L’islam en deux pages !

 

...par le Gal. Bertrand Binnendjik - le 19/12/2018.

 

Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr Coëtquidan

Ecole supérieure de guerre (ESG)

Diplômé d’études approfondies en histoire militaire et relations internationales

Diplôme de droit canonique (Institut catholique de Paris)

Après avoir exercé des commandements dans différentes unités de l’Arme blindée Cavalerie, il s’est orienté vers les relations internationales, en occupant différents postes en état-major de haut niveau et à l’étranger.

 

Officier de liaison-instructeur auprès de l’Army command and staff College, en Grande-Bretagne (1994-1997)

Attaché de défense près l’ambassade de France à Tel Aviv, en Israël (2001-2004).

 

A dirigé la Division Maîtrise des armements, puis la division Monde de l’état-major des armées.

A ce titre, a participé aux négociations de contrôle des armements dans le monde et travaillé au développement de la coopération militaire avec les pays du Proche et Moyen-Orient, de l’Asie et de l’Amérique latine.

 

Après avoir quitté le service actif, a passé un diplôme de droit canonique à la Faculté de droit canonique de l’Institut catholique de Paris et poursuit actuellement des études de théologie.

Dans ce cadre, a rédigé un mémoire intitulé "L’Eglise catholique au Maroc : l’Accord de 1983 entre le Roi Hassan II et le Pape Jean-Paul II".

 

Conférences sur la crise israélo-palestinienne

Enseignement de l’Islam à l’IRCOM d’Angers.

 

Distinctions

Officier de la Légion d'honneur

Officier dans l'Ordre national du Mérite


Au titre de l'examen sur l'islam proposé à des étudiants de l'Ircom d'Angers, il leur avait été demandé de rédiger une fiche limitée à deux pages, présentant les points-clés de l'islam et la dimension politique de cette religion dans le monde d'aujourd'hui.

Correction faite, ci-dessous un corrige-type qui, sans être parfait, répond à la question posée.

 

L’islam en deux pages !

 

Introduction :

Depuis le seconde Guerre mondiale et la fin de la colonisation, l’islam fait un retour en force sur la scène internationale, dans le cadre soit de crises internes aux pays musulmans, soit d’un terrorisme international en expansion.

Pour comprendre les enjeux en cours dans une première approche simplifiée à l’extrême, nous évoquerons d’abord le cadre spatio-temporel dans lequel l’islam a pris naissance. Puis, nous en détaillerons les points les plus fondamentaux, spirituels et juridiques, avant de se pencher sur les difficultés rencontrées par cette religion dans le monde d’aujourd’hui.

 

I. Le cadre spatio-temporel 

L’islam est né à la fin du VIème siècle ap. JC, à La Mecque, dans la Péninsule arabique, région marquée par le désert, le silence, le nomadisme et le croisement de multiples cultures et religions (polythéisme, animisme, judaïsme et christianisme), toutes dimensions qui imprègnent profondément cette nouvelle religion.

Selon la tradition, ou doxa musulmane, la Révélation divine serait "descendue" sur Mahomet, considéré par les musulmans comme le dernier, le "Sceau" des prophètes envoyés aux hommes par dieu-Allah, avec pour mission impérieuse de la leur transmettre.

De 620, date de la première révélation, à 632, date de sa mort, Mahomet va consacrer sa vie à répandre cette nouvelle religion, d’abord à La Mecque qui va le rejeter, puis à Médine à partir de laquelle il va fonder le premier Etat musulman que ses successeurs accroitront de façon fulgurante, pour l’étendre de l’Espagne aux confins de la Chine en moins de cent ans.

 

A sa mort, la violente querelle de succession qui opposera les tenants d’un successeur choisi parmi les compagnons de Mahomet et Ali, le gendre de Mahomet, partisan d’une succession héréditaire, donnera naissance au schisme majeur entre sunnisme (90 % du monde musulman) et chiisme (10 %). Par la suite, ce schisme successoral revêtira aussi une dimension sociologique puis spirituelle. Cette fracture majeure marque profondément l’islam encore aujourd’hui.

