EUROPE/FRANCE

 

La place des États-Unis et d’Israël dans les gouvernements de l’UE et de la France

 

Source : RzO Voltaire - Le 01/10/2024

 

L’Union européenne a été fondée non pas par les Européens, mais par les États-Unis et le Royaume-Uni pour mieux les contrôler. La Commission européenne (autrefois dénommée Haute Autorité) est l’administration non-élue chargée d’imposer leur volonté aux États-membres. Au cours des dernières années, elle est parvenue à élargir les compétences de la Commission au détriment de la souveraineté des États-membres sans changer pour autant quoi que ce soit dans les traités. Suivant cette même ligne, Michel Barnier fait entrer les démocrates états-uniens et la faction fasciste d’Israël au sein du gouvernement français.

 

En France et dans l’Union européenne, la place et la responsabilité des États sont progressivement remis en cause. Sans qu’aucune modification n’ait été apportée aux Traités européens, de nombreuses compétences des États membres ont été discrètement transférées à la commission européenne au cours des cinq dernières années.

Billet de 100 francs édité par les États-Unis et mis en circulation par le Gouvernement militaire allié des territoires occupés (AMGOT). Washington et Londres entendaient occuper la France à la place des nazis.

L’ORIGINE DE LA COMMISSION EUROPÉENNE

 

Rappelons d’abord que l’Union européenne est la résultante d’un processus imaginé par les Anglo-Saxons fin 1942. L’amiral William Leahy, chef d’état-major des armées des États-Unis et ancien ambassadeur à Vichy jusqu’en mai 1942, institua à Alger un Gouvernement militaire allié des territoires occupés (Allied Military Government of Occupied Territories - AMGOT) pour la France, autour de l’amiral François Darlan, puis du général Henri Giraud. Il appliquait les lois de Vichy, mais ne reconnaissait pas l’autorité de Charles De Gaulle à Londres.

Charles De Gaulle, considérant que les Britanniques et les États-uniens n’avaient pas plus de droit que les Nazis d’occuper son pays, s’y était fermement opposé (d’où son opposition au débarquement de Normandie [1]). Aussi ce gouvernement n’a pu être étendu qu’en Allemagne, en Autriche et au Japon, mais pas comme prévu en Norvège, aux Pays-Bas, au Luxembourg, en Belgique, au Danemark et en France.

Au vu de cet échec, les Anglo-Saxons cherchèrent une forme de gouvernance pour pouvoir contrôler l’ensemble du monde, conformément à leur volonté commune exprimée lors de la conférence de l’Atlantique.

 

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis et le Royaume-Uni se divisèrent le monde. Churchill imagina de regrouper l’Allemagne de l’Ouest, la Belgique, la France, l’Italie, le Luxembourg et les Pays-Bas dans une organisation supranationale, la Communauté économique européenne (CEE). Elle devait se substituer à l’AMGOT (qui persistait en Allemagne et en Italie) pour mettre en œuvre le principe de la libre circulation des personnes, des services et des capitaux, conformément à la stratégie anglo-saxonne du libre-échange. Les États-Unis ont lié les prêts du Plan Marshall à l’obligation de ces pays d’entrer dans la CEE.

 Le MI6 britannique crée la Ligue européenne de coopération économique (European League for European Cooperation - ELEC), tandis que la CIA finance l’Union européenne des fédéralistes (UEF) et crée le Comité américain pour une Europe unie (American Committee on United Europe - ACUE).

Le premier président de la Haute Autorité de la CEE, c’est-à-dire du prédécesseur de la Commission de l’Union européenne, fut l’Allemand Walter Hallstein (1958-1967). Ce juriste nazi avait conçu le Neuordnung Europas (Nouvel ordre européen) pour le führer Adolf Hitler : Il s’agissait de remplacer les États-nations par des structures régionales ethniques, tout en étendant le Reich à l’ensemble des populations de langues allemandes, et en vidant son espace vital de ses populations autochtones. Walter Hallstein n’ayant qu’à gérer une partie de l’Europe pour les Anglo-Saxons, il n’a pas eu à aborder les questions de l’expansion de l’Allemagne ni celle de l’expulsion ou l’extermination des populations slaves. Par précaution les Anglo-Saxons le neutralisèrent en ôtant de ses fonctions la politique de régionalisation qu’ils confièrent au Conseil de l’Europe.

Tout au long de son histoire, la Haute autorité, puis la Commission européenne, ne furent que des interfaces civiles entre d’un côté l’OTAN (qui remplaça l’AMGOT) et les États-membres. Ses premiers fonctionnaires furent issus de l’AMGOT en Allemagne et en Italie. Pendant la guerre, ils avaient été formés aux affaires civilo-militaires dans une dizaine d’universités états-uniennes.

