L’arnaque du CO2 est
l’une des plus grandes escroqueries de l’histoire du monde. Des milliers de milliards de dollars ont déjà été volées aux nations et aux contribuables par les auteurs de cette arnaque
dégoûtante. En définitive, l’objectif de ces escrocs est la technocratie mondiale (alias le développement durable), un système de gouvernance frauduleux qui permettra à une fiducie
collective comme BlackRock de s’emparer et de gérer toutes les ressources du monde. Technocracy
News & Trends (Nouvelles et
tendances de la technocratie), 13 septembre 2018.
Depuis au moins les années 60, toutes les fausses alertes climatiques ont été déclenchées presque exclusivement par des juifs. Or, selon
la Jewish Virtual
Library, les juifs ne représentant qu’environ 0,2% de la population mondiale, la probabilité que la plupart des principaux influenceurs impliqués dans la promotion du canular
climatique soient juifs est infiniment faible.
Tout a commencé avec Ira Samuel Einhorn, le fondateur du mouvement écologiste «Mother Earth» qui fut condamné en 1977 à la prison à perpétuité pour le
meurtre de sa compagne Holly Maddux1.
Les globalistes l’avaient choisi comme leur façade hippie pour promouvoir et utiliser l’environnement comme leur méthode de prédilection pour établir sur la Terre une dictature
marxiste de fin des temps :
À la recherche d’un nouvel ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement
climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes de ce genre feraient l’affaire. Dans leur globalité et leurs interactions, ces phénomènes constituent en effet une
menace commune qui doit être affrontée par tous ensemble.2
Le Dr Stephen Schneider, avec son Climate Change
Journal, suivi du Dr Barry Commoner, que Ralph Nader a qualifié de «plus grand
environnementaliste du XXe siècle», ont été, parmi beaucoup d’autres, de grands promoteurs du catastrophisme climatique. On est passé avec eux de la glaciation planétaire, au
trou dans l’ozone, aux pluie acides, à la montée des eaux et à la fonte des neiges éternelles.3
Il y eu ensuite les thèses réchauffistes de Michael Mann, un climatologue véreux, de renommée internationale, intervenant au sein du Groupe d’experts
intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), une émanation de l’Organisation des Nations unies (ONU)4.
Son graphique en forme de bâton de hockey (Figure 1), publié pour la première fois en 1998 dans la revue scientifique Nature5 était
la vedette du rapport sur le climat de l’ONU (2001) qui s’est traduit par une mobilisation massive de militants écologiques déterminés à en découdre pour sauver la planète.6
Selon ce graphique, la température atmosphérique de l’Europe, là où s’est amorcé l’usage des hydrocarbures, est montée en flèche après plus de 1000 ans
de stabilité. Or, d’après Mann, cette hausse de température aussi soudaine qu’inédite ne pouvait être due qu’à l’activité humaine, notamment à la production de CO2, cette molécule
«climatocide» que la jeune militante écologique Greta Thunberg prétend voir à l’œil nu.7
Les thèses de Michael Mann ont été vulgarisés dans le célèbre documentaire sur le réchauffement climatique, «Une vérité qui
dérange» ; ce film de propagande réchauffiste a valu un prix Nobel en 2006 à Al Gore et au GIEC. En s’appuyant sur les modélisations informatiques de l’équipe de Michael Mann, Al
Gore prévoyait une catastrophe imminente d’envergure biblique. Il prédisait aussi que ce serait la fin de l’humanité si l’on ne mettait pas en place d’ici 10 ans, en 2016 donc,
un gouvernement mondial pour combattre ce fléau inédit.
Al Gore n’est pas juif lui-même, mais sa fille est mariée à l’héritier de la fortune bancaire internationale du juif Jacob Schiff8,
un représentant de l’empire financier Rothschild ayant financé la révolution bolchevique9.
David Guggenheim, le directeur du film, Jeffrey Skoll, le producteur exécutif de même que tous les autres producteurs sont par contre tous juifs.
Greta Thunberg elle-même est l’arrière-petite-fille du célèbre banquier Lionel Walter Rothschild, fils du premier baron Rothschild10.
Le yacht de 4 millions d’euros sur lequel Greta s’est rendu aux États-Unis appartenait à la famille Rothschild avant d’être vendu à un autre milliardaire juif impliqué dans le bobard
climatique11.
