Lettre à Assa Traoré :

MERCI ASSA !

Source : Minurne Résistance - par Cédric de Vilfrancisque - Le 08/09/2023.

 

« Article premier : Faisons défenses expresses à tous nos Sujets, de quelque qualité et condition qu’ils soient, d’amener dans notre royaume, après la publication et enregistrement de notre présente Déclaration, aucun Noir, Mulâtre, ou autres Gens de couleur, et de les y retenir à leur service  le tout à peine de trois mille livres d’amende, même de plus grande peine s’il y échoit.

Article deux : Défendons pareillement, sous les mêmes peines, à tous Noirs, Mulâtres ou autres Gens de couleur, qui ne seroient point en service, d’entrer à l’avenir dans notre Royaume, sous quelque cause et prétexte que ce soit.

Article trois : Les Noirs ou Mulâtres qui auroient été amenés en France, ou qui s’y seroient introduits depuis ladite publication, seront, à la requête de nos Procureurs ès Sièges des Amirautés, arrêtés et reconduits dans le Port le plus proche, pour être ensuite rembarqués pour nos Colonies… »

« Déclaration du Roi Louis XVI pour la police des Noirs, donnée à Versailles le 9 août 1777).

Chère Assa,

Quand je lis la déclaration en entête de cette lettre, je me prends à regretter la monarchie car ce ne sont pas les rodomontades de faux dur de Moussa Dard-Malin sur Kevin et Mattéo, pas plus que les élucubrations de l’inverti Gabriel Anal sur l’« abaya » qui règleront les problèmes que nous avons avec une immigration qui ne respecte pas notre histoire et nos traditions, qui refuse nos us et coutumes, qui viole nos lois et entend nous imposer les siennes.

Chère Assa, vous avez osé comparer vos frères à des résistants, « cinq d’entre eux ont connu la case prison » dites-vous. Certes mais pourquoi donc étaient-ils en cabane ? Etaient-ils d’innocentes victimes d’erreurs judiciaires ? Ou pire, étaient-ils victimes d’un « délit de sale gueule » ?

Non ils étaient tout simplement délinquants, et multirécidivistes pour certains.

Or, que je sache, la France est (encore ?) un État de droit, et dans notre pays, on ne critique pas une décision de justice même quand on se prétend mal traité, stigmatisé ou ostracisé. 

Après sept longues années, la justice a enfin prononcé un non-lieu, le 1er septembre 2023, dans l’enquête sur la mort de votre frère Adama, décédé le 19 juillet à Beaumont-sur-Oise, peu après son interpellation par les gendarmes. Dans cette affaire, comme dans beaucoup d’autres, mon soutien va aux gendarmes (et aux Forces de l’ordre en général) et il est total. J’espérais que ce jugement verrait la fin du calvaire des trois gendarmes mis en cause dans la mort de votre frère. D’ailleurs, aucune faute ne leur a été reprochée. À aucun moment, ils n’ont été mis en examen car ils n’ont fait que leur devoir. Mais il faut croire que j’étais trop optimiste !

Égérie du comité « Vérité pour Adama », vous contestez une décision de justice et vous  appelez à manifester en affirmant que :

« tous les éléments sont là pour dire que les gendarmes sont bien responsables de la mort d’Adama ».

Et vous ajoutez :

« Nous contestons ce non-lieu qui est une honte pour la justice française, qui est une honte pour la France ».

A l’heure où j’écris, je subodore que le ministricule Moussa Dard-Malin, toujours prompt à faire interdire les défilés pacifiques de patriotes, n’osera pas interdire une manif de Noirs vociférant contre un pays qui leur a pourtant tout donné. Vous ne cessez de crier au racisme mais en réalité, en France, c’est le Blanc, le « Gaulois » qui est victime de votre racisme et de votre haine revancharde.

Sans être devin, je présume que votre affaire finira devant la Cour Européenne des Droits de L’Homme, laquelle  finira par vous donner gain de cause.

Pourtant, le « mâle blanc » que je suis tient aujourd’hui à vous remercier : vous m’avez ENFIN guéri d’un épouvantable complexe racial. J’étais un vulgaire « souchien », une « face de craie », un « Gaulois » traumatisé par sa couleur de peau et le poids – énorme et insupportable si j’en crois Emmanuel Macron – du passé colonial et esclavagiste du pays qui l’a vu naître.

Pour ma part, depuis ma prime enfance, Dieu m’est témoin que j’aimais les nègres.

