2020 : Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu'une telle positivité correspond, en fait, à l'infection d'une personne par le virus SRAS-CoV-2, [5] Recommandation du l’agence sanitaire galloise du 20 juillet 2020 : The performance of the existing RT-PCR is  isunsuited to the non-targeted screening of asymptomatic individuals, les tests PCR ne sont pas adaptés au dépistage global, non ciblé d’individus asymptomatiques https://gov.wales/technical-advisory-cell-principles-using-rt-pcr-test-detect-sars-cov-2 [6]E Surkova, V Nikolayevskyy, F Drobniewsk False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs www.thelancet.com/respiratory Vol 8 December 2020 https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext [7] Pour la grippe saisonnière on parle d’épidémie lorsque l’incidence atteint 150 à 200/100000 [8] N Delépine LES DESSOUS DU RAPPORT CLASSÉ SECRET DÉFENSE DE FERGUSON ET LE CONFINEMENT Economie matin28 4 2020 http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine [9] N Delépine Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie France Soir 11 1 2021 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie [10] Puisque les cas positifs ne sont pas traités [11]L’étude chinoise récente montre que sur 410 cas asymptomatiques recensés après dépistage de près de 10 millions de chinois, aucun n’a fait de maladie, aucun n’excrétait de virus et aucun n’a contaminé ses contacts [12] D’après l’OMS : les jeunes sont touchés de façon disproportionnée par les conséquences à long terme des mesures sanitaires : l’interruption de la scolarité, l’incertitude économique, la perte ou le manque de possibilités d’emploi, les effets sur la santé physique et mentale et les traumatismes causés par la violence domestique. Par exemple, des troubles anxieux provoqués par la COVID-19 ont été détectés chez près de 90 % des jeunes, plus d’un milliard d’élèves dans presque tous les pays ont été touchés par la fermeture des écoles et un jeune sur six dans le monde a perdu son emploi pendant la pandémie. [13] Qui vient seulement de recommander le masque dans les transports publics [14] Qui n’impose le masque que dans les transports publics bondés

Auteur(s) : Dr. Gérard Delépine,

pour FranceSoir

Pourquoi cette chasse aux sorcières contre les opposants au vaccin ?

...par Alain Marsauguy - Le 12/01/2021.

Source : Riposte laïque.

Aller à contre-courant du discours officiel sur la crise sanitaire, c’est courir un grave danger. Que cache cette hystérie politico-médiatique sur le vaccin ?
Traquer les discours déviants. Jeter l’opprobre sur ceux qui ont l’audace de mettre en doute l’efficacité des mesures gouvernementales. Le pouvoir se montre implacable avec ceux qui refusent la pensée unique. Il veut imposer un seul et même discours à tous les médias. Une dérive autoritaire inquiétante dans un pays où la liberté de penser et de s’exprimer est inhérente à la démocratie.

Partie de Wuhan dans le centre de la Chine, cette pandémie du Covid-19 qui a frappé le monde entier laissera des traces dans notre pays. Pour la première fois, hors période de guerre, le gouvernement a pris des décisions portant atteinte à des libertés fondamentales, comme celles de se déplacer ou de se réunir, sous peine d’amendes. Plus grave encore, il a menti aux Français pour masquer – sans jeu de mot – son impéritie, ses carences et ses atermoiements. Comment peut-il s’étonner qu’il ait perdu au fil des mois sa crédibilité et la confiance des Français dans les mesures sanitaires adoptées ?

Pire, le pouvoir a franchi un pas supplémentaire vers une dictature qui ne dit pas son nom en tentant de museler ceux qui refusaient le discours officiel. Ainsi du professeur Didier Raoult que le pouvoir a voulu discréditer en mettant en doute l’efficacité du traitement par l’hydroxychloroquine pour lutter contre le Covid-19. Une campagne de dénigrement et de haine sans précédent menée contre l’éminent infectiologue, expert mondialement reconnu dans le domaine des maladies transmissibles. Mais qui avait pour seul tort de prescrire un vieux médicament vendu sous le nom de Plaquenil, utilisé contre le paludisme et en rhumatologie, passé dans le domaine public.

C’est « le traitement le moins cher et le plus simple pour traiter le coronavirus Covid 19 » affirmait le 25 février 2020 celui qui dirige l’IHU méditerranée après avoir vérifié l’efficacité du médicament sur de nombreux patients. Que n’avait-il dit là ? Dés le lendemain, ses propos étaient démentis par le ministère de la santé. Raoult devenait l’homme à abattre. Le débat qui aurait dû rester scientifique devenait passionnel sur les plateaux de télévision. La France se déchirait entre pro et anti Raoult.

Etude bidon
Mais, heureuse surprise pour le pouvoir, une étude paraissait le 22 mai dans la revue scientifique britannique « The Lancet » qui mettait en cause l’efficacité du médicament dans le traitement de la maladie. Le gouvernement s’empressa de saisir l’occasion pour interdire aux médecins de prescrire l’hydroxychloroquine à leurs patients. Pourtant, quelques jours après la parution de l’article, des scientifiques commencèrent à douter, pointant des erreurs potentielles et une méthodologie discutable.

Des critiques jugées recevables par l’OMS qui autorisa la poursuite des essais cliniques. Le 4 juin, trois des quatre co-auteurs de l’étude se rétractaient. L’étude était bidon. Pas question pour autant d’autoriser à nouveau la prescription de l’hydroxychloroquine aux patients. Véran restait droit dans ses bottes dans son opposition à ce traitement. Etait-ce parce que Trump et Bolsonaro en faisaient la promotion ou y avait-il des intérêts inavouables derrière ce refus ?

Les rumeurs concernant les liens financiers de membres du Conseil scientifique avec des laboratoires sont-elles fondées ? Le ministre de la Santé est-il lui-même sous influence ? Des questions qui se posent naturellement quand on constate l’acharnement que met le pouvoir à empêcher les voies dissidentes à s’exprimer. Ainsi le professeur Christian Perronne, spécialiste des pathologies tropicales et des maladies infectieuses, démis en décembre de ses fonctions de chef de service de l’hôpital de Garches pour « propos considérés comme indignes de la fonction qu’il exerce » à la suite de ses critiques virulente de la politique sanitaire du gouvernement.

« Ces morts (du Covid) auraient pu être évités si on avait traité tout le monde, tout de suite, avec l’hydroxychloroquine. On a fait peur aux médecins pour qu’ils ne le prescrivent pas » avait déclaré le professeur, auteur d’un livre à succès* dans lequel il ne mâche pas ses mots. Sous la menace de sanctions du Conseil de l’Ordre des Médecins et, en dépit des mises en garde de l’APHP, il continue sa croisade d’information dans les médias. « Un médecin généraliste qui déclare un test Covid pour l’un de ses patients touche de l’argent, déclare-t-il sur Sud Radio. Donc il a intérêt à faire beaucoup de tests et, par chance, de temps en temps il va y en avoir un qui est positif et c’est le jackpot pour les hôpitaux et les services ».

A propos des vaccins, l’éminent professeur met carrément les pieds dans le plat : « On veut nous imposer tout cela pour que les Français craquent en disant : « On vous enlève le masque si vous acceptez le vaccin ». Je pense qu’il y a une manipulation de la science, par qui, par quoi, je ne sais pas. Après, ce n’est pas à moi de dire qui c’est ».

Interné dans un hôpital psychiatrique
Opposant déclaré aux vaccins, le professeur Jean-Bernard Fourtillan, un pharmacologue réputé âgé de 77 ans, a été interpellé le 7 décembre dernier pour être placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes avant d’être interné, contre son gré, dans un hôpital psychiatrique prés d’Uzès (Gard). L’indignation a été telle sur les réseaux sociaux que le septuagénaire a pu recouvrer la liberté après avis médical.

Sommes-nous en voie de stalinisation ? Les opposants au pouvoir risquent-ils l’asile psychiatrique comme à l’époque de l’URSS ? Quand on voit la campagne de haine suscitée par le documentaire « Hold-up » et les pressions exercées sur les intervenants pour qu’ils se rétractent, on est en droit de se poser la question.
Le pouvoir s’est d’ailleurs donné les moyens de réprimer les dissidents en accentuant la surveillance des réseaux sociaux. Ainsi le 23 octobre dernier le chef du gouvernement a annoncé un renforcement de la plate-forme Pharos et la création d’un pôle spécifique géré par le parquet de Paris.
Des pressions sur la liberté d’expression qui rappellent les mesures prises par les autorités communistes chinoises pour empêcher la divulgation d’informations sur ce qui s’était passé dans les premiers jours de l’épidémie. Médecin à l’hôpital central de Wuhan, le docteur Li Wenliang avait été arrêté fin décembre 2019 pour avoir alerté ses collègues sur la dangerosité du coronavirus qui faisait des ravages chez ceux qui en étaient atteints.

Une enquête avait été ouverte contre lui l’accusant d’avoir « répandu des rumeurs » et « perturbé gravement l’ordre social ». Ayant contracté lui-même le virus début janvier 2020, le lanceur d’alerte avait succombé à la maladie le 7 février. Il est considéré comme un héros national en Chine.
Fin novembre, le président Chinois Xi Jiping a renouvelé ses mises en garde aux médecins pour leur interdire de parler de l’apparition du Covid-19 sous peine de sanctions allant jusqu’à la condamnation à mort, les professionnels de santé courant le risque d’être accusés d’espionnage. Il a aussi interdit aux médecins qui se trouvaient là au début de l’épidémie de collaborer avec la mission de l’OMS chargée de déterminer comment le SARS Cov-2 est né.

Pourquoi de telles pressions, de telles menaces ? Qu’ont à cacher les autorités chinoises ? Que craignent-elles que l’on découvre ?
Les Etats-Unis assurent – contrairement à la version officielle de la chauve-souris et du pangolin – que le virus responsable de la pandémie se serait échappé du laboratoire P4 de l’institut de virologie de Wuhan. Construit avec la collaboration de la France dans le cadre d’un accord de coopération sur la prévention et le contrôle des nouvelles maladies infectieuses, ce laboratoire « de haute sécurité biologique » a ouvert en 2018.

Notre pays, fortement impliqué dans la préparation et la réalisation de ce projet, aurait-il une part de responsabilité dans « l’accident » survenu à Wuhan ? Cette hypothèse pourrait expliquer le malaise des dirigeants français dans ce dossier et leur volonté d’étouffer toutes les voix dissidentes.

L'auteur

Ancien journaliste. Fondateur et animateur du site france-patriote.fr

Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique COVID-19

...par Denis G. Rancourt - Le 28/12/2020.

Source : Le Saker Francophone

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Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d’obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vaccins sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence. Le gouvernement a fait preuve d’imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.

 

Introduction – Pandémie iatrogène de panique

Le contexte politico-sanitaire est un contexte dans lequel, jusqu’en 2019, le consensus scientifique et politique passé en revue était que les mesures globales généralement et universellement appliquées en 2020 étaient 1 2 :

  • non recommandées sans être justifiées par des preuves quantitatives suffisantes des circonstances épidémiologiques locales (juridictionnelles) (transmissibilité, gravité de la maladie, impact), et sans être mises en balance avec les préjudices économiques, sanitaires et sociaux locaux qui en résultent
  • pour de nombreuses mesures (recherche des contacts, mise en quarantaine des personnes exposées, contrôle des entrées et des sorties, fermeture des frontières), « non recommandé en aucune circonstance », quelle que soit la gravité de la maladie respiratoire virale pandémique (modérée, élevée ou extraordinaire)

Le contexte politico-sanitaire est également un contexte dans lequel il existe une histoire récente documentée de « paniques répétées de pandémie de santé » dans laquelle « les experts en maladies souhaitent attirer l’attention du public et faire pencher les décisions d’allocation de ressources en faveur de la maladie qui les intéresse »3. Bonneux et Van Damme, en 2011, l’ont exprimé ainsi 4 :

Les paniques répétées de pandémie de santé causées par un virus aviaire H5N1 et un nouveau virus de grippe humaine A(H1N1) font partie de la culture de la peur [réf.] Le pire des scénarios a remplacé l’évaluation équilibrée des risques. Le pire des scénarios est motivé par la conviction que le danger auquel nous sommes confrontés est tellement catastrophique que nous devons agir immédiatement. Plutôt que d’attendre des informations, nous avons besoin d’une frappe préventive. Mais si les ressources achètent des vies, le gaspillage des ressources gaspille des vies. Le stockage préventif d’antiviraux largement inutiles et les politiques irrationnelles de vaccination contre un virus H1N1 exceptionnellement bénin ont gaspillé plusieurs milliards d’euros et érodé la confiance du public dans les responsables de la santé. [réf.] La politique de lutte contre la pandémie n’a jamais été guidée par des preuves, mais par la crainte des pires scénarios.

