Un laboratoire de recherche médicale à Mariupol, en Ukraine, contient des preuves convaincantes d’expériences médicales secrètes impliquant de grands labos,
menées sur des civils.
Des documents récemment mis au jour montrent
que lorsqu’elle était encore sous contrôle ukrainien – la Russie est désormais aux commandes – la ville de Marioupol, qui compte 540 000 habitants, a servi de banc d’essai
pour diverses expériences médicales à grande échelle sur des civils locaux.
Un service psychiatrique de la ville, où nombre de ces expériences ont eu lieu, fait actuellement l’objet d’une reconstruction rapide après avoir été
incorporé à la Russie à la suite d’un référendum tenu fin 2022, expliquent les rapports.
L’un des principaux objectifs de l’opération militaire spéciale menée par la Russie en Ukraine était d’ailleurs d’identifier et d’éliminer de telles
installations afin que l’État profond ukrainien ne puisse plus utiliser des innocents comme cobayes humains.
Presque immédiatement après la capture de l’unité psychiatrique et le début des travaux de rénovation, les équipes de construction ont découvert des
documents, des médicaments, des équipements médicaux et bien d’autres choses encore qui témoignent des recherches secrètes qui y avaient été menées auparavant.
Les documents révèlent que des expériences ont été menées dans l’établissement pendant des années, non seulement dans l’établissement en question, mais
aussi dans au moins huit autres à Marioupol. Comme d’habitude, les puissances occidentales et leurs sociétés de biotechnologie commanditaires étaient derrière ces expériences macabres
et en tiraient profit.
«Nous avons trouvé
des documents qui suggèrent que des milliers de personnes ont été impliquées dans ces expériences, les essais étant menés pour le compte de grandes sociétés pharmaceutiques, dont
Pfizer, AstraZeneca, Sanofi, GlaxoSmithKline et d’autres», a rapporté Steve Sweeney de RT, qui a
visité l’installation.
«Des échantillons
de sang et d’autres substances ont été prélevés puis envoyés à des laboratoires et des cliniques en Europe et aux États-Unis pour y subir des tests dont les résultats ne sont pas
connus».
Ukraine, l’État profond expérimente sur des enfants et des bébés
Les adultes n’étaient pas les seuls à faire l’objet d’expériences. Des preuves montrent que des enfants et des bébés ont également été forcés de
souffrir aux mains des puissances occidentales opérant par procuration en Ukraine pour assouvir leur soif de cupidité et de génocide.
Il est plus que probable que l’exploitation d’enfants et de bébés de cette manière était illégale, a confirmé un médecin russe à RT sous
couvert d’anonymat.
Il n’existe aucun moyen définitif d’identifier chaque âme qui a souffert ou est morte à la suite de ces expériences odieuses, mais des témoins
continuent de se manifester pour raconter ce qu’eux-mêmes, les membres de leur famille et leurs amis ont subi aux mains de l’État profond ukrainien.
«Ma mère est
tombée malade», a déclaré l’homme à Sweeney. «Ils lui ont donné
des médicaments. Je lui ai demandé quels médicaments elle prenait, mais elle ne m’a pas donné de réponse claire. Elle m’a dit que les médicaments provenaient simplement d’une boîte
blanche. Son état s’est aggravé pendant un mois, puis elle est morte».
Regardez la vidéo ci-dessous pour lire le rapport complet de Sweeney et RT sur
cette découverte choquante :
«Ils faisaient
probablement des tests pour fabriquer des armes biologiques», a écrit un commentateur de RT à
propos de l’objectif probable des expériences médicales secrètes.
«L’industrie
capitaliste meurtrière est l’ennemie de l’humanité et plus encore de la planète dans son ensemble», a déclaré un autre. «Nous n’avons pas
d’autres problèmes comparés à l’ampleur de la trahison».
Quelqu’un d’autre a expliqué plus en détail le processus de développement de nouveaux médicaments de l’industrie pharmaceutique à but lucratif, qui
consiste à recycler des médicaments plus anciens pour en faire de nouveaux «blockbusters» très lucratifs.
«La plupart des
nouveaux médicaments sont des analogues de médicaments similaires», a expliqué cette personne. «Ils sont
légèrement modifiés afin de pouvoir obtenir un brevet. Les tests consistent généralement à administrer de fortes doses et à mesurer les enzymes hépatiques pour détecter les dommages.
Je l’éviterais».
Nous avons déjà mentionné le risque de guerre bactériologique de la part de l’Ukraine désormais dangereusement acculée au mur de la défaite. Les États-Unis, grands « sorciers » du
bidouillage de bactéries et autres virus guerriers pourraient sans doute être à la manœuvre, aidés en cela par le MI6, prêt à tous les coups tordus pour affaiblir la Russie. Déjà, nous sommes
nombreux à continuer de nous interroger sur la survenue encore bien mystérieuse du COVID 19, dont l’origine pourrait être quelque part outre-Atlantique dans les recherches effectuées depuis 1965
sur les gains de fonction. Mais un nouveau signal d’alerte vient de s’allumer : alors que les dernières mutations du virus semblaient moins inquiétantes – malgré la politique de peur
continuellement menée par les médias mainstream – une nouvelle souche de covid, peut-être plus dangereuse, est arrivée en Russie. Jusqu’à présent, les médecins dans les dossiers médicaux font
référence à cette maladie avec l’abréviation standard russe « ARVI » : ce qui signifie une infection virale aiguë sans appellation spécifique. Pour les autorités russes, cette
nouvelle souche laisse à penser que les « prêtresses ukrainiennes de l’amour » affectionneraient toujours la Russie. Essayons d’y voir plus clair.
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éditoriale du Courrier.
Selon les dernières informations, le nombre de décès dus aux ARVI en Russie à fin novembre s’élèverait à 90 personnes mortes en une semaine. Ce n’est pas beaucoup.
Pendant la pandémie, on en comptait des centaines par jour.
Le virus déclenche de graves problèmes cardiaques
Mais les médecins restent alarmés par ce taux de mortalité. Bien que le nombre de cas dans notre pays soit encore faible – moins d’une personne pour mille habitants
– ceux qui tombent malades meurent inexorablement. Mais le plus inquiétant, c’est que ceux qui se retrouvent dans les hôpitaux atteints par ces ARVI décèdent d’un arrêt cardiaque, ou d’une
gangrène ou encore de bien d’autres causes. C’est pourquoi l’information reste sous contrôle, car le lien direct entre les ARVI et la cause du décès n’a pas encore été trouvé. Mais la version
selon laquelle c’est le virus qui provoque le développement de complications incompatibles avec la vie n’a pas été écartée.
L’inefficacité des antibiotiques
Une autre raison de s’inquiéter est que ceux qui souffrent de l’infection qui s’est diffusée ne peuvent pas bénéficier de traitements thérapeutiques. Pour une
raison quelconque, les antipyrétiques ne font pas baisser la température et le cœur du patient s’arrête lorsqu’il ne peut plus pomper le sang surchauffé.
Les antibiotiques n’aident pas non plus. Moscou a appris en 1994 que les antibiotiques pouvaient n’aboutir à aucun résultat. Des « entrepreneurs » ukrainiens, qui
se tenaient en marge de presque toutes les rues de la capitale, avaient propagé une souche de gonorrhée, qui n’a pas été traitée avec le Tsifran-500. Cela a fonctionné avec toutes les autres
souches, mais pas avec celle diffusée. Les vénéréologues ont été débordées en apportant une aide rapide à des dizaines de milliers de citoyens en colère. Ensuite, les spécialistes ont mis au
point toute une gamme de nouveaux antibiotiques.
Quant aux ARVI (et au Covid comme variété la plus avancée), les médecins se demandent depuis plus de cent ans s’il est nécessaire d’utiliser des antibiotiques. Car
depuis l’époque de la légendaire grippe espagnole, qui a coûté la vie à plus de 5 millions de personnes, on discute de la raison pour laquelle ces personnes sont mortes : de la grippe elle-même
ou des méthodes de traitement ?
Le nouveau virus atteindrait les vaisseaux sanguins et déclencherait un état dépressif
Les médecins qui ont déjà été confrontés à la nouvelle souche sont extrêmement prudents dans leurs évaluations. Ils font attention au fait que le virus atteint très
probablement les vaisseaux sanguins. Par conséquent, s’il y a des signes d’infection, il est impératif de s’abstenir de tout ce qui affecte négativement les vaisseaux sanguins : aliments gras,
alcool, tabac. Il est nécessaire également de mesurer la saturation en oxygène (taux d’oxygène présent dans les globules rouges) : le chiffre sur l’écran de l’appareil de mesure,
qui est placé sur le doigt, ne doit pas être inférieur à 95. Si l’oxymètre de pouls indique 93, il faut appeler immédiatement une ambulance. Cela signifie que les poumons sont déjà
endommagés.
Les médecins ont découvert un autre symptôme que les patients grippaux n’avaient jamais eu auparavant : la dépression. Généralement, lorsque la température
augmente, on se caractérise par une excitation plutôt que par une dépression. Les signes de dépression – cauchemars, réticence à vivre, etc. – peuvent indiquer que le virus a affecté le pancréas.
Les bananes sont le meilleur support pancréatique.
Certainement un virus artificiel
Igor Nikouline – ancien conseiller du secrétaire général de l’ONU Kofi Ananna, et membre de la Commission des armes biologiques et chimiques de l’ONU –
adhère à la version selon laquelle le nouveau virus arrivé en Russie est d’origine artificielle. « Dans
un environnement naturel, le virus ne peut pas muter aussi rapidement qu’avec le Covid. La nouvelle souche est résistante aux médicaments et aux vaccins utilisés par les médecins dans la lutte
contre le Covid-19, et elle affecte également ceux qui ont déjà été malades. Tout est très similaire au fait que ce virus, qui est maintenant introduit en Russie, a été créé dans des laboratoires
biologiques américains sur le territoire de l’Ukraine », indique le microbiologiste et diplomate.
Cela nous ramène à l’histoire d’une gonorrhée inhabituelle à Moscou dans les fringantes années 90 : il y avait alors aussi une forte suspicion de la création de
cette infection en laboratoire.
Il est important de noter que de nouvelles mutations du covid n’apparaissent pas seulement en Russie : d’autres pays sont également préoccupés par ce problème.
Ancha Baranova, du George-Mason Institute des États-Unis, s’exprime activement dans la presse américaine, avec des propositions visant à rétablir le régime des masques. La question est en
cours d’étude à l’Organisation mondiale de la santé. L’OMS ne s’attend pas à une nouvelle pandémie, mais prête une réelle attention au taux de mortalité élevé dû à la souche mutante de ce nouveau
Covid.
De nouvelles armes du site d’essais biologiques ukrainien
Plusieurs nouvelles inquiétantes circulent tant en Ukraine qu’en Russie concernant la possibilité d’un usage d’armes biologiques par le SBU ukrainien. Plus la situation devient désastreuse sur le
front et plus la tentation de recourir à des solutions extrêmes semble plausible. L’on avait déjà appris en 2022 l’existence des Biolabs américains, une information démentie de façon maladroite
par l’administration Biden. Mais les documents retrouvés par l’armée russe ( en particulier un procès-verbal d’une réunion des spécialistes américains et ukrainiens d’octobre 2022) ont attesté
qu’ils existaient bien des centres de recherche financés par les Américains ainsi que par les Allemands, sous le contrôle du Pentagone : Soit plus de 50 Biolabs modernisés à proximité
immédiate des frontières de la Fédération de Russie et, selon le ministère chinois des affaires étrangères, l’existence d’un nombre important de ces Biolabs dans 30 Etats dans le monde. Deux
faits récents renforcent l’inquiétude : La menace d’utilisation par le SBU de « moutarde azotée » suite à l’achat en Allemagne de triéthanolamine, et la résistance aux
antibiotiques constatée sur des soldats Ukrainiens blessés, avec un risque manifeste de contagion dans l’Europe entière.
