Un nouveau concept macronien :

Le séparatisme islamiste

...par le Col. Georges Michel - Le 18/02/2020.

Dernière invention en date, paraît qu'il ne faudrait plus dire « communautarisme » mais « séparatisme »

Clemenceau aurait dit : « Si vous voulez enterrer un problème, nommez une commission. » , admirateur du Tigre, dit-on, a bien compris la leçon. La preuve : l’an passé, il a inventé une méga-commission baptisée pompeusement « grand débat national ». L’enterrement de première classe fut de toute beauté. Autre méthode : lancer sur les ondes un nouveau concept, un nouveau mot qu’on n’avait pas encore employé pour essayer de contourner un problème que vous ne savez pas par quel bout prendre. Dernière invention en date : le séparatisme islamiste. Paraît qu’il ne faudrait plus dire « communautarisme » mais « séparatisme ». Outre-Atlantique, on a appelé ça le sécessionnisme.

On avait, pour la Corse, le Pays basque, la Bretagne, les séparatismes corse, basque, breton. On aura donc le séparatisme islamiste. Fallait y penser. C’est dans quel coin de France, l’Islamie – ou l’Islamistan -, que l’on situe un peu, sur la carte ? Les séparatismes – corse, breton, basque, etc. – ont un gros avantage : certes, il leur est arrivé, par le passé, de déposer des bombes et même de faire des morts, mais ils réussissent en même temps à capter une certaine sympathie car l’aspiration à plus de liberté locale peut avoir sa légitimité. Plus compliqué pour le séparatisme islamiste par les temps qui courent, faut bien reconnaître. Ensuite, ces séparatismes ont leur corollaire, leur version soft, en quelque sorte, qu’on appelle l’autonomisme, voire le régionalisme. Là, du coup, le capital sympathie monte en flèche. Mettez-y quelques chants polyphoniques, une langue régionale respectable, des costumes traditionnels des plus charmants, et le touriste, citoyen à ses heures perdues, ne peut qu’être sensible à l’argument. On peut même envisager un statut spécial dans la Constitution de notre République, réputée « une et indivisible ».

Mais vouloir lutter contre le séparatisme, c’est en quelque sorte admettre qu’il existe une portion de la communauté nationale qui veut se couper de la nation, si ce n’est déjà fait, qui souhaite faire sécession. C’est reconnaître qu’il existe des communautés sur notre territoire. De là à les reconnaître… Les fameux « territoires perdus de la République » ? Perdus : pas pour tout le monde, semble-t-il… Jusqu’à ce jour, notre République s’est toujours refusée à reconnaître sur le territoire métropolitain une quelconque communauté. Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ? Emmanuel Macron, alors qu’il était en visite à Mulhouse, ce 18 février, a avoué « ne pas être à l’aise avec ce terme de communautarisme ». Entre nous, qu’il ne soit pas à l’aise sur le sujet, on l’avait un peu remarqué, depuis bientôt trois ans qu’il est au pouvoir. Il paraît qu’il y a des Français, eux aussi, qui ne sont pas à l’aise : non pas avec « ce terme » mais avec le communautarisme tout court. Et cela ne remonte pas à 2017.

On n’est donc pas à l’abri de la création d’une commission.

La guerre de Sécession (1861-1865) fit plus de 600.000 morts, aux États-Unis, ce qui en fait le conflit le plus meurtrier dans lequel ce pays fut impliqué.

 

Source : https://www.bvoltaire.fr/un-nouveau-concept-macronien-le-separatisme-islamiste/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=730fc5fcff-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-730fc5fcff-31040957&mc_cid=730fc5fcff&mc_eid=c2875309d7



Commentaire du Col. Jean-Pierre Mugg - Le 19/02/2020.

 

Voilà le président à 10 cm d'une femme qui viole la Loi de 2010, le jour même où il déclare ne JAMAIS accepter ce qui s'étale sous son nez, et qui NE DIT RIEN !

En contradiction avec tout son "bla bla".

Comment un pauvre flic de base pourrait il verbaliser cette provocatrice si le Président ne fait rien !

Cette photo est terrible car elle affiche que la défaite est déjà consommée.