En outre, un important scandale de conflit d’intérêts concernant les recommandations de l’OMS en matière de pandémie de grippe a été exposé en détail en 2010, où les enquêteurs Cohen et Carter ont conclu : « Parmi les principaux scientifiques qui conseillent l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe, certains ont fait un travail rémunéré pour les entreprises pharmaceutiques qui ont tout à gagner des conseils qu’ils ont rédigés. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été rendus publics par l’OMS »5

En 2020, rien de tout cela n’avait d’importance. Nous sommes entrés dans un monde de propagande, avec des institutions captives. Le principe de précaution (le gouvernement doit prouver l’absence probable de dommages avant d’imposer des politiques dangereuses) a été renversé, et la charge de la preuve a été imposée à la science pour justifier a posteriori des mesures sans précédent, rapidement imposées en l’absence de science ou même en s’opposant à elle. Malheureusement, une grande partie ou la plupart de l’establishment scientifique s’est conformé au nouveau programme.

Récemment, il y a eu à la fois des événements dramatiques (lancement du vaccin) et des communications scientifiques importantes, depuis que j’ai publié mes deux premiers articles scientifiques concernant la politique autour de la COVID-19, le 11 avril 2020 6 et le 3 août 2020 7, ainsi que des articles sur les préjudices mortels des réponses gouvernementales, déduits des données sur la mortalité toutes causes confondues, dépendantes du temps et de la juridiction 8 9.

Mes deux premières analyses ont porté sur la science et la politique des masques 10 11. La présente mise à jour des développements récents porte à nouveau sur les masques, et comprend en outre des points clés sur les mesures de confinement et les vaccins.

La rigueur des mesures n’a aucun effet sur le nombre total de décès attribués à la COVID-19

Deux grandes études récentes ont été menées à l’échelle mondiale.

Dans leur article du 21 juillet 2020 intitulé « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de l’état de préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité de la COVID-19 et les résultats sanitaires associés » (50 pays), Chaudhry et al. ont indiqué 12 :

La fermeture rapide des frontières, le confinement total et les tests à grande échelle n’ont pas été associés à la mortalité de la COVID-19 par million de personnes. (Résumé / Résultats)

Lorsque la mortalité de la COVID-19 a été évaluée, les variables significativement associées à une augmentation du taux de mortalité par million étaient la prévalence de l’obésité dans la population et le PIB par habitant. En revanche, les variables qui étaient négativement associées à une augmentation de la mortalité de la COVID-19 étaient la réduction de la dispersion des revenus au sein de la nation, la prévalence du tabagisme et le nombre d’infirmières par million d’habitants. En effet, un plus grand nombre d’infirmières dans un système de soins de santé donné était associé à une réduction de la mortalité. Les taux de mortalité étaient également plus élevés dans les comtés dont la population était plus âgée […]. Enfin, les mesures gouvernementales telles que la fermeture des frontières, le confinement total et un taux élevé de tests COVID-19 n’ont pas été associées à des réductions statistiquement significatives du nombre de cas critiques ou de la mortalité globale. (Section 3.4)

Dans leur article du 19 novembre 2020 « Mortalité du fait de la COVID-19 : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées » (160 pays), De Larochelambert et al. ont trouvé 13 :

Résultats : Des taux de mortalité plus élevés sont observés dans les zones de latitude [25/65°] et de longitude [-35/-125°]. Les critères nationaux les plus associés au taux de mortalité sont l’espérance de vie et son ralentissement, le contexte de santé publique (fardeau des maladies métaboliques et non transmissibles (MNT) par rapport à la prévalence des maladies infectieuses), l’économie (produit national de croissance, soutien financier) et l’environnement (température, indice ultra-violet). La rigueur des mesures mises en place pour lutter contre la pandémie, y compris le confinement, ne semble pas être liée au taux de mortalité.

Conclusion : Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l’espérance de vie, avec des revenus et des taux de mortalité élevés, ont eu le plus lourd tribut à payer. Ce fardeau n’a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes. Des facteurs inhérents ont prédéterminé la mortalité de la Covid-19 : leur compréhension peut améliorer les stratégies de prévention en augmentant la résilience de la population grâce à une meilleure condition physique et une meilleure immunité. (Résumé)

L’American Institute for Economic Research (AIER Staff) a passé en revue ces études et 22 autres études qui aboutissent à des conclusions similaires, dans son rapport du 19 décembre 2020 intitulé « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves » 14.

Par conséquent, dans l’ensemble, le nombre total de cas critiques et le nombre total de décès étaient associés à l’état de santé préexistant et à l’état sociétal de la population, et cela n’a pas été amélioré par les mesures gouvernementales visant à ralentir la transmission.

Il est important de noter qu’en plus des études sur les associations avec la mortalité totale, la dépendance temporelle et la granularité (dépendance juridictionnelle) de la mortalité toutes causes confondues montrent que la déclaration de pandémie de l’OMS du 11 mars 2020 et la recommandation universelle de « préparer vos hôpitaux » ont été suivies d’un grand nombre de décès, probablement induits par les infections et le confinement strict des maisons de soins non ventilées pour les personnes malades et âgées 15 16.

La pandémie iatrogène de propagande en terme de psychologie de masse et la sociologie autour de la COVID-19 de 2020 commencent à être étudiées par des méthodes quantitatives 17.

La corruption de la science est mise à nue – Masques et PCR

Un aspect positif de ce que l’on peut appeler la « pandémie de propagande » actuelle est que la corruption systémique généralisée de l’establishment scientifique est exposée, non seulement par des rétractations très médiatisées d’articles publiés dans des revues de premier plan, mais aussi par des éditoriaux critiques. Par exemple, le 13 novembre 2020, le rédacteur exécutif Kamran Abbasi l’a exprimé en termes très clairs dans les pages de l’éminent BMJ 18 :

La science est supprimée pour des raisons politiques et financières. La Covid-19 a déclenché une corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. [réf] Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.

J’en donne trois exemples.

Premièrement, le biais systémique est palpable dans une mini-saga récente sur les masques, publiée dans les pages du New England Journal of Medicine 19 20 21.

Gandhi et Rutherford ont écrit un article intitulé « Perspective », publié le 29 octobre 2020 22. Les auteurs avancent l’idée extraordinaire que se masquer réduit la gravité de la maladie chez les personnes infectées. Ils commencent par l’affirmation propagandiste selon laquelle le masquage facial universel est « l’un des piliers de la lutte contre la pandémie de Covid-19 ». Ils poursuivent en avançant l’argument fantastique suivant : les masques peuvent réduire l’inoculum viral et donc provoquer des infections asymptomatiques dans lesquelles le sujet développe une immunité. Cela a alarmé les répondants car le mécanisme proposé est ce que l’on pourrait appeler « l’immunité acquise naturellement grâce aux masques ». Admettre tout type d’immunité naturelle, qui est une dure réalité de la biologie de l’évolution, est devenu sacrilège.

Deux groupes de chercheurs ont publié des réfutations contre Gandhi et Rutherford, dans la même revue.

Rasmussen et al. ont écrit 23 :

Il n’y a pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle les masques réduisent la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 et la gravité de la Covid-19, et encore moins que leur utilisation peut induire une immunité protectrice. […] La suggestion que les masques offrent une alternative à la vaccination sans preuve que les bénéfices l’emportent sur les grands risques encourage implicitement les comportements irresponsables.

Brosseau et al. ont, pour leur part, réajusté diplomatiquement les vues exposées par Gandhi et Rutherford en ramenant les lecteurs à la science et à la réalité établies 24 :

La réplication virale est liée à la dose, mais la gravité de la maladie ne l’est pas. L’épidémiologie indique que l’apparition de formes graves de Covid-19 est associée à des conditions préexistantes et à d’autres facteurs de risque, tels que l’âge, le sexe et la grossesse [réf].

Bien qu’elle n’ait pas encore été démontrée dans des modèles expérimentaux, la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 est probablement similaire à celle du SRAS-CoV – environ 300 virions [réf]. Quelle que soit la gravité de la maladie, les gens présentent des charges virales élevées et un virus infectieux pendant au moins 8 jours après l’apparition des symptômes. La parole normale peut générer jusqu’à 3000 particules de 1 micron par minute dans l’air expiré, [ref] et chaque particule pourrait contenir plus de 250 virions, ce qui signifie qu’une seule minute de parole génère potentiellement plus de 750 000 virions. Les revêtements de visage en tissu ont une efficacité très variable en fonction de la capacité de filtrage et de l’ajustement. Le port d’un couvre-visage en tissu à proximité d’une personne infectée pendant plusieurs minutes peut ne pas empêcher la réception d’une dose infectieuse, qui, comme indiqué ci-dessus, n’est pas corrélée à une maladie moins grave.

Les auteurs de l’article original n’ont pas été dissuadés et ont répondu :

« Plus de preuves s’accumulent pour supporter cette idée » et « il y a de plus en plus de preuves à la fois physiques et d’enquêtes épidémiologiques que les masques en tissu (s’ils sont portés correctement) réduisent à la fois la transmission et l’acquisition » 25 L’examen de leurs sources montre que les auteurs ont une vision généreuse de ce qui peut constituer une « preuve » à l’appui. Voir également 26, concernant la tournure que prend l’« accumulation de preuves » dans le contexte politique des masques faciaux.

Deuxièmement, un exemple étonnant, toujours à propos des masques, est fourni dans les pages de Nature Medicine. Ici, l’équipe de prévision de la COVID-19 de l’IHME, le 23 octobre 2020 (« étude de l’IHME »), a déclaré que le port universel de masque serait d’une grande utilité aux États-Unis 27 :

L’utilisation du port universel de masque pourrait sauver 129 574 (entre 85 284 – 170 867) vies supplémentaires entre le 22 septembre 2020 et la fin février 2021, ou 95 814 (entre 60 731 – 133 077) vies supplémentaires en supposant une adoption moindre du port du masque (85%), par rapport au scénario de référence. (Résumé)

Si les masques offrent un avantage aussi important, il est impossible de comprendre comment aucun des nombreux grands essais contrôlés randomisés (ECR) dont les résultats sont vérifiés, n’a détecté cet avantage. Il est impossible d’obtenir les résultats négatifs souvent répétés dans les études ECR de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire, si les prémisses et les conclusions de l’étude IHME sont correctes. L’étude de l’IHME a été réfutée avant même sa publication.

L’étude de l’IHME est fatalement défectueuse sur au moins deux points :

  1. La méta-régression utilisée pour estimer (« suggérer », selon leurs termes) que le port universel du masque permet une réduction de 40% et plus de la transmission est sans valeur, et est le fruit d’un biais constructif ;
  2. Ils ont utilisé des données incorrectes pour évaluer la conformité du masquage de la population américaine pour la période concernée.

Cette dernière faille fatale a été exposée par Magness, dans son rapport publié dans le Wall Street Journal, intitulé « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées » 28 :

Malheureusement, les conclusions des modélisateurs de l’IHME contenaient une erreur que même un examen minimal aurait dû permettre de détecter. Le nombre prévu de vies sauvées et le cas implicite d’une obligation de port de masques sont basés sur une statistique erronée. En utilisant une enquête datant de plusieurs mois, les modélisateurs de l’IHME ont supposé à tort que le taux d’adoption de masques aux États-Unis ne s’élevait qu’à 49% à la fin du mois de septembre, et qu’il y avait donc une grande marge de manœuvre pour passer à une « adoption universelle », définie comme 95%, ou à un taux plus plausible de 85%. Cependant, selon les résultats d’une enquête plus récente, le taux d’adoption de masques aux États-Unis tourne autour de 80 % depuis l’été.

Magness ne fait aucune mention de la prémisse fictive de l’étude de l’IHME selon laquelle le port universel de masques réduit la transmission de 40 % et plus.

Troisièmement, dans l’un des plus grands scandales de l’épisode COVID-19, un test d’amplification en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR) a été mis au point à la hâte, dans des circonstances douteuses, qui n’est ni un diagnostic de la présence de virus infectieux, ni spécifique du SRAS-CoV-2, et déployé par les États pour la confirmation de l’infection chez les individus symptomatiques, et pour les tests de masse de la population générale asymptomatique.

Le dit test RT-PCR a été présenté ainsi par Corman et al. 29, et leur propre article indique :

Nous avions pour objectif de développer et de déployer une méthodologie de diagnostic robuste à utiliser dans les laboratoires de santé publique sans disposer de matériel viral. […]

Dans toutes ces situations [toutes les applications passées de la RT-PCR pour « détecter les virus responsables des sécrétions respiratoires »], les isolats de virus étaient disponibles comme substrat principal pour établir et contrôler les tests et les performances des tests.