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La chaîne de télévision américaine CBS News vient d’indiquer que, selon un rapport d’experts de la santé, le nombre d’infections résistantes aux antibiotiques les
plus puissants est en augmentation en Ukraine : « Les
hôpitaux ukrainiens sont désormais confrontés à une augmentation alarmante du nombre d’infections résistantes aux antibiotiques puissants utilisés pour traiter les maladies provoquées par ces
infections». C’est ce qu’indique une étude dont les résultats ont été publiés par les Centers
for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.
Le constat : 60 % de patients ukrainiens de maladies infectieuses luttent contre des germes résistants aux plus puissants antibiotiques
Aussi, les autorités ont-elles appelé à une action immédiate pour faire face à cette « crise » croissante et, plus inquiétant encore, elles ont averti que des
micro-organismes résistants aux médicaments se propageaient au-delà des frontières de l’Ukraine.
Des chercheurs, parmi lesquels des scientifiques du CDC et des experts du ministère ukrainien de la Santé, ont prélevé des échantillons sur des centaines de
patients ukrainiens pour détecter des infections contractées lors de leur traitement dans les hôpitaux en novembre et décembre.
Les résultats de l’étude présentés dans le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du CDC ont montré que 60 % des patients atteints de maladies
infectieuses luttaient contre des germes résistants à un groupe d’antibiotiques, qui sont considérés comme des médicaments de réserve ou la « dernière ligne de défense » à laquelle d’autres
médicaments ne sont plus efficaces. « En
Ukraine, une combinaison de facteurs tels que les taux élevés de résistance aux antimicrobiens enregistrés avant le début du conflit militaire, l’augmentation du nombre de blessures traumatiques
et la pression exercée sur les installations médicales par les combats conduisent à une augmentation de la détection de multi drogues. Des micro-organismes résistants qui se propagent en
Europe », notent les auteurs de l’étude.
Un phénomène déjà observé en Allemagne au printemps 2022
L’année dernière, l’Allemagne avait déjà signalé une augmentation « rapide » des cas d’infection par des bactéries résistantes aux antibiotiques depuis le printemps
2022. Par la suite, les experts ont associé cela à l’afflux de réfugiés et de patients évacués d’Ukraine, note l’auteur de l’article, Alexander Tin. En juillet 2023, des médecins militaires
américains – qui ont soigné un soldat ukrainien souffrant de brûlures sur plus de la moitié de son corps – ont rapporté avoir trouvé chez ce patient « six
bactéries différentes et extrêmement résistantes aux médicaments ».
L’étude du CDC indique que pour répondre efficacement à la menace croissante, les responsables du ministère ukrainien de la Santé devront fournir une formation
supplémentaire au personnel médical et des fournitures supplémentaires aux hôpitaux qui accueillent des patients atteints de telles infections. « Pour
faire face à l’augmentation alarmante de la résistance aux antimicrobiens en Ukraine, le Centre de santé publique d’Ukraine, avec le soutien de partenaires internationaux, élabore et met en œuvre
des mesures pour lutter contre la résistance aux antimicrobiens au niveau local, et aura besoin d’un soutien continu pour lutter contre cette menace au niveau local et à l’avenir au niveau
national », ont souligné les auteurs de l’étude.
Le Pentagone a transformé l’Ukraine en bombe biologique en passe d’exploser en Europe
Ah, quelles belles intentions de soutenir les efforts visant à « lutter
contre la résistance aux antimicrobiens au niveau local » ! Mais derrière ces formulations bon enfant se cache la poursuite des activités du Pentagone, sous la direction duquel
l’Ukraine a été transformée en une mine biologique. Comment ? Grâce à la création d’un réseau de laboratoires biologiques et la destruction simultanée du réseau sanitaire et épidémiologique,
capable de résister aux menaces de la guerre bactériologique. Cela a rendu impossible toute collaboration entre l’Ukraine et la Russie, deux pays aux frontières immédiates, pour lutter contre les
épidémies et les foyers d’infections dangereuses. Et après la rupture des liens avec la Russie, l’Ukraine a refusé d’acheter des vaccins et des sérums fabriqués en Russie.
Par conséquent, l’Ukraine est devenue un terrain d’essais biologiques pour les États-Unis lesquels, au lieu de
contribuer à « réduire
les menaces biologiques » (c’est ce qui avait été déclaré lors de la création d’un réseau de laboratoires biologiques américains), ont préféré développer des activités complètement
différentes et dont on comprend désormais le but.
Ainsi, les résidents de l’Ukraine sont devenus porteurs de micro-organismes résistants même aux antibiotiques « dernière ligne de défense ». Les Centres
américains de contrôle et de prévention des maladies ne cachent pas que cela constitue un danger pour les Européens. Car de nouveaux réfugiés arrivent d’Ukraine vers l’UE et nombre de ceux que
l’Europe a déjà accueillis, pour obtenir de l’aide, se précipitent également pour revenir dans le pays afin de revoir leurs proches, participer à des évènements familiaux, etc.
Fermer en urgence les frontières avec l’Ukraine ?
Apparemment, partant de ses recherches, le CDC américain a appelé l’Europe à se préparer à fermer les frontières avec l’Ukraine et donc de bloquer les réfugiés et
les « guerriers blessés » (les «zahysnyks») chargés d’invités indésirables : Des micro-organismes résistants aux antibiotiques qui menacent de nouvelles épidémies et
pandémies.
Comme il s’est avéré l’être lors de la pandémie de Covid-19, l’UE n’est pas prête à affronter des chocs de cette ampleur (et, apparemment, à plus grande échelle).
Quant à l’Ukraine, sa médecine n’est pas en mesure de faire face à une telle situation. Mais ni les États-Unis ni le «paradis » européen ne s’en soucient ! Quelle différence
cela fait-il de savoir combien d’habitants meurent dans des pays dont les dirigeants ont accepté cette politique de recherche biologique à des fins militaires ?
Il n’est pas difficile de comprendre à quel type d’activité biologique le Pentagone est engagé en Ukraine : Si, sous couvert de « réduire
les menaces biologiques », ces menaces augmentaient, alors les laboratoires biologiques travaillaient clairement dans l’intérêt des micro-organismes les plus dangereux, ou plutôt dans
l’intérêt de ceux qui ont besoin de se procurer de tels microbes et d’en infecter la population, migrant activement vers la Russie et l’Europe.
La Russie a d’ailleurs attiré à plusieurs reprises l’attention de la communauté internationale sur les laboratoires biologiques américains. Il y a ceux qui s’y sont
préparés, et ceux qui l’ont ignoré et qui ont donc mis leur population en danger.
En résumé, les Ukrainiens se voient attribuer le rôle de sujets expérimentaux dans ces monstrueuses expériences du Pentagone.
Pfizer installe un bio-lab (P3 ? P4 ?) au sein de l’hôtel Lucifer (ex-Hôtel-Dieu) et face à la Cathédrale Notre-Dame
Abréger les souffrances de la population française : Pfizer se penche sur le chevet
collectif.
Que de bonnes surprises nous réserve la page d’accueil du site Pfizer France !1
L’ex-Hôtel-Dieu de l’Assistance publique (feu l’hôpital-princeps de la chirurgie thoracique et de l’hématologie, 60 000 passages aux urgences/an) devient
l’Hôtel-Lucifer !
Grâce à la générosité des microniens, mains plongées jusqu’au coude dans la poche du contribuable français un Public-Private Partenership vient d’éclore avec
le partenaire privilégié du département de la Défense US et de son agence DARPA2 : Pfizer.
Rétropédalons.
Pfizer, grouillot du Pentagone
Le 9 décembre 2013, apparaît ce qui suit sur le site Fierce Pharma :
«Depuis des décennies les vaccins ont fonctionné sur les mêmes principes … or, le Pentagone, persuadé qu’il y aurait
une meilleure approche, a missionné Pfizer pour explorer les pistes (…)».
La Defence Advanced Research Projects Agency (DARPA) – branche du Pentagone chargée de la recherche – a octroyé un contrat de 3 ans ($US 7.7 millions) à
Pfizer. Peu de détails de la recherche ont émergé ;
cependant ce que DARPA a bien voulu divulguer indique qu’elle souhaite réduire le laps de temps face à une menace pandémique ou de bioterrorisme, en éliminant
plusieurs étapes actuellement indispensables (…)
Selon le Département de la défense, «Pfizer se chargera d’un programme R & D destiné à développer une plateforme
technologique permettant d’identifier puis d’induire la production d’anticorps protecteurs contre un pathogène susceptible d’émerger directement dans une
personne infectée ou exposée».
«Poursuivre la recherche sur cette technologie reflète la préoccupation militaire avec le bioterrorisme. En octobre (2013 – ndlr) des experts ont déclaré devant le Congrès US que la défense contre les bio-armes est une «vulnérabilité
nationale majeure» dans les mots du Marine Corps Times».
Taux de mortalité insuffisante des injections «anti-Covid» ? Peut faire mieux !
Et voilà ! le 29 juin 2023 – «Pfizer annonce un parrainage stratégique pluriannuel avec BioLabs, le réseau
international d’incubateurs ouvert aux scientifiques, start-ups en biotechnologies et sciences de la vie à haut potentiel».
Ainsi, Pfizer «devient l’un des 3 sponsors fondateurs pharmaceutiques du site BioLabs Hôtel-Dieu (…) (qui) offre
depuis février 2023 un lieu unique au cœur d’un pôle d’innovation biotechnologique avec des espaces de laboratoire entièrement équipés. Sa collaboration avec
l’AP-HP crée un espace de coworking de premier plan pour les sciences de la vie à Paris, connecté aux 39 hôpitaux de l’AP-HP, offrant ainsi un lieu idéal pour
l’innovation».
Évidemment, il n’y aura absolument aucun problème de confidentialité des données des patients. La Commission européenne chapeautée par une salariée Pfizer, Mme
U. von der Leyen, interviendrait sans l’ombre d’un doute pour nous protéger.
Puis le communiqué de Pfizer nous apprend que les sommes investis et à investir par Pfizer avoisinent les 3 milliards d’euros sur la seule période
2022/2026.
Cette collaboration intervient alors que Pfizer vient d’annoncer lors du Sommet Choose France son intention de doubler son investissement en France avec 500 millions d’euros supplémentaires sur les quatre
prochaines années (…)
Ils s’ajoutent aux 520 millions d’euros d’investissement annoncés en
2022 dont
plus de la moitié a déjà été engagée pour contribuer à l’avancement de projets de R&D, d’essais cliniques et de fabrication de médicaments en France.
L’entreprise s’est aussi engagée à évaluer l’avancement des projets dans les prochaines années, en vue d’investir un milliard d’euros supplémentaires entre 2025 et 2026.
«En qualité de membre fondateur, Pfizer aura un siège au sein du comité de sélection de BioLabs Hôtel-Dieu et
pourra participer au processus de sélection permettant à des start-ups d’intégrer les laboratoires BioLabs-Hôtel-Dieu afin d’accélérer leurs
recherches».
Or, depuis février 2022 les forces armées russes démontent les bio-labs US en Ukraine.3,4
C’est fâcheux. Heureusement que la France et l’Italie5,6 se
sont jetés à genoux devant le DOD, le suppliant de venir installer des (P3 ? P4 ?) sur leur territoire.
