Le Pr Raoult bien plus fort que Pujadas

...par Thierry Michaud-Nérard - le 27/05/2020.

Source : https://ripostelaique.com/le-pr-raoult-bien-plus-fort-que-le-petit-pujadas-victoire-ecrasante.html

Grandiose, le Pr Raoult sur Pujadas-LCI : Détrompez-vous, les gens ils pensent comme moi, vous croyez qu’ils pensent comme vous, mais vous vous trompez. Vous voulez faire un sondage entre Véran et moi ? Twitter : « MERCI DE M’APPRENDRE LA MÉDECINE » ! Sacré Pr. Raoult, Pujadas se souviendra de vous à jamais ! Quel charisme, quel professionnalisme… du grand art ! Pujadas a l’air tellement petit et niais en face… Ça nous change dans ce pays d’avoir enfin des gens compétents ! La preuve, ils essayent par tous les moyens de le discréditer. Un sens merveilleux du mot juste et un flot inépuisable de connaissances, de calembours et de bons mots pour égayer la conversation. Son esprit, sa courtoisie jamais en défaut, son talent à faire tenir la vérité scientifique ont coupé le souffle. C’est le plus fort et le plus compétent. Il y a tellement de médecins sur les plateaux TV que quand on appelle le 15, on tombe sur le standard de BFM TV.

Michel Janva, le Salon beige : Le Docteur Raoult les dérange tous : politiques, médias, scientifiques !

Est-ce l’influence du lobby pharmaceutique ? Toujours est-il que les manœuvres employées contre le Pr Raoult posent question. YouTube a supprimé une vidéo « qui ne respectait pas les conditions d’utilisation de YouTube » : la vidéo d’un médecin qui démolit la récente étude du Lancet contre la chloroquine (en 2003, la même revue scientifique jugeait que la chloroquine était efficace contre toute forme de Coronavirus) est brutalement interrompue : Alain Duhamel, la boussole politique qui indique le sud, en fait une affaire politique !

Alors rien n’est plus savoureux que de lire les propos du professeur marseillais dans L’Express :

Depuis le début de l’épidémie, vous êtes devenu l’enjeu de batailles d’opinion, jusqu’à Donald Trump, qui a déclaré qu’il prenait de l’hydroxychloroquine en préventif. Êtes-vous un objet politique consentant ?

Je crois que je représente quelque chose d’un choc qui secoue le monde : c’est qu’on vient vous disputer le monopole de la parole. Ce « droit de dire » dont vous jouissiez, notamment vous, les médias, on vous le dispute, on vous le vole. On s’en fout de vous ! Maintenant, on dit les choses nous-mêmes.

Qui « nous » ?

Nous, sur les réseaux sociaux, YouTube… Le site Our World in Data est une mine d’informations. Il compare aux États-Unis les causes réelles de la mortalité et leur écho dans les médias. Le terrorisme, les homicides et les suicides ne sont responsables que de 2 % de la mortalité, mais ils représentent 70 % de l’information sur les morts dans le Guardian (de gauche) ou le New York Times (de gauche), contre 30 % sur Google. C’est une distorsion de la réalité, et cela signifie que des journaux comme le Guardian (de gauche) et le New York Times (de gauche) (sans oublier Le Monde de gauche) mentent plus que le numérique.

Sur les réseaux sociaux, il y a le pire mais aussi le meilleur. Tandis que, dans la presse traditionnelle, il n’y a pas le meilleur. C’est juste du moyen ou du médiocre. C’est le mainstream, et ce n’est pas intéressant.

Tout le monde voit que vous (les médias collabos) vous êtes en chute libre. Quand je fais une vidéo, j’ai trois fois le tirage du journal Le Monde. Il faut regarder la réalité en face. Une partie de l’agressivité des médias (collabos) traditionnels est liée au fait qu’on lui vole actuellement (la parole et) son rôle.

La seule force qu’avaient les médias, c’était la crédibilité, mais ils l’ont abandonnée. Alors, oui, peut-être qu’en ce sens je représente quelque chose. Je suis d’accord avec l’idée du héros de Hegel. Je pense que, à certains moments, il y a quelqu’un qui représente la nécessité de la raison pour changer les choses.