Dans le cas présent du 2019-nCoV, les isolats de virus ou les échantillons provenant de patients infectés ne sont pas encore disponibles pour la communauté internationale de la santé publique. Nous faisons ici rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de diagnostics pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV, conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le CoV-SARS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. […]

Le présent rapport décrit la mise en place d’un processus de diagnostic pour la détection d’un virus émergent en l’absence de sources physiques d’acide nucléique génomique viral. La rapidité et l’efficacité de l’effort actuel de déploiement et d’évaluation ont été rendues possibles par les réseaux de recherche nationaux et européens mis en place en réponse aux crises sanitaires internationales de ces dernières années, ce qui démontre l’énorme capacité de réaction qui peut être dégagée par l’action coordonnée des laboratoires universitaires et publics [réf]. Cette capacité des laboratoires ne soutient pas seulement les interventions immédiates de santé publique, mais permet aux sites d’enrôler des patients lors de réponses rapides de recherche clinique.

Un consortium international de scientifiques des sciences de la vie estime que l’article de Corman et al. présente des lacunes technologiques et méthodologiques fatales : Voir le rapport de Borger et al qui concluent, parmi plusieurs critiques, que 30 :

Il s’agit là de graves erreurs de conception, puisque le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier et les fragments de virus. Le test ne peut pas être utilisé comme un diagnostic pour les virus du SRAS.

En outre, l’absence du gène HE dans le CoV-1 et le CoV-2 du SRAS fait de ce gène le témoin négatif idéal pour exclure d’autres coronavirus. Le document de Corman-Drosten ne contient pas ce contrôle négatif, ni aucun autre contrôle négatif. Le test PCR du papier Corman-Drosten ne contient donc ni témoin positif unique ni témoin négatif permettant d’exclure la présence d’autres coronavirus. Il s’agit là d’un autre défaut de conception majeur qui classe le test comme inadapté au diagnostic.

Nous constatons de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs, outre le fait que deux des auteurs de l’article de Corman-Drosten (Christian Drosten et Chantal Reusken) sont membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Un conflit d’intérêt a été ajouté le 29 juillet 2020 (Olfert Landt est PDG de TIB-Molbiol ; Marco Kaiser est chercheur senior au GenExpress et est conseiller scientifique de TIB-Molbiol), qui n’était pas déclaré dans la version originale (et qui manque toujours dans la version PubMed) ; TIB-Molbiol est la société qui a été « la première » à produire des kits PCR (Light Mix) basés sur le protocole publié dans le manuscrit de Corman-Drosten, et selon leurs propres termes, ils ont distribué ces kits de test PCR avant même que la publication ne soit soumise à relecture [réf] ; de plus, Victor Corman & Christian Drosten ont omis de mentionner leur deuxième affiliation : le laboratoire de test commercial « Labor Berlin ». Tous deux sont responsables du diagnostic des virus dans ce laboratoire [réf.] et la société opère dans le domaine des tests PCR en temps réel.

À la lumière de notre réexamen du protocole de test pour identifier le CoV-2 du SRAS décrit dans le document de Corman-Drosten, nous avons identifié des erreurs et des failles inhérentes qui rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile.

Bon nombre des critiques de Borger et al ont déjà été prouvées par des vérifications détaillées en laboratoire, comme le remarquable article de Singanayagam et al 31, qui utilise la RT-PCR avec le gène cible RdRp, qui montre (en particulier leur figure 3 A) :

  • L’importance du nombre de cycles de PCR (Ct), à la fois dans le compte rendu clinique et dans l’interprétation clinique
  • Qu’à l’exception des cas d’hospitalisation extrême (qui n’ont pas été étudiés), tous les cas positifs détectés avec la RT-PCR plus de 10 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition correspondaient à des virus non infectieux (fragments de virus morts) (aucun virus n’a pu être cultivé dans des cultures cellulaires optimales)
  • Qu’aucun délai n’a été observé pour la détection de ces virus non infectieux (fragments de virus morts), car ceux-ci ont été obtenus, avec une Ct=28-39, jusqu’à 60 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition.
  • Qu’à moins de 10 jours, avec un Ct=18-40, près de la moitié des « positifs » étaient des virus non infectieux (fragments de virus morts)
  • Un seuil opérationnel de Ct=30, au-delà duquel les « positifs » ont moins de 40% de probabilité (<8% à Ct>35) de correspondre à un virus viable, indépendamment du temps relatif à l’apparition des symptômes ou à l’exposition (leur figure 2)

De tels résultats concernant la fausse détection de virus présumés viables ont également été obtenus dans la grande étude plus récente de Jaafar et al. 32 qui ont utilisé l’amplification par RT-PCR du gène E que l’on pense être un peu moins spécifique du SRAS-CoV-2.

Il est clair que le test RT-PCR utilisé dans le monde entier est en soi sans valeur. Il produit de grandes quantités de « positifs » qui ne correspondent à aucun virus infectieux viable, qu’il s’agisse du SRAS-CoV-2 ou d’un autre. On n’y remédie que partiellement si les laboratoires se limitent à des Ct<30, sans parler du grand potentiel d’autres mauvaises pratiques de laboratoire sur le terrain.

Ajoutez à cela la malhonnêteté de la santé publique qui consiste à fabriquer une nouvelle définition de ce qui constitue un « cas ». Un « cas » est défini en médecine comme une infection active, symptomatique et diagnostiquée. Ce n’est plus le cas. Tout cas « positif » dans le « test » RT-PCR défectueux est désormais considéré comme un « cas ». La campagne massive de tests RT-PCR de la population générale asymptomatique, qui n’a aucune utilité clinique ou épidémiologique, alimente ainsi la propagande médiatique de la peur, avec des conséquences désastreuses : Tests RT-PCR non pertinent → signifie « cas » → propagande → mesures arbitraires / plus grand mal → popularité des dirigeants 33

La transmission ne se fait pas par contact

Le 17 septembre 2020, une étude approfondie a été publiée par Meyerowitz et al 34 dans l’une des principales revues médicales du monde, Annals of Internal Medicine, qui a conclu ce qui aurait dû être évident dès le départ, même pour l’OMS : La transmission par contact des maladies respiratoires virales, y compris le SRAS-CoV-2, est hors sujet.

Selon les termes de Meyerowitz et al :

Des preuves solides provenant de rapports de cas et de groupes de cas indiquent que la transmission respiratoire est dominante, la proximité et la ventilation étant les principaux déterminants du risque de transmission. Dans les quelques cas où un contact direct ou une transmission fomitive est présumé, la transmission respiratoire n’a pas été complètement exclue. L’infectiosité atteint son maximum environ un jour avant l’apparition des symptômes et diminue dans la semaine qui suit, et aucune transmission liée tardivement (après qu’un patient a eu des symptômes pendant environ une semaine) n’a été documentée. Le virus présente une dynamique de transmission hétérogène : La plupart des personnes ne transmettent pas le virus, tandis que certaines provoquent de nombreux cas secondaires dans des groupes de transmission appelés « super-dispersion ». (Résumé)

[…] Il n’existe actuellement aucune preuve concluante de la transmission par fomite ou par contact direct du SRAS-CoV-2 chez l’homme.

Cette conclusion a des implications de grande portée :

  • Elle signifie que la « recherche des contacts » est une absurdité pour les maladies respiratoires virales. Il n’est donc pas étonnant que l’OMS ait recommandé en 2019 que la recherche des contacts soit « déconseillée en toutes circonstances » (voir ci-dessus). Pourquoi l’OMS a-t-elle rejeté la transmission par aérosol pour la COVID-19 ? C’est de l’anti-science arbitraire. 35
  • Cela signifie que le lavage compulsif des mains et le nettoyage des surfaces sont des absurdités épidémiologiques, avec des conséquences négatives évidentes, comme les rappels massifs de désinfectants toxiques 36.
  • Cela signifie que les gouvernements et l’OMS ont été négligents pendant plus d’une décennie en n’étudiant pas, en ne recommandant pas et en ne mettant pas en œuvre des politiques de ventilation axées sur la transmission pour l’environnement bâti. En fait, l’OMS a enterré son propre rapport d’experts sur le sujet de 2009, sous la rubrique « eau / assainissement / santé » sur son site web 37, et un article de synthèse exhaustif du domaine public a été publié en 2007 38.
  • Cela signifie que le verrouillage des portes et des fenêtres des maisons de soins pour personnes âgées constitue le pire scénario possible pour prévenir les épidémies dans les maisons de soins 39 40.

Li et al 41 ont conclu (leur étude a été citée plus de 600 fois) :

Dix des 40 études examinées ont été considérées comme concluantes en ce qui concerne l’association entre la ventilation des bâtiments et la transmission d’infections aéroportées. Il existe des preuves solides et suffisantes pour démontrer l’association entre la ventilation, les mouvements d’air dans les bâtiments et la transmission / propagation de maladies infectieuses telles que la rougeole, la tuberculose, la varicelle, la grippe, la variole et le SRAS. (Résumé)

J’ai fait valoir que c’est précisément parce que la principale voie de transmission est constituée de fines particules d’aérosol que les masques ne peuvent pas réduire la transmission 42 43.

Face à la preuve irréfutable que les masques ne réduisent pas le risque d’infection de leur porteur 44 45, l’OMS et le complexe de santé publique ont inventé le « masque magique à sens unique », qui empêche la transmission par le porteur, tout en ne le protégeant pas. Les médias ont été ravis de propager ce fantasme, contraire aux lois de la physique, concernant la circulation de l’air porteur d’aérosols par les voies de moindre impédance à travers et autour des masques faciaux. Ce fantasme est ce qu’on appelle le « contrôle à la source », que de nombreux scientifiques qualifiés ont également répété.

En fait, même une stricte quarantaine de niveau militaire des jeunes adultes en bonne santé ne peut empêcher la transmission 46.

Les infirmières le savent. En Ontario, deux décisions importantes de tribunaux administratifs, en 2015 et en 2018, avec de longues audiences d’experts de tous bords, ont conclu que les infirmières de plusieurs grands hôpitaux ne pouvaient pas être obligées de porter des masques, qu’elles soient vaccinées ou non, car cela ne protégerait pas les patients 47 :

« Je pense qu’il y a maintenant un consensus qui se développe dans la communauté arbitrale selon lequel il ne fait aucun doute que ces politiques ne protègent pas vraiment les patients. L’arbitre a été assez ferme en décrivant les preuves apportées par l’hôpital comme insuffisantes, inadéquates et totalement non convaincantes », a dit Sharan Basran, avocate des infirmières.

Le port du masque dans la population générale n’apporte aucun bénéfice détectable

Depuis le 11 avril 2020, j’ai fait valoir en détail que les masques ne fonctionnent pas, et j’ai disséqué et exposé la fausse idée du contraire48 49. À cette époque, il n’y avait pas encore eu d’étude de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire sur le port du masque dans la population générale.

Le 18 novembre 2020, Bundgaard et al ont publié leur vaste essai contrôlé randomisé (ECR) sur des participants sélectionnés dans la population générale danoise. Selon leurs propres termes 50 :

Un total de 3030 participants ont été assignés au hasard à la recommandation de porter des masques, et 2994 ont été assignés au contrôle ; 4862 ont terminé l’étude. L’infection par le SRAS-CoV-2 s’est produite chez 42 participants à qui l’on avait recommandé de porter un masque (1,8%) et chez 53 participants du groupe témoin (2,1%). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage (IC à 95%, -1,2 à 0,4 point de pourcentage ; P = 0,38) (rapport de cotes, 0,82 [IC, 0,54 à 1,23] ; P = 0,33). L’imputation multiple tenant compte de la perte au suivi a donné des résultats similaires. Bien que la différence observée ne soit pas statistiquement significative, les IC de 95% sont compatibles d’une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection. (Résumé / Résultats)

[…] la recommandation de porter un masque chirurgical en dehors de la maison, entre autres, n’a pas réduit, à des niveaux conventionnels de signification statistique, l’incidence de l’infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à l’absence de recommandation de port de masque. […] Les masques faciaux fournis aux participants étaient des masques chirurgicaux de haute qualité avec un taux de filtration de 98% [réf]. (Discussion)

Pour être clair, « 95% d’IC sont compatibles avec une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection » signifie que, dans les limites de l’incertitude, le port d’un masque pourrait avoir augmenté la probabilité d’être infecté de 23%. Telle est la nature de l’évaluation du risque relatif, lorsque l’impact comparatif sur le risque absolu est trop minime pour être détecté.

Les auteurs semblent avoir été contraints par le processus d’« examen par les pairs » de souligner que leur étude n’a pas été conçue pour tester l’hypothèse que j’ai évoquée plus haut, à savoir le masque magique à sens unique : « … et aucune évaluation de la capacité des masques à diminuer la transmission de maladies de leurs porteurs à d’autres personnes. »

À ce stade, quelque quinze (15) ECR de niveau politique plus tard, avec des résultats vérifiés, il faut se demander ce qu’il faudrait pour que le complexe de santé publique abandonne son nouvel enthousiasme pour le port de masque forcé de la population générale, ou au moins pour financer la recherche sur les préjudices répartis et les coûts sociétaux de cette politique draconienne.

Des études sur les préjudices quantifiables et potentiels du port de masque universel commencent à être publiées, tant dans des revues médicales régulières que dans des revues alternatives. Si le « principe de précaution » était plus qu’un simple effet de mode, de telles études auraient été nécessaires avant l’adoption de lois et d’obligations en matière de port de masque universel.