Avant de me faire traiter injustement de raciste, je tiens à dire que le mot « nègre » n’a, dans ma bouche, aucune connotation péjorative. Léopold Sédar Senghor et Aimé Césaire ont revendiqué leur « négritude » et ils ont eu raison. On devrait toujours avoir la fierté de ses origines, quelles qu’elles fussent. Les jérémiades victimaires de descendants d’esclaves ne riment à rien.

Jadis, les Romains ont peut-être utilisé mes lointains ancêtres cévenols comme esclaves, pour construire le Pont du Gard, entre autres. Pourtant je n’ai pas la moindre rancœur à l’égard de nos voisins transalpins  et je n’exige d’eux ni excuses, ni repentance, ni réparation. J’aurais même plutôt tendance à les remercier d’avoir civilisé des tribus gauloises primitives et d’avoir construit de beaux monuments comme les arènes de Nîmes, le théâtre d’Orange ou le Pont du Gard.

Il y a, dans notre pays, des tas de gens de couleur – Noirs, Asiatiques, Maghrébins – que se sentent français car ils acceptent nos lois et ont tout fait pour s’intégrer à notre pays.

Chère Assa, sans vouloir vous offenser, est-ce le cas de votre fratrie ? Que nenni !

Vous êtes issue d’une famille polygame. J’avais crû comprendre qu’en France la polygamie était interdite. Pourtant votre père, Mara-Siré, né au Mali, arrivé en France à l’âge de 17 ans, s’est uni à une Picarde, puis à une Normande (desquelles sont nés  sept ou huit enfants), puis il s’est marié au Mali avec Hatoumma qui lui a donné six enfants dont vous, Chère Assa, puis, enfin, avec Oumou qui aura trois enfants dont Adama. Votre père meurt jeune, laissant une famille de dix-sept enfants, et ces enfants du « Jus Solis » sont tous de bons petits Français, certes un peu turbulents si  l’on se fie au casier judiciaire de certains d’entre eux : c’est un « Bottin mondain » de la voyoucratie, un « Gault et Millau » de la délinquance. Les mauvaises langues diront que leur volonté d’intégration ne semble pas évidente. Pour ma part,  je ne me permets pas de les juger, ce n’est pas mon rôle. 

Les vrais magistrats, ceux en robe, se montrent d’ailleurs relativement cléments avec eux car ils ne veulent surtout pas « stigmatiser une communauté ». Ou peut-être ont-ils la trouille ? 

Vous, Chère Assa, vous décrochez en 2007 un diplôme d’éducatrice spécialisée. Ensuite vous travaillez pour la  « Fondation OPEJ – Baron Edmond de Rothschild » jusqu’à la mort de votre frère Adama, victime, nous dit-on, de « violences policières ».

D’après « Valeurs actuelles », Adama était « bien connu des services de police » pour recel, violences contre les forces de l’ordre, outrages, extorsion avec violences, menaces de mort, conduite sans permis, usage de stupéfiants et vol à la roulotte. Un bon démarrage dans la vie, non ?

Il a été incarcéré à deux reprises, de septembre 2012 à juillet 2014 puis de décembre 2015 à mai 2016. Après son deuxième emprisonnement, il est accusé de viol par un codétenu, qui rapporte des fellations contraintes sous la menace d’une fourchette. La victime présumée déclare avoir été violée plusieurs fois par jour. Elle est indemnisée le 12 mars 2020, par la Commission d’Indemnisation des Victimes d’Infractions (CIVI), pour un cumul de 28 800 €, incluant l’indemnisation de l’agression de février 2017, agression commise par Yacouba, votre propre frère, en représailles de la plainte pour viol contre Adama. Chez vous, Chère Assa, on a l’esprit de famille, c’est bien !

Adama a-t-il été victime d’une bavure policière ? Est-il mort accidentellement ?

Il ne m’appartient pas de le dire d’autant que les juges viennent de se prononcer en faveur de la thèse de l’accident, et ce, après moult expertises. Je ne commente pas une décision de justice, à plus forte raison quand je ne connais pas le dossier. Mais quand un maçon se tue en tombant d’un échafaudage, quand un routier meurt dans un accident de la route, quand un électricien décède à la suite d’une électrocution, on appelle ça un « accident du travail », point barre !

Je peux comprendre votre tristesse mais votre frère Adama est mort, lui aussi, d’un accident du travail, si tant est que la délinquance soit un travail  (elle est souvent beaucoup plus lucrative et bien moins fatigante qu’un vrai boulot).  