Vous êtes un de ces « héros » ?

Ce n’est pas à moi de dire ça. Honnêtement, je suis surpris par l’ampleur prise par cette affaire, alors que je fais juste mon métier. Nous sommes dans une société qui est devenue si areligieuse que la science elle-même est assimilée à une religion. Si on veut mettre un terme à un débat, on dit : « C’est scientifique. » Mais scientifique, ça ne veut rien dire ! Il n’y a pas de « communauté scientifique », il n’y a pas d’unanimité.

Vous voilà le personnage principal d’un épisode complètement fou et irrationnel !

Je ne suis pas d’accord avec cette interprétation. L’irrationalité, elle n’est pas de mon côté. Le livre Simulacre et Simulation, de Jean Baudrillard, annonçait en 1981 ce qu’il se passe aujourd’hui. Ce n’est plus une distorsion entre ce que rapportent les médias et des faits tangibles, cela devient complètement déréalisé. Comment peut-on inventer qu’un des médicaments les plus prescrits soit un truc effroyablement toxique ?

On l’a tellement répété du matin au soir qu’on a basculé dans la folie. Le Doliprane, première cause d’intoxication au monde, est bien plus dangereux que l’hydroxychloroquine ! Il n’y a plus d’accès à la vérité parce que les journalistes ne travaillent pas assez. Plutôt que de regarder les chiffres, ils relaient de ce que dit l’AFP (collabo), qui s’est renseignée auprès du ministère. Vous savez bien comment cela fonctionne. Les rares fois où je lis des journaux, quand je prends l’avion, ils disent tous la même chose. Pourquoi les gens ne croient-ils plus ni les journalistes ni les politiques ? En revanche, ils ont confiance en nous, les médecins.

Mais ce ne sont pas les journalistes qui vous ont attaqué bille en tête ! Ce sont des agences de santé et des confrères « docteurs » qui ont invité à la prudence sur les risques et bénéfices de votre remède…

Vous confondez les docteurs avec des gens qui ont fait des études de médecine, ce qui n’a rien à voir. Parce que vous n’êtes pas assez malins, vous vous êtes fait intoxiquer. Les experts qui donnent leur avis sur cette question, et qui ont du temps libre parce qu’ils ne travaillent pas, sont des méthodologistes. Pour une épidémie courte et limitée dans le temps comme l’est le Covid-19, ils réfléchissent comme s’il s’agissait du Sida. D’ailleurs, toutes les études qui ont été faites sur le Sida depuis vingt ans ne servent à rien.

C’est du pipeau, car on traite parfaitement les gens. Cela ne sert qu’à vendre des médicaments. Ces spécialistes des maladies infectieuses pratiquent des essais randomisés [étude comparant un groupe qui bénéficie d’un (vrai) traitement avec un autre qui reçoit un (faux) traitement, un placebo ou aucun traitement] pour savoir si ça fait un peu moins creuser les joues du patient. Tout cela, ce n’est pas de l’efficacité, mais du confort et de l’amélioration. Mais, avec le Covid-19, c’est idiot de vouloir des essais cliniques randomisés.

L’épidémie sera terminée qu’on n’aura toujours pas les résultats… !

Vous êtes parmi ceux qui, depuis le début de l’épidémie, relativisent son impact sur la mortalité. Mais vous affirmez qu’il faut s’affranchir des pesanteurs de la méthodologie parce qu’il y a une urgence sanitaire…N’est-ce pas contradictoire ?

Écoutez. À Paris, des quadragénaires sont morts. À Marseille, il n’y en a pas. Vous vous en foutez ?

À un moment, vous n’êtes plus sur Terre. Vous êtes ailleurs. Nous, à l’IHU, on a eu un mort de moins de 70 ans qui avait reçu le traitement hydroxychloroquine et azythromycine, et aucun au-dessous de 60 ans. À Paris, la moitié des gens décédés du Covid-19 avaient moins de 70 ans. C’est honteux.

Dans la région parisienne, il y a eu plus de morts pour 12 millions d’habitants qu’à Wuhan, où il y a le même nombre de personnes. Vous êtes lucides là-dessus ?