Même Luisa-Marie Neubauer, la conseillère attitrée de Greta Thunberg, est apparentée au fondateur de la dynastie Rothschild, Mayer Amschel Bauer, qui a changé son nom de famille en
Rothschild après être retourné à Francfort pour reprendre l’entreprise de son père. Le «métier» de Luisa Neubauer est «activiste climatique», et elle est bénévole pour
la One Foundation
Campaign, une ONG fondée par Bono et Bill Gates, ayant également des liens avec le spéculateur boursier et prédateur juif George Soros.12
Klaus Schwab, fondateur et directeur exécutif du Forum économique mondial, «épicentre du mal dans notre monde actuel» serait apparemment juif, selon un
article de Karl Haemers publié dans la revue américaine The Occidental
Observer13 ;
tout comme le nouveau czar de l’imposture climatique John Kerry de même que son bras droit, sa fille la Dre Vanessa Kerry. Sans oublier, l’oligarque Jacques Attali, qui ne cesse de
promouvoir le catastrophisme climatique, un moyen comme un autre, selon lui, de réaliser par la peur la gouvernance mondiale :
«L’Histoire nous
apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur : elle met alors d’abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs
émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Puis, une
fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle et les inscrire dans une politique de santé démocratique».14
Le Bernie Madoff du changement
climatique
Ceci dit, il y avait un plus gros poisson derrière le canular climatique et les juifs cités ci-dessus. Le cerveau était un socialiste fabien canadien,
feu Maurice Strong, possiblement lui-même un crypto juif, bien que cela n’ait jamais été prouvé. Selon le journaliste John Izzard, Strong était «l’homme qui, plus que tout autre, a
redéfini un gaz à l’état de trace pour en faire le gagne-pain de dizaines de milliers de fonctionnaires du climat – les mêmes personnes dont les héritiers aux doigts gourmands»
continuent aujourd’hui encore à faire miroiter le canular du changement climatique.15
Au nom du sacro-saint égalitarisme, Strong a utilisé l’écologie et la science du climat pour prétendument enrichir les pauvres au détriment des riches.
Le Programme des Nations unies pour l’environnement et le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) furent ses instruments.16
Mais l’enfer étant pavé de bonnes intentions, les fruits de ses efforts et les politiques qu’ils ont engendrées, telles que la folie des éoliennes,
l’escroquerie de la taxe carbone et la farce du gaz de bouse de vache nuisent aux pauvres et à la classe moyenne dans tous les pays du monde en raison de l’augmentation des coûts de
l’alimentation et de l’énergie.17
Heureusement pour les 99%, «en
2005, écrit J. Izzard avec une délicieuse ironie, l’homme le
plus puissant du monde dans la lutte pour sauver l’humanité par la promotion constante de la théorie des gaz à effet de serre d’origine humaine» a été pris la main dans le sac.
Il avait en effet encaissé un chèque de 988 885 dollars établi à son nom par l’homme d’affaires sud-coréen Tongsun Park, condamné en 2006 par un tribunal fédéral américain pour avoir
conspiré en vue de corrompre des fonctionnaires de l’ONU18.
Strong, le Bernie Madoff du changement climatique qui a dû démissionner de toutes ses fonctions à l’ONU, s’est enfui, comme l’escroc qu’il était, au Canada, puis en Chine où vivait sa
sœur communiste.19
Le Canadien Tim
Ball
C’est grâce au regretté climatologue canadien Tim Ball que la supercherie climatique du CO2 a
été démasquée : «C’est la plus
grande tromperie de l’histoire, déclare le professeur Tim Ball lors de l’une de ses nombreuses conférences. Ils voulaient une menace qui touche l’ensemble du monde et le climat fut
militarisée afin de réaliser leur agenda politique».20
Lors du «procès scientifique du siècle», que les médias de masse ont complètement occulté, le Dr Ball a prouvé à la cour, sans l’ombre d’un doute, que
la courbe en crosse de hockey, devenue l’icône des écologistes et des guerriers de la justice sociale, est avant tout un artefact dû à une mauvaise gestion des données, à des données
obsolètes et à un calcul incorrect de facteurs clés.21
«Lorsque les
données ont été recalculées, souligne le climatologue canadien John O’Sullivan, la courbe a montré qu’il y avait eu davantage de réchauffement au XVe siècle qu’au XXe
siècle»22.