Depuis la mort d’Adama, vous êtes devenue la coqueluche des plateaux télé et de la presse progressiste. Vous êtes même encensée par Angela Davis et toute la gauche américaine.

Je ne désespère pas que vous deveniez notre prochaine Marianne. Je me demande même si l’islamo-gauchiste qui trône au Vatican ne va pas vous béatifier de votre vivant.

Avec votre coiffure, qui fait immanquablement penser à une « barbe-à-papa » à la réglisse, et vos escarpins « Louboutin » à 800 € la paire (soit le montant de la retraite mensuelle de nombreux Français) vous êtes devenue une véritable icône, la madone des banlieues, la passionaria des gens qui détestent la France, son histoire, ses coutumes…

Je vous ai dit, en préambule de ma lettre, que j’aimais les nègres, mais ça, comme dit la pub, « c’était avant », avant d’en avoir une overdose, et croyez bien que ce n’est pas du racisme.

Chère Assa, je suis un chaud partisan de l’ordre et de l’égalité devant la loi. Vous et vos amis, vous êtes libres – après tout pourquoi pas ? – de déboulonner les statues d’esclavagistes, pour clamer votre haine du Blanc mais, que vous le vouliez ou non, c’est du racisme.

Il y a en France plus d’une centaine d’associations de défense des Noirs. Faut-il que le pays se sente coupable pour verser, avec l’argent du contribuable, des subventions à autant de monde !

Selon ces mêmes associations, la communauté noire représenterait 8 ou 9% de la population du pays, alors, expliquez-moi pourquoi TOUTES les publicités nous imposent des acteurs noirs ?

Dans l’une d’elles, on voit une blonde qui téléphone à son chéri. Acteur en plein tournage, il est habillé en…mousquetaire. Diantre, j’ignorais que le corps des mousquetaires du Roi incorporait des nègres ! On nous a imposé une version du docteur Knock joué par Omar Sy, puis une série dans laquelle Arsène Lupin, le gentleman-cambrioleur, est incarné par le même Omar Sy, cet exilé fiscal donneur de leçons. A ce propos, je me demande si le seul fait de proposer le rôle d’un voleur à un Noir ne tombe pas sous le coup de la loi ?   

Musée des arts premiers quai BranlyPour conclure, Chère Assa, au risque de vous surprendre, je vais abonder dans votre sens : j’en veux beaucoup à Jacques Chirac d’avoir utilisé l’argent du contribuable pour créer, Quai Branly, son « Musée des Arts Premiers ». Je ne prise pas du tout cet art africain qu’on n’ose plus appeler «  primitif ». Il est vrai qu’en langue-de-bois, les pays sous-développés sont devenus « pays en voie de développement », puis « pays émergeants », mais à mes yeux les statuettes primitives africaines n’ont pas la finesse et la beauté des sculptures grecques ou romaines.

« Des goûts et des couleurs, on ne discute pas !». Certains voudraient qu’on rende toutes ces œuvres à l’Afrique puisqu’elles auraient, parait-il, été pillées par les infâmes colonialistes.

Et bien, je suis POUR  et je vais beaucoup plus loin : rendons à l’Afrique tous les Africains qui ne cachent pas leur détestation de la France ; supprimons la double (ou triple) nationalité, ainsi que  le « Jus Solis », ce funeste Droit du Sol qui voudrait nous faire croire qu’une vache née dans une écurie est forcément un pur-sang. En clair, la France, « aimez-la ou quittez-la ! ».

Ce beau pays, certes dégénérescent, n’a pas à devenir la colonie de ses anciens colonisés.

Nous avons été humiliés au Mali. Des soldats français sont morts là-bas, pour rien, et « en même temps », comme dit l’avorton présidentiel, des Maliens défilaient dans nos rues, poing levé, et déboulonnaient ou cassaient les statues de nos grands hommes, c’est inacceptable !!!

Voilà pourquoi, Chère Assa, je voulais vous remercier. Grâce à vos coups de gueule, vos manifestations bruyantes et vos propos excessifs, voire haineux, à l’encontre des Blancs, j’ai ENFIN le droit de ne pas aimer tous les nègres, et ceci ne fait pas de moi un odieux raciste.

Etre français, ce n’est pas une question de couleur de peau : J’ai toujours un profond respect pour les Noirs bien intégrés, ceux qui aiment la France, qui y travaillent, qui respectent ses lois et ne vivent pas des aides sociales, aussi diverses que variées, que le pays leur alloue sans compter.