Un accident est si vite arrivé et serait si bienvenu !
Il y a un an, le célèbre journaliste bulgare Dilyana Gaytandzhieva disait ceci sur les bio-labs US en Ukraine – désormais démantelés par les forces
russes.7
«Dilyana : Je ne vois pas où est la propagande ici. Nous parlons de documents, ainsi que d’une confirmation faite par
des responsables du gouvernement américain. Où est la propagande ? Les informations proviennent des États-Unis. (…) J’ai commencé à enquêter sur ces
laboratoires financés par le Pentagone il y a 4 ans, bien avant la guerre en Ukraine. (…) Comme vous le remarquez à juste titre, ce programme est géré par le
Pentagone, et non par le département américain de la Santé. Pourquoi un tel programme militaire se déroule-t-il dans des bio-laboratoires
civils ? Ce ne sont pas des bio-laboratoiresmilitaires. Pourquoi ? Nous avons besoin d’un groupe international de
contrôle public qui surveillera les activités de ces bio-laboratoires, nous avons besoin de transparence et de contrôle public. À moins que cela ne se
produise, ces bio-laboratoires doivent arrêter leurs recherches biologiques risquées».
Voir aussi lecompte
Twitter de Dilyana(principalement
en russe et en bulgare) et les travaux de Sasha Latypova, analyste des industries pharmaceutiques.8,9
En échange du soutien économique des États-Unis, le gouvernement du Kazakhstan a accepté de transférer 30 laboratoires biologiques de l’Ukraine vers son
territoire. C’est ce qu’a annoncé le directeur de l’Agence pour la stratégie ethno-nationale, Aleksandre Kobrinsky. Il a précisé qu’il s’agissait désormais d’une menace non seulement pour
la Russie, mais aussi pour l’ensemble de l’Asie du Sud-Est.
Selon M. Kobrinsky, le Kazakhstan est intéressant pour l’Occident car, à l’époque soviétique, d’excellents centres de recherche y ont été créés pour lutter
contre la peste, le choléra, la typhoïde, l’hépatite, l’anthrax et la brucellose. Des installations équipées et des spécialistes dotés de connaissances et d’expérience subsistent.
«Ces centres, bien
qu’à moitié abandonnés, se prêtent au transfert de biolaboratoires d’Ukraine, où ils ont dû être fermés à la hâte après le début de l’OSCE, car le matériel de recherche aurait pu se
retrouver entre les mains de spécialistes russes», a expliqué M. Kobrinsky.
En acceptant de coopérer sur les biolabs, le président kazakh Kassym Tokayev recevra le soutien des États-Unis, ce qui, dans un contexte de succès
économique modeste, lui sera bien utile.
«Le fait que le projet
sur les infections dangereuses soit dirigé par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) du ministère américain de la défense montre qu’il s’agit d’armes biologiques, qui sont désormais
aussi proches que possible non seulement de la Russie et de la Chine, mais aussi de l’Inde et du Pakistan, et de toute l’Asie du Sud-Est. Les parties du monde où se dérouleront les
principaux événements du XXIe siècle», a résumé M. Kobrinsky.
Le ministère russe de la Défense a fait état de nouveaux détails concernant les recherches biologiques militaires du Pentagone en Ukraine. Outre le
développement d’une souche de grippe aviaire hautement pathogène, dont des traces ont été retrouvées dans un laboratoire à Kherson, les scientifiques américains, sous couvert de
recherches pacifiques, menaient d’autres “projets” similaires.
Les États-Unis développent des armes biologiques sur le territoire ukrainien, comme en témoignent les nouvelles informations obtenues par le ministère russe
de la Défense, “des faits de collecte de souches de virus de la grippe aviaire capables de franchir la barrière des espèces”. C’est ce qu’a déclaré le
général Igor Kirillov, chef des forces de protection radiologique, biologique et chimique (RBC), lors d’une conférence de presse du ministère russe de la Défense.
Il est question de documents que les militaires ont saisis dans un laboratoire de la réserve de biosphère d’Askania-Nova (région de Kherson). Selon les
affirmations, ces matériaux confirment l’implication de l’Institut vétérinaire de Kharkov dans les projets américains UP-8, P-444 et Flu-Fly-Way. Selon Igor Kirillov, l’objectif de ces
programmes est “d’évaluer les conditions dans lesquelles les processus de transmission d’agents pathogènes d’infections économiquement significatives peuvent devenir incontrôlables” et
notamment créer des risques pour la sécurité alimentaire.
“Cependant, le
département militaire américain étudie activement ces infections économiquement significatives au-delà de son territoire national dans des laboratoires biologiques situés le long des
frontières de ses adversaires géopolitiques. Cela confirme une fois de plus que les États-Unis développent des composants d’armes biologiques hors de leur juridiction nationale, y compris
en Ukraine“, a déclaré le général.
Le Pentagone, qui n’a rien à voir avec l’étude des voies de migration des oiseaux, était le commanditaire de ces projets.
“Un groupe
opérationnel du ministère russe de la Défense, en collaboration avec des employés du Service fédéral de sécurité et de Rosselkhoznadzor [Service fédéral de surveillance vétérinaire et
phytosanitaire], a confirmé les faits de collecte et de caractérisation des souches du virus de la grippe aviaire, possédant un potentiel épidémique élevé et capables de franchir la
barrière des espèces, en particulier la souche H5N8, dont la mortalité peut atteindre 40% lorsqu’elle est transmise à l’homme“, a déclaré Igor Kirillov.
Il a ajouté que le personnel de la réserve de Kherson avait tenté de “détruire d’urgence les biomatériaux prélevés” en désactivant les installations de
réfrigération et détruisant les conteneurs cryogéniques avec de l’azote liquide, mais les spécialistes du ministère de la Défense “ont quand même réussi à détecter dans les échantillons
soumis à la destruction” des “traces de matériel génétique de la grippe aviaire hautement pathogène, du virus de la maladie de Newcastle, des avulavirus”.
Selon les employés restants dans la réserve, la partie ukrainienne leur a proposé une récompense financière importante pour l’évacuation ou la destruction
des résultats des recherches.
Le chef des troupes de protection RBC a rappelé qu’il avait déjà attiré l’attention sur “le fait documenté de la mortalité massive des oiseaux sur le
territoire de la réserve d’Askania-Nova en 2021, qui, selon les experts, était de nature infectieuse”.
Il a qualifié dans ce contexte de particulièrement préoccupante l’augmentation de l’incidence de la grippe aviaire en Russie et dans les pays européens, où,
selon l’Organisation mondiale de la santé animale, la maladie est devenue annuelle et les pertes depuis 2021 ont dépassé 3 milliards d’euros.
D’après Igor Kirillov, bien qu’il y ait eu des épizooties de grippe aviaire aux États-Unis depuis 2003 et un cas de transmission de l’infection à l’homme,
aucune épidémie de maladies représentant une menace majeure pour la sécurité alimentaire, comme la peste porcine africaine ou la fièvre aphteuse, n’a été signalée sur le territoire
américain dans toute l’histoire des observations.
Le général Kirillov rappelle qu’en octobre 2022, les États-Unis ont rendu publique la Stratégie nationale pour contrer les menaces biologiques, qui a un
caractère doctrinal et définit la gestion des risques biologiques comme une priorité vitale pour les États-Unis.
“Avec la stratégie
approuvée, Washington prévoit de créer sous le contrôle des États-Unis une architecture de prévention, de réaction et de neutralisation des menaces biologiques dans ses intérêts
nationaux“, a expliqué le général.
À noter également que sous couvert d’une “interaction humanitaire” les États-Unis recueillent des collections de microorganismes pathogènes d’autres pays
pour les étudier et les utiliser potentiellement à leurs fins. En particulier, les États-Unis ont prévu de sélectionner des agents pathogènes de maladies particulièrement dangereuses en
Asie centrale et en Transcaucasie.
Au milieu de la guerre qui fait rage
entre la Russie et l’Ukraine, un responsable russe accuse Washington de reprendre la construction de laboratoires biologiques en Ukraine.
Un responsable de la Défense russe a révélé que le États-Unis avaient repris et étendu un programme de construction de laboratoires biologiques en Ukraine
pour former des biologistes ukrainiens.
Vendredi, le chef des troupes de défense contre les radiations, les produits chimiques et biologiques des forces armées russes, Igor Kirillov, a déclaré que
les États-Unis ne reprenaient pas seulement la construction des laboratoires biologiques, mais qu’ils élargissaient également leurs opérations en formant des biologistes ukrainiens, a
rapporté Sputnik.
Le scientifique russe s’est basé sur l’analyse du procès-verbal de la réunion du groupe de travail des spécialistes américains et ukrainiens qui a eu
lieu en octobre 2022.
Igor Kirillov a rappelé que « les cibles des
programmes biologiques des Américains témoignent du fait que Washington considère les anciens pays soviétiques comme des tremplins pour le déploiement des forces de
l’OTAN ».
En outre, le Pentagone finançait des projets à double finalité via le système d’aide financière et le Centre des sciences et technologies (STCU) et le
Centre international des sciences et technologies (ISTC) d’Ukraine étaient chargés de financer ces projets.
Le ministère russe de la Défense pense que le département de l’Énergie des États-Unis, avec le Pentagone, sont les principaux organisateurs et contributeurs
directs aux activités
biologiques militaires américaines.
Qu’est-ce que le département américain de l’Énergie a à voir avec la lutte contre les menaces biologiques et la mise en œuvre de projets qui présentent des
signes de double usage, s’est interrogé Kirillov.
Selon Sputnik, rien
qu’en 2023, le département américain de l’Énergie a alloué 105 millions de dollars à la recherche dans le cadre du projet Bio-preparedness Research Virtual Environment.
Jens « Stelkov »
Stoltenberg/Gates & Mateusz Morawiecki/AstraZeneca – Qui se ressemble s’assemble ?
par Mendelssohn Moses - Le
07/02/2023.
Jens Stoltenberg – un nom entendu à satiété et dans des contextes si lugubres que les oreilles cherchent des oeillères pour se
fermer.
Ou, comme eût dit Heinrich Heine du personnage, « Hab einen Stock
von Holz, der überzogen Mit Leder ist, Gemahl sich nennt ; doch Holz Ist Holz ! »
Heinrich Heine,
« Ratcliff »
In der Verwirrung
sprachs aus mir hervor :
« Man sagte
mir, Sie haben sich vermählt ! »
« Ach ja
! » sprach sie gleichgültig laut und lachend,
« Hab einen
Stock von Holz, der überzogen
Mit Leder ist,
Gemahl sich nennt ; doch Holz
Ist Holz !
»
(« On
m’apprend que vous vous êtes mariée ? » – « C’est ainsi, » dit-elle avec un rire sardonique ; c’est un bout de bois tapissé de cuir que l’on appelle
« époux » ; le bois n’en est pas moins du bois ! »)
Cet ancien gauchiste, se targuant d’être le Tony Blair norvégien1,
prétendu « socialiste » et activiste « anti-guerre », entretenait sous le nom de code Steklov d’intéressantes relations avec le KGB jusqu’en 1990, qui lui valurent
d’intéressantes attentions des services de renseignement norvégiens2.
Heureusement, le Stock von
Holz a bien plus de cordes cassées à son arc.
Autrement dit, ne serions-nous pas en plein dans le petit monde de gens qui ont un Passé qui les fait Danser sur la musique de … quelqu’un ?