De fait, entre le Xe et le XIVe siècle, en plein Moyen-Âge, c’est-à-dire bien avant la révolution industrielle et l’usage des hydrocarbures, la température moyenne de l’Europe
est en effet montée jusqu’à 10°C au-dessus de la moyenne des températures enregistrées au XXe siècle, soit plus de 9°C plus élevés que les hausses les plus récentes d’environ
0,5°C. Cette hausse de température a été suivie d’une mini période glaciaire qui a duré jusqu’au début du XXe siècle.
Michael Mann et son équipe de climat-menteurs du GIEC (ONU) ont tout simplement effacé de leurs travaux la période de réchauffement du Moyen-Âge. Comme
aucune de leurs prédictions de réchauffement catastrophique ne se réalisait, ils ont également changé le terme «réchauffement climatique» en «changement climatique»23.
De cette façon, aucune chance de se tromper puisque, par définition, le climat change constamment, principalement en raison des changements du rayonnement solaire et de la position de
la Terre par rapport au soleil.24
Le Dr Ball a obtenu un jugement de plusieurs millions de dollars contre le fraudeur Michael Mann de l’ONU25.
Mais le procès en diffamation intenté contre lui par l’escroc Michael Mann était loin d’être gagné. Ce dernier était soutenu moralement par un grand nombre de fonctionnaires du climat
tout aussi pourris que lui ; il était également soutenu financièrement non seulement par l’ONU, mais aussi par la Fondation Suzuki, une organisation elle-même financée par de grandes
entreprises et des fondations comme la Fondation Rockefeller26,
un membre influent de la Société fabienne.27
Ceux qui règnent en
maîtres
La Société fabienne, fondée par deux juifs d’origine allemande, Beatrice et Sydney Webb, nés Weber28,
l’une d’une myriade d’organisations similaires – dont l’objectif revendiqué est de recréer le jardin d’Eden – compte parmi ses membres les personnes les plus riches du monde de même
que leurs émanations et leurs supplétifs.
Les oligarques de cette ploutocratie ne sont pas tous des Fabiens en bonne et due forme, mais cette cabale judéo-anglo-américaine, alias la «communauté
internationale», que Alexandre Douguine a récemment qualifiée de «chose la plus
dégoûtante de l’histoire du monde»29,
est pour la réalisation de ce que l’on appelle la gouvernance mondiale, un réseau d’orga-nisation encadrées par des bureaucrates de l’ONU à New York, Londres, Davos, Berlin et
Tel-Aviv, à qui les États souverains doivent se présenter et rendre des comptes sur une base régulière.30
La menace, en d’autres mots, d’une crise climatique, voire d’une pandémie est le moteur de la centralisation du pouvoir au niveau mondial (28). L’idée
est de céder sa souveraineté, petit à petit, à des organisations que les citoyens du monde entier ne peuvent voir, et encore moins contacter.31,32,33,34
Citation intégrale de Alexandre Douguine
«L’Occident
moderne où triomphent les Rothschild, Soros, Bill Gates et Zuckerberg est la chose la plus dégoûtante de l’histoire du monde. Ce n’est plus l’Occident de la culture gréco-romaine,
ni du Moyen-Âge chrétien, ni du XXe siècle violent et contradictoire, c’est un cimetière de déchets toxiques de la civilisation, c’est l’anti-civilisation».
Bien que les globalistes dirigés par la City de Londres et les Rothschild35 soient
sans l’ombre d’un doute à la tête du Nouvel Ordre Mondial36,
selon le regretté journaliste d’enquête américain Michael Collins Piper, ils ne contrôlent pas encore complètement les mécanismes du pouvoir dans le monde actuel.