L’Express : Il y a de nombreux facteurs qui peuvent entrer en compte dans cette différence de mortalité entre Paris et Marseille. À Marseille, bien plus de tests ont été réalisés, la densité et les flux ne sont pas les mêmes et la ville a été touchée plus tard…

Tout ça ce ne sont que des arguments. Vous racontez une connerie de plus parce que vous ne regardez pas les données. On m’a dit que je traite les jeunes qui ne meurent pas.

Sauf qu’à Paris, il y en a qui meurent ! Chez nous, non. Que vous vous fichiez qu’il y ait eu 2 000 morts de plus à Paris, c’est votre problème, ce n’est pas le mien. Il faut arrêter d’être des imbéciles. Bien sûr, on meurt tous à la fin, mais aucun de nous n’est pressé. La mort à 40 ans, ce n’est pas la même qu’à 90 ans.

C’est sidérant que vous posiez de telles questions. Cela montre le degré de bêtise auquel on est arrivé. Depuis le XIXe siècle, les maladies infectieuses, on sait ce que c’est. On en fait le diagnostic et on les traite quand on peut. Tous les médecins soignent les malades. C’est la première fois que j’entends dire (Macron, Véran) pour une maladie : « Vous restez chez vous, on ne vous soigne pas. » C’est effrayant !

Un médecin a le devoir de soigner. Même si vous n’avez pas de traitement adéquat, il faut soigner et en particulier pour cette maladie sur laquelle personne n’a travaillé. Avec le Covid-19, l’essoufflement apparaît beaucoup plus tardivement que dans d’autres maladies, exactement au moment où vous êtes proche de la détresse respiratoire, ce qu’on appelle « l’hypoxie heureuse ». Vous n’avez plus d’oxygène, mais vous ne vous en rendez pas compte, parce que vous n’êtes pas essoufflé. Chez nous, on a fait des scanners.

Chez 70 % des gens qui n’avaient pas de signaux respiratoires, il y a des lésions pulmonaires graves.

Si vous n’examinez pas les malades, vous ne pouvez pas le savoir. Je fais trois métiers. Je suis médecin. Ce matin, j’ai fait des consultations et j’ai vu mes malades. Mon rôle est qu’ils soient satisfaits. Je suis enseignant, et mon rôle est de former des gens. J’apprends à mes étudiants à réfléchir. Enfin, je suis chercheur. C’est le temps qui déterminera ma place. On verra bien, de toutes les choses que j’ai découvertes, ce qui restera dans trente ans. Mais ça va, je suis rassuré. Pour tout le reste, c’est mon problème à moi. Dans ce pays, il y a des jalousies inouïes chaque fois que vous réussissez. Vous, les journalistes, on voit bien que vous êtes meilleurs en football qu’en sciences. Mais, pour la science, vous en êtes incapables.

L’Express : Vous êtes élitiste, alors que beaucoup de ceux qui vous soutiennent détestent l’élite…

Mais je m’en fous de qui me soutient ! Vous allez me reposer la question vingt fois ?

En revanche, oui, je suis un grand élitiste. Mais les élites s’en vont de ce pays. Si vous faisiez votre travail, vous vous rendriez compte qu’en médecine, et en particulier à Paris, c’est un désastre. Tous les mecs que je connaissais qui étaient bons à Paris sont partis. Au mieux, on vous sera d’aucun gré d’être bon dans votre domaine. Au pire, on vous emmerdera. Je vais vous raconter une anecdote. En France, quand Philippe Lazar [statisticien et directeur général de l’Inserm de 1982 à 1996] a pris la tête de l’Inserm, il a décidé que plus personne ne pouvait diriger une unité de recherche plus de douze ans. Il a ainsi foutu dehors, au milieu de leur mandat, le seul Prix Nobel en activité en France, Jean Dausset, Georges Mathé, qui fut un pionnier de l’immunothérapie, et Alexandre Minkowski [fondateur de la néonatalogie en Europe].