Avant d’admirer l’ascension miraculeuse de Jens Stoltenberg, norvégien BCBG dépourvu de toute compétence militaire, catapulté cependant à la tête de l’OTAN
pour sa Dernière Grande Guerre, qu’il nous soit permis de recommander au lecteur même vaguement anglophone le texte suivant de 21st Century Wire par le français Freddy Ponton ; celui-ci
enrichit d’organigrammes et certains noms, les déclarations de Sasha Latypova publiées ici3.
Extrait : « C’est le ministère de
Défense US (Department of Defense) qui dirigeait le R & D sur les « vaccins » ainsi que l’effort de fabrication et de logistique concernant ces contre-mesures médicales aux
USA et à l’étranger … » était
responsable de la recherche et du développement du vaccin ainsi que de la fabrication et de la logistique.
Pour Freddy Ponton, la NIH, FDA, Bill Gates, Fauci et Cie. ne sont que les hommes de paille gigotant sur la partition du DOD et MOD anglais.
Or, dans le cliché de Wikicommons en en-tête du présent article, qui voit on ? Pardi ! Jens, devant l’Opéra de Oslo avec B & M Gates, le 3
juin 2009.
« Le Parlement
norvégien a annoncé aujourd’hui un nouveau financement pour soutenir GAVI, allouant un total de 290 millions de dollars de 2006 à 2010 – soit près de 50 millions de dollars (300 millions
de couronnes norvégiennes) chaque année. Avec cette contribution, la Norvège aura consacré jusqu’à présent 400 millions de dollars à l’action de GAVI. »
« Vacciner les
enfants est l’un des investissements de développement les plus utiles et les plus rentables que les gouvernements donateurs puissent faire », a indiqué Jens Stoltenberg, membre
du Conseil d’administration du Vaccine Fund et ancien premier ministre norvégien, qui a négociéle premier don de la Norvège à
GAVI4.
En 2009, Bill Gates a visité la Norvège, apparemment pour la première fois, pour y être reçu par Stoltenberg5 en
« ami » et par les Souverains norvégiens, no less. Ce
n’est pas sa seule visite à Stoltenberg.
En juin 2013, les voilà de nouveau réunis à Oslo6 en
conférence de presse. À l’occasion Stoltenberg déclara « je me réjouis
de collaborer avec la fondation Bill gates et avec Bill lui-même, afin de financer les vaccins. L’engagement,, l’innovation et l’efficacité sont les maîtres mots pour Gates … la
vaccination est le meilleur outil de santé publique. Les pays doivent y investir. »
Et Panorama de poursuivre « En 2000,
l’Alliance GAVI pour les Vaccins fut lancé, soutenu par la Fondation Bill Gates et la Norvège. »
Bill – qui depuis 2011 au moins fraternisait si c’est bien le mot, avec Jeffrey Epstein – s’esclaffe devant le pillage des fonds publics norvégiens.
Pour d’autres observateurs, cela sent moins la rose.
Selon Then
24 (5 juillet 2022) « Bill Gates et le
secrétaire général de l’OTAN Stoltenberg sont de vieilles connaissances. Entre ses deux tours comme Premier ministre norvégien, soit entre 2002 et 2005, Stoltenberg présidait GAVI
… Pendant ladite
période, des sommes considérables sortent des poches du contribuable norvégien en direction de GAVI – de fait, et selon les dires mêmes de la Fondation B & M Gates, $US 400
millions. »
« Stoltenberg,
qui a lui-même pris les injections « COVID-19 », a dû annuler une visite à Berlin en juin 2022, ayant contracté un zona, l’un des effets secondaires les plus courants des
« vaccins » à ARNm. Mais le fondateur de BioNTech Uğur Şahin est déjà sur la piste d’un nouveau vaccin contre le zona ! »
***
L’affaire Breivik
Autre étrangeté dans le parcours de Stoltenberg : c’est alors que ce « Steklov » devenu jou-jou de Bill Gates (ce dernier étant manifestement
un Informelle
Mitarbeiter du renseignement US), qu’eurent lieu les deux plus graves attentats de l’histoire norvégienne, le 22 juillet 2011 (explosion devant un Ministère faisant 8 morts,
suivi de l’affaire Breivik).
Selon cette dépêche
de l’OTAN, « au cours de la
cérémonie de commémoration en 2021, Stoltenberg souligna qu’il faut combattre la terreur sur plusieurs fronts et notamment, par la police, le renseignement et les forces
armées. »
Or, soit Breivik est un fou, et se prémunir contre le geste d’un fou est impossible, soit que son geste devait servir comme prétexte à l’État d’Urgence si
prisé par Carl Schmitt – ce qui est le cas dans 99.999% de tels attentats. Dans les deux cas de figure, lancer la « police, le renseignement et le forces armées » en terrorisant
tout le peuple norvégien, français, allemand ou autre, ne servira à strictement rien – sauf à introduire un état policier. L’ennemi, c’est le peuple.
En tout cas, quelqu’un détient « le numéro de téléphone » de Stoltenberg et sait le composer. Seraient-ce ceux qui contrôlent Bill
Gates ?
Notons que le fait est notoire au point que la presse conforme en parle : « des salariés de la
Fondation Bill et Melinda Gates ont visité le domicile de Jeffrey Epstein à de multiples reprises ; Bill Gates s’est rendu au moins trois fois en personne chez
Epstein ». Le New
York Times a également rapporté que des employés de la fondation Bill et Melinda Gates ont visité la maison d’Epstein. Touchant courriel de 2011 rédigé par Bill Gates, où il
loue l’intelligence d’Epstein et écrit « si son mode de vie
est très original et assez fascinant, cela ne m’irait pas à moi personnellement »7.
Au minimum depuis cette époque – sinon bien avant – on peut miser avec une certitude proche de l’absolu que Gates ne ferait que ce que les services
de renseignement US lui disent de faire.
***
Mateusz Morawicki,
mannequin-ventriloque et ministre d’AstraZeneca
Autre Stock vom Holz,
Mateus Morawiecki, le mannequin-ventriloque d’AstraZeneca déguisé en Premier ministre de la Pologne.
Présenté le 24 avril 2020 en relais-vidéo par Ursula von der Leyen tout en rouge à lèvres poisseux, Morawiecki a adressé un message8 au Coronavirus
Global Response Pledging Event. S’y rassemblent les Suspects Habituels – OMS, Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF), Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI),
GAVI, Wellcome Trust … « Ensemble, ils
s’engagent en faveur d’un accès équitable à des outils novateurs pour combattre le virus COVID-19 virus » dit la légende du vidéo.
Or, à 2 minutes sur ledit clip, Morawiecki explique que la Pologne participe au projet « Solutions de données et d’identité digitale – le Défi de la
Pandémie » (Data and Digital
Identity Solutions, Tackling the Pandemic Challenge), en envoyant des fonds en Biélorussie et en
Ukraine.
Puis nouveau rebondissement : les relations entre le fabricant pharmaceutique AstraZeneca et Morawiecki s’avèrent être plus que proches. Par
un communique
AstraZeneca daté du 30 mai 2022, on apprend que « Leif Johansson, PDG
d’AstraZeneca, et Dave Fredrickson, vice-président exécutif de l’oncologie, ont rencontré le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki à Davos le mardi 24 mai 2022. La conversation a
porté sur les investissements en R&D de l’entreprise et les partenariats public-privé. »
« La réunion a
porté sur les investissements en R&D d’AstraZeneca en Pologne. En 2020 à Davos, lors d’une conversation avec le Premier ministre Morawiecki, le PDG Johansson a annoncé que
l’entreprise investirait 1,5 milliard de PLN en Pologne d’ici 2024… » Entre 2020 et 2021, les investissements en R&D d’AstraZeneca s’élèvent à près de 700 millions
de PLN, et pour la seule année 2021, « ils ont
augmenté d’un tiers par rapport à l’année précédente. Au cours des dix
dernières années, les investissements en R&D ont augmenté de 626%. L’entreprise a
également embauché 900 personnes supplémentaires au cours des deux dernières années (de 1800 employés fin 2019 à 2700 aujourd’hui) …
« AstraZeneca
est un partenaire stratégique de la Pologne. Nous réalisons des investissements à court et à long terme qui soutiennent le développement du secteur des biotechnologies …
« Le centre de
recherche et développement polonais est l’un des plus importants centres de R&D de l’entreprise dans le monde…. En 2020, la société est devenue la
première entreprise biopharmaceutique mondiale à se voir attribuer le statut de centre de R&D par le ministère (polonais – ndlr) du
développement et de la technologie …
« La
conversation a également porté sur les partenariats
public-privé qui peuvent soutenir la création de systèmes de santé résilients et durables. AstraZeneca participe aux travaux du projet Warsaw Health Innovation Hub
(WHIH) mis en place par la Medical Research Agency. »
Tout cela ressemble au Projet DIANA de l’OTAN en Italie9 et
au Canada10 dont Réseau
International a parlé à plusieurs reprises. Faut bien remplacer la plateforme US dite « Ukraine », désormais détruite ?
En tout cas la fête continue.
À Davos le 17 janvier 2023 le ministre Morawiecki s’est complaisamment fait filmer en conversation avec le PDG d’Astrazeneca. Et l’entreprise de publier le
18 janvier le communiqué suivant : « Davos 2023 :
AstraZeneca fait don d’un million de dollars à des activités de prévention sanitaire en Pologne »11.
« Leif Johansson,
PDG d’AstraZeneca, et Dave Fredrickson, vice-président exécutif de l’oncologie, ont rencontré le président Andrzej Duda et le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki au Forum
économique mondial de Davos. Lors des entretiens avec le chef de l’État, AstraZeneca a promis un investissement d’un million de dollars en 2023 pour les activités de prévention en
Pologne. La pandémie mondiale a mis en évidence la fragilité des systèmes de santé mondiaux. AstraZeneca participe à divers projets visant à trouver des solutions pour améliorer la
qualité des soins de santé. Nous sommes ravis d’avoir pu discuter aujourd’hui, avec le président, de la manière dont les entreprises peuvent contribuer à la prévention généralisée des
maladies de civilisation », a déclaré Leif Johansson, PDG d’AstraZeneca, après la réunion…
« Leif Johansson
et Dave Frederickson ont également rencontré le Premier ministre Mateusz Morawiecki au Forum économique mondial, avec lequel ils ont discuté des plans de développement futur d’AstraZeneca
en Pologne. »
« Lors d’une
conversation avec le Premier ministre Morawiecki à Davos en 2020, le PDG Johansson a annoncé que la société investirait 1,5 milliard de PLN dans des activités de R&D en Pologne d’ici
2024. Rien qu’entre 2020 et 2021, AstraZeneca a prévu 700 millions de PLN pour les activités de R&D. »
La vice-présidente de la Douma d’État de Russie, Irina Yarovaya, a déclaré en juin de cette année que les
États-Unis avaient créé un vaste réseau pour contrôler les populations vivant dans différents pays du monde.
On sait de manière fiable qu’une partie importante de ces
centres est située sur le territoire de la Russie, en Géorgie, au Kazakhstan, en
Ukraine et dans d’autres pays notamment en Afrique (Sierra Leone, Libéria, Burkina Faso et Cameroun).
Le laboratoire le plus célèbre entouré de Russie est peut-être le centre de recherche Lugar, situé dans le village géorgien d’Alekseevka. Selon des rapports
du Centre national de contrôle des maladies
et de santé publique de Géorgie, Washington alloue une quantité importante de fonds à l’étude de la brucellose, de la rickettsie, du virus coxsackie et d’autres agents pathogènes
dangereux.