Par la suite, des dynasties héréditaires puissantes vont se succéder, qui développeront l’empire musulman au maximum de sa puissance politique et militaire dans le cadre d’une rivalité pluriséculaire avec le monde chrétien.

 

II. Les points fondamentaux de l’islam

L’islam est à la fois religion et droit, liant indissolublement spirituel et temporel. Le cœur de la révélation musulmane réside dans la notion d’un dieu-Allah Un, Unique, absolument transcendant.

Le coran et la sunna constituent les deux textes sacrés de l’islam, indissociables l’un de l’autre. Après une phase de transmission orale, le coran a recueilli les "révélations" reçues par Mahomet, regroupées en 114 chapitres ou "sourates", classés par ordre de longueur décroissante, eux-mêmes composés de plus de six mille versets. C’est un texte difficile d’accès qui donna naissance à de multiples écoles d’exégèse opposées. Ces querelles d’écoles se ramènent essentiellement à la question fondamentale de savoir si le coran est "incréé", donc intouchable, ou "créé", donc modifiable. A cette question fondamentale est lié l’usage de la raison humaine pour comprendre la volonté d’Allah, certains y étant favorables, mais la majorité des docteurs de la loi y étant opposés.

La sunna, ou tradition prophétique, est composée de plus d’un million de hadith, textes brefs rapportant les faits et gestes de Mahomet, destinés à expliciter les injonctions coraniques.

 

La notion de communauté, Oumma, prime sur l’individu, tenu de respecter les préceptes coraniques et dépourvu de toute liberté religieuse. L’islam est la religion naturelle de tout homme, quitte à devoir recourir à la violence pour la défendre et la répandre. Parmi les non-musulmans, juifs et chrétiens bénéficient cependant du statut de dhimmmi, qui les autorise à pratiquer leur foi tout en limitant leurs droits et en leur imposant un impôt spécifique.

 

Au plan de la foi, tout bon musulman est tenu de respecter les cinq obligations individuelles (la profession de foi - Il n’y a de dieu qu’Allah, et Mahomet est son prophète-, les cinq prières quotidiennes, l’aumône, ou zakat, le jeûne du ramadan et, une fois dans sa vie, le pèlerinage à la Mecque. S’y ajoute le devoir collectif du djihad, ou guerre sainte, désignant aussi bien le combat sur soi-même, que la défense de l’islam et son expansion.

 

Au plan de la loi, Allah est le législateur suprême. C’est pourquoi le droit divin informe toutes les dimensions de la vie du musulman. Il existe quatre écoles juridiques différentes, parfois opposées, qui fixent le droit pour l’ensemble de la communauté. Ce corpus juridique constitue le Fiqh, ou droit, à distinguer de la chari’a, qui désigne "la voie droite" à suivre pour trouver la paix de l’islam. Dans le monde sunnite, ce droit est figé depuis le Xème siècle, rendant la société musulmane juridiquement inadaptée au monde contemporain.

 

III. La dimension politique de l’islam aujourd’hui

On distinguera trois dimensions qui traduisent le mal-être de l’islam dans le monde d’aujourd’hui, en particulier au Moyen-Orient.

 

Premièrement, les Etats musulmans ont majoritairement récusé la Déclaration des droits de l’homme de 1948, accusée d’être à la fois trop occidentale et trop chrétienne. Ils lui ont substitué trois textes de portée inégale, mais qui font tous de la charia la pierre d’achoppement des droits de l’homme dans l’islam, refusant en particulier la notion de liberté religieuse.

 

Deuxièmement, trois mouvances islamistes, qui visent à ré-islamiser une société musulmane jugée corrompue, s’opposent sur les voies pour y parvenir. Tout d’abord, le salafisme, avec sa version wahhabite saoudienne, cherche à agir par "le bas", via les services sociaux. La conquête du pouvoir ne l’intéresse pas. Cette mouvance veut restaurer un âge d’or mythique d’un islam rêvé des "premiers temps". Ensuite, la confrérie des Frères musulmans, née en Egypte en 1929, privilégie au contraire la conquête du pouvoir par les moyens légaux, pour ré-islamiser la société "par le haut", selon un modèle islamique plus flou. C’est le cas de la Turquie du Président Erdogan. Enfin, les djihadistes, déçus des deux premières mouvances en rupture de ban, font une lecture littéraliste du coran pour légitimer l’usage de la violence. Al Quaïda et l’Etat islamique s’inscrivent dans cette vision.