La lutte contre l’islamisme politique commence mal

...par Jany Leroy - le 19/02/2020.

Cachez ce voile que je ne saurais voir et détournons le regard de ce contre quoi nous sommes venus discourir à l'aide de moult enfumage lexical.


L’image, qui vient anéantir tout le baratin séparatiste et autres pinaillages de perlimpinpin, est sidérante : lors d’un bain de foule, à quelques centimètres d’Emmanuel , presque contre lui, se tient une femme intégralement voilée. En parfaite infraction avec la loi, tranquillement, sans qu’aucun membre de la garde rapprochée du Président n’y ait vu problème, cette personne est arrivée jusque-là.

Plutôt que l’interpeller pour lui signifier son délit, montrer sa détermination à en finir avec l’obscurantisme islamique par une altercation improvisée qui ferait la une des médias, enfin du concret, du convaincant (en pleine campagne électorale, la scène serait payante), notre annonceur de mesures semble feindre de ne pas voir la dame avec son cache-visage inspiré des cow-boys attaqueurs de diligence. Après tout, il se tourne peut-être un western alsacien dans les parages ?

Cachez ce voile que je ne saurais voir et détournons le regard de ce contre quoi nous sommes venus discourir à l’aide de moult enfumage lexical. Un monologue à écouter en imaginant la voix de Bourvil dans son sketch de l’eau ferrugineuse : Commaunu, communautarisme non… Sépéra, séparatisme oui ! À la manière de l’homme alcoolisé venu vanter les mérites de l’eau minérale, Emmanuel Macron fait celui qui n’a pas vu ce qu’il prétend pourfendre. Est-il besoin de symbole plus convaincant du volontarisme gouvernemental ?

Il va sans dire que BFM et consorts tentent, tant bien que mal, de ne pas trop ébruiter l’affaire. Christophe Barbier aurait mangé la photo pour son repas de midi. Ni vu ni connu. Elle était là, elle n’y est plus. Accompagnée d’un bon verre d’eau ferrugineuse. Ça passe tout seul.

Dans ce concert d’infos à pas feutrés, La Dépêche réussit l’exploit de publier la photo en illustration d’un article dans lequel pas un seul mot ne vient souligner l’aberration de la promiscuité montrée dans l’image. Ironie ou négation du réel ? Le quotidien titre le plus sérieusement du monde : « Emmanuel Macron à  : chez nous l’islam politique n’a pas de place. » Le lecteur aura compris dès le premier regard.

Macron roi de la com’, ou comment détruire en trois secondes deux heures d’un discours déjà parfaitement aérien ? Par chance, les Français ont échappé à une invitation au restaurant de la jeune fille, une visite en diligence de Paris by night et autres attentions destinées à lutter contre le sépapa… séparara… séparatisme ! Enfin la lumière jaillit. Emmanuel Macron voulait parler de ses conseillers en communication dont il voulait se séparer. Allez, vous reprendrez bien une petite coupe de champagne électoral ?

 

Source : https://www.bvoltaire.fr/la-lutte-contre-lislamisme-politique-commence-mal/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=d8aa8bb2ff-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-d8aa8bb2ff-31040957&mc_cid=d8aa8bb2ff&mc_eid=c2875309d7


Macron et sa voilée : Français, voyez comme je vous emmerde

...par Martin Moisan - Le 19/02/2020.

Quel est le sens de cette image ? Quel est le message que nous envoit le président de la République depuis Mulhouse ?

Macron, un homme inapprochable. Après plusieurs séquences où il a eu très, très peur de se faire coxer, Macron est devenu un homme ultra-protégé. Essayez donc de vous en approcher revêtu d’un gilet jaune… Depuis des mois, les lieux où il se trouve sont ultra- sécurisés. Les quartiers sont bouclés à des centaines de mètres à la ronde et seules des personnes dûment identifiées peuvent se glisser jusqu’à lui. Ainsi des observateurs ont pu remarquer que les gens qui avaient été autorisés à l’approcher étaient tous munis d’un bracelet, signe de ce qu’ils avaient été identifiés bien en amont et conduits jusque-là sous contrôle. 