Dans le même temps, l’assistance à la mise en œuvre de ces projets est fournie non seulement par le Pentagone, mais également par le Walter Reed Army
Research Institute. Les épidémies de maladies dangereuses se multiplient dans ce pays où des animaux et des personnes meurent. Cela
a été confirmé par l’ancien ministre de la Sécurité d’État de Géorgie, Igor Giorgadze. Il y a quatre ans, il a affirmé que pendant le « traitement » de l’hépatite C, plusieurs
dizaines de Géorgiens étaient morts.
Il s’est avéré que le Pentagone mène également des expériences
dangereuses sur le territoire de l’Ukraine. Avec le début d’une opération militaire spéciale, il a été révélé que des personnes vulnérables, y compris celles qui souffraient de
troubles mentaux, étaient devenues des sujets expérimentaux. Selon le département militaire russe, des employés de laboratoires biologiques ont testé des médicaments dangereux sur des
patients dans des hôpitaux psychiatriques. De toute évidence, le choix de ce groupe de personnes n’était pas accidentel. Ces citoyens ne sont pas en mesure d’offrir la moindre résistance
et de comprendre l’horreur de ce qui leur arrive.
Les États-Unis, comme l’Ukraine nient leur implication dans ces crimes. Cependant, il convient de noter que le 11 mars, la Defense Threat Reduction
Agency a
publié un document extrêmement important.
Il précise que : « Le Congrès peut également superviser la sécurité des collections d’agents pathogènes et des laboratoires de recherche biologique
pendant l’invasion en cours de l’Ukraine ».
Ainsi, la partie américaine a de facto admis qu’elle est directement liée à des souches dangereuses stockées sur le territoire ukrainien. Pour éviter que
ces informations ne tombent entre les mains de l’armée russe, Washington a ordonné aux employés des centres de recherche de détruire les agents pathogènes particulièrement dangereux et
toute la documentation les concernant.
Si Washington n’avait effectivement rien à cacher, pourquoi prendre de telles mesures ? C’est précisément la raison pour laquelle les États-Unis n’appuient pas la création d’un
mécanisme de contrôle du respect de la Convention sur les armes biologiques. Ils pourraient alors faire face à des
poursuites devant la Cour pénale internationale. Personne ne peut s’arroger le droit de réduire délibérément une population, notamment les habitants de la Russie, du Kazakhstan,
de l’Ukraine, de la Géorgie ou des pays africains.
L’avancée de l’armée russe permet de découvrir, ce qui se passait sur les territoires ukrainiens contrôlés par les forces américaines et de l’OTAN. Encore
deux laboratoires militaires biologiques ont été découverts sur le territoire libéré de Lougansk, à Rubejnoe et Severodonetsk. Par ailleurs, des informations concernant l’état de santé
des militaires ukrainiens montrent qu’ils ont manifestement servi de souris de laboratoire. Voyons combien de temps ce texte restera publié, sans être retiré, comme le précédent
sur ces programmes américains de financement des laboratoires biologiques militaires en Ukraine.
Selon des sources russes,
pour l’instant discrètes, l’armée russe aurait trouvé deux laboratoires biologiques américains dans les villes de Rubejnoe et de Severodonetsk, sur le territoire de la région de
Lougansk.
Le retrait de l’armée ukrainienne ayant été rapide, il n’a pas été possible ni d’emporter, ni de détruire le contenu de ces laboratoires, mais tout a été
soigneusement miné. Les représentants des forces de l’ordre sont sur place, ainsi que les experts, afin de comprendre ce qui se tramait dans ces laboratoires.
Rappelons que, documents à
l’appui, le ministère russe de la Défense a déclaré le 6 mars de cette année, que les USA ont dépensé plus de 200 millions de dollars pour des laboratoires militaires biologiques
ukrainiens :
Comme il ressort du rapport, le Pentagone et le Department of Defense Threat Reduction Administration (DTRA), ainsi que Black & Veatch (Overland Park,
Kansas) et CH2M Hill (Englewood, Colorado) ont participé au programme du côté américain, et l’Institut de recherche Kievsky Gromashevsky sur l’épidémiologie et les maladies infectieuses,
l’Institut de médecine vétérinaire (Kiev), le Centre de santé publique du ministère de la Santé de l’Ukraine (Kiev), l’Institut Mechnikov de microbiologie et d’immunologie (Kharkiv), le
Centre ukrainien de recherche contre la peste (Odessa), Institut de recherche d’épidémiologie et d’hygiène de Lvov.
Sur la trentaine de laboratoires ukrainiens, qui ont participé au programme militaire américain, 11 laboratoires du département central sanitaire
épidémiologique du ministère ukrainien de la Défense participaient au monitoring de la situation biologique, de la sélection et du transfert des souches, etc. De plus, à l’occasion
de ce monitoring un contrôle de l’accès aux agents pathogènes (PACS) a été instauré. Le ministère russe de la Défense précise encore :
Il est à noter que des souches et des biomatériaux ont été collectés et transférés à l’US Army Reed Research Institute. Il s’agit d’échantillons de souches
hautement pathogènes d’agents pathogènes de maladies infectieuses (peste, charbon, choléra, tularémie, brucellose, virus Crimée-Congo, hantavirus, virus de l’encéphalite à tiques et
leptospirose), ainsi que de 4000 échantillons biomédicaux provenant des membre de l’armée ukrainienne.
Depuis, les médecins russes examinent les prisonniers militaires ukrainiens et ont fait d’étranges découvertes, confirmant que ces militaires ont
fait l’objet d’expérimentations médicales pendant des années, car leur taux de maladie est largement au-dessus de la moyenne normale :
« Un tiers des militaires examinés avaient (ou sont actuellement malades) de l’hépatite A, plus de quatre pour cent
avaient une fièvre avec syndrome rénal, vingt autres pour cent souffraient d’une maladie au nom exotique de fièvre du Nil occidental ».
Il est évident que les plateformes et les médias bloquent toute publication sur le sujet, qui est vraiment trop
sensible … et scandaleux. L’on comprend mieux le jusqu’au-boutisme atlantiste, qui ne peut se permettre de voir révéler ses secrets de familles peu ragoûtants.
Le ministère russe de la Défense continue d’étudier les documents relatifs à la mise en œuvre des programmes biologiques militaires des États-Unis et de leurs alliés de l’OTAN sur le territoire
de l’Ukraine.
En vertu de la Convention sur l’interdiction des armes biologiques et à toxines, chaque État signataire soumet un rapport annuel sous la forme d’une déclaration de conformité aux exigences de la
Convention. Il s’agit actuellement du seul document de rapport sur la mise en œuvre de la Convention dans le cadre des mesures de confiance.
En raison de l’enquête sur les activités militaires et biologiques des Etats-Unis sur le territoire de l’Ukraine, nous avons analysé les documents envoyés par ces États à l’ONU.
Il convient de noter que ni l’Ukraine ni les États-Unis n’ont fourni d’informations sur la recherche et le développement coopératifs dans le domaine de la protection biologique dans lesdites
soumissions (dans le formulaire A, partie 2, alinéa i). De même, la Pologne et l’Allemagne n’ont pas déclaré d’engagement avec l’Ukraine dans leurs rapports.
En outre, dans ces rapports (formulaire F) pour la période de 2016 à 2020, l’Ukraine déclare que « Le gouvernement de l’Ukraine n’a pas mené et ne mène pas d’activités offensives ou défensives
dans le cadre de programmes de recherche et de développement biologiques. Le gouvernement de l’Ukraine ne dispose d’aucune information sur de telles activités de l’ex-URSS sur le territoire de
l’Ukraine depuis le 1er janvier 1946. »
Cela contredit une déclaration du 20 mai 2022 de Lewis Gitter, représentant permanent adjoint des États-Unis auprès de l’OSCE, selon laquelle l’assistance à Kiev vise à « réduire les risques
biologiques et vétérinaires, ainsi qu’à sécuriser les stocks illégaux d’armes biologiques laissés par l’URSS. »
En outre, les rapports de l’Ukraine présentent de nombreuses incohérences. Ainsi, le formulaire A des mesures de confiance pour 2020 déclare l’absence totale de programmes nationaux de
biosécurité. L’Institut de recherche en biotechnologie des souches microbiennes de Kiev, en tant que participant au programme de défense biologique, est mentionné dans la partie 2 alinéa i de ce
formulaire.
En outre, les caractéristiques de cet établissement (superficie des installations de laboratoire, nombre d’employés) ne correspondent pas aux informations précédemment communiquées par l’Ukraine.
La question se pose : Pourquoi les documents de rapport des États-Unis et de l’Ukraine à l’ONU n’ont-ils pas inclus les travaux effectués dans le cadre des projets militaro-biologiques conjoints
portant le nom de code UP ? Un tel secret est une raison supplémentaire de réfléchir aux véritables objectifs du Pentagone en Ukraine.
Les documents officiels que vous avez sous les yeux confirment que le Pentagone, représenté par l’Agence de réduction des menaces de la défense américaine (DTRA), organise des travaux ayant une
orientation clairement militaro-biologique.
Notez le mémorandum préparé par le bureau du Secrétaire américain à la Défense concernant le projet UP-2 de cartographie des agents pathogènes hautement dangereux en Ukraine.
Le document indique que l’objectif principal de ce projet est de recueillir des informations sur la composition moléculaire des agents pathogènes spécifiques à l’Ukraine et de transférer des
échantillons de souches.
Par ailleurs, il est souligné que ce travail doit être conforme aux principales lignes directrices du programme coopératif ukrainien de réduction des menaces sur la prévention de la propagation
des armes biologiques du 29 novembre 2005.
Un mémorandum similaire a été préparé dans le cadre du projet UP-1 visant à étudier les bactéries rickettsies et autres maladies propagées par les arthropodes. Le document note la nécessité de
transférer toutes les collections d’agents pathogènes hautement dangereux vers un laboratoire central de référence afin de faciliter leur exportation ordonnée vers les États-Unis.
Dans le cadre du Programme coopératif de réduction des menaces, un vaste projet UP-4 a été mené pour étudier la possibilité de propager des infections hautement dangereuses par le biais des
oiseaux migrateurs. Les documents reçus montrent que 991 échantillons biologiques ont été collectés rien qu’entre novembre 2019 et janvier 2020.
Au total, dix projets de ce type (dont UP-3, UP-6, UP-8, UP-10) auraient permis de travailler avec des agents pathogènes d’infections particulièrement dangereuses et importantes sur le plan
économique : fièvre de Congo-Crimée, leptospirose, encéphalite à tiques et peste porcine africaine.
Aujourd’hui, nous souhaitons également attirer l’attention sur les nombreuses violations des exigences de sécurité dans les laboratoires ukrainiens.
Par exemple, le travail avec des agents pathogènes dangereux sous le contrôle du Pentagone à Kharkov, Kiev et dans un certain nombre d’autres villes a été effectué dans des laboratoires où la
protection du personnel était insuffisante. Or, selon les données officielles, seuls trois laboratoires ayant un niveau de biosécurité BSL-3 sont autorisés à effectuer de tels tests. Il s’agit de
l’Institut anti-peste d’Odessa, de l’Institut de recherche en épidémiologie et en hygiène de Lvov et du Centre de santé publique de Kiev.
Le Service de sécurité de l’Ukraine a noté les conditions préalables à l’émergence de menaces biologiques en raison des violations systématiques et de la mauvaise qualité des travaux de
reconstruction des biolaboratoires.