 

Troisièmement, on soulignera enfin la manipulation du fait religieux, en l’occurrence la scission entre sunnisme et chiisme, à des fins strictement politiques et/ou économiques, par l’Arabie saoudite et la Turquie sunnites et par l’Iran chiite. Ces trois pays concurrents pour assumer le leadership régional au Moyen-Orient, s’appuient sur des gouvernements de la même obédience religieuse pour créer un "arc sunnite" versus un "arc chiite". Ils s’accusent mutuellement de raviver une querelle religieuse millénaire, mais ils le font à des fins beaucoup plus prosaïques.

 

En conclusion, de ce trop rapide survol des fondamentaux de l’islam, il convient de retenir l’extrême complexité d’une religion qui peine à trouver sa place dans le monde sans se renier pour autant. Le défi des musulmans aujourd’hui est bien de moderniser l’islam tout en islamisant la modernité.

 

Source : http://www.magistro.fr/index.php/template/lorem-ipsum/au-dela/item/3560-l-islam-en-deux-pages

 

Antisémitisme arabe

Le 01/11/2023.

L’antisémitisme reprendrait de la vigueur.

 

Qu’est ce qu’un sémite ?

 

Le mot vient du nom propre Sem, désignant un des fils de Noé, duquel, selon la Bible, seraient issus plusieurs peuples (Hébreux, Arabes, Elamites, Araméens, Assyriens et Phéniciens) et dont les représentants modernes sont les Arabes et les Juifs.

 

Les arabes sont ils antisémites ? Cela parait difficile à croire car ils sont eux-mêmes des sémites !

 

Les  arabo-musulmans ne sont pas anti sémites, ils sont anti juifs. « On » nous dit « c’est la

conséquence du conflit Israëlo-Palestinien ».

 

C’est absolument faux.

 

Ce conflit alimente leur sentiment et le justifie « vous voyez ce qu’ils font, le Prophéte avait

raison » J’ai entendu cette phrase des milliers de fois au Moyen Orient.

 

Les musulmans sont « anti juifs » depuis le VII ème siécle. En fait, depuis que la communauté

juive de Médine a trahi le Prophète en se retournant traitreusement contre lui lors d’un combat.

 

A partir de ce moment sont alors « révélés » des versets extrêmement virulents appelant à leur extermination en tant que tels (génocide).

 

Depuis cette époque, l’Islam les persécute ou les tient en situation de domination.

 

C’est en Andalousie qu’ils sont astreints, pour la première fois, à porter un signe distinctif

jaune (rouelle) accroché à leurs vêtements sur lequel figure un singe ! Encore aujourd’hui

(1500 ans plus tard) j’ai entendu aux émirats les traiter de « singes ».

 

La lecture du Coran est assez effrayante les concernant. Or chaque musulman DOIT lire

entièrement le Coran pendant le Ramadan. Pendant toute sa vie il aura donc lu, prés de 70 fois en moyenne, la parole divine disant qu’il faut les tuer et les vouer au feu de l’enfer.

 

Quant aux enfants qui fréquentent l’école coranique ils apprennent le Coran par cœur ! Je n’ai pas connaissance que ces versets mortifères soient exclus de l’apprentissage.

 

Pour les « responsables » politiques l’exercice qui consiste à nier la réalité est acrobatique car il convient de dire que l’Islam n’est pas l’Islam. La solution a été trouvée en inventant le concept d’ «Islamisme » qui comme chacun sait « n’est pas l’Islam » . C’est aussi vrai que le catholicisme n’a rien à voir avec la religion catholique….

 

A ce petit jeu, M. Macron a enflammé tout le monde musulman qui lui ne comprend pas cette

subtilité sémantique qui ne se traduit pas en arabe car ca ne veut RIEN DIRE !