Ces administrations (non-élues) disposent à la place du Parlement européen (élu) du pouvoir d’initier des règles dans l’espace de l’Union. Ce point est extrêmement important : La Haute Autorité, puis la Commission, n’ont d’autre but que de faire entrer toutes les normes de l’OTAN dans les lois des États-membres. Le Parlement européen n’est qu’une chambre d’enregistrement des décisions de l’impérialisme anglo-saxon.

Aujourd’hui, la Commission a imposé aussi bien des normes sur la production de chocolat (qui sont exactement celles préalablement fixées par l’OTAN pour la barre de chocolat de la ration du soldat) que sur la construction de certaines routes (afin de pouvoir y faire passer les chars de l’Alliance).

Ursula von der Leyen est parvenue à accroitre le pouvoir de la Commission aux dépens des États-membres sans modifier les traités européens. Son administration peut désormais faire entrer un peu plus les États-Unis dans la politique de l’Union.

LA COMMISSION VON DER LEYEN

 

Venons-en maintenant à la période actuelle. En 2014, il a été convenu que la présidence de la Commission échoira à la tête de liste du parti arrivé en tête lors de l’élection du Parlement européen. On pensait à ce moment que ce serait soit le Parti populaire européen (PPE), soit le Parti socialiste européen (PSE), qui se partageaient déjà la présidence du Parlement, qui arriverait en tête. C’est l’ancien Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, un membre des réseaux stay-behind de l’Otan (Gladio), qui fut désigné par le PPE et devint président de la Commission de 2014 à 2019.

En 2019, la présidence de la Commission aurait dû échoir au chrétien démocrate Manfred Weber. Cependant il renonce à cette fonction, ouvrant la voie au social-démocrate Frans Timmermans, ancien ministre des Affaires étrangères néerlandais, dont le parti est arrivé second aux élections du Parlement européen. Mais la Hongrie, la République tchèque, la Slovaquie et la Pologne s’y opposent car il n’a cessé de les accuser de tendances autoritaires alors qu’il était commissaire chargé de l’amélioration de la législation, des relations inter-institutionnelles, de l’État de droit et de la charte des droits fondamentaux. La chancelière allemande Angela Merkel propose alors sa dauphine et ministre de la Défense, Ursula von der Leyen. Le président français, Emmanuel Macron, la soutient à la condition que la Franco-États-unienne Christine Lagarde [2] soit nommée présidente de la Banque centrale européenne.

 

Lors de son discours d’investiture, elle annonce la couleur en déclarant : « Ma Commission sera une Commission géopolitique ». Cette expression n’exprime pas un rôle dans les relations internationales, mais fait référence à la théorie du Lebensraum (espace vital) imaginée par Karl Haushofer.
Ursula von der Leyen crée immédiatement un Groupe pour la coordination externe (EXCO). Il se réunit tous les mardis au niveau des directeurs généraux et tous les mercredis au niveau des conseillers des cabinets des commissaires. 

En mars 2020, alors qu’elle venait juste de prendre ses fonctions, Ursula von der Leyen doit affronter la crise de la Covid-19. La nouvelle présidente élabore un programme de relance économique d’un montant de 2 018 milliards d’euros (dont 800 milliards empruntés), puis elle organise l’achat conjoint de 4,6 milliards de doses de « vaccins » pour 71 milliards d’euros supplémentaires (soit 15 fois le coût de production). Enfin, elle met en place un passeport sanitaire européen, le EU Digital COVID Certificate, dit « QR Code ». Ces initiatives ne figurent pas parmi les compétences attribuées par les Traités à la Commission, cependant tous les États-membres s’en sont félicités. En outre, jusque-là, l’Allemagne s’était toujours vigoureusement opposée au principe d’un emprunt conjoint.

 

Les scientifiques considèrent aujourd’hui que 2,8 milliards de ces doses n’étaient pas des vaccins, mais uniquement des médicaments à ARNmessager. Au demeurant, ils étaient tous expérimentaux.

La Cour de justice de l’Union européenne déplorera l’absence de transparence de la Commission concernant les contrats d’achats de vaccins anti-Covid. Toutefois aucune des procédures intentées pour avoir connaissance des échanges entre les laboratoires pharmaceutique et Mme von der Leyen n’aboutiront. Son époux, Heiko von der Leyen, a été nommé directeur médical d’Orgenesis, une société liée à un des laboratoires fabriquant les vaccins. Il y travaille très peu et y perçoit un salaire exorbitant. En outre, selon la Cour des comptes de Chypre, la Commissaire à la Santé d’Ursula von der Leyen, la Grecque Stélla Kyriakídou, aurait touché 4 millions d’euros via son mari, Kyriakos Kyriakídou.

 

Le 23 février 2022, la Russie débute son « opération militaire spéciale » pour mettre fin aux massacres perpétrés par les « nationalistes intégraux » au Donbass. Cette entrée de l’armée russe sur le territoire ukrainien est considérée par l’OTAN comme une agression, bien qu’elle ne soit qu’une application de la résolution 2202 et de la responsabilité de protéger. Quoi qu’il en soit, le Haut représentant et vice-président de la Commission, Josep Borrell, déclare : « C’est le moment où l’Europe géopolitique est en train de naître ».