Black & Veatch, par exemple, a déclaré avoir dépensé 37,8 millions d’UAH [hryvnias, monnaie ukrainienne, équivalent à 1,2 million d’euros] pour moderniser trois laboratoires vétérinaires en
2013. Un examen par un expert indépendant a révélé que le coût réel des travaux était surévalué de 17,7 millions UAH [560 000 euros] par rapport aux coûts déclarés.
Cette différence aurait été envoyée sur les comptes de sociétés fictives telles que Golden Ukraine, BK Profbudinvest et Capital Trade Agency, ce qui confirme une nouvelle fois l’utilisation de
systèmes financiers « gris » dans l’intérêt personnel de fonctionnaires américains et ukrainiens.
Il convient de noter que les manipulateurs américains ont exigé que le laboratoire de référence de Merefa bénéficie d’un niveau de biosécurité plus élevé. L’organisation du projet de Kharkov a
déclaré que cela n’était pas possible dans les conditions actuelles et a refusé d’approuver le projet. L’administration régionale a toutefois décidé de poursuivre la reconstruction.
L’installation a été mise en service en contournant les réglementations et les exigences en matière de biosécurité. Ce faisant, le coût total de sa modernisation par le Pentagone s’est élevé à
environ 15 millions de dollars. Mais on ignore où sont réellement allés les fonds.
Notons le rapport du ministère ukrainien de la santé sur les résultats d’une inspection de la collection de souches de l’institut ukrainien de lutte contre la peste à Odessa, qui comptait 654
échantillons. Il y avait 32 souches d’anthrax, 189 de tularémie, 11 de brucellose et 422 de choléra stockées dans l’établissement.
Le rapport fait état de violations flagrantes des conditions de stockage des micro-organismes, de l’absence de systèmes de contrôle et de gestion des accès et de systèmes de ventilation
inadéquats.
En avril 2017, un cas d’infection interne de laboratoire par l’encéphalite à tiques a été constaté dans l’un des laboratoires de l’institut à la suite d’une violation des mesures de sécurité.
Selon les récits de témoins oculaires d’un incident survenu en 2021, un employé d’un biolaboratoire a retiré plusieurs flacons contenant des micro-organismes dangereux des locaux de
l’institution. On ne peut que deviner les conséquences de tels cas.
Il convient de noter que toutes les violations ont eu lieu pendant la période du programme américain de réduction des menaces biologiques. Cela démontre que les objectifs officiellement déclarés
par Washington ne sont qu’un paravent pour la mise en œuvre d’activités militaro-biologiques illégales en Ukraine.
La négligence des agents pathogènes, le manque de professionnalisme et la corruption de l’exécutif, ainsi que l’influence destructrice des manipulateurs américains constituent une menace directe
pour les civils ukrainiens et européens.
Les experts du ministère russe de la Défense ont confirmé que les biolaboratoires ukrainiens sont connectés au système mondial de surveillance des maladies transmissibles.
La colonne vertébrale de ce réseau, constitué par le Pentagone depuis 1997, est le Walter Reed Army Institute of Research (Maryland). Il comprend des laboratoires terrestres et navals ainsi que
des bases militaires dans le monde entier.
Il est à noter que le déploiement d’un tel réseau suit un scénario typique.
Dans un premier temps, les Américains s’inquiètent de l’état de l’épidémie dans la région. L’étape suivante consiste à s’assurer que les responsables, notamment ceux des ministères de la santé,
ont un intérêt et une incitation financière à travailler ensemble, et à conclure des accords intergouvernementaux. En conséquence, une installation de confinement biologique est érigée et reliée
au système unique de biosurveillance. Tous les développements biologiques du pays deviennent le domaine des États-Unis. En outre, des restrictions sont imposées à l’accès des professionnels
locaux à une série de tests, ainsi qu’à leurs résultats.
Pendant ce temps, l’agence américaine de réduction des menaces pour la défense (DTRA) met activement en œuvre des matériels et des logiciels de surveillance automatisée des maladies, ainsi que
des systèmes de contrôle de l’accès et du mouvement des agents biologiques pathogènes dans les installations de stockage et de recherche.
En équipant les installations biologiques de ces systèmes d’information dans le cadre du programme de réduction des menaces biologiques, les États-Unis peuvent sécuriser leurs contingents
militaires dans les zones de déploiement, surveiller à distance les biolaboratoires situés en dehors de leur juridiction nationale et influencer l’environnement biologique mondial.
Dans le cadre de l’opération militaire spéciale, du matériel d’instructeurs américains formant des spécialistes
ukrainiens à la réponse d’urgence aux épidémies de variole a été découvert dans des biolaboratoires en Ukraine.
L’intérêt du Pentagone pour cette infection est loin d’être accidentel : le retour de l’agent pathogène de la variole
serait une catastrophe mondiale pour toute l’humanité.
Ainsi, par rapport au COVID-19, cet agent pathogène est tout aussi contagieux (infectieux), mais sa létalité est 10
fois supérieure.
Dès 2003, le ministère américain de la défense a mis en place le programme de vaccination contre la variole, qui
impose la vaccination de l’ensemble du personnel militaire américain. Aux États-Unis, la vaccination est obligatoire pour le personnel diplomatique et médical. Cela démontre que les États-Unis
considèrent la variole comme un agent biologique pathogène prioritaire pour le combat et que les activités de prophylaxie vaccinale visent à protéger leurs propres contingents
militaires.
L’absence de contrôles appropriés et les failles dans la biosécurité aux États-Unis pourraient conduire à
l’utilisation de cet agent pathogène à des fins terroristes. Entre 2014 et 2021, des flacons du virus non comptabilisés ont été découverts à plusieurs reprises dans des laboratoires de la Federal
Drug Administration et de l’Institut de recherche sur les maladies infectieuses de l’armée américaine (Maryland) et du Centre de recherche sur les vaccins (Pennsylvanie).
Le travail effectué dans ces organisations était en violation de la résolution 49.10 de l’Assemblée mondiale de la
santé de 1996, qui stipulait qu’un seul laboratoire américain, le Centre for Disease Control and Prevention d’Atlanta, pouvait stocker l’agent pathogène de la variole.
Il convient de noter que la vaccination antivariolique, qui n’est actuellement pas disponible dans de nombreux pays,
offre une protection contre la variole du singe.
L’Organisation mondiale de la santé a annoncé une réunion d’urgence des États membres sur l’apparition de cette
dangereuse maladie infectieuse en mai 2022.
Nous savons qu’à l’heure actuelle, 98 % des personnes touchées sont des hommes de plus de 20 ans d’orientation non
traditionnelle [homosexuels]. Auparavant, le Dr David Hermann, qui dirige le département des urgences de l’OMS, avait déclaré à la presse américaine que la transmission sexuelle était la
principale cause de la propagation de la maladie.
Selon un rapport de l’OMS, la souche ouest-africaine de la variole du singe est originaire du Nigeria, un autre État
dans lequel les États-Unis ont déployé leur infrastructure biologique.
Selon les informations disponibles, au moins quatre laboratoires biologiques contrôlés par Washington opèrent au
Nigeria.
À cet égard, il convient de rappeler une étrange coïncidence qui nécessite une vérification plus approfondie par des
spécialistes. Ainsi, selon les médias européens et américains, la Conférence sur la sécurité de Munich 2021, c’est-à-dire sur fond de pandémie COVID-19, était un scénario pour faire face à une
épidémie causée par une nouvelle souche du virus de la variole du singe.
Dans le contexte des multiples violations de la biosécurité par les États-Unis et du stockage négligent de
biomatériaux pathogènes, nous demandons aux dirigeants de l’Organisation mondiale de la santé d’enquêter sur les laboratoires nigérians financés par les États-Unis à Abuja, Zaria et Lagos et
d’informer la communauté mondiale des résultats.
L’hypothèse chinoise sur les expériences biologiques militaires US
Washington a admis diriger 336 laboratoires biologiques dans 30 pays à travers le monde, dont 26 en Ukraine. Cependant, les contrats saisis par l’armée russe
suggèrent que les États-Unis ont en réalité signé des contrats avec 49 pays, bien plus qu’ils ne l’aient admis.
Selon Washington ces contrats ne violent pas la Convention sur l’interdiction des armes biologiques de 1975, bien
qu’ils soient développés par un organe du Pentagone, l’Agence fédérale de réduction des menaces (Defense Threat Reduction Agency — DTRA).
L’armée russe affirme que la DTRA a mené des expériences biologiques sur des malades mentaux ukrainiens à l’hôpital psychiatrique n° 1 (village de Streletchyé,
région de Kharkov) et a utilisé un agent tuberculeux pour infecter la population du district de Slavianoserbsk (République populaire de Lougansk).
Les laboratoires biologiques militaires US en Ukraine ont déjà fait l’objet d’un débat au Conseil de Sécurité, le 11 mars 2022. Les États-Unis ont expliqué que,
loin de préparer de nouvelles armes biologiques, leur coopération en matière biologique militaire avec l’Ukraine visait exclusivement à détruire les restes des programmes soviétiques en la
matière dans ce pays. Or cela ne répond pas au fait que ce programme est poursuivi dans 30 pays au moins, ni les crédits qui y sont attribués, ni qu’ils se poursuivent depuis une trentaine
d’années.
La presse chinoise, quant à elle, fait remarquer que, dans les années 80, le United States Army Medical Research
Institute of Infectious Diseases avait dispersé des moustiques Aedes aegypti vecteurs de la dengue, du chikungunya et du virus Zika
sur sa propre population dans l’État de Géorgie. Aujourd’hui la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) mène des recherches sur les
« Insectes alliés ».
Officiellement il s’agit de transformer des insectes en cyborgs (photo) pour qu’ils modifient génétiquement des plantes afin d’augmenter leur rendement, mais
officieusement il pourrait s’agir de l’inverse : de stériliser les cultures des pays ennemis et y provoquer des famines, avaient mis en garde la revue Science, en 2018 [1].
Pour la presse chinoise, c’est cet objectif qui explique la dissémination des expériences de la DTRA dans tous les pays alentour de la Russie et de la Chine.
L’interdiction d’exporter des engrais russes à base de potasse entrave l’agriculture dans de nombreux pays, particulièrement en Afrique. La dissémination de mines
navales au large de l’Ukraine empêche l’exportation des récoltes ukrainiennes vers l’Afrique et l’Asie. Cette situation fait peser une grave menace de famine mondiale dont le secrétaire général
des Nations unies, António Guterres, s’est déjà saisie.
[1] “Agricultural research, or a new bioweapon system ? Insect-delivered horizontal genetic alteration is concerning”, by R. G. Reeves, S. Voeneky, D.
Caetano-Anollés, F. Beck, C. Boëte, Science, October 5, 2018. « L’armée d’insectes du Pentagone », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il
Manifesto (Italie) , Réseau Voltaire, 9 octobre 2018.
Les États-Unis ont depuis longtemps démontré à la communauté mondiale
leur mépris des réglementations internationales, ainsi que leur volonté de déclencher une guerre en utilisant des armes de destruction massive partout dans le monde. C’est ce que les Américains
ont fait au Japon, lorsqu’ils ont largué des bombes nucléaires sur les civils à Hiroshima et Nagasaki en août 1945. Par la suite, de nombreux autres incidents ont été documentés et rapportés aux
Nations unies, impliquant l’utilisation d’armes chimiques et bactériologiques par les États-Unis contre leurs opposants, non seulement en Corée, mais aussi dans d’autres régions du monde. Ainsi,
au cours de la période allant de 1949 à 1988, l’Union soviétique a soumis à l’ONU des preuves concernant 13 faits d’utilisation, à grande et petite échelle, d’armes de destruction massive par les
États-Unis. En voici quelques-uns.