Le 6 juillet 2020, par exemple, Fikenzer et al ont publié une étude rigoureuse sur l’effet physiologique des masques sur 12 hommes en bonne santé (âgés de 38 ± 6 ans). Ils ont conclu 51 :

Les masques médicaux ont un impact négatif marqué sur la capacité cardio-pulmonaire, ce qui entrave considérablement les activités physiques et professionnelles pénibles. De plus, les masques médicaux nuisent considérablement à la qualité de vie de leur porteur. Ces effets doivent être considérés par rapport aux effets protecteurs potentiels des masques faciaux sur les transmissions virales. Les données quantitatives de cette étude peuvent donc éclairer les recommandations médicales et les décideurs politiques.

En novembre 2020, Borovoy et al. 52 ont publié une étude approfondie des connaissances biologiques et médicales qui leur permet de déduire un potentiel important de dommages significatifs liés au port de masque. Ils soulignent à juste titre le rôle connu mais sous-estimé des bactéries dans les pandémies virales, et passent également en revue les maladies respiratoires dues aux bactéries buccales.

Les vaccins sont intrinsèquement dangereux

Le 13 juillet 2020, Arvin et al. ont publié dans les pages de la revue scientifique de premier plan Nature un important rappel à la réalité sous la forme d’une vaste « Perspective » (revue). L’article, à lire attentivement, est un exposé détaillé sur l’ignorance de l’homme concernant l’interférence artificielle avec le système immunitaire humain. Tout étudiant en sciences devrait conclure que « surtout, nous ne savons rien ». Les auteurs l’affirment sous une forme enjolivée 53 :

L’augmentation de la maladie dépendante des anticorps (ADE) est une préoccupation générale pour le développement de vaccins et de thérapies par anticorps car les mécanismes qui sous-tendent la protection par anticorps contre tout virus ont un potentiel théorique d’amplifier l’infection ou de déclencher une immunopathologie nocive. Cette possibilité doit être examinée attentivement à ce stade critique de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), qui est causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2).

Nous passons ici en revue les observations relatives aux risques d’ADE de la maladie, et leurs implications potentielles pour l’infection par le SRAS-CoV-2. À l’heure actuelle, il n’existe pas de résultats cliniques, d’essais immunologiques ou de biomarqueurs connus qui permettent de différencier une infection virale grave d’une maladie à immunité renforcée, que ce soit par la mesure des anticorps, des cellules T ou des réponses intrinsèques de l’hôte. Les systèmes in vitro et les modèles animaux ne permettent pas de prédire le risque d’ADE de la maladie, en partie parce que les mécanismes de protection et les mécanismes potentiellement nuisibles médiés par les anticorps sont les mêmes et que la conception de modèles à base d’animaux dépend de la compréhension de la manière dont les réponses antivirales de l’hôte peuvent devenir nuisibles chez l’homme.

Les implications de notre manque de connaissances sont doubles. Premièrement, des études complètes sont nécessaires de toute urgence pour définir les corrélats cliniques de l’immunité protectrice contre le SRAS-CoV-2. Deuxièmement, étant donné qu’il est impossible de prévoir de manière fiable l’apparition de la maladie après une vaccination ou un traitement par anticorps – quel que soit le virus responsable – il sera essentiel de s’appuyer sur une analyse minutieuse de la sécurité chez l’homme à mesure que les interventions immunitaires contre la COVID-19 progressent. (Résumé)

Compte tenu du déploiement qui a suivi, cela signifie que nous nous sommes lancés aveuglément dans une expérience à grande échelle sur des sujets humains, sans essais sur des animaux, sans transparence scientifique, sans possibilité de consentement éclairé, sous l’impulsion de sociétés pharmaceutiques qui ne veulent que le bien de l’humanité.

Le 1er octobre 2020, Wehenkel 54 a publié un article dans lequel il a étudié 39 pays et a constaté une forte association entre le taux national de vaccination contre la grippe (IVR) des personnes âgées de 65 ans et plus et le nombre de décès dus à la COVID-19 par million d’habitants. Les résultats sont préliminaires mais peuvent constituer un exemple documenté de « renforcement de la maladie dépendant des anticorps (ADE) » impliquant la COVID-19. Tous les taux de décès par COVID-19 les plus élevés ont été enregistrés dans les pays où l’IVR est supérieure à 50 % (voir ses figures 1 et 3). Je sens une opportunité de financement de la recherche pour défaire cette découverte.

Denis G. Rancourt

Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario

L’auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur la COVID-19

Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l’université d’Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d’université, j’ai développé de nouveaux cours et j’ai enseigné à plus de 2000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J’ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J’ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j’ai attiré d’importants fonds de recherche pendant deux décennies.

J’ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J’ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.

Mon facteur d’impact de l’indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).

Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :

  1. En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d’aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d’aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l’air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j’ai enseigné la dynamique des fluides (l’air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j’ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).
  2. En ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d’aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l’infection virale, et dans les mesures de protection. J’ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j’ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.
  3. En ce qui concerne les méthodes d’analyse statistique. L’analyse statistique des études scientifiques, y compris l’analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d’observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d’erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d’analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.
  4. En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l’épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d’évolution des maladies dans la population. J’ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J’ai des connaissances d’expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J’ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
  5. En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure : (1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire), (2) l’imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l’imagerie par résonance), (3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques), (4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d’énergie et les conductivités), et (5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux…). J’ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j’ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J’ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

Notes

  1. 2019–OMS : « Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique », avec annexe, Organisation mondiale de la santé, octobre 2019 : OMS . Rapport, ISBN : 978-92-4-151683-9, pp 91« Annexe : Rapport des revues systématiques de la littérature », WHO/WHE/IHM/GIP/2019.1, pp 125 
  2. 2017–OMS : « Évaluation de la gravité de la grippe pandémique (PISA) : Un guide de l’OMS pour évaluer la gravité de la grippe dans les épidémies et pandémies saisonnières », Organisation mondiale de la santé, mai 2017, WHO/WHE/IHM/GIP/2017.2 
  3. 2011–Bonneux : Luc Bonneux & Wim Van Damme. « La santé, c’est plus que la grippe ». Bulletin de l’Organisation mondiale de la santé 2011;89:539-540. doi : 10.2471/BLT.11.089086 
  4. Ibid note 3 
  5. 2010–Cohen : Cohen, D. et Carter, P. « L’OMS et les « conspirations » de la grippe pandémique ». BMJ 2010 ; 340:c2912. doi. (Publié le 04 juin 2010
  6. 2020–Rancourt : « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale de Covid-19 ». Rancourt, DG (11 avril 2020) ResearchGate, a obtenu 400 000 lectures, puis a été retiré de la plate-forme, selon ce rapport. Maintenant sur vixra.org , et sur rcreader.com. Et voir les Digi-Debates sur les critiques de l’article : « Digi-Debates. The Face Mask Debate », Digi Debates YouTube Channel, 25 juillet 2020, et à l’adresse suivante 
  7. 2020–Rancourt : « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges, et fonctionnaires de la santé publique : « Un ensemble croissant de preuves ». ResearchGate (3 août 2020). DOI : 10.13140/RG.2.2.25042.58569 
  8. 2020–Rancourt : « Mortalité toutes causes confondues lors de la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement », par Rancourt, DG (2 juin 2020) ResearchGate. DOI: 10.13140/RG.2.2.24350.77125 
  9. 2020–Rancourt : D. G. Rancourt, Marine Baudin, Jérémie Mercier. « Évaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France, à partir de la mortalité toutes causes confondues 1946-2020 ». ResearchGate (20 août 2020). DOI: 10.13140/RG.2.2.16836.65920/1  (Version en français
  10. Ibid note 6 
  11. Ibid note 7 
  12. 2020–Chaudhry : Chaudhry, Rabail et autres (2020) « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions du gouvernement, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine, Volume 25, 100464 (21 juillet 2020 – The Lancet
  13. 2020–De Larochelambert : De Larochelambert Q, Marc A, Antero J, Le Bourg E et Toussaint J-F (2020). « Covid-19 Mortalité : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées ». Frontiers in Public Health 8:604339. doi : 10.3389/fpubh.2020.604339 (19 novembre 2020 – frontiersin.org
  14. 2020–AIER : « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves »AIER StaffInstitut américain de recherche économique. 19 décembre 2020 
  15. Ibid note 8 
  16. Ibid note 9 
  17. 2020–Yam : Kai Chi Yam, Joshua Conrad Jackson, Christopher M. Barnes, Jenson Lau, Xin Qin, Hin Yeung Lee. « L’augmentation des cas de COVID-19 est associée au soutien des dirigeants mondiaux ». Actes de l’Académie nationale des sciences. Oct 2020, 117 (41) 25429-25433 ; DOI : 10.1073/pnas.2009252117 
  18. 2020–Abbasi : Abbasi, Kamran (rédacteur en chef). « Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science ». Journal médical britannique. BMJ 2020 ; 371 :m4425. 
  19. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 – Potentiel de « variolation » dans l’attente d’un vaccin ». 29 octobre 2020. N Engl J Med 2020 ; 383:e101. DOI : 10.1056/NEJMp2026913 
  20. 2020–Rasmussen : Angela L. Rasmussen et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al. 
  21. 2020–Brosseau : Lisa M. Brosseau et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al.) 
  22. Ibid note 19 
  23. Ibid note 20 
  24. Ibid note 21 
  25. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (réponse de Gandhi et al.) 
  26. Ibid note 7 
  27. 2020–IHME : IHME COVID-19 Forecasting Team, Reiner, R.C., Barber, R.M. et al. « Modélisation des scénarios COVID-19 pour les États-Unis »Nature Medicine (2020). doi 
  28. 2020 — Magness : Phillip W. Magness. « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées »Wall Street Journal (11 novembre 2020) 
  29. 2020 : Corman Victor M, Landt Olfert, Kaiser Marco, Molenkamp Richard, Meijer Adam, Chu Daniel KW, Bleicker Tobias, Brünink Sebastian, Schneider Julia, Schmidt Marie Luisa, Mulders Daphne GJC, Haagmans Bart L, van der Veer Bas, van den Brink Sharon, Wijsman Lisa, Goderski Gabriel, Romette Jean-Louis, Ellis Joanna, Zambon Maria, Peiris Malik, Goossens Herman, Reusken Chantal, Koopmans Marion PG, Drosten Christian. « Détection de nouveaux coronavirus en 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ». Euro Surveill. 2020;25(3):pii=2000045. doi 
  30. 2020–Borger : Borger, Pieter et al « Rapport d’examen Corman-Drosten et al Eurosurveillance 2020 – L’examen externe par les pairs du test RT-PCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences pour les résultats faussement positifs »Consortium international des scientifiques en sciences de la vie (ICSLS). 27 novembre 2020 
  31. 2020–Singanayagam : Singanayagam Anika, Patel Monika, Charlett Andre, Lopez Bernal Jamie, Saliba Vanessa, Ellis Joanna, Ladhani Shamez, Zambon Maria, Gopal Robin. « Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020 ». Euro Surveill. 2020;25(32):pii=2001483. doi 
  32. 2020–Jaafar : Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Hoang VT, Colson P, Raoult D, La Scola B. « Corrélation entre 3790 échantillons positifs au qPCR et des cultures cellulaires positives, y compris 1941 isolats de SRAS-CoV-2 ». Clin Infect Dis. 2020 Sep 28:ciaa1491. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Epub avant impression. PMID : 32986798 ; PMCID : PMC7543373 – academic.oup.com 
  33. Ibid note 17 
  34. 2020–Meyerowitz : Eric A. Meyerowitz, Aaron Richterman, Rajesh T. Gandhi, et al « Transmission du SRAS-CoV-2 : Un examen des facteurs viraux, des hôtes et de l’environnement ». Ann Intern Med. – Epub avant impression 17 septembre 2020. doi:10.7326/M20-5008 – acpjournal.org 
  35. Ibid note 7 
  36. 2020–CBC : La presse canadienne : « Santé Canada rappelle plus de 50 désinfectants pour les mains dans une liste évolutive ». (5 août 2020) – cbc.ca 
  37. 2009–OMS : « Ventilation naturelle pour la lutte contre les infections dans les établissements de santé – Lignes directrices de l’OMS 2009 ». Éditeurs : James Atkinson, Yves Chartier, Carmen Lúcia Pessoa-Silva, Paul Jensen, Yuguo Li et Wing-Hong Seto, pp 106, 2009, ISBN : 978 92 4 154785 7 – OMS 
  38. 2007–Li : Li Y, Leung GM, Tang JW, Yang X, Chao CY, Lin JZ, Lu JW, Nielsen PV, Niu J, Qian H, Sleigh AC, Su HJ, Sundell J, Wong TW, Yuen PL. « Rôle de la ventilation dans la transmission aérienne d’agents infectieux dans l’environnement bâti – une étude systématique multidisciplinaire ». Air intérieur. 2007 Feb;17(1):2-18. doi : 10.1111/j.1600-0668.2006.00445.x. PMID : 17257148 
  39. Ibid note 8 
  40. Ibid note 9 
  41. Ibid note 38 
  42. Ibid note 6 
  43. Ibid note 7 
  44. Ibid note 6 
  45. Ibid note  7 
  46. 2020–Letizia : Letizia AG, Ramos I, Obla A, Goforth C, Weir DL, Ge Y, Bamman MM, Dutta J, Ellis E, Estrella L, George MC, Gonzalez-Reiche AS, Graham WD, van de Guchte A, Gutierrez R, Jones F, Kalomoiri A, Lizewski R, Lizewski S, Marayag J, Marjanovic N, Millar EV, Nair VD, Nudelman G, Nunez E, Pike BL, Porter C, Regeimbal J, Rirak S, Santa Ana E, Sealfon RSG, Sebra R, Simons MP, Soares-Schanoski A, Sugiharto V, Termini M, Vangeti S, Williams C, Troyanskaya OG, van Bakel H, Sealfon SC. « Transmission du SRAS-CoV-2 parmi les recrues dans la Marine pendant la quarantaine ». N Engl J Med. 2020 Dec 17;383(25):2407-2416. doi : 10.1056/NEJMoa2029717. Epub 2020 11 nov. PMID : 33176093 ; PMCID : PMC7675690. (11 novembre 2020) – nejm.org 
  47. 2018–Brown : « L’ONA remporte un deuxième arbitrage contre les hôpitaux sur la politique des vaccins ou des masques » (13 septembre 2018), Canadian Lawyer Magazine – canadianlawyermag.com 
  48. Ibid note 6 
  49. Ibid note 7 
  50. 2020–Bundgaard : Bundgaard H, Bundgaard JS, Raaschou-Pedersen DET, von Buchwald C, Todsen T, Norsk JB, Pries-Heje MM, Vissing CR, Nielsen PB, Winsløw UC, Fogh K, Hasselbalch R, Kristensen JH, Ringgaard A, Porsborg Andersen M, Goecke NB, Trebbien R, Skovgaard K, Benfield T, Ullum H, Torp-Pedersen C, Iversen K. « Efficacité de l’ajout d’une recommandation sur les masques à d’autres mesures de santé publique pour prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masques danois : un essai contrôlé randomisé ». Ann Intern Med. 2020 Nov 18:M20-6817. doi : 10.7326/M20-6817. Epub avant impression. PMID : 33205991 ; PMCID : PMC7707213. – acpjournals.org 
  51. 2020–Fikenzer : Fikenzer S, Uhe T, Lavall D, Rudolph U, Falz R, Busse M, Hepp P, Laufs U. « Effets des masques chirurgicaux et des masques FFP2/N95 sur la capacité d’exercice cardio-pulmonaire ». Clin Res Cardiol. 2020 Dec;109(12):1522-1530. doi : 10.1007/s00392-020-01704-y. Epub 2020, 6 juillet. PMID : 32632523 ; PMCID : PMC7338098 – springer.com 
  52. 2020–Borovoy : Boris Borovoy, Colleen Huber, Maria Crisler. « Masques, fausse sécurité et dangers réels, Partie 2 : Défis microbiens des masques »Primary Doctor Medical Journal. Novembre 2020 – pdmj.org 
  53. 2020–Arvin : Arvin AM, Fink K, Schmid MA, Cathcart A, Spreafico R, Havenar-Daughton C, Lanzavecchia A, Corti D, Virgin HW. « Une perspective sur le renforcement potentiel du SRAS-CoV-2 dépendant des anticorps ». Nature. 2020 Aug;584(7821):353-363. doi : 10.1038/s41586-020-2538-8. Epub 2020 13 juillet. PMID : 32659783 – nature.com 
  54. 2020–Wehenkel : Wehenkel C. 2020. « Association positive entre les décès dus au COVID-19 et les taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées dans le monde ». PeerJ 8:e10112  – doi 

