TERRITOIRES PERDUS DE LA RÉPUBLIQUE

Lorsqu’un délinquant algérien déclare au tribunal : « Maintenant ,c’est l’Algérie qui baise la France »

Source : Bd. Voltaire.

 

...par Arnaud Florac - Le 31 juillet 2022 

 

C'était au tribunal de Rennes, le 7 juillet dernier, mais le site Fdesouche ne s'en est fait l'écho que tout dernièrement. Un Algérien, condamné pour vol, ainsi que pour violence sur conjoint et mineur (ce qui signifie, dans la langue vernaculaire du justiciable, qu'il a frappé sa femme et ses enfants), avait fait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF) en juillet 2020, puis à nouveau en septembre 2021. Condamné en octobre 2021 à 8 mois de prison et 5 ans d'interdiction du territoire français, il est, vous vous en doutez, toujours là. « Toujours vivant, rassurez-vous », comme dirait Renaud.

Des histoires comme celle-là, il y en a des centaines tous les jours, dans des tribunaux engorgés qui rendent la justice aussi vite et bien que possible. Vous connaissez tous un tribunal de province : bâtiments gris et laids, en verre et métal, déjà obsolètes ; poussière en suspension, lino par terre, couloirs peints en jaune ; moquette sur les murs de la salle d'audience Simone-Veil dans laquelle des bancs en pin Ikea™ et des tableaux abstraits rappellent les plus belles heures du concile Vatican II. Au fond de la salle, en demi-cercle, se déploie la cour : une demi-douzaine de femmes ; une gynécocratie à la fois prétentieuse et terrifiée par le réel, protégée de la foule par des lunettes de gros calibre, des sentences définitives et d'épais dossiers couleur pastel. À la fin des débats, des sermons lénifiants, des peines de sursis dont tout le monde se fiche : bref, la justice.

Eh bien, il faut imaginer le même contexte au palais de justice de Rennes, quand on lit, dans le style imitation Napoléon III qui caractérise la prose juridique, les délibérations de la cour à l'endroit de ce sympathique visiteur, venu du soleil pour nous apporter la joie qui manque à notre décor. Voyez : « Il résulte des pièces du dossier que M. N. J. a été condamné pour des faits de vol et violences sur conjoint et mineur, a refusé volontairement de quitter le territoire et déclaré en audition : "L’époque où la France baise l’Algérie est révolue. Maintenant, c’est l’Algérie qui baise la France ; l’intelligence de l’Algérie est de venir en France et de la coloniser, se marier et se multiplier pour convertir le pays à l’islam, la France peut me refouler, je reviendrai avec 18 personnes." »

Ce n'est pas très poli, en effet, mais est-ce fondamentalement faux ? Oui pour une part, car la façon dont la France a « baisé » l'Algérie de 1830 à 1962 est quantifiable : 70.000 km de routes, 4.300 de voies ferrées, 4 ports internationaux, plus de dix aérodromes, 1 lit d'hôpital pour 300 habitants, une politique d'alphabétisation remarquable et… un programme de lutte contre la stérilité et d'encouragement à la natalité dont nous n'avons pas fini de nous mordre les doigts (sources : Goinard, Algérie, l'œuvre française, Paris, 1986).

Non pour l'autre part, car ce prophète involontaire a dévoilé, non pas la stratégie structurelle de l'Algérie (je ne suis pas complotiste), mais les résultats réels de cinquante ans de laxisme, de regroupement familial, de gallophobie des élites et d'ethnomasochisme du peuple français : invasion, islamisation, mépris de la France qu'il s'agit de « baiser ».

Il est surprenant d'entendre un Algérien tenir des propos « grand-remplacistes » dans une enceinte judiciaire, mais à lui, on ne lui tiendra pas rigueur. Imaginez un instant que ces propos aient été tenus par Jean-Marie Le Pen ou Bernard Lugan…

 

Merci à ce monsieur N.J., en tous les cas. Si l'on se fie à la jurisprudence, il n'est pas près de nous quitter et pourra encore nous délivrer quelques oracles. C'est tant mieux.

STADE DE FRANCE, CHAOS : DIAGNOSTIC CRIMINOLOGIQUE

...par Xavier Raufer - Le 06/06/2022.

Source : ATLANTICO.FR - Place d'armes

Le texte en PDF

Stade de France : Chaos et calembredaines, un

beau travail d’équipe

 

Susciter un tel chaos dépassait les forces d’un seul homme : ils s’y donc mis à trois - côté

sécurité ; ceci est une analyse criminologique ; donc, l’aspect sportif, organisation, etc. y

sera éludé.

 

Premier en cause, l’assez rigide préfet Lallement, peu doué pour la vision précoce et

flexible ; sous sa jolie casquette d’uniforme nord-coréen, il fait plus dans le statique et le

déjà-vu, que dans le génie créateur. Au-dessus, le ministre Darmanin, dont l’initial réflexe

est toujours de mentir.