«Cependant, leur
niveau d’influence est si substantiel, en particulier en Occident, qu’ils peuvent, en un sens, être considérés comme la pierre angulaire sur laquelle repose l’équilibre du pouvoir
moderne : chaque jour, ils travaillent sans relâche pour s’assurer qu’en définitive, ils atteindront le pouvoir absolu».37
Le projet de gouvernance mondiale sous sa forme actuelle est également, à l’origine, un projet anglo-américain promu d’un côté de l’Atlantique par Cecil
John Rhodes et ses associés, y compris Lord Milner, et de l’autre côté de l’Atlantique par les familles pionnières des très riches protestants blancs anglo-saxons (WASP) dirigées par
les banquiers J. P. Morgan, Andrew Carnegie et les Rockefeller.38,39,40
Selon le journaliste sud-africain Ian Benson, lorsque cette élite financière essentiellement non-juive a perdu sa position au sommet du capitalisme
financier international, elle n’a pas été anéantie, mais absorbée par une constellation de puissances financières juives qu’elle ne pouvait plus contrôler, mais avec lesquelles elle
avait de fortes affinités41 :
tous deux lisaient l’Ancien Testament et se considéraient comme le «peuple élu» par Dieu pour diriger le monde.
L’objectif final de ces loups déguisés en brebis, qui cachent leurs ambitions totalitaires littéralement dans la «lumière» sous les oripeaux des droits
de l’homme et de la démocratie, est de mettre en place un socialisme planétaire et une gouvernance mondiale à travers l’ONU et son Agenda 2030. Leur objectif final est non seulement
de tout posséder, mais de contrôler l’ensemble de la population mondiale grâce à une combinaison de peur, d’ingénierie sociale, de technologies et de politiques de développement
«durables».42
En définitive, l’ennemi commun contre lequel nous devons nous unir pour sauver l’humanité n’est ni le changement climatique, ni la folie des éoliennes,
ni la taxe carbone, ni l’arnaque du gaz de bouse de vache, mais une petite clique de mécréants déterminés à satisfaire leur avidité et leur soif de pouvoir sans se soucier des
conséquences sur les populations du monde.43
Avec le génocide de Gaza, la tromperie climatique est sans aucun doute l’une des choses les plus dégoûtantes de l’histoire du monde.
Ils quittent leur emploi ou abandonnent leurs études – mais les terroristes du climat ne souffrent pas pour autant de problèmes d’argent. En plus des
dons privés, les «activistes» révèlent dans une interview d’autres formes de financement. Une héritière du pétrole leur verse même un revenu régulier.
Confirmé dans une interview : L’héritière américaine du pétrole finance les terroristes du climat
Ils quittent leur emploi ou abandonnent leurs études – mais les terroristes du climat ne souffrent pas pour autant de problèmes d’argent. Outre les dons
privés, les «activistes» se sont confiés dans une interview sur d’autres formes de financement. Une héritière du pétrole leur verse même un revenu régulier.
Le voyage, les bannières, la colle, la nourriture et bien sûr les amendes. Les actions des casseurs du climat de la «dernière génération», organisés en
secte, coûtent de l’argent.
Deux membres du groupe ont révélé dans une interview accordée à «T-Online» d’où proviennent les recettes et le financement des quelque 1000 colleurs de
climat «à plein temps». Tout d’abord, le fait d’énerver les automobilistes et de tenir la police en haleine semble être une affaire lucrative. En effet, les recettes s’élevaient à 900
000 euros en 2022. Les dépenses se sont élevées à environ 535 000 euros.
Revenu de base de 1300 euros
«L’argent provient
de milliers de donateurs privés qui donnent de l’argent sur notre compte non caritatif via notre site web, un lien ou via Pay Pal. Les gens ne reçoivent pas de reçu de don»,
rapporte un «activiste». Mais ce n’est pas tout.
Le «Climate Emergency Fund» vient également à la rescousse. La fortune de ce fonds provient par exemple d’Aileen Getty, petite-fille du tycoon pétrolier
Jean Paul Getty. Par des voies détournées, les colleurs de climat obtiennent même des contrats de travail soumis à la sécurité sociale. Un salaire de base de 1300 euros par mois est
alors inclus. «Après tout, il y a aussi des activistes qui ont des enfants, mais qui ont abandonné leur métier», explique la «dernière génération» en expliquant pourquoi c’est
tout à fait légitime.
Que ce soit justement une héritière du pétrole qui finance maintenant la «protection du climat» ? «Si une
petite-fille d’un tycoon du pétrole décide d’investir son argent là-dedans, c’est-à-dire dans quelque chose de bien, dans quelque chose qui peut nous sauver de l’abîme, c’est
évidemment de l’argent qui est judicieusement placé», se réjouissent les Kleber dans l’interview.
Soutiendriez-vous financièrement les «Klima-Chaoten» ?
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Oui – leur travail est important
En aucun cas
Je l’ai déjà fait
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