La Commission propose sans attendre des paquets de mesures coercitives contre la Russie que le Conseil adopte sans débattre. Il s’agit de la transcription en droit européen des mesures déjà prises par les États-Unis [3] et coordonnées par l’ancien ambassadeur de Washington à Moscou, Michael McFaul.

La Commission propose également un vaste programme d’aide financière et militaire à l’Ukraine. Il est élaboré par Björn Seibert, le chef de cabinet d’Ursula von der Leyen et ancien analyste de l’American Enterprise Institute, en contact constant avec Washington. Elle a, à ce jour, mobilisé 88 milliards d’euros d’aide financière pour Kiev et 50 milliards d’euros d’armes (« Facilité pour l’Ukraine »).

Michel Barnier ne voit pas de contradiction entre sa filiation gaulliste et son soutien à l’Europe anglo-saxonne.

LE RÔLE DE MICHEL BARNIER EN FRANCE

 

Avant les élections européennes de juin 2024, le président Emmanuel Macron propose à Michel Barnier de devenir son Premier ministre. Cependant, la liste présidentielle ne parvient pas à recueillir 15 % des voix. Le président Macron dissout alors l’Assemblée nationale avec un espoir sérieux de reconstituer sa majorité parlementaire. Cependant, Jean-Luc Mélenchon parvient, en deux jours, à rassembler les partis de gauche au sein du Nouveau front populaire. Au premier tour, la liste présidentielle ne recueille que 20 % des voix. Le président Macron évite le pire en organisant un « Front républicain » contre le Rassemblement national de Marine Le Pen. Ce n’est qu’après deux mois de tergiversations qu’il parvient à désigner Michel Barnier comme Premier ministre.

Michel Barnier est un opportuniste. Soutien du gaulliste Jacques Chaban-Delmas, il le trahit pour l’atlantiste Valéry Giscard d’Estaing, en 1977. Soutien du néo-gaulliste Jacques Chirac, il le trahit pour l’atlantiste Édouard Balladur, en 1993. En 2007, dans l’affaire Clearstream 2, il dépose devant le juge Renaud Van Ruymbeke contre le gaulliste Dominique de Villepin en faveur de l’atlantiste Nicolas Sarkozy.
Sa seule constance est de participer à la construction de l’Union européenne dans l’ombre de Washington et de Londres. Après le rejet par référendum de la Constitution européenne, il est membre du groupe Amato qui rédige le traité de Lisbonne lequel sera imposé par la voie parlementaire. Il négocie patiemment les conditions du Brexit avec Londres car il est le seul commissaire européen à connaître l’histoire de l’UE et à comprendre la logique de la volonté britannique.
Cependant, il se met à dos bien des hauts fonctionnaires européens, lors de la campagne présidentielle française de 2022. Il dénonce en effet la gestion des règles de l’immigration depuis des décennies par ses collègues de la Cour de justice de l’UE, ce qu’il n’avait jamais fait auparavant.

 

Le 21 septembre, l’Élysée annonce la composition du gouvernement dont il est le Premier ministre. Il prend soin de laisser croire qu’il en est le seul auteur et que le président Macron ne l’a pas influencé.
C’est évidemment faux. Par exemple Marc Ferracci, ministre délégué chargé de l’Industrie, ancien camarade d’Emmanuel Macron durant leurs études à SciencesPo, fut son témoin de mariage, tandis que le président fut le témoin du sien. Son père, Pierre Ferracci, a participé à la commission Attali pour la libération de la croissance française (2007-2010), dont Emmanuel Macron fut rapporteur spécial. Il dirige un réseau permettant de recaser les hauts-fonctionnaires momentanément écartés. L’épouse du nouveau ministre, Sophie Ferracci, fut directrice de cabinet d’Emmanuel Macron au ministère de l’Économie et à son parti politique, En marche. Elle a été recasée à la Caisse des dépôts et consignations et est aujourd’hui présidente du Groupe SOS de Jean-Marc Borello, ami de longue date de Brigitte Macron.

Le gouvernement Barnier est placé sous les augures des démocrates états-uniens et des sionistes révisionnistes israéliens.

Son ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, est l’héritier d’une longue succession de démocrates-chrétiens. Son grand-père, Noël Barrot fut résistant et député. Son père ; Jacques Barrot, créa avec Michel Barnier le club Dialogue & Initiative. Il fut député ministre, vice-président de la Commission européenne et même membre du Conseil constitutionnel. La sœur de Jean-Noël, Hélène Barrot, est directrice de la communication d’Uber-Europe.
Spécialiste des Finances, il fut professeur associé au Massachusetts Institute of Technology (MIT), puis professeur à HEC Paris. Il fut lauréat (promotion 2020) du programme « Young Leaders » de la French-American Foundation.