L’homme qui, fin 2020, affichait triomphalement la baisse de la criminalité dans son fief électoral - confiné et sous couvre-feu plus d’un trimestre - et qui depuis, fait pire encore. Entre le partisan du « Plus c’est gros, mieux ça passe », et celui de « C’est comme ça, pas autrement », en cas de nouveau et d’imprévu, ça coince forcément.

 

Imprévu dû à l’ignorance des alertes du renseignement de terrain - pour l’immédiat - mais

plus profondément, à l’incompréhension des évolutions, toujours subtiles, dans les profondeurs du monde criminel.

 

Certes, voici quinze ans que la Préfecture de police a repéré les gangs juvéniles des ban-

lieues de la capitale et envisagé de les réduire. Mais la bande stable-structurée (durable,

avec vague hiérarchie et structures) n’est pas la forme criminelle suburbaine majeure. On y

trouve d’abord la meute, entité furtive qui, grâce aux portables, s’agrège subitement pour un pillage, une émeute - frappe et disparaît aussitôt, en mode essaim.

 

Sans cesse, ces meutes assaillent les policiers dans le neuf-trois (fact-checkers ! Nous

avons les détails) ; donc, sont rompues dès 12/13 ans à éviter les « keufs ».

Cette gymnastique est quasiment leur quotidien - d’abord dans « leurs » fiefs ; exemple près du Stade de France, à la cité hors-contrôle des Francs-Moisins, aux narcos si indifférents à la police qu’ils publient l’adresse de leurs fours en entier sur Instagram, avec promos du jour.

Bien sûr, ces meutes de prédateurs opportunistes ne planifient rien - pas le genre Napoléon

avant Austerlitz.

Un match de foot au stade de France ? Bof, banal, pas lucratif. Mais là !

 

Désordre et précipitation, le match fatal se prépare. Manque une pléthore de « stadiers » :

on les recrute dans le coin - notamment, sans contrôle, dans les cités alentours. Le renard

dans le poulailler : pour sûr, les lascars embauchés-stadiers font entrer les copains à l’œil,

signalent (les portables toujours) les secteurs sans sécurité ni contrôle.

 

Les premiers accourus des cités voisines voient alors le Saint Graal sous leurs yeux : par

milliers, des étrangers perdus, ballottés d’un secteur à un autre - pas toujours sobres. Leurs

montres ! Leurs téléphones ! Leurs poches pleines des euros préparés pour faire la fête ; ou

changés, pour les Britanniques.

 

L’info vole, de portable en portable : c’est la ruée. Par petits groupes de cinq-six, la dé-

pouille commence. « Dès qu’ils s’éloignaient des policiers, les gens se faisaient attraper, dit

un gradé, Ils faisaient leur marché... on n’a jamais vu ça... » - avec dix ans de 9-3 au

compteur, la remarque pèse lourd. Ces policiers du terrain, sur place toute la soirée, ont ainsi vu affluer une nuée de quelque trois cents pillards de 12 à 16 ans.

 

La police était là pour mater des hooligans - pas « des voyous en nombre », comme dit le

maire de Saint-Denis - homme peu enclin au tout-répressif. « Présence massive et

inhabituelle de centaines de délinquants ... Un vol avec violence ou par ruse toutes les deux minutes » s’étouffent les syndicats policiers. Ayant - faute d’ordres cohérents - gazé des

supporters souvent en famille, bousculés de barrières en portiques, les policiers en viennent

(tardivement) à arrêter les pillards passant sous leurs nez. Bien sûr, les agiles lascars des

cités proches sont déjà rentrés au bercail, poches et sacs à dos remplis.

Restent au fond du tamis des attardés, de benêts voleurs à la petite-semaine, ni familiers

des lieux, ni aguerris ... Des Péruviens... Un Palestinien...

Les mineurs arrêtés ? Classement sans suite... auteur inconnu... procédure irrégulière - tous dehors, et vite. La lourde et lente justice française ne sait se dépêtrer des infractions furtives, commises par des groupes agiles.

Alors, par réflexe, elle les rejette hors de sa portée.

Lallement... Darmanin... Dupont-Moretti : faisons-leur confiance pour nier l’évidence : pas

de morts ?

Tout va bien. Mais l’Europe est horrifiée par les scènes vues au stade de

France.

 

Et les forts opportunistes bandits suburbains ont capté l’impuissance des forces de

sécurité en de telles circonstances : ils ne l’oublieront pas de sitôt.

Extrait de "Zone interdite" - Le 02/02/2022.

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"ON" à laissé faire, voire encouragé soit : La théorie de la "diguette".

"Une fuite dans le barrage : Vite, on construit une diguette en aval du barrage. A chaque "fuite", "on" recule...et ainsi de suite.... au lieu de colmater le fuite.

JMR.


Attendrissant de voir la jeunesse s’intéresser au sport  - Le 02/02/2022.

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attendrissant-de-voir-la-jeunesse-sinter
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M. Dupont-Moretti aurait-il une réponse ?

JMR

Document : Écoutez l’ordre de ne pas confronter les racailles !

Le 23/04/2020.

Des policiers en colère ont enregistré l’ordre donné de ne pas confronter les individus qui mettent le feu aux banlieues de France. Écoutez… et partagez !