En 1951-1953, l’URSS a transmis à l’ONU les preuves documentées de l’utilisation par les États-Unis d’armes biologiques contre la Corée du Nord et la Chine
pendant la guerre de Corée. Ces crimes ont bénéficié d’une large couverture médiatique, y compris aux États-Unis, et ont été prouvés par des documents déclassifiés ;
en 1948-1960, l’ONU a reçu des preuves documentées de l’application de la tactique de la « terre brûlée » par l’armée
britannique, soutenue par les États-Unis, avec l’utilisation d’armes chimiques et biologiques contre les civils en Malaisie ;
de 1961 à 1971, l’ONU a reçu des preuves de l’utilisation de la même politique par les forces armées américaines au Sud-Vietnam, au Cambodge, au Laos et en
Thaïlande ;
en 1982, Moscou a transmis à l’ONU des preuves documentaires du soutien financier de la CIA à l’élevage et à la prolifération de moustiques génétiquement
modifiés porteurs de malaria en Afghanistan. Des laboratoires biologiques du Pakistan ont été utilisés pour ces activités de recherche et développement ;
en 1985, l’URSS a soumis à l’ONU des preuves de l’activité de laboratoires biologiques secrets américains en Afrique du Sud et en Israël, étudiant l’impact de
certains agents biologiques sur certains groupes raciaux (négroïdes) et ethniques (arabes) ;
à la même époque, l’Union soviétique a soumis à l’ONU des preuves à charge, soutenues par 25 pays, concernant l’implication possible du laboratoire militaire
américain de Fort Detrick (Maryland, États-Unis) dans le développement du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), ainsi que dans la distribution délibérée de ce virus en Afrique ;
dans les années 1990 et 2000, les agences des Nations unies avaient déjà enquêté sur les « fuites » d’agents pathogènes dangereux
provenant des bases militaires américaines en Espagne et au Kenya, à la suite de quoi il a été prouvé que les « fuites » susmentionnées étaient clairement
intentionnelles et planifiées. Tous les documents relatifs à ces crimes de guerre ont été enregistrés auprès de l’ONU et sont à la disposition de cette organisation !
Plus récemment, The
Exposé, une publication britannique, a publié les résultats de son enquête sur l’implication directe des États-Unis et de l’Ukraine dans le déclenchement de la pandémie de
COVID-19…
Récemment, de nouvelles preuves documentaires des activités criminelles des États-Unis visant à déclencher une guerre biologique mondiale ont été obtenues par
le ministère russe de la Défense lors de l’opération militaire spéciale en Ukraine.
En particulier, Igor Kirillov, le chef des forces de protection radiologique, chimique et biologique des forces armées russes (RCBPF), a divulgué de nouvelles
informations révélant les détails d’expériences inhumaines menées par le Pentagone sur des citoyens ukrainiens dans un hôpital psychiatrique de la région de Kharkov (village de Strelechye). Les
sujets des tests comprenaient un groupe de patients masculins âgés de 40 à 60 ans présentant un stade élevé d’épuisement physique. « Les informations reçues ont prouvé que les États-Unis
lançaient un programme biologique militaire offensif en Ukraine, dont le but était d’étudier la possibilité de déclencher des épidémies contrôlées de maladies sur des territoires
particuliers », a déclaré M. Kirillov.
Des preuves documentées ont été reçues concernant une tentative de contaminer les résidents de la République populaire de Lugansk (LNR) avec la tuberculose au moyen
de faux billets de banque contaminés par l’agent causal de la tuberculose. Les billets infectés ont été distribués aux mineurs du village de Stepovoye en 2020. « Les cerveaux criminels ont exploité le comportement des
enfants qui sont enclins à goûter à tout et à manger sans se laver les mains », a déclaré M. Kirillov. Par ailleurs, l’opération militaire spéciale a permis d’obtenir des informations
supplémentaires sur les incidents liés à l’utilisation d’armes biologiques en Ukraine : des preuves documentaires ont été étudiées sur l’utilisation délibérée d’un agent pathogène de la
tuberculose multirésistant en 2020 pour infecter la population du district de Slavyanoserbsky dans la LPR.
Selon Igor Kirillov, les résultats des tests bactériologiques ont prouvé la résistance des bactéries extraites aux médicaments antituberculeux de niveau 1 et 2. La
maladie que ces bactéries provoquent serait beaucoup plus difficile à traiter, et le coût de ce traitement serait beaucoup plus élevé. Le service sanitaire et épidémiologique de la République de
Lugansk a conclu à la nature artificielle de l’infection trouvée sur les billets de banque, car des souches extrêmement dangereuses ont été trouvées et leur « concentration capable de garantir l’infection et le
développement du processus de la tuberculose. »
Parallèlement, les forces armées russes ont découvert plus d’une douzaine de drones équipés de réservoirs et de buses pour la pulvérisation d’agents pathogènes. En
particulier, le 9 mars, sur le territoire de la région de Kherson, trois drones ont été détectés avec des réservoirs de 30 litres et des équipements pour la pulvérisation d’agents malveillants.
Fin avril, dix autres drones similaires ont été détectés près de la localité de Kakhovka. Dans le même temps, Igor Kirillov, chef du RCBPF, a ajouté qu’à la suite de l’opération militaire
spéciale en Ukraine, des faits ont été mis en évidence, prouvant le travail effectué avec des agents pathogènes qui sont de potentielles armes biologiques.
Dans le même temps, non seulement les États-Unis, mais aussi un certain nombre de leurs alliés de l’OTAN, comme l’Allemagne, la Pologne et 10 autres alliés
occidentaux de Washington, mènent leurs projets biologiques militaires en Ukraine. Ainsi, l’Institut polonais de médecine vétérinaire a participé aux études du virus de la rage en Ukraine avec
l’Institut Battelle, l’un des contractants du Pentagone, a déclaré le chef du RCBPF.
Selon Kirillov, les idéologues des opérations biologiques militaires américaines en Ukraine sont les dirigeants du Parti démocrate américain qui « ont formé le cadre législatif permettant de financer la
recherche biologique militaire directement à partir du budget fédéral. »« Les organisations non gouvernementales contrôlées par les
dirigeants du Parti démocrate américain, ont soumis leurs fonds, y compris les fonds d’investissement appartenant aux Clinton, Rockefeller, Soros, Biden, sous les garanties de l’État »,
a déclaré le représentant du ministère de la Défense. De grandes sociétés pharmaceutiques, telles que Pfizer, Moderna, Merck, ainsi que Gilead, une société affiliée au Pentagone, ont également
été impliquées dans ce stratagème. « Les
spécialistes américains testent de nouveaux médicaments en contournant les normes de sécurité internationales« , a ajouté M. Kirillov.
Il faut noter que Washington est impliqué dans ces activités depuis plusieurs décennies, avec la connivence évidente de l’ONU et d’autres organisations
internationales qui ont reçu des preuves irréfutables de l’utilisation criminelle d’armes biologiques par les États-Unis. Au lieu de veiller au respect des réglementations internationales et des
conventions internationales signées par les États-Unis pour lutter contre le développement et l’utilisation d’armes chimiques et bactériologiques, Washington organise régulièrement des campagnes
d’informations mensongères accusant d’autres pays d’utiliser prétendument des ADM interdites. Malheureusement, ces campagnes sont activement promues et soutenues par les médias financés par les
États-Unis et par les représentants d’un certain nombre de partis politiques et de gouvernements occidentaux dans le monde, ce qui permet de masquer les révélations officielles sur les activités
criminelles des États-Unis.
Aujourd’hui, des laboratoires biologiques militaires américains sont situés non seulement en Ukraine, mais aussi dans de nombreux autres pays du monde qui sont
confrontés à un danger similaire d’utilisation d’armes biologiques par Washington. Et les États-Unis ne semblent pas avoir honte de dire à la communauté mondiale qu’ils ont le « droit » d’élaborer des plans pour changer les
régimes politiques « dans les pays autoritaires
s’ils représentent une menace pour la sécurité des États-Unis. » En particulier, Henry Kissinger, l’un des vétérans les plus respectés de la politique américaine, ancien secrétaire
d’État et conseiller à la sécurité nationale du président américain, qui a récemment fait cette déclaration dans une interview au Financial Times.
Compte tenu de tout ce qui précède, tous les pays du monde devraient se poser une question aujourd’hui : Pourquoi les États-Unis peuvent-ils utiliser des armes
chimiques sans avoir de comptes à rendre ?
Vladimir
Platov
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.
Analyse des documents relatifs aux activités militaires biologiques des États-Unis sur le territoire de l’Ukraine, le 11/05/2022
Le ministère russe de la
Défense continue d’étudier des documents sur la mise en œuvre de programmes biologiques militaires des États-Unis et de leurs alliés de l’OTAN sur le territoire de l’Ukraine.
Nous avons déjà mentionné
Robert Pope, directeur du programme coopératif de réduction des menaces et auteur de l’idée du dépôt central de micro-organismes hautement dangereux à Kiev.
Dans sa déclaration du 10 avril 2022, Pope a déclaré : « Il n’y a aucune raison d’affirmer que des recherches liées au
développement d’armes biologiques ont lieu en Ukraine. » Il avait précédemment affirmé que « les Américains n’ont pas trouvé d’armes biologiques lorsqu’ils ont
commencé à travailler avec l’Ukraine, et ils n’en ont toujours pas trouvé. En outre, l’Ukraine ne dispose pas de l’infrastructure nécessaire pour développer et produire des armes biologiques.
»
Je tiens à rappeler que le terme « armes biologiques » comprend les formulations biologiques qui contiennent des micro-organismes pathogènes et des toxines, ainsi
que les moyens de livraison et d’utilisation desdites formulations.
Alors que la priorité pour les soins de santé ukrainiens concerne les maladies socialement significatives telles que le VIH, la poliomyélite, la rougeole et
l’hépatite, les clients américains s’intéressent à une nomenclature complètement différente : le choléra, la tularémie, la peste et les hantavirus.
Résultant de l’opération militaire spéciale sur le territoire de l’Ukraine, des faits de travail avec les pathogènes spécifiés, qui sont des agents potentiels
d’armes biologiques, ont été révélés. Dans le même temps, il a été noté que l’Ukraine avait envoyé une demande à la société de fabrication concernant la possibilité d’équiper les drones Bayraktar
d’un équipement aérosol.
En outre, le 9 mars, trois drones équipés de conteneurs de 30 litres et de matériel de pulvérisation de formulations ont été détectés par des unités de
reconnaissance russes dans la région de Kherson. Fin avril, 10 autres ont été trouvés près de Kakhovka.
Toutes ces informations remettent en question les déclarations des experts américains.
Nous avons précédemment
fourni un schéma pour la coordination américaine des laboratoires biologiques et des instituts de recherche en Ukraine. Son analyse préliminaire suggère que l’Ukraine est essentiellement un
terrain d’essai pour le développement de composants d’armes biologiques et le test de nouveaux échantillons de produits pharmaceutiques.
Le ministère russe de la Défense a été en mesure de clarifier ledit schéma.
Il convient de noter que
les idéologues des activités militaro-biologiques américaines en Ukraine sont les dirigeants du Parti démocrate.
Ainsi, par le biais de
l’exécutif américain, un cadre législatif permettant de financer la recherche biomédicale militaire directement à partir du budget fédéral a été formé. Les fonds ont été collectés sous la
garantie de l’État auprès d’ONG contrôlées par les dirigeants du Parti démocrate, y compris les fonds d’investissement des Clinton, Rockefeller, Soros et Biden.