Pourquoi je ne crois plus nos politiques et nos médias ?

...par Natacha S. - Le 08/01/2021 pour "France soir"

 Publié le 08/01/2021 à 15:58 - Mise à jour à 17:28


 

Tribune - FRANCE SOIR

Février 2020, ce n’est pas si loin et pourtant, on a l’impression que c’était déjà une autre vie ! On commence à parler de ce virus de Chine, qui contamine l’Asie… En France, rien d’alarmant nous dit Mme Buzyn, aucune inquiétude à avoir, le virus a très peu de chance d’arriver jusqu’à nous…

Début mars, j’ai de la famille en vacance aux Philippines, scènes de chaos, annulations des avions, ils ont peurs là-bas, le 15 mars la ville de Manille sera bloquée, et désinfectée…Ils ne plaisantent pas !! On cherche comment les aider, à rentrer en France, finalement ils arrivent à l’aéroport de Paris, et là, grande surprise, ils sont les deux seuls à porter un masque, aucun contrôle, aucun test. Sidération…

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La semaine qui suit, M. Macron fait son allocution « Nous sommes en guerre », à ce moment-là, j’ai peur, un sentiment de fin du monde s’installe…Tout ferme, on reste chez nous… Moi aussi je me lave les mains à outrance, je mets des gants pour faire mes courses… Jusqu’au jour où je reprends conscience, je sors du traumatisme dans lequel m’ont mis les médias et notre gouvernement. Je réfléchis de nouveau, je ne vais pas vivre comme ça ? Je ne peux pas tout désinfecter ? Je n’ai pas de personnes touchées autour de moi…ils sont où les malades ? On doit se faire des attestations à nous même, on doit se donner l’autorisation de sortir de chez nous ? Expliquez-moi pourquoi, je ne pouvais simplement pas expliquer à la police ou j’allais en cas de contrôle ? C’est du conditionnement mental, on voulait nous habituer à nous restreindre, on voulait supprimer notre libre arbitre, notre capacité de réflexion !

Mon pharmacien, était le premier à me parler du Pr Raoult, de son travail, il lisait également la presse et les études en Asie, il me parle de l’HCQ, que ça marche…On connait tous la suite ! L'hydroxychloroquine sera classée substance vénéneuse sous toutes ses formes depuis l'arrêté du 13 janvier 2020 signé par le Directeur général de la santéJérôme Salomon.

L’étude du Lancet vient achever les travaux du Pr Raoult , le docteur Peter El Baze dit « on prescrit un traitement (celui de Raoult) totalement en dehors de son indication thérapeutique, en fin d'infection COVID quand il n'y a plus de virus actif et qu'il est donc obligatoirement totalement inefficace et dangereux comme démontré par l'étude publiée dans The Lancet ! Dans cette "étude" AUCUN patient n'est traité AU DEBUT de l'infection quand les virus sont là et que le traitement est alors très efficace, ce qui permet de le dénigrer totalement en allant même jusqu'à son interdiction ! Cette arnaque a été utilisée par de nombreuses études bidons financées par Big Pharma, dont la plus catastrophique est Discovery. Et ça marche, les gens y croient ! Cette étude publiée dans le Lancet est financée par les labos Abbott et Medtronic, dont l'ex-CEO fait la promo du remdesivir » On sait aujourd’hui que ce médicament ne fonctionne pas, et entraine de graves complications, et ils le savaient depuis le début ! Finalement elle sera discréditée, mais le mal est fait. Voir les articles du journal Le Monde, la machine à cash 1 et mise en garde 2.

En attendant, on empêche les gens d’accéder à l’hôpital, on donne aux personnes âgées du Rivotril, (3) alors que l’on sait qu’en cas de détresse respiratoire, cela les tue (4) !
Dans les cliniques privées, on met le personnel au chômage partiel, sans utiliser les ressources médicales dont ils disposent, on laisse mourir les gens !

Je commence donc à grandement douter des informations, et me mets à chercher ! Je dois comprendre ce qu’il se passe ! Toutes les semaines, on compte les morts, je décide d’aller sur le site de l’OMS, car tous les gouvernements suivent leurs directives. Je trouve cette information : (5)

2. DÉFINITION DES DÉCÈS DUS A LA COVID-19

À des fins de surveillance, est considéré comme un « décès dû à la COVID-19 » un décès résultant d’une maladie cliniquement compatible, chez un cas probable ou confirmé de la COVID-19, en l’absence de toute autre cause évidente de décès sans lien avec la maladie à coronavirus (par exemple, un traumatisme). Aucune période de rémission complète de la COVID-19 ne devrait avoir eu lieu entre la maladie et le décès.
A- RENSEIGNEMENT DE LA COVID-19 SUR LE CERTIFICAT MÉDICAL DE CAUSE DU DÉCÈS

La COVID-19 doit être inscrite sur le certificat médical de décès pour TOUTES les personnes décédées lorsque cette maladie a causé ou contribué au décès, ou est soupçonnée de l’avoir fait.

B- TERMINOLOGIE

La terminologie officielle, COVID-19, doit être utilisée pour toute certification de cette cause du décès.

Étant donné qu’il existe de nombreux types de coronavirus, il est recommandé de ne pas utiliser le terme « coronavirus » au lieu du terme « COVID-19 ».

A partir de là, je commence à être certaine qu’il n’y a pas de pandémie : oui il y a ce virus, oui il y a des morts mais ce n’est pas ce qu’on nous fait croire !
Je continue mes recherches, j’écoute attentivement le Pr Raoult, Toubiana, Peronne, Delepine, les médecins de l’ACU2020 en Allemagne, Dr. Harvey Risch de Yale , le Docteur Shiva, le docteur Chang, Eric Chabrière, Pascal Sacré, Pr Toussaint, Alexandra Henrion-Caude, le Dr Fouché etc… Beaucoup de médecins, de soignants dénoncent corps et âmes l’imposture, on les traite de complotiste ! De nombreux témoignages de soignants, médecins, ambulanciers, circulent sur les réseaux, des personnes malades décèdent d’un cancer ou autre et on les étiquette covid-19 , simplement à cause d’un test positif.

Ayant des amis dans différents pays, je vois des manifestations partout contre les confinements, les restrictions sanitaires, et jamais dans nos médias traditionnels on n'en parle ! Sur les réseaux sociaux, des centaines de groupe, partout dans le monde, se créent et hurlent au plus grand scandale de notre histoire !

D'un côté, il y a ceux qui se battent pour la liberté, l'amour, le partage, le contact, l'espoir, l'égalité, la santé qui sont contre la censure, l’obligation, le totalitarisme...

Et de l'autre ceux qui veulent des restrictions, des obligations, des directives, des mesures, des confinements, pour la santé, pour la vie disent-ils...

Mais regardez qui a à y gagner, quels sont leur but ? Les premiers ? Rien si ce n'est de défendre de nobles valeurs ...

Les seconds ? Le pouvoir, le contrôle, l’argent, la reconnaissance ….

Les deux ont donc leur propre vérité en fonction de leur but ! Et ils y croient !

Je me souviens d’un jour où je suis allée récupérer mon fils de 6 ans à la garderie, une maman venait également récupérer son enfant, son fils est près du mien et elle se met à hurler « Théo la distanciation RECULE ! » La directrice lui tend un dessin de son petit garçon, elle l’attrape du bout des doigts en disant « et comment je désinfecte ça ? », je lui dis de toute façon vous allez prendre votre enfant dans les bras et là elle me répond « non, il ne me touche pas, il ne touche à rien tant qu’il n’est pas désinfecté » J’étais absolument sidérée ! Et mon fils qui venait de voir ça..

Je me suis agenouillée et je l’ai pris dans mes bras en me disant, ça y est le monde devient fou !

Août 2020 : le masque devient obligatoire partout, c’est insupportable de devoir se plier à tout ça ! Nous savions que nous allions être re-confinés, et j’étais certaine qu’ils allaient imposer le masque à nos enfants à partir de 6 ans, et ça n’a pas loupé ! Désormais on compte les cas, on est passé des morts, aux personnes en réanimations, aux cas ! C’est du délire lorsque l’on sait que la plupart des tests PCR sont faux, à cause de l’amplification, et qu’ils trouvent n’importe quel fragment de virus même s'il a trois mois ! On fait croire aux gens qu’ils sont malades sans symptômes, qu’ils peuvent tuer les autres ! Les spots publicitaires du ministère de la Santé sont à vomir, et combien cela a-t-il coûté ? Combien a couté l’application StopCovid ? Cet argent n’aurait pas pu servir à l’hôpital public ? On a continué de fermer des lits, de détruire notre système de santé ! Quelle honte !

S’il n’y avait pas toute cette propagande médiatique, ou ces gens masqués, honnêtement vous auriez vu une pandémie vous ?

Je parle avec toutes les personnes que je vois, et bien souvent nous sommes d’accord, seulement les gens ont peur du regard des autres, de l’amende… Je me suis aussi disputée avec des amis, ma famille, parce que je suis incapable de me résigner, d’accepter quelque chose que je ne crois pas, je m’emporte et deviens aussi intolérante face à cette folie. J’aurais l’impression de me trahir, de trahir mes enfants ! Je me sens très seule aussi vis à vis de tout cela.