Sur cette photographie que nous avons déjà publiée, on voit, le 26 septembre 2024, les présidents états-unien et français aux Nations unies. Benjamin Haddad se trouve à côté d’Emmanuel Macron, tandis qu’Amos Hochstein est à la droite de la photo. Ce petit groupe a mis en scène une demande de cessez-le-feu au Liban. En réalité, il s’agissait de donner le temps à Israël d’assassiner Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah.

 

Le membre le plus surprenant du gouvernement Barnier est son ministre délégué chargé de l’Europe, Benjamin Haddad. La presse a relevé son rôle au sein de l’Atlantic Council, donc au service de Washington. Il fut aussi haut fonctionnaire du service européen pour l’action extérieure (SEAE) où il défendit les positions des États-Unis et d’Israël.

Mais le plus important est ailleurs : Il a longuement travaillé au sein du Tikvah Fund qui se présente comme une association d’éducation juive états-unienne. En réalité, c’est une association des « sionistes révisionnistes », c’est-à-dire des disciples du fasciste Vladimir Jabotinsky dont le portrait orne les murs de tous ses bâtiments et est reproduit sans toutes ses publications. Le Tikvah Fund n’est pas une organisation pro-israélienne comme les autres, elle promeut l’idéologie de Benyamin Netanyahu (dont le père était le secrétaire particulier de Jabotinsky) [4]. Rappelons que le premier Premier ministre d’Israël, David Ben Gourion, avait interdit que l’on inhume Jabotinsky en Israël.

Selon Haaretz, le Tikvah Fund, présidé par le criminel états-unien Elliott Abrams [5], a financé la prise de pouvoir en Israël par Benjamin Netanyahu et ses alliés Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich [6].

Il y a trois ans, Benjamin Haddad expliquait qu’assimiler le Hezbollah à une organisation terroriste comme Daesh, qu’il a combattu et qu’Israël a soutenu, permettait d’obtenir le soutien des Européens [7].

 

Ce qu’il faut retenir :

• La Commission européenne est l’héritière de la Haute Autorité de la CEE, elle-même héritière de l’AMGOT, c’est-à-dire de l’autorité militaire d’occupation anglo-saxonne.

 

• La Commission européenne n’est donc pas élue, mais composée à l’instigation des Anglo-Saxons. Sa seule fonction est de faire adopter les normes de l’OTAN par les États-membres.

 

• Le gouvernement Barnier est le prolongement de la Commission. Il comporte ainsi aussi bien un ministre agréé par les démocrates états-uniens, qu’un autre représentant les sionistes révisionnistes de Benyamin Netanyahu.

 

1« Comment justifier l’agression de l’Otan contre la Russie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 11 juin 2024.

[2« Avec Christine Lagarde, l’industrie US entre au gouvernement français », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 22 juin 2005.

[3Voir le tableau des mesures états-uniennes et européennes dans « La fin de la domination occidentale », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 19 avril 2022.

[4« Le voile se déchire : les vérités cachées de Jabotinsky et Netanyahu », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 23 janvier 2024.

[5Elliott Abrams a été condamné à 2 ans de prison pour son rôle dans l’IranGate. Il a été gracié par le président George Bush père.

[6« Le coup d’État des straussiens en Israël », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 mars 2023.

 

[7Ecoutez le podcast en anglais : « Benjamin Haddad on Why Europe is Becoming More Pro-Israel ».

 

 

La défaite est orpheline

Source : RzO International - Le 09/03/2024.

 

par Patrick Reymond

Dans les divagations de Macron, il y a certes du matamore, mais aussi de l’excuse. La France n’a que peu fourni à l’Ukraine, parce qu’elle n’avait rien à fournir que du matériel désuet, qui devait être benné.

Alors que faire ? Par exemple dire qu’on va envoyer des troupes, et comme personne ne voudra suivre, leur faire porter la responsabilité de la défaite. On pourra dire «si on m’avait suivi !»

La Roumanie, la Pologne, la Slovaquie accepteront elles de les laisser passer ? Rien de moins sûr ! De même, la république tchèque a beau dire qu’elle en enverra, elle enverra quoi ??? Des condoléances ???

Au plus, la France pourrait déployer quoi ? 15 000 hommes ? de quoi tenir 30 kilomètres ? Impressionnant ! Et au bout de trois jours, à bout de munitions, ils se débanderont ? À moins que la pénurie ne viennent encore plus vite : 3 heures ?

C’est la fuite devant le réel.

Bredin Lemaire, lui, veut faire des Zéconomies, pour «réduire le déficit». Toujours est-il que les français verront les dons à l’Ukraine, et la radinerie à leur égard… De plus, réduire les dépenses de 10 milliards, réduira le PIB de 20 (ou plus), et les recettes de 12… Donc, la «réduction du déficit» engendrera une «augmentation du déficit», car celui qui ne verra plus arriver l’argent, se vengera immédiatement : il ne le dépensera plus, et il ne circulera plus… Elémentaire mon cher Watson. Mais BLM lui, se contente d’être encore en maternelle. La seule chose qui serait cohérente, ce serait la taxation des bénéfices des entreprises du Cac 40.