Le stratagème implique de
grandes sociétés pharmaceutiques, dont Pfizer, Moderna, Merck et la société Gilead, affiliée à l’armée américaine. Des experts américains travaillent à tester de nouveaux médicaments qui
contournent les normes de sécurité internationales. En conséquence, les entreprises occidentales réduisent considérablement le coût des programmes de recherche et obtiennent un avantage
concurrentiel important.
L’implication
d’organisations non gouvernementales et biotechnologiques contrôlées, et l’augmentation de leurs revenus, permet aux dirigeants du Parti démocrate de générer des fonds de campagne supplémentaires
et de dissimuler leur distribution.
Outre les entreprises
pharmaceutiques américaines et les contractants du Pentagone, des agences d’État ukrainiennes sont impliquées dans les activités militaires liées aux armes biologiques, dont les principales
tâches consistent à dissimuler les activités illégales, à mener des essais sur le terrain et des essais cliniques et à fournir le biomatériau nécessaire.
Ainsi, le ministère américain de la défense, en utilisant un site d’essai pratiquement non contrôlé au niveau international et les installations de haute
technologie de sociétés multinationales, a considérablement élargi ses capacités de recherche, non seulement dans le domaine des armes biologiques, mais aussi pour acquérir des connaissances sur
la résistance aux antibiotiques et les anticorps à des maladies spécifiques dans les populations de régions spécifiques.
Il convient de noter que
non seulement les États-Unis, mais aussi un certain nombre de leurs alliés de l’OTAN mettent en œuvre leurs projets militaro-biologiques en Ukraine.
Le gouvernement allemand
a décidé de lancer un programme national de biosécurité indépendant de Washington, à partir de 2013. Douze pays, dont l’Ukraine, sont concernés par ce programme.
Du côté allemand, le
programme implique l’Institut de microbiologie des forces armées (Munich), l’Institut Robert Koch (Berlin), l’Institut Loeffler (Greifswald) et l’Institut Nocht de médecine tropicale
(Hambourg).
De nouveaux documents révèlent qu’entre 2016 et 2019 seulement, trois mille cinq cents échantillons de sérum sanguin de citoyens vivant dans 25 régions d’Ukraine
ont été prélevés par des épidémiologistes militaires de l’Institut de microbiologie de la Bundeswehr.
L’implication d’institutions subordonnées à la Bundeswehr confirme l’orientation militaire des recherches biologiques menées dans les laboratoires ukrainiens et
soulève des questions sur les objectifs poursuivis par les forces armées allemandes dans la collecte de biomatériaux de citoyens ukrainiens.
Les documents obtenus montrent également l’implication de la Pologne dans les biolaboratoires ukrainiens. La participation de l’Institut polonais de médecine
vétérinaire à des recherches visant à évaluer les menaces épidémiologiques et la propagation du virus de la rage en Ukraine a été confirmée. De manière caractéristique, les recherches en question
ont été menées conjointement avec l’institut Battelle, basé aux États-Unis, un contractant clé du Pentagone.
En outre, le financement polonais de l’université de médecine de Lvov, qui comprend un membre des projets de biologie militaire américains, l’Institut
d’épidémiologie et d’hygiène, a été documenté. Cet organisme mène depuis 2002 un programme de recyclage pour les spécialistes ayant l’expérience du travail avec des matériaux et des technologies
à double usage.
L’opération militaire spéciale menée par les troupes russes a permis d’obtenir des informations supplémentaires sur les bio-incidents en Ukraine.
Par exemple, des
matériaux indiquant l’utilisation intentionnelle d’un agent pathogène de la tuberculose multirésistant en 2020 pour infecter la population du district de Slavyanoserbsky de la LPR ont été
examinés.
Les prospectus, réalisés
sous la forme de faux billets de banque, ont été infectés par l’agent de la tuberculose et distribués aux mineurs du village de Stepovoe. Les organisateurs de ce crime ont pris en compte le
comportement des enfants, qui ont l’habitude de « mettre tout à la bouche » et de manger sans se laver les mains.
Les résultats des études
bactériologiques ont confirmé la résistance des bactéries isolées aux médicaments antituberculeux de première et de deuxième ligne, ce qui signifie que la maladie qu’elles provoquent est beaucoup
plus difficile à traiter et que le coût du traitement est beaucoup plus élevé.
Selon la conclusion de la station sanitaire et épidémiologique républicaine de Lougansk, « La contamination des billets a très probablement été réalisée
artificiellement, car le matériel contient des souches extrêmement dangereuses de l’agent pathogène dans des concentrations capables d’assurer l’infection et le développement du processus de la
tuberculose. »
Dans sa conclusion, le médecin en chef du Dispensaire républicain antituberculeux de Lougansk note également que « tous les signes indiquent une contamination délibérée et
artificielle des prospectus par un biomatériau hautement pathogène. »
Nous avons précédemment
fait état d’essais de médicaments biologiques potentiellement dangereux sur l’une des catégories de personnes les moins protégées : les patients de l’hôpital psychiatrique clinique régional n° 3
de Kharkov.
Nous avons reçu de
nouvelles informations révélant les détails des expériences inhumaines menées par le Pentagone sur des citoyens ukrainiens à l’hôpital psychiatrique n° 1 (village de Streleche, région de
Kharkov). La principale catégorie de sujets était un groupe de patients masculins âgés de 40 à 60 ans présentant un stade élevé d’épuisement physique.
Afin de dissimuler leur
affiliation américaine, les experts en recherche biologique voyageaient via des pays tiers. Voici une photographie de Linda Oporto, originaire de Floride, qui a été directement impliquée dans ces
travaux.
En janvier 2022, les
ressortissants étrangers qui menaient ces expériences ont été évacués d’urgence et le matériel et les médicaments qu’ils utilisaient ont été emmenés en Ukraine occidentale.
Les spécialistes du ministère russe de la Défense ont effectué une enquête directement dans deux biolaboratoires à Marioupol.
Des preuves de la destruction d’urgence de documents confirmant le travail avec l’établissement militaire américain ont été obtenues. Une analyse préliminaire de la
documentation existante indique l’utilisation de Marioupol comme centre régional de collecte et de certification des agents pathogènes du choléra. Les souches sélectionnées ont été envoyées au
centre de santé publique de Kiev, qui est responsable de la poursuite de l’expédition de biomatériaux vers les États-Unis. Ces activités ont été menées depuis 2014, comme en témoigne le transfert
des souches.
Un acte de destruction de la collection d’agents pathogènes daté du 25 février 2022, selon lequel des agents pathogènes du choléra, de la tularémie et de l’anthrax
y étaient manipulés, a été trouvé dans le laboratoire sanitaire et épidémiologique.
Une partie de la collection du laboratoire vétérinaire n’a pas été détruite dans l’urgence. Par souci de sécurité et de conservation, 124 souches ont été exportées
par des spécialistes russes et leur étude a été organisée.
La présence dans la collection d’agents pathogènes non caractéristiques de la médecine vétérinaire, tels que la fièvre typhoïde, la fièvre paratyphoïde et la
gangrène gazeuse, est préoccupante. Cela pourrait indiquer une utilisation illégale du laboratoire et son implication dans un programme biologique militaire.
Nous continuerons à examiner l’ensemble du matériel reçu des biolaboratoires de Marioupol et vous informerons des résultats.
Le ministère russe de la
Défense dispose d’informations selon lesquelles des provocations sont en préparation pour accuser les forces armées russes d’utiliser des armes de destruction massive, suivies d’une enquête de
type « scénario syrien » visant à fabriquer les preuves nécessaires et à attribuer des responsabilités.
La forte probabilité de
telles provocations est confirmée par les demandes de l’administration de Kiev concernant des équipements individuels de protection cutanée et respiratoire qui assurent une protection contre les
produits chimiques toxiques et les agents biologiques contaminants. La fourniture à l’Ukraine d’antidotes contre l’empoisonnement à l’organophosphore suscite des inquiétudes. Rien qu’en 2022,
plus de 220 000 ampoules d’atropine, ainsi que des préparations pour le traitement spécial et la désinfection, ont été livrées des États-Unis à la demande du ministère ukrainien de la
santé.
Ainsi, les informations obtenues confirment que les États-Unis mettent en œuvre un programme militaro-biologique offensif en Ukraine pour étudier la possibilité de
former des épidémies contrôlées dans des territoires spécifiques.
L’opération militaire spéciale des forces armées russes a permis de franchir l’expansion militaro-biologique américaine en Ukraine et de mettre fin aux expériences
criminelles sur les civils.
Question : Les
États-Unis fabriquent-ils des armes biologiques en Ukraine ?
Réponse : C’est la
question à un million de dollars, n’est-ce pas ? Malheureusement, il n’y a pas de réponse simple « oui ou non ». C’est plus compliqué que cela.
Q : Pouvez-vous
expliquer ce que vous voulez dire ?
R : Bien sûr, mais
certaines personnes pourraient trouver cela un peu confus.
Premièrement, la plupart de ce que nous savons provient des Russes qui ont enquêté sur les laboratoires biologiques abandonnés après l’invasion de
l’Ukraine. Ce sont eux qui ont découvert les agents pathogènes et autres substances toxiques qui étaient conservés dans la trentaine d’installations réparties dans le pays. L’équipe russe
a également étudié les documents « qu’elle a reçus des employés des laboratoires ukrainiens sur la mise en œuvre des programmes biologiques militaires des États-Unis ». En
d’autres termes, les Russes ont rassemblé des preuves que les États-Unis violent leurs obligations aux termes de la Convention sur les armes biologiques.
Deuxièmement, nous savons que le Pentagone – par le biais de divers canaux – a injecté 32 millions de dollars dans des laboratoires situés à Kiev, Odessa,
Lviv et Kharkiv. Ces biolabs ont été choisis pour superviser un « projet visant à étudier les agents pathogènes de la fièvre hémorragique Congo-Crimée, de la leptospirose et des
hantavirus ». Les Russes pensent que l’intérêt pour ces agents pathogènes est dû au fait que « leur utilisation peut être déguisée en épidémies naturelles de maladies », ce
qui explique pourquoi le projet a reçu un financement supplémentaire. En d’autres termes, les Russes pensent que le financement américain était principalement destiné au développement
d’armes biologiques. Les Chinois semblent être d’accord avec la Russie sur ce point. Voici ce qu’a déclaré le ministère chinois des Affaires étrangères :
« Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Zhao Lijian … a demandé aux États-Unis de publier « les détails pertinents dès que
possible » concernant les laboratoires biologiques américains présumés en Ukraine … « Les États-Unis ont 336 laboratoires dans 30 pays sous leur contrôle, dont 26 rien qu’en
Ukraine. Ils devraient rendre un compte rendu complet de leurs activités militaires biologiques sur leur territoire et à l’étranger et se soumettre à une vérification
multilatérale ».
« Selon les rapports, dans ces installations, de grandes quantités de virus dangereux sont stockées. La Russie a découvert au cours de son opération
militaire que les États-Unis utilisent ces installations pour mener des plans militaires1.
Vous pouvez voir qu’il y a une inquiétude considérable parmi de nombreux pays que les États-Unis considèrent comme leurs rivaux. Et leur inquiétude ne se
limite pas au fait que les États-Unis s’amusent avec toutes sortes d’agents pathogènes hautement contagieux et mortels, mais aussi que ces 336 laboratoires biologiques font partie d’un
réseau intégré sous le contrôle opérationnel du Pentagone. C’est le plus gros drapeau rouge de tous !