Etre français, ça donne certains droits, mais ça impose aussi des devoirs et le premier de ces devoirs c’est de respecter la loi. La France, dans son histoire, a accueilli beaucoup d’immigrés et ces derniers – qu’on n’appelait pas encore migrants – ont fait en sorte de s’intégrer et ils sont devenus, au fil du temps, des « Français à part entière ».

Macron, qui se plait à diviser pour régner, aime parler de « séparatisme » tout en accordant tous les droits aux minorités – raciales, religieuses ou sexuelles – « et en même temps » il affiche son mépris le plus total pour les « Gaulois réfractaires ».  Il ferait mieux d’imposer aux minorités qui se prétendent stigmatisées de se comporter ENFIN comme des Français à part entière et non comme des lobbies « entièrement à part ».

Cédric de Valfrancisque

08/09/2023 

 

Un mot pour nos soldats tombés au Mali ?

Madame,

Connaissez-vous ces noms : Mickaël Chauwin, Kévin Clément, Antoine Serre, Alexandre Van Dooren, Jean-Luc Ronis, Baptiste Truffaux, Mickaël Poo-Sing, Alberic Riveta, Abdelatif Rafik, Ronan Pointeau, Valentin Duval.

Avez-vous reconnu ces onze noms ?

Non ? Alors, lisez-les une nouvelle fois. Et une fois encore.

Si vous en êtes capable, mémorisez ces noms. Qui sont-ils, ces jeunes gens ? demanderez-vous, puisque vous ne les connaissez pas.

Aucun n’est plus âgé que votre frère lorsqu’il est mort : 24 ans.

Onze gamins, onze vies. Onze parmi une liste de quarante noms, les plus jeunes. Ils devraient vous faire saigner le cœur.

Ils sont morts dans votre pays, le Mali, pour votre pays, le Mali. Ils faisaient partie de la force armée française engagée là-bas dans les opérations Serval et Barkhane, et destinée à éviter que des fous furieux islamistes prennent possession de votre terre et vous mettent sous bâche avec interdiction de parler.

Ces onze gamins sont morts pour vous. C’est devant leur mémoire que vous devriez plier le genou.

Je m’associerai à votre combat « Justice pour Adama » le jour où vous aurez pris la tête d’un comité « Justice pour Mickaël », puis « Justice pour Kévin », et ainsi de suite. Vous avez quarante comités à créer, un pour chacun de ces « morts pour le Mali » auxquels vous tournez le dos.

Je m’associerai à votre combat le jour où vous exigerez – oui, je dis bien exigerez – que les forces françaises engagées chez vous, au Mali, comportent au moins la moitié de soldats d’origine malienne. Ce n’est pas trop demander, me semble-t-il.

Je m’associerai à votre combat le jour où vous cesserez d’être aveuglée par la haine du pays qui vous accueille, vous et les vôtres, et que vous manifesterez dans la rue pour exiger – oui, je dis bien exiger – que les délinquants, dont votre famille regorge, soient arrêtés et punis et non louangés et portés à l’admiration des décervelés.

Je m’associerai à votre combat lorsque vous avouerez qu’en dépit de quelques « brebis galeuses », la police de notre pays n’est pas ce bloc de racisme que vous vous plaisez à dénoncer avec cette outrance ébouriffée qui est votre marque de fabrique.

Je m’associerai à votre combat lorsque vous reconnaîtrez publiquement le tribut payé par les forces de l’ordre à la tranquillité publique – 25 morts et 20.000 blessés par an – et que vous montrerez de la commisération pour leur abnégation et leur sacrifice.

En attendant, lorsque je vous entends dans le poste, je tourne le bouton. Sur « off ».

 

Yannik Chauvin

Docteur en droit, écrivain, compositeur

 

Source : https://www.bvoltaire.fr/lettre-a-assa-traore-un-mot-pour-nos-soldats-tombes-au-mali/

 


La vidéo que la famille Traoré veut faire interdire

Télécharger
Traore.mp4
Fichier Audio/Vidéo MP4 1.9 MB

Commentaires: 2
  • #2

    Chivot (samedi, 11 juillet 2020 08:38)

    Mille bravos pour votre lettre. Combien de fois me suis-je posé la question : qu'est-ce qu'on est allé faire au Mali?

  • #1

    Chelcent (jeudi, 25 juin 2020 12:30)

    ...!! Bravo..!!