"Il est minuit moins le quart"

Communiqué du Gal. Antoine Martinez - Le 07/10/2019.

Chers amis,

 

En pièce jointe mon communiqué après l'attaque de la préfecture de police de Paris.

 

Bien cordialement.

 

Antoine MARTINEZ

« Il est minuit moins le quart, Monsieur le Président. Depuis trop longtemps, par naïveté, manque de clairvoyance, déni de réalité, voire collaboration, croyant sauver ainsi la paix civile et sociale, la classe politique n’a cessé de fournir et mettre en place tous les ingrédients qui alimentent les tensions et conduisent à la guerre sur notre propre sol. L’islam doit être soumis aux lois de la République ; et ceux qui ne l’acceptent pas doivent partir, voire être poussés vers la sortie. Votre prudence, comme celle manifestée par vos prédécesseurs, résonne aujourd’hui, dans ce rapport de force engagé par l’islam et auquel vous n’échapperez pas, comme un renoncement à affronter l’esprit totalitaire ».

Ces propos étaient adressés au président de la République dans la lettre ouverte du 13 mars

2018, il y a donc plus de dix-huit mois.

 

Depuis cette date, la situation n'a cessé de s'aggraver avec à présent des agressions ou des

attaques au couteau devenues quasi-quotidiennes provoquant des morts et des blessés

considérés comme des faits divers, avec des incendies d'origine douteuse, avec nos églises

profanées, vandalisées (875 en un an !), voire incendiées (26 en un an !) dans un silence

assourdissant de la part du gouvernement et des médias !

Et aujourd'hui, après les centaines de morts qui ont endeuillé la France et les milliers de blessés

qui l'ont meurtrie au cours des dernières années, un nouveau carnage frappe notre pays avec

quatre morts et plusieurs blessés, non plus de la main de l'ennemi dans l'espace public, mais

dans une enceinte officielle abritant un service de l'Etat assurant une de ses missions

régaliennes, de surcroît de la main d'un traitre – appartenant à ce service – passé à l'ennemi.

Cette fois, la mort est venue de l'intérieur. Alors, au-delà des polémiques stériles habituelles et

des débats politiciens que provoquent ce drame épouvantable, nos dirigeants politiques, qui

savent que l'ennemi (nous sommes en effet en guerre) utilise le terrorisme comme instrument

de destabilisation, ne peuvent plus se défausser et s'abriter derrière des déclarations. Ils vont

devoir prendre rapidement des décisions désagréables dans l'intérêt de l'Etat et de la nation

débouchant sur des actions coercitives s'ils veulent vraiment empêcher cette guerre sur le

territoire national, cette guerre vers laquelle nous nous engageons inexorablement. Et s'ils n'en

sont pas capables, ils doivent laisser leur place. Car que révèlent non seulement l'acte meurtrier

dans sa préparation et son exécution mais également la gestion qui en a été faite par le

pouvoir ?

 

Malgré plusieurs alertes sur sa radicalisation après sa conversion à l'islam, ce djihadiste

potentiel était employé dans l'un des services de renseignement chargé de la lutte contre

l'islamisme, disposait d'une habilitation « secret défense » – qui plus est, renouvelée

récemment – et avait donc accès à des informations ultra-sensibles notamment celles en lien

avec l'islam dit radical. C'est sidérant ! Comment ce dysfonctionnement peut-il se produire dans

un domaine aussi sensible ? Par ailleurs, alors que le mode opératoire signait l'acte djihadiste,

pourquoi a-t-il fallu une trentaine d'heures avant que le parquet antiterroriste s'empare du

dossier ? La prise de parole du ministre de l'Intérieur, au minimum maladroite, a semé le doute

sur sa sincérité, laissant même à penser qu'il aurait menti. Car ne disposait-il pas, à ce moment

précis de son intervention, environ quatre heures après la tuerie, d'informations sur la

radicalisation du terroriste ? En effet, au cours d'une interview un député indique que lorsqu'en

2015 ce dernier s'était réjoui de l'attaque de Charlie Hebdo, sa hiérarchie avait été informée. Et

il précise que le directeur de cabinet de l'époque du préfet de police est l'actuel Secrétaire d'Etat

auprès du ministre de l'Intérieur, présent à ses côtés lors de la déclaration de ce dernier.

D'autre part, il intervenait après la venue à la préfecture de police du président de la

République, puis du Premier ministre. Sa déclaration n'était donc probablement pas improvisée.