Ça, c’est la France (socialiste) ! Je me suis disputé avec Yves Lévy quand il était à la tête de l’Inserm. Quand on devient directeur ou ministre, il y a une (arrogance et une suffisance) hallucinantes, alors qu’un ministre de la Santé ou de la Recherche est en place en moyenne deux ans et demi. S’il vous emmerde trop, vous attendez qu’il cède sa place. Lévy, c’était la même chose. Il voulait me donner des ordres.

Mais nous, les PU-PH [professeurs des universités-praticiens hospitaliers], sommes les hommes les plus libres du monde. Au pire, on va à l’étranger. Quand on a un niveau comme celui-là, vous allez où vous voulez. Il y a une fuite des cerveaux de Paris. Je suis pour les contre-pouvoirs dans une démocratie. Mais c’est parce que la presse ne joue pas suffisamment ce rôle qu’émerge un autre contre-pouvoir, qui risque de se substituer à elle si la presse ne retrouve pas sa crédibilité. C’est ça le problème. Je me suis retrouvé étiqueté comme faisant des fake news, tout ça parce que je rapportais ce qui se passait en Chine.

Cette dénonciation des fake news signifie que quelqu’un aurait le monopole de la vérité. Or, quand on a besoin de faire savoir qu’on a le monopole de la vérité, c’est qu’on ne l’a déjà plus. Je n’avais jamais vu quelque chose comme l’interdiction de l’hydroxychloroquine. Interdire aux médecins de soigner avec un médicament anodin, c’est inédit, alors que l’État (Macron) a été incapable d’organiser des tests de dépistage.

Vous pouvez croire ce que vous voulez, et je m’en fous, mais vous ne pouvez pas dire qu’un médicament qui est autorisé dans la moitié du monde ne puisse pas être utilisé en France. C’est farfelu. Déjà, je n’étais pas d’accord avec l’obligation de vaccination qui avait été faite dans une logique stalinienne (par et pour le très riche Buzyness). Le vrai problème en France, c’est Kouchner, qui, ministre, avait recruté Lucien Abenhaim pour essayer de démontrer que la sclérose en plaques était liée au vaccin contre l’hépatite B, en vain. Quelle faute politique ! Le directeur général de la santé, Joël Ménard, opposé à l’arrêt de ce vaccin, avait démissionné. Quand j’ai essayé de les avertir, on a dit que Raoult était un suppôt de l’industrie vaccinale !

En revanche, la vaccination contre la varicelle est recommandée depuis vingt ans aux États-Unis et il n’y a pratiquement plus de varicelle là-bas. Celui contre le rotavirus est recommandé en Angleterre et cela a fait diminuer d’un tiers les hospitalisations des enfants pour gastro-entérites. Quant à la grippe, ça fait depuis bien longtemps qu’on vaccine les enfants dans ces pays, parce que ce sont eux qui la véhiculent, tandis que nous, nous vaccinons les vieux, tout en sachant qu’après 70 ans, ce vaccin marche de moins en moins.

Commençons par faire de la science avant de faire de la politique ! En France, on peut condamner à la prison avec sursis des gens qui n’ont pas voulu faire vacciner leur gosse à 3 mois contre la polio, le tétanos ou la diphtérie, en sachant que ces maladies ne sont pas présentes ici chez les enfants. On applique un principe, mais ce n’est pas un intérêt médical et épidémiologique. Je ne suis pas d’accord. Pour Alain Fischer [l’immunologue qui a influencé la nouvelle politique de vaccination], la contrainte est la manière de penser. Ce n’est pas la mienne. Je crois à l’augmentation de la connaissance. Le politique prend sa décision, et c’est la sienne, en fonction de ses connaissances. Mais la tendance, de plus en plus, est à l’ingérence du politique dans la médecine. Puisqu’ils ne font plus la guerre et n’ont plus d’argent, les politiques font de la médecine. Ils ont décidé de cette obligation vaccinale plutôt que de faire de l’information qui soit juste et correcte.