Association MPC@association_mpc


🔴 Oyé oyé peuple français !!!
Peut-être que ce message sur les ondes police est le plus parlant et le plus instructif quant aux consignes qui sont données à la police… Alors écoutez-le et il répondra à beaucoup de vos questions !!

 

https://twitter.com/i/status/1253401568642203648

 

Vidéo intégrée

Source : https://lalettrepatriote.com/document-ecoutez-lordre-de-ne-pas-confronter-les-racailles/

 

 


Le 22/04/2020.


Les parquets alertent sur la violence de la délinquance

Le 28/10/2020.

Dupond-Moretti demande aux magistrats d’éviter d’envoyer les délinquants en prison, ils lui répondent que la délinquance est trop extrême pour cela

Pour les magistrats, les alternatives à la prison ne correspondent pas à la réalité de leurs dossiers.

(…) « Usez du nouvel arsenal » , a insisté en substance le ministre de la Justice. Des mesures qui, depuis la loi du 23 mars 2019, permettent d’éviter le tout-carcéral au profit de toutes les alternatives, du travail d’intérêt général au sursis probatoire, sans oublier le bracelet électronique à domicile. Il aura quitté la visioconférence avant d’entendre la réponse des magistrats de terrain qui ont rappelé le seul premier ministre à la réalité de la délinquance actuelle. Tout en reconnaissant la rareté de la démarche de ce dernier envers le monde judiciaire. (…)

Catherine Champrenault, le procureur général de Paris, qui au cours de cet échange avec Jean Castex aurait alerté le premier ministre, sur le fait qu’ «  Il ne peut pas être demandé au ministère public de ne plus déférer ni requérir de mandats de dépôt. La nature de la délinquance que nous traitons impose parfois la mise à l’écart de la société, que la détention à domicile ne peut pas toujours satisfaire  », a-t-elle prévenu, loin de tout angélisme. Une façon d’expliquer à un monde politique parfois éloigné que «  le discours de régulation carcérale peut apparaître en décalage avec celui de la gestion de délinquance que les parquets ont à connaître et la réalité du niveau de criminalité qui est notre quotidien  », aurait-elle précisé en substance.

Sources : 

- Le Figaro

- FdS


Des policiers attaqués au mortier à Alençon, au cœur de la Normandie

...par Arnaud Florac - Le 27/10/2021.

Source : Bd. Voltaire

 

Alençon était autrefois une terre de tolérance et de courage. Tolérance de la « bonne duchesse » Marguerite de Valois qui, en pleine guerre de religion, fit ce qu’elle put pour accorder assez de  aux protestants et évita le bûcher ou la corde à bon nombre d’entre eux. Courage, entre autres, d’Eugène Lecointre, maire de la ville sous l’occupation prussienne, qui, menacé de pillage par les troupes ennemies, leur jeta les clés de sa propre maison en lançant crânement: « Pillez ! La force prime le droit ! », clin d’œil acide à la phrase favorite de Bismarck.

Désormais, comme tant d’autres communes normandes, Alençon vit sous une loi différente, mélange d’occupation étrangère et de guerres de religion. Mardi soir, des policiers ont été attaqués au mortier dans une cité « sensible » ou « de reconquête républicaine ». Ils avaient été appelés pour des voitures de particuliers incendiées – particuliers qui ne sont que les victimes collatérales des tensions qui se jouent sous nos yeux. Ils n’ont pas riposté, achetant une nouvelle fois la paix sociale – si on peut l’appeler ainsi. La raison de ces « scènes d’émeute » ? L’arrestation d’un dealer dans le quartier. Les pauvres ! Voir un de leurs bons amis, petit ange parti trop tôt en garde à vue, « arraché » par la  de bon matin alors qu’on ne tardera pas à découvrir que, « poli et discret », il « aidait à porter les courses » et « voulait devenir footballeur »… C’est l’horreur absolue, l’innommable. Plus jamais ça, scandent ces drôles de victimes, debout sur les berlines calcinées.

Il y a quelques mois, notre amie Sabine de Villeroché avait dit un mot sur la gangrène islamiste au sein de la riante Normandie. À Argentan, plus récemment, les policiers étaient appuyés par les CRS pour leurs contrôles d’identité. Et voici que Ouest-France (« Ouesteufrance », prononce-t-on dans le coin) nous apprend les détails de ce guet-apens, en nous précisant que cela peut durer longtemps.

La Normandie a déjà été cédée une première fois à un peuple étranger, pour acheter la paix sociale. Il s’agissait des Vikings. Deux siècles plus tard, ils soumettaient l’Angleterre. Depuis, la France n’a eu qu’à se louer de ses Normands. Faudra-t-il envisager une deuxième (sé)cession à titre gracieux pour qu’un semblant d’ordre revienne au pays des chaumières et des vergers ?

Commentaires: 1
  • #1

    tiso (mardi, 28 avril 2020 18:36)

    Je ne sais si les trois guerres mondiales du franc-maçon Albert Pike sont véridiques, mais il semblerait que oui, la destruction de l'Europe a été planifiée.