Je vois ces personnes masquées partout, dans mon village de 3000 habitants, les gens le portent dehors, au lac, seul en voiture, je comprends plus ce monde pessimiste, tout est triste, noir, sans saveur, sans âme… Le monde se déshumanise à une vitesse folle !

Octobre 2020, ça y est, masque obligatoire pour les enfants, je hurle ! J’ai la boule au ventre à chaque fois que je laisse mon fils. Notre préfet impose le port du masque à 50 mètres des établissements scolaires… Ignoble… Je prends ma première amende ! Un trophée pour moi !

Aujourd’hui, rien n'a changé, l’escroquerie continue, les gens sont terrifiés, Lacombe reçoit la Légion d’honneur, Buzyn entre à la direction de l’OMS, Veran et Castex continuent leurs restrictions, et leur propagande de la peur….

Je décide donc de faire une vidéo, comme une bouteille à la mer, pour exprimer ma saturation ! L’évènement déclencheur : un article du journal de La Charente Libre (6) « Un bébé de 18 jours positif au Covid-19 et hospitalisé dans la Loire ». Je lis, et m’aperçois comme d’habitude, que le titre est racoleur, que l’enfant avait seulement de la fièvre mais n’a eu aucun souci de santé… Les commentaires sur la page Facebook sont hallucinants, personne ne lit l’article, ils lisent seulement le titre, et s’exclament « c’est terrible » « pauvre enfant » « courage aux parents »

Et c’est comme ça depuis un an, on nous terrorise, on nous lobotomise, on nous conditionne !

On nous divise aussi, eh oui dans notre monde, nous devons être étiquetés, comme des objets. Si vous dites cela, vous êtes complotiste, d’extrême droite, antisémite, sous l’emprise d’une secte et j’en passe. Vous êtes d’accord sur une chose avec cette personne ? Alors vous êtes comme elle ! On ne peut pas simplement partager une idée, et pas la totalité des convictions de cette même personne ? Pourquoi sommes-nous constamment dans le jugement, dans la catégorisation ? C’est absolument réducteur, compte tenue de la complexité des personnes ! On ne se résume pas à une idée, à une pensée, nous sommes plus que ça !

Et quelle hypocrisie ces masques que l’on porte soi-disant pour protéger les autres ! C’est totalement faux, les gens ne pensent qu’à eux ! Nous sommes dans une société individualiste et matérialiste ! Cette situation me fait penser à ces personnes qui s’offensent de voir des migrants dans notre pays alors que nous avons plein de "SDF", et ces mêmes personnes lorsqu’elles croisent un SDF dans le rue, ne daignent lui accorder un regard, un sourire. C’est ironique, n’est-ce pas ?

Je ne sais pas ce que nous réserve l’avenir et franchement je m’en moque ! Je n’ai pas peur de demain de la même manière que je n’ai pas peur de la mort, à partir du moment où vous n’avez pas peur, vous vivez ! On ne sait pas si les gens que nous aimons seront là demain, dans 1 an, dans 10 ans ! Par contre on sait que ce qui se passe maintenant, ça c’est concret, ça on le ressent, ça c’est notre réalité, le moment présent !

En revanche, je crains bien sûr le pire au niveau économique et psychologique, les faillites, les suicides vont faire bien plus de victimes. Est-ce que c’était vraiment la peine d’en arriver à ce point de non-retour ? Nous ne retrouverons probablement jamais le Monde que nous avons connu, la folie transhumaniste arrive à grand pas, éradiquer notre conscience, est-ce cela le but ? Je ne suis pas contre les avancées technologiques, mais pas au détriment de l’Humanité, nous ne sommes pas des machines, utilisons notre cœur.

Il y a de l’espoir, beaucoup de monde a eu cet électrochoc, allons-nous créer un Monde meilleur ? Il ne faut pas en douter !

Je ne suis personne, et c’est parce que je suis personne que je suis tout le monde !

Gandhi disait « Sois le changement que tu veux voir dans le monde » Alors au travail mes amis !

 

Sources 1.https://www.lemonde.fr/festival/article/2019/08/13/the-lancet-machine-a-cash-a-la-pointe-de-la-medecine_5498948_4415198.html?fbclid=IwAR23eVKfFleeVpcvATzmxYsW6uYmQOGcYP-XRVeW-I_yRYVkH-_fTKEMBw4

2.https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/06/03/hydroxychloroquine-le-journal-the-lancet-met-en-garde-contre-une-etude-publiee-dans-ses-colonnes_6041583_3244.html?fbclid=IwAR0we0-svHEQUNP1cXCzcohzIzXX949obr0aTuK6_Dna2VnNJ36Esdkpysg

3.https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000041763328/

4.https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/rivotril-8874.html 5.https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf?ua=1&fbclid=IwAR2V2zi8qquFXAP08XgzYA5r_fthOgSsTWCLKhGzVDtevjM05-pxm7rR6C4 6.https://www.charentelibre.fr/2021/01/05/un-bebe-de-18-jours-positif-au-covid-19-et-hospitalise-dans-la-loire,3692410.php?fbclid=IwAR2vxEa8AvaocPGlStgorTQWXylY4dACgKCCMzgAby5r25X0ndFfRAQP5OI

 

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La Covid et les idiots du village

...par Nicolas Lecaussin - Le 23/12/2020.

Source : IREF

Lorsque Boris Johnson, Bolsonaro et Trump ont été contaminés par le Covid-19, les moqueries et les sarcasmes ont inondé les réseaux sociaux et même les médias les plus « sérieux ». Le virus ne s’en prenait-il pas à ceux qui osaient contester sa dangerosité ou s’opposaient au confinement généralisé ?
Or, voici que le même virus a contaminé aussi le président Macron, celui qui n’a eu de cesse de vanter l’importance de l’isolement, de la fermeture du pays et du confinement pour tous. Comment cela est-il possible ? Il nous a pourtant fait la leçon depuis des mois sur le port du masque, les contacts à éviter, même entre les membres d’une famille et l’obligation de respecter la « distanciation sociale ». Concernant Trump, on pourrait aussi rappeler au passage, les railleries dont il a été la cible quand il avait dit aussi qu’un vaccin anti-Covid serait prêt avant la fin de l’année…

Il n’existe probablement pas un décideur politique qui soit plus paternaliste que M. Macron. On voit même qu’il est parfaitement convaincu de sa mission de nous prendre en charge à chaque fois qu’il intervient (pardon, qu’il s’invite) à la télévision. Il sait très bien ce qui est bon pour nous, ensuite il demande à son aide de camp, le Premier ministre, de mettre en pratique ses directives. Visiblement, M. Macron n’a pas vraiment respecté ce qu’il ne cesse de nous recommander. Il aurait même enfreint beaucoup de règles et contaminé plusieurs personnes lors d’un dîner à l’Elysée avec… plus de six convives à table, qui s’est terminé après le début du couvre-feu. Le président n’a-t-il pas téléchargé l’application StopCovid ? Faites-ce que je dis, pas ce que je fais !

Le Premier ministre joue pleinement son rôle d’auxiliaire du pouvoir. On se demande encore comment ce personnage improbable a pu arriver à la tête du gouvernement. C’est le système qui veut cela, celui du double exécutif, bizarrerie exclusivement française parmi les pays riches et démocratiques. Ne manque plus qu’un secrétaire général du Parti, et nous aurons la panoplie complète des décideurs politiques qu’affectionnent les pays socialistes. Ce serait presque drôle si la situation n’était pas dramatique.

Car ce sont ces Jean Castex qui décident de l’avenir de la France et du nôtre. Ils font le tri parmi nos libertés, ils et choisissent arbitrairement le chiffre 6 pour limiter le nombre de convives à nos domiciles – à la roulette ? car pourquoi pas 7 ou 5 ? - ils décident aussi de fermer les restaurants. Et peu importe que personne ne comprenne pourquoi il est plus dangereux de dîner dans un lieu où toutes les précautions sont prises que de se bousculer dans les supermarchés. Une grande enseigne peut survivre. Un restaurateur, ça n’est pas certain. Pendant ce temps, malgré toutes ces injonctions, le nombre de nouveaux cas - 17.565 - reste en hausse, selon les chiffres de Santé publique France, samedi 19 décembre. Le nombre de morts a atteint le chiffre de 60 418, pratiquement autant qu’aux Etats-Unis, par rapport à la population. Tout en retenant des prescriptions raisonnables de prudence, il faudrait peut-être s’interroger sur l’efficacité de ces mesures liberticides que l’IREF a critiquées plusieurs fois.

Il y en a un, au village des décideurs politiques, qui se détache superbement car il a trouvé la solution à tous ces problèmes. Pour Bruno Le Maire, notre ministre de l’Economie, « les adversaires des Etats », les vrais, ce sont les GAFA et il faut les « taxer et les réglementer ». Ainsi, il faudrait toutes affaires cessantes s’en prendre à des sociétés qui marchent et qui nous aident à poursuivre notre vie professionnelle et sociale. Qui dit mieux ?

« On est dans une science archaïque au moment de la science la plus moderne »

...Alexandra Henrion-Caude - Le 06/12/2020.

Le professeur Perronne appelle à résister à la “vaccination anti-Covid’

...Par le Dr. Gérard Delépine - L e 01/12/2020.

Source : Riposte laïque

« Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe »

Je ne présenterai pas le Professeur Christian Perronne, chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (92) qui fait partie de la trop petite cohorte de médecins qui ont eu très tôt le courage de dire la vérité sur la crise de la covid-19 et qui est maintenant persécuté pour cela par son administration, sa fac, le Conseil national de l’Ordre des médecins, les médias et de nombreux journalistes dont les connaissances en infectiologie bien minces ne les qualifient pourtant pas pour leurs diatribes coutumières.

Sachez seulement que c’est un homme rigoureux, honnête et consensuel, très compétent sur les vaccins qu’il a défendus durant toute sa carrière. Il a présidé la Commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique, et a été vice-président du groupe “European Advisory Group of Experts on Immunisation” qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation Mondiale de la Santé. En tant que médecin, il place le serment d’Hippocrate et l’intérêt de la santé des Français au-dessus de sa carrière professionnelle, comme en témoignent ses déclarations précédentes et la mise en garde solennelle suivante :

« Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie.

Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence.

Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

 Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN.

Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement.

Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés).

Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant.

Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE

Christian Perronne : à propos des vaccins…

Tout est dit, je vous conseille de lire et relire cette lettre, de la méditer et de la diffuser aussi largement que possible par mail, tracts (comme au temps de la Résistance) dans les boîtes aux lettres etc. pour tenter d’ouvrir les yeux à nos concitoyens, qu’ils cessent de se faire tester avec les tests PCR faux et attaqués en justice, et n’acceptent pas de se faire isoler pour une épidémie de cas et non de malades.
Résistons.

Gérard Delépine

 

Didier Raoult privé d'hydroxychloroquine :

Renaud Muselier s'attaque à Olivier Véran - Le 25/10/2020.

Source : VA
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Renaud Muselier, président de la région PACA. Photo © Lionel Urman/SIPA

Après le retrait d’autorisation de l’Agence nationale de sécurité du médicament à l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, Renaud Muselier a envoyé un courrier salé au ministre de la Santé.

Renaud Muselier ne décolère pas. Le président Les Républicains de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur a appris avec stupéfaction que l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU - Marseille) ne pouvait plus utiliser l’hydroxychloroquine au sein des services. Comme le détaille Le Figaro qui s’est procuré son contenu, Renaud Muselier a envoyé un courrier « au vitriol » au ministre de la Santé pour lui faire part de son mécontentement. « Cette décision est révoltante à plus d'un titre. A partir de lundi, les équipes de cet institut exceptionnel ne pourront plus soigner les patients selon le protocole appliqué depuis mars 2020. Est-ce à dire que vous choisissez de priver des médecins de faire leur devoir, de soigner leurs patients ? », s’insurge le président LR de la région PACA.
 
Dans sa lettre, Renaud Muselier rappelle que les chercheurs et les médecins qui travaillent à l’IHU sous la houlette d’un chercheur reconnu, en l’occurrence Didier Raoult, « un des plus grands microbiologistes du monde », et que tous « ont prêté serment ». Le président LR de la région enjoint également le ministre de la Santé d’intervenir auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour leur rappeler que son souci premier est de « rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments... ».