Donc, dans un contexte récessif, que même le FMI reconnait et qui reconnait que la «réduction des déficits», vue la conjoncture, n’est pas indiquée, on veut quand même réduire les dépenses…

Sur Xerfi, on compte les morts de la conjoncture.

Avec la «réduction des déficits», la conjoncture du bâtiment va encore se dégrader.

Avec les bruits de bottes, l’armée va encore moins recruter. Il n’y a que les branleurs de généraux qui sont en abondance et en coliques verbales dégoulinantes.

Dernière nouvelle aussi, le fulmicoton, manque et sans lui, plus d’obus. Les abrutis qui nous gouvernent ont laissé filer toute l’industrie du coton en Chine… Y compris celle du fulmicoton, et, bizarrement, il n’y a plus de livraisons chinoises de fulmicoton en occident…

En cas de guerre, souvent, les constructions s’arrêtent net… Déjà qu’elles ont notablement baissé… En cas d’austérité aussi.

BLM, tu veux savoir comment réduire la dette ? Ne fais rien, laisse l’inflation filer, et indexe les revenus. Merde, son cerveau a coulé par les oreilles quand il a entendu ça…

source : La Chute

L’arme du désespoir


Source : Le Saker francophone - le 25/02/2024 - Par René Lamertume

Un nou lider extremist se ridică în Europa: ''UE e cel mai rău lucru ...

Un point rapide sur la situation de notre pays pourrait donner ceci : l’inflation affame une part de plus en plus importante de la population ; la dette extérieure du pays augmente démesurément sans aucun contrôle ; dans le secteur économique, des milliards d’euros s’envolent chaque année pour financer l’industrie, l’agriculture, le tourisme de pays étrangers; la filière industrielle est pratiquement détruite, celle énergétique bien engagée et celle de l’agriculture s’accélère ; le chômage est en hausse continuelle, due en particulier, à la désindustrialisation de notre pays et à l’importation imperturbable de chômeurs de pays étrangers ; l’éducation est en échec ; notre pays se suicide, au moins économiquement, en Afrique ; la culture qui devrait assurer la cohésion de la société est rongée de l’intérieur ; l’Etat devient incapable de garantir la paix sociale, la sécurité des personnes et des biens, et même les institutions ; Mais en plus, notre pays est en guerre affichée contre l’un des pays, militairement les plus puissants de la planète, et seul disposé à lui fournir une énergie à un coût raisonnable.

 

Depuis plusieurs décennies, nous subissons les orientations et directives bruxelloises (certes regardées avec bienveillance par les groupes dits d’opposition), mais nous devons déduire que c’est sans rapport1 avec le bilan qui précède. Dans les pays de l’ouest européen, la situation est sensiblement la même, calamiteuse. Pour les pays de l’est européen, les versements de plantureux subsides, venant de l’ouest, réduisent les critiques.

L’UE soutient la guerre militaire contre la Russie ( l’Otan est la structure dédiée sur ce sujet, mais cette dernière ne pourrait pas être activée à ce point, sans l’ingérence de l’UE dans les pays). Notons à ce sujet ce que sont devenues les « valeurs occidentales » : le fait qu’un pays en occupe un autre pour protéger une population en Europe, c’est mal, tandis qu’il n’y a rien à dire au fait qu’un occupant massacre la population autochtone d’un pays au Moyen-Orient.

La guerre en Ukraine est accompagnée d’une guerre économique féroce. Sur le plan militaire comme sur le plan économique, l’UE a perdu la partie mais s’entête (on attend avec impatience, les résultats des audits destinés à éclairer comment ont été utilisés, les sommes astronomiques, et le matériel fournis à l’Ukraine). Création imposée aux peuples européens, elle devrait souffrir de son bilan, mais on assiste au contraire à la prise en main de plus en plus brutale des pays, par la couche dirigeante de l’UE, facilitée, il faut le répéter, par l’absence quasi complète de forces attachées aux intérêts nationaux des pays de l’ouest européen2.

Il faut ajouter à ce tableau un élément capital : la russophobie, beaucoup plus important qu’il ne semble à première vue. Une variante consiste à crier haut et fort que les russes, vont envahir leurs voisins. La construction de différents murs et de bunkers, la fermeture de frontières entre la Russie et la périphérie de l’UE, est destinée à créer un sentiment d’insécurité face à ce pays. On peut se demander pourquoi, d’un seul coup, la russophobie est sortie de terre et a atteint des sommets, pourquoi la raison ne vient pas à la rescousse. On pourrait souligner par exemple que la Russie est sous peuplée et qu’elle se développe très bien sur son territoire, grâce en particulier aux sanctions économiques occidentales. On pourrait relever que la Russie serait bien stupide d’envahir les pays de l’Europe de l’est et de devoir alors les prendre en charge financièrement sans retour intéressant, à la place des pays de l’Europe de l’ouest. Mais ce serait reconnaître que la Russie est dirigée de manière plus futée que les pays de l’Europe de l’ouest et qu’un pays qui défend ses intérêts s’en sort mieux que celui qui remet son destin à autrui. Cette attitude xénophobe de l’UE a nécessairement une fonction bien précise, et c’est probablement un calcul de survie.

