ADIEU MA FRANCE !

C’est fait, le verdict est tombé, la France est foutue, livrée aux adeptes de la repentance, du reniement et des accommodements avec nos ennemis internes et externes.

Les Français n’ont pas compris ou n’ont pas voulu voir que la dernière occasion était à leur portée pour maintenir la France dans sa souveraineté, sa culture, sa civilisation, ses mœurs, son indépendance énergétique et industrielle, son rayonnement.

Le candidat sortant, de façon non démocratique, a refusé tout débat pour ne pas avoir à répondre de ses erreurs et échecs. Il a, de plus, bénéficié de l’effet drapeau dû à l’épidémie Covid puis à la sidération de l’intervention armée en Ukraine.

 

La candidate du RN n’a cessé de se déradicaliser, de lisser son programme pour faire plaisir aux

médias et aux sondages, bref de se renier.

 

A noter qu’à gauche, la dispersion des candidatures loufoques a entraîné un vote utile qui a

profité à Mélenchon. On peut souligner, à ce sujet, la perversité du système qui utilise une

avalanche de sondages pour formater l’opinion tentée par le mieux placé plutôt que le candidat

de son cœur.

 

Les Français ont ainsi choisi de reconduire la politique de déconstruction de leur pays, de leur

histoire, de leur langue, déconstruction de leur fierté nationale non communautariste, refus de

l’égalité des chances par le mérite.

Le choix politique qui nous est proposé pour ce deuxième tour de la Présidentielle est entre

Blanc bonnet et Bonnet blanc. Emmanuel Macron, sera conforté dans son égo, son arrogance,

son mépris des Français. Il poursuivra voire amplifiera sa volonté de dissoudre la souveraineté

nationale dans une souveraineté chimérique européenne, appelant de ses vœux une défense

commune que les autres pays ne veulent pas, promettra tout ce qu’il n’a pas fait dans son

premier mandat et, surtout, il finira d’avilir la France en se présentant, couvert de suie dans sa

robe de bure, à genoux devant nos ennemis, notamment Algériens, pour leur demander pardon

de crimes que nous aurions, nous les descendants qui n’en peuvent mais, commis contre

l’humanité.

 

Marine Le Pen adoptera pendant 15 jours un ton conciliant avec tous ceux qu’elle combattait

jusqu’alors, draguant les voix de gauche comme de droite, prête à tous les renoncements face

aux lobbies, aux syndicats, à la rue pour gagner, cette fois, ce match retour.

 

Puis viendra le temps de l’action. Rien ne sera engagé, hormis des gesticulations de

communication, pour libérer notre nation de l’emprise abusive des normes européennes, de

l’idéologie de nombreux juges politisés, de la présence dans nos prisons et nos villes de jeunes

biberonnés à l’anti-France, du chantage des associations gauchistes racialisées, de la complicité

des médias achetés donc bienpensants, de l’arrivée toujours plus massive de clandestins sans

qualification (chance pour la France ?) qui reproduisent, dans les zones gangrénées où ils sont

accueillis par les leurs, les coutumes de leur pays d’origine, sans volonté de s’assimiler au mieux,

de s’intégrer au moins, avec leurs hôtes (nous) qu’on leur apprend à détester.

 

Nous serons soumis, avec Manu ou Marine, aux revendications délirantes des minorités sociétales américanisées, féministes, inclusives, pro LGBTQI+, anti famille traditionnelle.

 

Oui, je le dis, seul Eric Zemmour aurait eu le courage d’appliquer les mesures fortes de rupture

avec les petits arrangements politiciens du "Pas de vague" et du politiquement correct. Mais il s’est suicidé en direct sur LCI, le 10 mars 2022 face à une Valérie pugnace et il a subi les attaques

(certes normales et attendues) sur ces prises de position franches desquelles il n’a pas varié,

comme l’auraient fait tous les autres en fonction des sondages ou de l’audimat.

 

Adieu donc la France de Campagnole avec Christian Combaz, de feu Denis Tillignac, celle du

non conformisme Ivan Rioufol, de l’avocat Gilles-William Goldnadel.

Bonjour l’écriture inclusive, l’abandon de la famille traditionnelle, l’obligation de la « diversité »

dans les médias, la culture, les affaires. Vive l’obligation de la parité même sans compétence ou

volonté de s’engager.

Bonjour les éoliennes, l’école unique et son nivellement par le bas, la ré-écriture de l’histoire, l’abandon du mérite, la discrimination positive, l’alignement en tous points sur les Etats-Unis.

 

De toute façon, le résultat du second tour est déjà écrit car nos braves élites politico-juridico-

médiatiques ont recréé, dès 20 h 02, le Front Républicain contre le fascisme, alors qu’ils avaient

salué pendant 5 ans la dédiabolisation heureuse de Marine Le Pen qui était devenue, à leurs

yeux, républicaine et donc fréquentable.

Qualifiée au second tour, elle retrouve aussitôt son statut de diable nazie à éliminer.

 

Par l’effet traditionnel de la prime au gagnant, les élections législatives à venir conforteront la

majorité actuelle qui pourra, tranquillement, continuer à enfoncer la France.

Dans la France de Zemmour, j’aurais signé :

« Stoony, Français. »

Dans la Macronie méprisante et intolérante, je suis catalogué ainsi (tous adjectifs irrémédiablement infréquentables) :

« Stoony, mâle blanc de plus de 50 ans, chrétien, hétéro, populiste, complotiste, raciste, xénophobe, antisémite, pédophile, misogyne, nationaliste rance, fasciste, nazi, poutinophile, buté, fermé, dangereux. »