 

Je m’en remets à des personnes particulièrement qualifiée comme Mr BOUALEM SANSAL

grand intellectuel algérien qui dit sans ambigüité que c’est l’Islam qui pose un problème et

réfute le distinguo entre islam et islamisme. Il en est de même de Salman Rushdie qui dit :

« Il parait que l’islamisme n’a rien voir avec l’Islam, que le salafisme n’a rien à voir avec

l’Islam, que les Talibans n’ont rien à voir avec l’Islam, que Daesh n’a rien à voir ni le

wahhabisme, ni AlQaïda, ni le Gia !Bref, l’Islam n’a rien à voir avec l’Islam » ;

 

C’est dérangeant, mais le seul qui appuie le doigt là où ça fait mal c’est M. 

ZEMMOUR. Comme ses illustres prédécesseurs (Raspail par exemple) toute la meute le

déchire !

 

Indiscutablement, le terreau de ce qu’on qualifie, à tort, d’antisémitisme, ce sont les

communautés ré-islamisées des quartiers perdus, pour cette raison, de la République.

 

Cela démontre si c’était nécessaire l’aveuglement délibéré de nos dirigeants depuis un demi

siècle et la soumission de leur pensée au désir de croire, résumé par Mr JUPPE « Je ne

veux pas croire »… Ca en dit long.

 

Depuis ces jours derniers, les « acrobates funambules » sont tombés du fil et suspendus

dans le vide, ils agitent leurs petites jambes maigrichonnes et essayent de réaliser un

impossible rétablissement.

 

La hauteur d’un homme est celle de son courage, alors ce sont des nains qui nous gouvernent.

 

"Anonyme"

 

ll faut détruire le Hamas et éradiquer les Frères musulmans en France

Source : Riposte Laïque - par Gérard Brazon - Le 02/11/2023.

Chaque jour, nous voyons des émissions sur les crimes du Hamas du 7 octobre et à bon escient

Ghazi Hamad, cadre supérieur du Hamas, a affirmé que l’organisation terroriste pourrait mener une ou plusieurs nouvelles attaques comme celle du 7 octobre. “Nous le ferons encore et encore” (Source)

Cette guerre en Israël n’est pas nouvelle et elle trouve sa source lors de l’occupation de Jérusalem par les Arabo-musulmans. Cela étonne les Arabes, les musulmans, quand on leur rappelle l’histoire de cette invasion de Jérusalem et l’occupation de ce qui était le territoire dénommé Palestine par les Romains, les anciens occupants.

 

Pourtant, nul de ces musulmans ne réalise qu’un occupant a tout de suite le réflexe de marquer son territoire nouvellement conquis.

Ces conquérants ont fait construire une mosquée sur les vestiges de l’ancien temple juif. Or, cette action prouve simplement que les Juifs étaient déjà présents bien avant que les Arabo-musulmans viennent construire un site religieux.

Nous en avons pour preuve chez nous, en France, que beaucoup d’églises furent construites sur d’anciens sites « païens », sur les restes de religions présentes avant l’arrivée des Chrétiens. D’ailleurs, faut-il rappeler que des Juifs étaient présents à Lyon bien avant que les Chrétiens en fassent une ville chrétienne ?

Nietzsche proclamait que l’homme de l’avenir est celui qui aura la mémoire la plus longue. En clair, l’avenir appartient à celui qui a la plus longue mémoire car il peut comprendre le passé, agir sur le présent et prévoir l’avenir.

Palestine en 1810

Israël a été, dans le passé, le berceau du judaïsme. Il a vu naître le christianisme. Ces deux croyances viennent du même terreau. L’une a voulu préserver son identité, l’autre a voulu s’élever et convertir le monde, à commencer par l’Europe.

La chrétienté nous a offert le libre arbitre, le libre choix et, de fait, la laïcité, qui est la liberté de croire ou non et de vivre dans l’intimité sa croyance sans avoir à l’imposer. Évidemment, les hommes de pouvoir n’ont pu s’empêcher d’utiliser les religions. Cela a donné les terribles actions d’une Église romaine par toujours très chrétienne. C’est le moins que l’on puisse dire.

Ce ne fut pas la même chose avec l’islam qui, dès le départ, par l’action de Mahomet, a mis en place l’action dominatrice et sans partage de l’islam dans le droit fil de la conquête des territoires et de la conversion de gré ou de force.