Une image parfaitement contrôlée. Sur cette photo en plan rapproché, on voit 4 personnes dont au moins 2 gardes du corps tendus comme des arcs. Par conséquent, il ne s’agit pas d’une scène ayant échappé au contrôle du service de sécurité. Toutes les personnes qui figurent sur cette image ont été dûment sélectionnées et autorisées par les services. Ici, tout est maîtrisé et il n’y a rien de fortuit dans cette image immédiatement publiée dans la presse, donc très probablement après validation par les services de communication de l’Élysée. L’image est parue hier sur le site de la Dépêche du Midi et on n’imagine pas qu’un média aussi docile se soit risqué à une telle publication sans aval. Aucun doute, il ne peut pas s’agir d’une erreur de communication, ni d’un élément aléatoire.

Alors pourquoi cette voilée intégrale collée contre Macron ? La voilée en tout premier plan collée contre Macron est là, volontairement mise en scène, pour porter un message politique fort. En aucun cas il ne peut s’agir d’un pur hasard. Et il n’échappera à personne qu’il ne s’agit pas d’un simple voile, mais bien d’un voile intégral. Le voile se détoure bien net, rouge sur fond noir quasiment uni, personne ne peut le rater. L’image est parfaite, comme construite.

Un message aux musulmans. N’ayez aucune inquiétude, mon discours de lutte contre l’islam politique n’est destiné qu’à anesthésier les Français. Fiez-vous à ce que vous voyez, il n’y aura de ma part rien de fait pour endiguer la progression  de l’islam politique et votre conquête du pays. Si vous voulez que ça continue, votez pour moi à la prochaine présidentielle.

Un message aux Français. Je vous emmerde. Vous n’en voulez pas, vous les aurez quand même bien profond, telle est la volonté de mes maîtres et tel est mon bon plaisir. 

Le précédent récent du T shirt LBD 2020.

Cette image aussi a fait beaucoup parler et fait couler beaucoup d’encre. Certains on pu croire (ou plutôt essayé de faire croire) à une bourde. Aucune bourde mais bien une provocation délibérée, une marque de défi à l’encontre des centaines de victimes des brutalités policières qu’il a expressément commanditées. Macron marque son mépris absolu de ceux qu’il a éborgnés. On retrouve le même petit sourire vicelard sur les deux images. Inutile d’avoir le son pour entendre ce qu’il pense en son for intérieur en ces instants :

« Tenez, voyez comme je vous emmerde ».

Aucune bourde, aucune erreur de communication mais des provocations hystériques. On connait le goût de cet immature indéfini pour la provocation, pour la morgue et l’arrogance hystériques. On se souvient du précédent et du « qu’ils viennent me chercher » qu’il avait glapi lors d’une montée incontrôlée de folliculine. On se souvient de ses multiples provocations à l’encontre du peuple de France, de son mépris sans cesse affiché. L’immature arrogant et hystérique se crispe dans la provocation pour marquer son autoritarisme. Car c’est bien d’autoritarisme dont il faut parler dans son cas et non pas d’autorité ; disposition naturelle dont il est totalement dénué.

Les images symboliques jalonnent le quinquennat, elles marquent le mépris absolu de la France. Toutes ces images s’enchaînent dans une cohérence parfaitement raisonnée. Elles portent toutes la même symbolique qui peut se résumer de la manière suivante :

 »Français, voyez comme je vous emmerde, vous allez devoir vous effacer devant les Noirs et les musulmans. »

 

Martin Moisan

Source : https://ripostelaique.com/macron-et-sa-voilee-francais-voyez-comme-je-vous-emmerde.html

 


Ceux qui ont permis le séparatisme islamiste

....par Yvan Rioufol - le 19/02/2020.