Un des plus grands sites de dépistage

Renaud Muselier rappelle encore le bilan de l’institut depuis le début de la pandémie de coronavirus, avec notamment près de 9 000 patients suivis et plus de 5 800 traités avec le protocole hydroxychloroquine/azithromycine, tout en précisant que « Marseille était un des plus grands sites de dépistage d'Europe, pour la première vague ». Il accuse enfin l’ANSM d’interférer dans les décisions prises par Olivier Véran : « Allez-vous laisser cette agence décider des soins prodigués dès lundi par des praticiens hospitaliers, des professeurs de médecine dépendant de la faculté de médecine de Marseille, nommés par le ministère, et ceci en totale contradiction avec les principes fondamentaux de la médecine ? »
 
Vendredi 23 octobre, l’Agence du médicament avait refusé une utilisation « plus étendue » de la molécule de l’hydroxychloroquine « dans la prise en charge de la Covid-19 » car elle ne « permet pas de présager d’un bénéfice pour le traitement ou la prévention de la maladie ».

Actualisation du plan à l’œuvre

https://reseauinternational.net/actualisation-du-plan-a-loeuvre/

La vidéo est particulièrement intéressante.

JMR

...pour ceux qui le prennent pour un "bouffon" !

CV du Pr. D. Raoult

Le 02/10/2020

CURSUS UNIVERSITAIRE ET DIPLOMES

Doctorat en Médecine (25 Mars 1981)

Diplôme d'Université de Médecine Tropicale, Marseille, 1980-1881

C.E.S. Bactériologie-Virologie clinique, 1981

C.E.S. Diagnostic biologique parasitaire, 1982

Cours de Bactériologie systématique de l'Institut Pasteur, 1983-1984

Diplômes de l'U.S. Department of Health and Human Service (Center for Disease Control - Atlanta U.S.A.) : Principles of Epidemiology, 1983

Communicable Disease Control, 1984

Spécialiste de Médecine interne, 1984

Cycle de Biologie Humaine

Certificat-Bactériologie-Virologie générale, 1981

Certificat de Pharmacologie générale, 1983

Équivalence de Maîtrise, 1981

AEA de Bactériologie, (Montpellier 1982)

DERBH Montpellier, 1983 (Etude épidémiologique et sérologique de la Fièvre Boutonneuse

Méditerranéenne)

Doctorat d'Etat en Biologie Humaine : Nouveaux aspects cliniques, biologiques, physiopathologiques et épidémiologiques de la Fièvre Boutonneuse Méditerranéenne. Mise au point et applications de nouvelles techniques sérologiques (Montpellier 21 Mai 1985).

 

TITRES ET FONCTIONS UNIVERSITAIRES

Assistant des Universités, 01 Avril 1984,

Maître de Conférence des Universités : 1986,

Professeur des Universités : 1988,

Professeur de première classe : 1995,

Professeur Classe exceptionnelle 1er échelon : 2000,

Professeur Classe exceptionnelle 2ème échelon : 2003

 

FONCTIONS HOSPITALIERES

Interne des Hôpitaux de Marseille : 1er Octobre 1978, 1er Avril 1984.

Assistant des Hôpitaux : 1er Avril 1984.

Praticien Hospitalier, de Bactériologie-Virologie, 1986.

Chef de Service : Laboratoire de Bactériologie-Sérologie Hôpital de la Conception, Marseille, 1989.

Chef de Service : Laboratoire de Bactériologie-Virologie, Hôpital de la Timone, Marseille, 1991.

 

PRIX ET DISTINCTIONS NATIONAUX

Prix Léon Isemein, (Marseille), 1983.

Prix Nourri - Lemarié, (Médecine Tropicale France), 1985.

Prix de l'Association des Chefs de Travaux, ( Marseille), 1986.

Prix Science et Défense, (France), 1996.

Prix Piraud, (fondation médicale de France), 1997.

Prix Jean Valade, (Fondation pour la Recherche), 2003

Prix du Rayonnement international (Festival des Sciences) (Marseille), 2003.

Lauréat régional des trophées INPI de l’innovation, France, 2006

Prix de l’Académie Nationale de Médecine, Eloi Collery, 2009

 

INTERNATIONAUX

Dénomination d'un genre (Raoultella) de bactéries pathogènes pour l'homme et les plantes, 2002.

Prix des Sciences Médicales d'Outre Mer, (Académie Royale de Belgique), 2002.

Prix d'excellence de l'European Society for Clinical Microbiology and Infectious Diseases, (Europeen), 2002.

E. Gardner King Memorial lecture Edmonton, (Canada), 2002..

Joseph E. Smadel lecture, Infectious Diseases Society of America, (San Diégo), (USA), 2003.

Fred Soper Lecture (American Society for Trop Med Hyg) Washington, 2005.

Medical Grand rounds, 6 th International Conférence Northwesteren Memorial Hospital in Chicago, (USA) octobre 2005

Medical Grand Rounds, Medical School, Standfort, (USA) septembre 2006

Medical Grand Rounds, Massachussets General hospital , Boston (Massachussets,USA), 2006

Distinguished lecture at Washington State University “genomic of rickettsia”, Pullman (Washington, USA), 2006

Introduction lecture (Société Américaine de microbiologie) ICAAC, Chicago, 2007

Sackler Lecturer award, University of Tel Aviv, Israel, 2007-2008

Khwarizmi International Award (KIA), Téhéran, IRAN, 2009

 

DECORATIONS

Chevalier de l'Ordre National du Mérite. 8.5.1995.

Médaille d'argent du Service de Santé des Armées : 12.1997.

Médaille d'honneur de la ville de Marseille : 7-2000.

Chevalier de l'Ordre de la Légion d'Honneur. 1.1.2001.

Chevalier des Palmes Académiques : 14.07.2003

Médaille d’argent du Ministère de la Jeunesse et des Sports (2005)

2008. Découverte d’un virus géant : Mamavirus, classée 33ième sur 100 au top de l’histoire de la science (revue Discover : Science, Technology and the Future) janvier 2009.

 

STAGES ET MISSIONS

Stage au Center for Disease Control. Atlanta U.S.A., Branche des zoonoses (Dr. J.E. Mc DADE) 1 mois, Octobre 1986.

Stage au Naval Medical Research Institute. Bethesda U.S.A., Rickettsial Branch, (Dr. G.A. DASCH) 6 mois, du 01.09.1985 au 01.03.1986.

Mission au Brésil (organisée par la Ville de Marseille) Diagnostic biologique des Leptospiroses au cours de l'inondation de Rio de Janeiro (Février 1988). Isolement de 16 souches de Leptospires.

Mission en U.R.S.S. (organisée par l'Académie des Sciences d' U.R.S.S.), Mai 1990. Exploration d'une nouvelle maladie (Astrakhan fever), isolement postérieur d'une nouvelle espèce de rickettsie.

Mission à Goma (Zaïre) organisée par l'OMS, en Août 1994. Recherche d'une épidémie de typhus, (isolement d'une nouvelle espèce de Stenotrophomonas).

Mission au Burundi organisée par l'OMS, en Février 1997. Investigation d'une épidémie de typhus, identification de la plus grande épidémie de typhus dans le monde depuis 50 ans.

Mission au Pérou en Mars 1998, organisée avec les services de santé du Pérou, investigation d'un nouveau foyer de Verruga peruana et d'une épidémie de typhus.

Mission à Genève (OMS) organisation de la lutte contre les filarioses par le traitement des symbiontes (Wolbachia). Décembre 1999.

 

INSCRIPTION A DES SOCIETES SAVANTES

Société de Pathologie exotique, 1978.

Société de Pathologie infectieuse de Langue Française, 1981.

Société Française de Microbiologie, 1984.

American Society for Rickettsiology, 1984.

American Society for Microbiology, 1984.

American Society for Infectious Diseases, 1990.

European Society for Clinical Microbiology & Infectious Diseases, (ESCMID) 1992.

International Society for Infectious Diseases, (ISID), 1995.

American Academy of Microbiology, 2004

Etc.

 

Et dire qu'il y a des médecins qui veulent lui donner des leçons.

Sans parler des journalistes qui le font passer quotidiennement pour un con...

Un document d'archive très intéressant.

...par le Gal. Dominique Delawarde - Le 07/09/2020.

Bonjour à tous,

Le CF2R (Centre Français de Recherche sur le Renseignement) a aujourd'hui 20 ans d'existence, d'expérience, de travaux de recherche et surtout d'archives.

A l'occasion de cette pandémie, il vient d'exhumer une courte analyse de mai 2009 particulièrement intéressante et prémonitoire à certains égards.

Son titre ? "L’OMS est elle un nouvel instrument de contrôle économique mondial ?"

Ce document de 2 pages (donc très court) m'a été transmis, avec la permission du CF2R de le faire rediffuser sans limite.

N'hésitez donc pas à rediffuser ou à republier cette analyse, rédigée sous l'égide d'un Centre reconnu, selon l'intérêt que vous lui trouverez....

Il devrait intéresser, s'il en existe encore, les gens soucieux de la bonne santé de notre économie.

https://cf2r.org/actualite/l-oms-est-elle-un-nouvel-instrument-de-controle-economique-mondial/
(voir ci-dessous)
Bonne lecture.

DD

NOTE D'ACTUALITÉ N°173 / MAI 2009

L’OMS est-elle un nouvel instrument de contrôle économique mondial ?

...par Michel NESTERENKO

A l'occasion de la crise « mexicaine-porcine » du mois d'avril 2009, les décisions de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont directement affecté l'économie du Mexique, des États Unis et de l'Europe. Si la crise avait persisté une semaine de plus les dégâts sur les grandes économies auraient pu devenir incalculables, alors qu'il n'y avait point de réelle urgence sanitaire, tout au plus quelques morts. Pour huit morts au Mexique et un mort du coté américain de la frontière le président Obama s'est vu demander, en conférence de presse nationale, si la frontière entre les deux pays allait être totalement fermée. Si celle-ci avait été décrétée, des centaines, voire des milliers, d'usines auraient immédiatement été arrêtées dans les deux pays, avec pour conséquence des de milliers de famille au chômage et sans ressource voire même, sans couverture médicale.

 

Comment se fait il que la présidente de l'OMS, un médecin chinois, nommé par le gouvernement chinois, puisse décider de l'avenir de l'économie du Mexique, des États Unis, ou de l'Europe ? Il y a là des questions de sécurité et d'indépendance nationale d'importance stratégique.

Compte tenu du fait que, dans un monde globalisé, les virus voyagent très facilement à la vitesse des jets intercontinentaux, il est logique que les Nations Unies se dotent d'un organe de veille sanitaire performant dirigé par des experts. La crise du SRAS puis celle de la grippe aviaire ont montré l'utilité de normaliser la lutte grâce à une mise en place d'un réseau de plans d'urgence synchronisés entre les différents pays. C'est pour cela que lorsque l'OMS a monté ses propres niveaux d'alerte, lors de la grippe mexicaine, les autorités sanitaires des États Unis, d'Europe et de certains pays d'Asie lui ont automatiquement emboîté le pas. En Europe, plus particulièrement, les autorités sanitaires ont peiné à trouver quelques personnes infectées par ce qui semble être une maladie bénigne, mais au nom du sacro-saint principe de précaution la machine infernale du contrôle sanitaire renforcé était en route.

Allons nous parler de quarantaine et porter masques et gants, chaque hiver, quand la grippe commune frappera à nos portes ? La grippe hivernale, chaque année tue plus de monde que la grippe mexicaine : 36 000 morts rien qu'aux Etats-Unis à comparer avec un seul mort de la grippe mexicaine. Et il faudrait fermer la frontière ?

 

Il faut être très clair : le travail de coordination de l'OMS est totalement indispensable dans un monde globalisé, mais il faut le remettre dans son contexte avec un peu de bon sens. Il faut éviter la panique et la tentation de l'attrait du pouvoir par la peur.

Dans un monde globalisé où les virus se déplacent, librement et furtivement, il faut se poser la question de savoir si la quarantaine est un outil de gestion sanitaire approprié. Nous ne parlons pas d'une quarantaine ponctuelle sur quelques individus, qui elle a fait ses preuves. Non, nous nous référons à une quarantaine de très grande ampleur au niveau d'une ville, d'une région ou d'un état. Il est clair que compte tenu des délais d'incubation et de détection, le virus qui se déplace à 500 km/h est sans doute déjà à l'autre bout de la planète lors de sa première identification. Rêver de contenir une épidémie par la quarantaine, comme l'a si bien dit le président Obama, équivaut "à fermer la porte de l'écurie quand les chevaux se sont déjà échappés". Cependant, certains responsables sanitaires européens ont été tentés de montrer leur efficacité en interdisant les vols vers le Mexique. Compte tenu des règles de l'OMS cette interdiction allait s'appliquer aux vols sur les Etats-Unis aussi. Les producteurs européens de masques protecteurs ont immédiatement souligné que certains éléments constitutifs des masques venaient exclusivement des Etats-Unis ; en conséquence, la production européenne de masques s'arrêterait rapidement car les vols cargo seraient aussi arrêtés (les virus voyagent avec les équipages). La Chine elle même à commencé à mettre en oeuvre un système de quarantaine, ce qui a menacé la production de Tamiflu dont certains acide essentiels viennent exclusivement de Chine. Conclusion : avec une quarantaine généralisé il sera très vite difficile de soigner les malades, sauf avec des médecines naturelles d'origine locale.