La russophobie prend place dans une politique délibérée, consistant à créer un ennemi et à entretenir l’affrontement. L’ennemi a vraiment été créé par le non respect des accords de Minsk, par la décision de faire entrer l’Ukraine dans l’Otan, par l’agression contre la population du Donbass ; et quand la Russie a décidé de protéger la population du Donbass, elle a été désignée comme agresseur.

Ainsi, pour maintenir cette couche administrative qui apporte la ruine aux pays de l’ouest européen, qui façonne les pays de l’est européen en les achetant, la solution, classique, consiste en la création d’un ennemi. Nous voyons, et cela devrait se répéter, la diffusion régulière d’« informations » sur les intentions supposées belliqueuses de la Russie, ce qui a plusieurs fonctions, entre autres : de servir de béquilles à l’UE, de permettre aux pays de l’est de soutirer des sommes complémentaires à leurs collègues de l’ouest, et aussi de continuer à verser, sans contrôle et hors de toute raison, des sommes à l’Ukraine (par le truchement opportun de qui nous savons).

Résumé : En Ukraine, la guerre militaire est perdue pour l’Occident, mais elle se poursuivra tant que les Ukrainiens se sacrifieront. Dans l’UE, la guerre économique est perdue mais elle se poursuivra grâce à la russophobie. Car l’autre solution consisterait à reconnaître ses torts. Supposons que l’information sur ce qui se passe vraiment dans le monde, soit libérée. Alors les citoyens de l’Europe de l’ouest comprendraient enfin pourquoi leurs pays s’effondrent tandis que d’autres vont très bien. Cette situation résultant des décisions absurdes3 des instances dirigeantes, et du laxisme des représentations nationales, cela entraînerait des recherches de responsabilité. Le climat de russophobie devrait donc perdurer puisque la survie de l’UE en dépend.

Néanmoins, comme on ne peut pas empêcher la vérité de s’infiltrer, et de faire s’effondrer les mensonges, malgré le travail de soutien des médias de gouvernement, la vérité sur le rôle et le travail de la bureaucratie européenne pourrait bien se répandre. Et on peut penser que ses jours sont comptés, mais les populations des pays de l’Europe de l’ouest ont un rôle à jouer.

René Lamertume

Notes

  1. Ces quelques lignes n’abordent pas le fait connu que l’UE est un prolongement politique des USA ↩
  2. Quelque chose est peut être en train de se réveiller en Allemagne ↩
  3. La question de la légalité de ces décisions se posera tôt ou tard ↩

 

Ce que V. Poutine dit tout haut !

 

Mercenaires et néo-nazis : Pourquoi les citoyens français continuent à mourir vainement en Ukraine

Source : RzO International - Le 22/01/2024.

 

par Rachel Marsden

Paris assure ne pas avoir de combattants du côté de Kiev – après tout, le déni plausible, c’est la raison d’être des tueurs à gages.

Il n’y a pas si longtemps c’était un sujet de fierté pour les nations occidentales d’évoquer leurs ressortissants enthousiastes à l’idée de partir en Ukraine jouer les Rambo à dégommer les Russes. Du moins ne semblaient-elles pas s’empresser de les arrêter. Aujourd’hui, elles ne veulent même pas admettre qu’ils existent.

Ces patriotes, qui se battent pour rien de moins que la liberté occidentale ! Tout cela faisait bon enfant jusqu’au moment où les missiles ont commencé à voler et ils ont réalisé (trop tard pour certains) que l’armée russe n’était pas juste une entité non-jouable dans un jeu vidéo.

Pas plus tard que cette semaine, le ministre russe de la Défense a déclaré qu’ils avaient frappé un nid de 60 combattants à Kharkov – français dans leur majorité, affirme-t-il. Si c’est vrai – bien que le gouvernement français nie que ce le soit – cela soulèverait de nombreuses questions comme, par exemple, pourquoi des citoyens français combattent-ils contre la Russie en Ukraine ? Qui sont ces gens précisément ? Pourquoi les Gaulois haussent-ils les épaules depuis Paris au sujet de leur présence dans une zone de conflit armé alors que l’omniprésence des services de renseignement étrangers suggère que la France devrait être parfaitement au courant de ce qui se passe ?