Nous vivons une période de l’Histoire qui est l’équivalent de la Renaissance, une bascule du monde. À la Renaissance, l’Europe s’est mise à dominer le monde pour cinq siècles. Je pense que c’est la fin. Les États-Unis s’en sortiront peut-être. C’est tellement mélangé là-bas, qu’il y a des ressources étonnantes, mais nous, oui, nous, l’Europe de l’Ouest, nous nous retirons petit à petit. Nous ne sommes pas des empires qui partagent. Quand on a commencé à parler d’Hexagone au lieu de parler de France, cela voulait dire quelque chose ! On ne considère plus que l’Hexagone, c’est la métropole et on considère que c’est la France ! Petit à petit, l’Europe de l’Ouest est en train de perdre son leadership. Elle a perdu son leadership scientifique ! On ne sait plus rien faire, à part produire des administratifs ou des gens qui jouent avec de l’argent. En tout cas, il y a un vrai problème, c’est que nous n’avons plus l’esprit de production. Médicalement, on assiste depuis un siècle et demi à un enjeu extraordinaire : l’espérance de vie, qui n’avait quasiment pas changé depuis aussi loin que l’on remonte (période de crises mises à part), s’est énormément allongée, pour atteindre 81 ans.

Mais c’est fini, on ne fera pas mieux. Ça, c’est un tournant. C’est-à-dire que l’on n’a pas mieux à proposer et on n’est pas sûr d’en avoir besoin. Du coup, que fait l’industrie pharmaceutique ? Que font les gens qui font des essais thérapeutiques ? On a inventé une méthodologie qui s’appelle les « effets de non-infériorité », c’est-à-dire qu’on sait que cela ne sert à rien avant de commencer. (???) On essaie de démontrer « que ce n’est pas pire », comme disent les Québécois, que ce qui existe déjà. Ça, c’est un tournant ! ! !

Vous avez écrit : « L’unanimité n’est jamais raisonnable. » Pourquoi détestez-vous tant le consensus ?

Savez-vous que dans un tribunal rabbinique, s’il y a unanimité lors d’un vote, alors on revote ? Je suis d’accord avec ça ! Pour que 10 personnes pensent la même chose sur une question, c’est soit qu’elles n’ont pas compris la question, soit qu’elles sont achetées, soit qu’il n’y a pas de question.

Est-ce que vous récusez la notion de vérité scientifique, le consensus et la question de la science ?

La vérité scientifique, c’est ce qui est vrai à un moment donné dans des circonstances données avec un niveau de connaissances donné. Brecht fait dire à Galilée : « La science est fille du temps. »

Quand vous lui demandez comment il voit le monde, un physicien vous explique que, quand on fait de la physique quantique depuis longtemps, on pense qu’il y a plusieurs passés et plusieurs présents.

L’essai #recovery montre que l’hydroxychloroquine ne pose aucun problème de sécurité sur leurs patients hospitalisés (10 000 patients) Communiqué officiel du 24 mai. Le Pr Raoult sur l’étude du #Lancet : « Les financements annexes de la recherche médicale deviennent trop puissants, et les méthodes d’analyse sont guidées par le désir de vendre des médicaments. » En France, depuis 2013, Abbvie et Gilead ont déclaré 152 684 219 € et 63 401 102 € de liens d’intérêts toutes catégories de bénéficiaires confondues !

Ben voyons ! TAKAYCROIRE !

Le professeur Raoult sur le nombre de cas détectés : « Ici (à Marseille), on est à un cas par jour. »

Christine Tasin : « Dans n’importe quel autre pays, le scandale de l’hydroxychloroquine interdite ferait tomber le gouvernement ! Véran a interdit l’utilisation du seul médicament qui marche contre le Covid-19. Fin autoritaire des essais, l’hydroxychloroquine réservée aux cas désespérés, histoire de dire aux familles des futurs morts qu’on a tout essayé… Je ne sais ce qui va se passer pour les patients soignés au Plaquénil depuis des années pour d’autres pathologies que le Covid-19… Ce qui se passe est plus que dramatique ! »

Alors, que peut-on attendre de ces gens-là, ces sinistres donneurs de leçons en médecine, ces idéologues, ces socialistes sectaires adeptes de la religion du progrès de Macron GOF-LREM-LGBT ?

Tout ça va mal finir !

Thierry Michaud-Nérard

Ancien Médecin-chef de secteur de pédopsychiatrie

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