D'autant plus que certains témoignages font état de pressions exercées sur des policiers pour,

au mieux retarder la divulgation de l'origine islamiste de l'attaque, au pire tenter de la passer

sous silence.

 

En fait, il faut bien reconnaître que la crainte de l'accusation d'islamophobie empêche la classe

politique et en particulier ceux qui dirigent le pays d'agir dans l'intérêt des Français et

notamment de leur sécurité. Or, l'islamophobie n'est que la conséquence logique de la teneur

des textes fondateurs de l'islam et les carnages que leur application radicale produit à travers le

monde. En refusant de nommer l'ennemi, les responsables politiques commettent une lourde

faute et mettent en danger la vie des citoyens. Le déni de réalité dont se rend coupable l’Etat

est grave et criminel. Et cet ennemi est à présent, non plus seulement sur le territoire, mais au

cœur même de l'Etat, dans nos institutions, dans nos services publics, dans nos transports,

dans notre police, dans nos armées. On ne peut pas s'empêcher dans le cas particulier de ces

dernières, de s'interroger. Par exemple, combien de soldats français musulmans effectuent

chaque année le pèlerinage à La Mecque ? Dans quel état d'esprit rejoignent-ils leur unité après

avoir scandé avec des dizaines, des centaines de milliers de pèlerins ces prières de haine

contre les non-musulmans ? Depuis des années, l'ennemi déroule son plan sans être inquiété,

simplement en se servant de notre démocratie et en appliquant la stratégie adoptée en 2000 à

Doha par l'OCI (Stratégie culturelle islamique dans les pays non islamiques). Notre pays est

gangrené de l'intérieur et nos dirigeants, au lieu de prendre conscience de la menace et de la

contrer, accompagnent cette islamisation criminelle de la France. C'est ainsi que la cathédrale

Saint-Louis des Invalides a été profanée par la prière islamique au cours d'un concert, et qu'on

a également facilité l'organisation d'une conférence à Paris par la Ligue islamique mondiale. Et

que dire du rapatriement des djihadistes d'Irak et de Syrie avec leurs enfants, véritables

bombes à retardement ?

 

La situation est donc extrêmement grave et si la 5ème colonne a facilité le carnage du 13

novembre 2015, la tuerie de la préfecture de police confirme l'existence d'un ennemi intérieur

prêt à passer à l'action. Il n'y a plus de frontière entre l'ennemi et l'ennemi intérieur. En niant la

menace et son caractère religieux dont se réclament les djihadistes, les responsables politiques

trahissent leur mission de protection des Français et l'avenir de la nation qui devrait être leur

priorité. Nos concitoyens doivent prendre conscience que nous sommes dorénavant face à une

guerre sainte menée au nom de l'islam par les soldats d'Allah. Il faut donc s'y préparer, nous

sommes prévenus. Résister à l'islam doit devenir un acte patriotique.

 

Ce carnage de la préfecture de Paris se produit au plus mauvais moment pour le président de

la République et pour le gouvernement, quelques jours après le lynchage d'Eric Zemmour

(exécuté parce qu'il dit la vérité), le lendemain de la grande manifestation des policiers

exprimant leur colère et juste avant le lancement du débat sur l'immigration. Il va bien falloir que

le pouvoir comprenne que la France n'est pas simplement une start-up, que c'est une pure folie

que de continuer à laisser entrer une immigration de culture hostile à notre civilisation. Il faut

dans l'immédiat écarter des services publics et notamment régaliens ceux qui sont suivis pour

radicalisation, fermer les mosquées salafistes et renvoyer leurs imams. Et à ceux qui

invoqueraient l'état de droit pour ne rien faire, on répondra que nous sommes en guerre et que

de toutes façons le droit est un outil à la disposition du pouvoir pour lui permettre de légitimer

son action. Il peut donc être modifié et confirmé par le Parlement. Ainsi l'état de droit est

respecté. L’islam doit être soumis aux lois de la République, et ceux qui ne l’acceptent pas

doivent partir, voire être poussés vers la sortie. Car entre nos cercueils et leur valise, il va falloir

choisir.

 

Général (2s) Antoine MARTINEZ

Président des Volontaires Pour la France

 

Commentaires: 1
  • #1

    burdin.guy@wanadoo.fr (lundi, 07 octobre 2019 19:51)

    Bravo Général, mais hélas combien faudra-t-il encore de déclarations comme la votre avant que nos " élites" se réveillent ?