Le gouvernement français a déjà prouvé avoir une idée bien précise de ce que les citoyens français font en Ukraine. L’année dernière, la DGSI a déclaré que sur 400 combattants français en Ukraine, quelques 30 étaient déjà fichés comme néo-nazis. La Russie a même déclaré qu’elle enquêtait sur des crimes présumés commis par certains mercenaires français. L’année dernière, le député français Frédéric Mathieu, du parti de gauche «La France insoumise», alertait le ministre français des Affaires intérieures sur la menace que représentent les citoyens français qui se sont rendus en Ukraine pour traîner avec des combattants ukrainiens s’imaginant que c’est un Disneyland néo-nazi et qui deviennent des terroristes potentiels à leur retour au pays. Le chef de la DGSI a suggéré la même chose dans la presse française en juillet 2023 citant «l’inspiration néo-nazie» des mercenaires.

Nostalgiques du IIIe Reich

Le cas spécifique de deux Français d’une vingtaine d’années a été pris pour exemple. Ils seraient descendus de bus à Paris en provenance de Lvov en avril 2023, trimballant avec eux des chargeurs de fusils d’assaut et des viseurs optiques interdits, et, pris sur le fait, condamnés directement à la prison. Tous deux étaient suivis par le renseignement français, une preuve de plus que Paris connait parfaitement la vraie nature de ceux qui se battent là-bas pour la «démocratie» en Ukraine.

L’un des mercenaires français avait auparavant figuré dans un reportage sur les néo-nazis dans l’armée française. Il faisait partie d’une unité des chasseurs alpins et pouvait sans doute apprendre deux-trois petits trucs aux néo-nazis de «l’État islamique des neiges» qui ont été entraînés et équipés par les alliés de l’OTAN contre la Russie à l’approche du conflit. Il s’avère même avoir tatoué le serment de fidélité de la SS à Adolf Hitler et aurait écrit sur Facebook en 2018 que les migrants devraient recevoir une «bonne balle dans la nuque».

L’année d’avant, la Hongrie a attrapé un autre néo-nazi français déjà accusé du meurtre d’un joueur argentin de rugby qui se disait en route pour combattre en Ukraine.

Au moins un élu français a fait part l’année dernière de sa préoccupation concernant l’éventuelle prolifération de l’extrémisme au retour de ces combattants d’Ukraine, et de l’influence sur eux des néo-nazis du bataillon Azov, alors même que ces mêmes «héros» sont invités et félicités en tant qu’intervenants conviés à la prestigieuse Université de Stanford et généralement glorifiés comme des défenseurs de la démocratie et de la liberté occidentale.

Les politiciens de l’establishment occidental ne semblent pas trop pressés pour évoquer certains détails dérangeants qui ont resurgi au sujet de leurs protégés néo-nazis. Pas plus qu’ils ne le sont pour expliquer ce que certains de leurs citoyens, notamment d’anciens militaires, faisaient à trainer avec eux en Ukraine. Pas vraiment le genre de discussion préliminaire commode à tenir quand le gouvernement français s’efforce de balayer l’argument de la «dénazification» avancée par le président russe Vladimir Poutine pour justifier l’intervention militaire en Ukraine.

L’incident risque également de soulever des questions quant au rôle que les contractuels militaires privés français pourraient jouer en Ukraine. Alors que certains citoyens français pourraient être attirés par l’Ukraine pour le fun et la camaraderie fasciste, d’autres peuvent être séduits par la rémunération. Une discussion que Paris veut probablement éviter, étant donné la loi française datant de 2003 interdisant le mercenariat.

Mais même les responsables européens ont regardé Paris de travers en 2012. L’homme politique polonais Tomasz Piotr Poreba avait alors demandé à la Commission européenne de s’adresser aux entreprises militaires et de sécurité françaises qui «ont leurs sièges sociaux implantés ou enregistrés dans l’Union européenne – en particulier dans des pays comme la Grande-Bretagne et la France – et dont les services sont sous-traités sur le marché européen par des organisations publiques ou privées, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Union européenne».

Brouillard de guerre

Quiconque a regardé un des «Mission Impossible» avec Tom Cruise sait que tout le principe derrière les mercenaires, c’est qu’on peut s’en servir comme d’un missile qu’on oublie sitôt tiré. Le personnage de Cruise, Ethan Hunt, au début de chaque film est prévenu que si son équipe rate sa mission secrète, elle sera désavouée. De la même manière, l’intérêt de recruter des mercenaires, c’est de faire régner au maximum le brouillard de la guerre et dissimuler les traces que laisserait un acteur étatique qui n’est pas censé se trouver là. La dernière chose qu’un État va faire, c’est de les réclamer en cas d’échec. C’est pour cela qu’ils touchent gros : Pour prendre des risques considérables et assumer ensuite si les choses tournent mal.

Des personnalités dans la presse française ont dénigré la frappe de Moscou sur les mercenaires français ni voyant rien de plus qu’un «retour de flamme médiatique» contre Emmanuel Macron après que le président français a déclaré plus tôt cette semaine que Paris fournirait 40 missiles longue portée Scalp à Kiev.

