Combattre un ennemi que l'on ne nomme pas

...par le Col. J-P M - Le 09/11/2021.

Péguy disait « Il faut voir ce que l’on voit ».

 

Tout est sous nos yeux et sous ceux de ceux qui dirigent.

 

Drapés dans leur arrogance pour masquer leur nullité hors des domaines pour lesquels ils ont été dressés. Ils ne pratiquent que

l’art de parler pour ne rien dire, de savoir ne pas voir, ne pas entendre et de se taire pour plaire.

 

Notre ennemi est l’islam quand il s’engage sur la voie du djihadisme aussi politiquement incorrect que ce soit.

 

L’ « Islamisme » est un concept fumeux exclusivement français qui permet l’inaction. Islamisme et islamiste, en arabe c’est musulman et relatif à l’islam.

 

Ce terme est récent. Auparavant, christianisme signifiait relatif à la religion chrétienne.

Protestantisme, relatif à la religion protestante. Idem pour islamisme, bouddhisme etc…

 

On ne peut combattre efficacement une idéologie que par une idéologie aussi forte.

 

Allah est (le plus) grand ! Et Dieu ? C’est devenu un « petit dieu » plus petit que nous à qui nous

dictons ce que nous désirons qu’il nous dise pour remplir de « loisirs » nos vies vides de sens.

 

L’Islam est une doctrine religieuse, politique et sociale. Sa cohérence et son intransigeance effraie les pleutres tremblants que sont nos politiques. Car l’Islam reste la seule force qui s’oppose à la destruction de la cellule familiale sans que personne n’ose la critiquer. La famille musulmane a su résister à l’entreprise de déstructuration des familles. Il génère un fort «sentiment identitaire », ce qui pour nous est un gros mot.

 

L’homme sans identité est manipulable.

 

Ceci étant posé comment résister et vaincre ces forces redoutables ?

 

Premièrement en étudiant la doctrine de l’ « ennemi vert » ! (comme la doctrine de l’ennemi orange en son temps)

 

Cette doctrine a un nom : Le Coran.

 

Or personne ne l’a lu ! Comme personne n’avait lu Mein Kampf.

 

Pour ces deux volumes il convient de répéter, sans vérifier, comme un mantra « c’est du charabia

illisible ». Ce qui n’est pas vrai.

 

Comme on disait « Mr Hitler est un homme raisonnable qui ne veut pas la guerre » on dit « L’Islam

est compatible avec les lois de la République » ce qui est faux.

 

L’Islam affirme l’inégalité hommes/femmes, il autorise la polygamie, l’esclavage, la lapidation, la

flagellation, la crucifixion, l’amputation des délinquants et la mort des homosexuels, le meurtre des incroyants comme le père Hamel etc….

 

Mais non, la doxa affirme : c’est « comme l’évangile ». Y a-t-il un seul verset dans les évangiles

intimant de tuer les mécréants ?

 

Le mot « Amour » est il présent UNE SEULE FOIS dans le Coran ? Non !

 

Comme personne n’a lu le coran nos « responsables » gobent le baratin des islamistes avec une

gourmande avidité car ça les conforte dans leur lâcheté. La malhonnêteté est assimilée à

l’intelligence.

 

C’est comme cela qu’on piège (j’ose l’espérer) les autorités qui se retrouvent à raviver la

flamme avec une « gentille islamiste » en hijab noir salafiste.

Cette jeune musulmane avait toute sa place à cette cérémonie républicaine officielle mais, de même qu’à l’école elle doit l’enlever, on aurait du lui demander de ne pas le porter à cette occasion.

 

On ne peu pas dire qu’ils avancent « masqués » ils sont en uniforme !!!!

Que, nous, qui sommes sensés les combattre, n’identifions pas cette uniforme et ce, au plus haut niveau de la hiérarchie militaire, est invraisemblable !!!!!

 

Piégé ? Peut être, mais pas : Sans doute.

 

Comme nous étudions la doctrine « rouge » on étudiait aussi les uniformes et matériels de

l’ennemi  que nous « risquions » d’affronter afin de l’identifier. L’ennemi est parmi nous et

nous sommes incapables de le reconnaître ! Pire on lui fait des risettes !

 

Nietzsche résume assez bien la situation :

 

Les politiques : « Regardez les grimper, ces singes agiles : Ils se grimpent les uns sur les autres

et ne réussissent qu’à s’entraîner tous ensemble dans la boue et dans l’abîme. Je les ai vu

jouer avec des dés pipés, et ils jouaient avec tellement d’acharnement qu’ils en transpiraient ».

 

J.PM

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