 

La grippe mexicaine a démontré l'efficacité terrifiante des règles sanitaires de l'OMS en tant qu'armes de destruction massive de l'économie d'un pays choisi ou de toute une région, voire de plusieurs régions. Dés que l'OMS a porté son attention sur le Mexique, le secteur du tourisme, qui fait vivre une grande partie de la population mexicaine s'est trouvé sinistré. Des familles sans revenus n'avaient nulle part où aller pour s'alimenter ou se faire soigner. En une semaine l'activité économique du pays est passée au ralenti. Aux Etats Unis tous les avions commerciaux se sont retrouvés vides, malgré les propos très pondérés et lénifiants des autorités sanitaires du Center of Deseases Control (CDC) d'Atlanta et du président américain. Tout cela, alors qu'il y avait à peine une dizaine de morts au Mexique et un seul aux Etats-Unis. Il y a là un impact économique sans commune mesure avec un taux de mortalité très inférieur à celui de la grippe commune de chaque hiver. Dans un monde industriel globalisé où les entreprises et les usines fonctionnent sur le principe du juste à temps, un coup de frein économique régional se répercute immédiatement sur les autres régions en l'espace de trois semaines.

 

Comment devons nous donc équilibrer les impératifs sanitaires et les impératifs économiques ? Cela est il concevable ? Tout d'abord, il faudrait déconnecter la synchronisation automatique entre les niveaux d'alerte de l'OMS et ceux des plans d'urgence nationaux. Il n'y a aucune logique à ce que la synchronisation soit automatique si ce n'est le refus de certains dirigeants d'assumer la responsabilité de décisions sanitaires qui pourraient s'avérer impopulaires ou prises à mauvais escient. Il faudrait aussi que la charte de l'OMS précise clairement que les recommandations ne sont pas contraignantes pour les Etats disposants de services sanitaires performants. Il faudrait aussi changer la structure de vote de l'OMS pour que toutes les décisions incluent impérativement les avis d'experts économiques nommés par chaque Etat. Au niveau national il serait sans doute utile, de lancer une grande réflexion pour identifier les connexions critiques qui pourraient occasionner des surprises en cas de crise, dans un contexte industriel globalisé appuyé sur le concept du juste à temps et de l'externalisation.

 

 

 

Soutien au Pr Raoult contre les Médecins qui ont porté plainte contre lui à l’ordre des médecins

Le 05/09/2020.

 

Bonjour à tous,

Sur les 226 000 médecins français, 500 d'entre eux ont jugé bon de porter plainte contre un homme de bien qui a soigné, autant qu'il a pu, avec les moyens dont il disposait. Ces médecins "accusateurs" tiennent, hélas, le haut du pavé et espèrent conserver leurs avantages et les financements de Big Pharma....

Si l'énorme majorité des médecins sont des gens biens, 0,4% d'entre eux semblent avoir oublié leur serment d'Hippocrate et l'avoir remplacé par un serment d'hippocrite.

J'espère que l'on connaîtra leurs noms pour vérifier leur financement par Big Pharma et pouvoir leur tailler les costards qu'ils méritent....

C'est la raison pour laquelle j'ai signé une pétition de soutien au professeur Raoult.

DD

Soutien au Pr Raoult contre les Médecins qui ont porté plainte contre lui à l’ordre des médecins

Pr Didier Raoult : Invité à CNEWS

(Entretien Intégral)

Le Professeur Toussaint lâche une bombe sur CNNews

Le 22/08/2020.

La vidéo du Professeur Toussaint qui rétablit la vérité sur le CO-VIDE. Une CO(quille)VIDE

....Le 20/08/2020

Les Guignols, vous vous souvenez ?

RESTEZ BIEN ASSIS !

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GuignolPharmacie011.mp4
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La liberté de soigner

Re-bonjour,

 

Je vous retransmets cette bien jolie chanson. Déjà visionnée près de 44 000 fois. Les commentaires écrits étant non autorisés, ils se limitent donc :

aux "likes" (3 070 dont le mien soit 97%)

 

et aux "dislike" (96, soit 3%)  et oui, Big Pharma, Veran, Buzyn, Levy et Cie ont quelques fans quand même .....(grincheux évidemment)

Si seulement les français se réveillaient pour chasser, par leurs votes, les politiciens corrompus par Big Pharma: politiciens qui tiennent le haut du pavé dans le seul pays au monde où l'on est capable d'interdire une prescription sur la base d'une étude reconnue bidon par le monde entier et par le journal qui l'a publiée (The Lancet).


La liberté de soigner

https://youtu.be/vQqILOtZC40

 

Puisqu'on est dans la corruption et dans le rôle des lobbies dans les institutions européennes, je vous adresse, en pièce jointe, le texte d'une question parlementaire du député du Pas de Calais José EVRARD à la ministre de la Justice. Elle décrit bien la situation qui prévaut aujourd'hui dans nos institutions européennes....

A+

DD

<LanceGate> : Les pieds nickelés font de la science.

Le 04/06/2020.

Interview BFMTV - Le 03/05/2020.

5 pièges tendus au Pr Didier Raoult

 

Le Professeur Didier Raoult est rodé à une certaine forme de politique qui l’empêche de tomber dans les pièges grossiers qui lui sont tendus.

                         En cas de crise : 

 

<< La réalité du champ de bataille est qu'on y étudie pas.

Simplement on fait ce que l'on peut pour appliquer ce que l'on sait.

Dès lors, pour y pouvoir un peu, il faut savoir beaucoup et bien.

 

Les règlements, c'est bon pour l'exercice, mais au moment du danger, il faut

autre chose. Ce sont des guides-ânes qui favorisent la paresse d'esprit.

 

L'expérience est l'habitude d'agir correctement sans avoir à raisonner.

La guerre est avant tout un art d'exécution (Napoléon) et par conséquent :

- le fait y a le pas sur l'idée

- l'action sur la parole

- l'exécution sur la théorie.

 

La stratégie est plus qu'une science, c'est le savoir transporté dans la vie

réelle, le développement de la pensée directrice primitive, suivant les

variations toujours nouvelles des évènements, c'est l'art d'agir sous la pression

des circonstances les plus difficiles. Ce qui revient à dire que la stratégie n'est qu'une affaire de caractère et de bon sens.>>

 

Ferdinand Foch (1851 - 1929)

 

 

Scandale et mensonge d'Etat.

C'est une petite grippe...!

Le 24/04/2020.

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C'est une petite grippe.mp4
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La leçon des épidémies courtes

Le 23/04/2020.

Trois documents intéressants...

...proposés par le Gal. Dominique Delawarde - Le 17/04/2020.

 

Bonjour,

 

 

Pour compléter l'envoi de ce matin, j'ai sélectionné 3 articles qui pourraient vous intéresser :

 

Le 1er est une courte interview d'Eric Branca, Historien, qui a beaucoup écrit sur De Gaulle : Son titre : "De Gaulle et la Covid-19". Il nous raconte, en peu de mots comment de Gaulle a géré en 1968 la pandémie dite de "la Grippe de Hong Kong", beaucoup plus meurtrière à l'époque que celle du coronavirus puisqu'elle a tué plus de 1 million de personnes dans un monde qui ne comptait que 4 milliards d'habitants. En France, cette pandémie avait fait 17 000 victimes dans un pays qui ne comptait que 50 millions d'habitants.(2 pages)

https://bookmarc.ca/2020/04/16/de-gaulle-et-la-covid-19/

 

Le deuxième article en PJ1 est un résumé en 2 pages (dont beaucoup d'images) d'une étude comparative statistique sur la mortalité observée dans deux groupes de 16 états les plus affectés par le Covid-19. Le premier groupe utilisant principalement les antipaludéens (chloroquine et dérivés) comme traitement. Le second groupe dit "témoin" n'utilisant pas massivement ce type de traitement. En moins de 3 minutes, on peut prendre connaissance des résultats observés.....

 

Le troisième article,en PJ2 sous le titre "Guérison du coronavirus : Y a-t-il une exception sénégalaise ?" l'auteur nous décrit en deux pages un réel succès du Sénégal dans la guérison de la pandémie. Intéressant...., il vient renforcer les conclusions de l'article précédent.

 

Bonne lecture.

DD.

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Chloroquine - Etude statistique de Maxim
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Guérisons du coronavirus - y a-t-il une
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Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Marseille.

...par le Pr. D. Raoult - Le 14/04/2020.

Source : https://www.mediterranee-infection.com/coronavirus-recul-de-lepidemie-a-marseille/

Trois documents à voir ABSOLUMENT !

...par le Gal. Dominique Dealwarde - Le 14/04/2020.

En complément de mon envoi de ce matin, voici 3 documents que j'ai trouvés très intéressants:

Le premier est une courte vidéo de 4'59 adressée en pièce jointe 1 sous le titre "Chercheurs". Je ne vous dévoile pas son contenu pour vous inciter à l'ouvrir. Je pense que vous ne serez pas déçu.

Le second en PJ2 est un article d'un diplomate chinois en poste à Paris qui répond aux critiques adressées à son pays. L'expression est forte et sonne juste. A chacun de se faire son idée.

Le troisième en PJ3 est un document inédit (1 page) qui éclaire un coin sombre du bras de fer Lacombe-Raoult. J'ai vérifié l'ensemble du document et de la pièce à conviction: une fois encore, c'est affligeant ......

A+

DD

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Chercheurs (1).mp4
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Diplomate chinois.pdf
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Intérêts déclaratifs Karine Lacombe.pdf
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Le message est authentique et notre ministre des AE y a répondu. (voir la vidéo ci-dessous)

https://www.youtube.com/watch?v=A_pWzuHiJe8

 

Cela dit, c'est gros, c'est vrai, mais on est sur une guerre de l'information. Mensonges contre mensonges, chacun visant l'opinion publique mondiale.

Voici la réponse que je viens de faire à un ami:

"Non je ne connaissais pas la réponse de Le Drian".

Je ferai toutefois observer 2 choses:

1 - Qui a commencé à dénigrer l'autre ? Les médias occidentaux (et français) ou l'ambassade de Chine ? Pour moi c'est clair, c'est nous qui avons commencé pour la raison évidente expliquée très clairement par le diplomate (raison que j'ai tenté d'expliquer à plusieurs reprises dans mes remarques liminaires des jours précédents dans ce que j'appelle "le complotisme atlantiste".On est entré dans une guerre de l'information avec les habituels articles malveillants visant à salir l'image de la Chine et de la Russie.Insinuations, allégations, affirmations gratuites, sources toujours anonymes. Aucune confirmation officielle ou semi officielle par un organisme d'état des articles malveillants.

2 - La Chine (et la Russie) doivent-ils supporter sans rien dire les attaques du rouleau compresseur médiatique occidental sans répondre ? Ils l'ont fait dans le passé, mais ces temps sont révolus. La Chine, la Russie et leurs alliés rendront désormais coup pour coup.

Si vous voulez savoir quels seront les principaux vecteurs de cette guerre de l'information ou plutôt de la désinformation: Côté US : CNN, New York Times, Washington Post, Côté français : BFMTV, France Intox,RMC, Le Monde, voire le Figaro et Ouest France.

J'en fais le pari. Un ou deux articles par jour pendant plusieurs semaines.
Lorsqu'on examine les propriétaires de ces médias, ils appartiennent tous (ou sont liés) à un même lobby transnational bien connu., Ils se parlent et définissent ensembles les grandes lignes de l'action. Ils sont soutenus, bien sûr par le même type de médias dans d'autres pays, par des services de renseignement et sur le plan numérique, par les GAFAM.

Bref, il va y avoir du sport dans les semaines qui viennent.

Merci pour la vidéo de Le Drian dont la seule "source" semble être " un service de renseignement américain".

Lorsqu'on se rappelle la déclaration de Pompéo, ancien chef de la CIA et actuel Secrétaire d'état, lors de son intervention auprès d'étudiants de l'université A&M du Texas le 15 avril, on comprend vite que Le Drian n'a pas de sources fiables : soit il est naîf, soit il est complice.....

«Quelle est la devise des cadets à West Point? Vous ne mentirez pas, ne tricherez pas, ne volerez pas et ne tolérerez pas ceux qui le font. J'étais le directeur de la CIA. Nous avons menti, nous avons triché, nous avons volé». En bouclant sa déclaration, il a ajouté: «C'était comme si on avait été entièrement formé pour cela». Mike Pompéo

A+

DD

Commentaires: 1
  • #1

    tiso (lundi, 20 avril 2020 16:30)

    Une carte intéressante, de 25 pays, ou les USA ont des bio laboratoires, Pentagon biolaboratories in 25 countries, source résistance 71. Lire également sur Global/Research : " Le programme américain de guerres biologiques à nouveau sous les projecteurs " du 14 septembre 2018. On y apprends, entre autre qu'un colonel de l'armée de l'air chinoise Dai Xiu, a accusé le gouvernement américain de créer une nouvelle source de grippe aviaire.