«Encore une manipulation pataude de la Russie», comme l’a qualifiée le ministre français des Affaires étrangères. Il ajoute que «la France n’a de mercenaires ni en Ukraine ni nulle part ailleurs, contrairement à d’autres». Mais le ministre russe des Affaires étrangères affirmait déjà en juillet 2023 que depuis juin 2022 les sociétés militaires privées françaises «engagent des bénévoles pour participer aux hostilités du côté de Kiev… Les ressortissants français participant aux hostilités en Ukraine s’y rendent souvent par l’intermédiaire de sociétés militaires privées étrangères ou la Légion ukrainienne internationale».

Il y a un moyen de trancher le débat une fois pour toutes. Moscou devrait mettre Paris au pied du mur et révéler leurs identités. Appelons cela une collaboration mondiale open source dans l’intérêt de la transparence.

source : RT France

 

MERCENAIRES FRANCAIS, CONFIRMATIONS ET PRECISIONS. SOURCES RUSSES. 

Source : Bruno Bertez - Le 21/01/2024.

Mercenaires français…

Maintenant, la question semble avoir été clarifiée grâce à de nouvelles

informations. 

L’agence de presse russe TASS a rapporté dans la soirée du 18 janvier que l’expert militaire russe Alexandre Artamonov, que je connais personnellement aussi comme un expert très compétent et pondéré, avait exprimé le soupçon que les personnes tuées étaient des soldats français. 

Il a déclaré à TASS, citant une source au sein des forces armées françaises :

« La présence de mercenaires français près de Kharkov, qui constituaient

l’épine dorsale de la base militaire détruite, pourrait avoir été secrètement

approuvée par leur gouvernement. Les forces armées françaises ont reçu un

ordre de l’armée française. Le ministre de la Défense a demandé en février aux militaires de se considérer comme étant en conflit avec la Russie. Les

mercenaires tués sont très probablement des soldats détachés qui ont signé une demande de vacances.»

Artamonov a déclaré que les citoyens français en Ukraine surveillent non

seulement l’utilisation  des armes françaises, mais les utilisent également

activement eux-mêmes : « Pour utiliser l’obusier César ou obtenir des

instructions de ciblage précises pour (le char léger à roues AMX-10RC),

vous devez contacter le Satellites de l’OTAN. Cette communication s’effectue

via des codes. Personne ne transmettra ces codes à des soldats étrangers,

c’est-à-dire à des Ukrainiens qui ne sont pas membres de l’OTAN.»

…ou des soldats français réguliers ?

Selon Artamanov, les Français sont très probablement des instructeurs, des

équipages supérieurs de l’artillerie française utilisée par l’Ukraine et

éventuellement des commandants de chars AMX-10RC.

Apparemment, Artamanov a eu une bonne intuition, car le 18 janvier au soir, on

a appris que le ministère russe des Affaires étrangères avait convoqué

l’ambassadeur de France. 

Les chaînes russes Telegram, habituellement bien informées, proches des correspondants de guerre et des experts locaux, écrivent désormais que les

Français tués et blessés à Kharkov ne seraient pas des mercenaires arrivés individuellement, mais plutôt des membres de la Légion étrangère française.

Cela voudrait dire qu’ils ne sont peut-être pas (uniquement) français, car les volontaires étrangers servent normalement comme soldats temporaires dans la

Légion étrangère, même si les officiers sont bien sûr français. La Légion

étrangère est une grande unité de l’armée française, c’est-à-dire une partie des

forces armées françaises. Au sens du droit international, les soldats de la Légion étrangère sont des soldats réguliers de l’armée française.

Il n’existe actuellement aucune confirmation officielle selon laquelle les morts

étaient des soldats de la Légion étrangère. Mais si cela devait se confirmer, ce

serait la participation de facto de la France à la guerre au regard du droit

international.

Aujourd’hui, 19 janvier, la Douma discutera de nouvelles mesures contre la

France.

 Remarque personnelle : Que le service des Caesars, s'il en reste, soit assuré par des artilleurs

français me semble plausible. En revanche, il me semble bien que les AMX10RC aient été

abandonnés ou détruits car particulièrement inadaptés au conflit en Ukraine (Trop faiblement

protégé, mécanique et électronique trop fragile...) D'ailleurs, un exemplaire est déjà exposé dans

un musée à Moscou...!

JMR

 

Déchéance de nationalité pour les soldats franco-israéliens

 

Source : RzO International - Le 05/01/2024.

Si les crimes de guerre commis à Gaza par les soldats franco-israéliens engagés dans Tsahal sont reconnus, la France les déchoira-t-elle de leur nationalité française ?

Cela m'étonnerais : Le PR et le gouvernement sont trop sous influence "sioniste" pour prendre une décision qui déplairait à Israël.

J'ai déjà dit et écrit que la double nationalité était incompatible avec le SERVICE de la France et le "service" d'un autre pays quel qu'il soit...!

La suppression de cette double nationalité clarifierait le statut des "volontaires" désireux de s'investir dans la défense d'un pays de leur choix.

Dans la vie,  Il faut choisir :  "ON" ne mange pas à tous les râteliers...!

JMR

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