Son message est la totale soumission au dieu Allah. Pas d’autre message comme la pitié, l’amour de son prochain, le refus de tuer le croyant d’une autre religion, le respect de la femme, etc. Le message coranique est une entreprise de lobotomisation. Rares sont ceux qui ont pu se soustraire à ce broyage du raisonnement. En cela, je respecte profondément les apostats de l’islam.

https://twitter.com/i/status/1719670625093169187

Alors, j’ai pu lire, de-ci de-là, que l’islamisme ne serait pas antisémite ! J’ai pu entendre, par exemple sur CNews, de la part d’un Karim Zeribi, que l’islam ne serait pas antisémite !

Le Coran, qui est le livre de référence de l’islam, dont les sourates sont descendues du ciel d’Allah, tombées de son bureau dans la cervelle de Mahomet, à petites doses et en fonction de ses désirs du moment, comme le disait Aïcha qui avait remarqué qu’Allah était bien complaisant avec son « messager ».

Un Coran tellement insipide, illisible, contradictoire en fonction de l’époque ou vécut Mahomet, soit à la Mecque, soit à Médine, qu’il aura fallu des kilos de livres dits Hadiths pour qu’il soit explicité. Pour un dieu omniprésent, qui sait tout, c’est tout de même étonnant qu’il ait été incapable de se faire comprendre sans que des dizaines de types explicitent sa parole.

Oui, en effet, la religion de l’islam est, par définition, antisémite et de plus, antichrétienne, car elle préconise de tuer les « associateurs », ces Chrétiens qui croient en la Trinité.

Je reste toujours étonné, et parfois en colère contre les journalistes, les médias qui refusent de considérer que l’islamisme, c’est l’islam. Il n’y a pas d’islamisme sans l’islam. C’est un ensemble indissociable. Évidemment, tous les musulmans ne sont pas des tueurs en puissance de juifs et de chrétiens en 2023 en France, pour autant, ce sont des musulmans qui ont assassiné sauvagement leurs victimes juives et chrétiennes. À décharge, il faut en convenir, les musulmans qui étaient présents sur les terrasses de Paris, dans le Bataclan et à Nice ont, eux aussi, été assassinés. Des victimes collatérales ?

Rappelons tout de même certains ordres qui sont formellement dans le Coran. Des ordres qui ne sont pas dénoncés par les gentils de l’islam.

 Sourate 2, versets 191, 193, 216, « Tuer les infidèles où que vous les rencontriez, chassez-les d’où ils vous ont chassés, l’association (chrétien) est pire que le meurtre ». Nous sommes en France, en Europe, et je ne vois d’où nous les aurions chassés.

Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association (chrétiens) et que la religion soit à Allah seul.

Vous trouverez la même violence à travers la sourate 5, verset 51 : Ne prenez jamais comme alliés des juifs et des chrétiens, ils sont alliés les uns aux autres et celui qui les prend pour alliés devient l’un des leurs. Voir aussi la sourate 5, verset 33, digne de l’État islamique.

Petit rappel, l’apostasie, c’est la peine de mort, sourate 4, 191

Tout cela pour dire que lorsqu’un homme chrétien se marie avec une musulmane, le mariage oblige à la conversion par la loi marocaine, algérienne, tunisienne, etc. Ce n’est pas un acte innocent pour l’islam. Le nouveau marié ne peut plus, sous peine de mort au pire, de prison au mieux, quitter sa religion. Je lui déconseille, s’il veut voir de la famille au pays d’origine de sa femme, de faire profil bas sur ses réels sentiments religieux ou son athéisme.

Oui l’islam est antisémite, antichrétien et raciste de par la sourate 3, verset 110 : Vous êtes la meilleure communauté suscitée parmi les hommes, vous ordonnez le bien, vous interdisez ce qui est défendu, et croyez en Allah.

C’est par la peur que l’islam s’est imposé partout dans le monde. Par la conversion obligatoire, la peur que les berbères se sont islamisés. L’Europe prend le même chemin si nous ne trouvons pas un Charles Martel.

Gérard Brazon

 

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