Non, l’ennemi n’est pas le "séparatisme islamiste" comme l’affirme Emmanuel Macron. Cette libanisation de la France n’est que la conséquence d’un abandon de la nation par ses dirigeants successifs. Et le chef de l‘Etat s’inscrit avec zèle dans ce prétendu progressisme qui a accordé sa préférence aux nouvelles minorités. Elles ont été encouragées à se revendiquer de leurs origines tandis que cette même exigence était jugée inconvenante venant des indigènes. Pour s’en convaincre, il suffit de comparer la violence avec laquelle Macron a insulté les Gilets Jaunes qui manifestaient à Paris et sa prudente bienveillance devant le fascisme islamique qui gangrène les cités d’immigration. Quand il a dénoncé, lors de ses vœux du 31 décembre 2018, "ceux qui s’en prennent aux élus, aux forces de l’ordre, aux journalistes, aux juifs, aux étrangers, aux homosexuels", il ne visait pas l’islam guerrier, antisémite, sexiste, homophobe, altérophobe, qui aurait pourtant mérité ces accusations. Disant cela, le président avait dans le collimateur cette France oubliée et modeste coupable de relever la tête et de demander des comptes. Comme je le rappelle dans mon dernier essai (Les Traîtres) : à la source du malheur français, il y a des traîtres français qui portent des prénoms français. Cela fait quarante ans et plus qu’ils abusent de la confiance des électeurs, mentent sur la réalité de la société, saccagent la nation fragile. Ils sont les premiers responsables de ce séparatisme dont ils s’émeuvent aujourd’hui, après l’avoir, de surcroît, longtemps nié.

Aussi ne faut-il rien attendre de Macron, sinon des mots creux, quand il assure mardi à Mulhouse : "Dans la République, l’islam politique n’a pas sa place". Le président s’est d’ailleurs fait photographier auprès d’une femme portant le niqab interdit. Or cet uniforme n’est rien d’autre que le signe distinctif de la visibilité islamique et de son refus des règles communes. Macron a eu l’honnêteté de reconnaître qu’il n’entendait pas contester le communautarisme. "Je ne suis pas à l’aise avec le mot communautarisme", a-t-il déclaré (Le Figaro, ce mercredi). "Ces appartenances s’ajoutent à la République, elles sont compatibles avec elles". Mais le communautarisme est un repliement, une volonté de se tenir à distance de la communauté nationale et de son unité de façade. Ce phénomène conduit au séparatisme que le chef de l’Etat prétend combattre. En réalité, ces subtilités sémantiques sont faites pour noyer le poisson. Elles permettent de ne pas désigner frontalement l’islam totalitaire comme la véritable "lèpre qui monte", cette expression présidentielle réservée aux populistes. C’est la source de l’islam suprémaciste qui reste à tarir à travers ses promoteurs. Tant que les frères musulmans et les salafistes seront laissés en paix par la République capitularde, la conquête islamique n’aura rien à craindre de discours faussement martiaux.

 

Source : https://blog.lefigaro.fr/rioufol/2020/02/non-lennemi-nest-pas-le.html


La méconnaissance et erreurs de M. Macron sur l'Islam.

...L'AGRIF du 19/02/2020.

Source : http://www.lagrif.fr/s-informer/nos-communiques/194-la-meconnaissance-et-erreurs-de-mr-macron-sur-l-islam

 

En déplacement à Mulhouse, ville où est en construction une mosquée géante appelée « An-Nour» (la lumière) Emmanuel Macron a voulu accréditer qu’il s’intéresserait enfin au défi que constitue chaque année un peu plus la progression en France de ce qu’il a désigné comme le « séparatisme islamiste ».

Sans doute s’est-il fait conseiller sur la question mais alors à l’évidence, bien mal. Car ses prises de paroles n’ont pas en effet révélé qu’il aurait beaucoup progressé dans sa connaissance de l’islam depuis son accession à l’Elysée.

Ses déclarations appellent les réflexions suivantes :

  • Sur « L’islam politique»

Mr Macron use comme tant d’autres commentateurs et politiciens de cette expression pour bien distinguer de l’islam « religion » un islam qui ne serait pas acceptable ; l’islam « politique », encore appelé « islamisme ». Or il n’existe pas d’islam non politique. Comment  l’islam ne serait-il pas politique alors que Mahomet son fondateur et son modèle a été simultanément et jusqu’à sa mort un chef de guerre, un chef politique et un chef religieux ? Mr Macron n’aurait-il pas lu un tant soit peu les Hadîths, ces textes rapportant les faits et gestes et les paroles du prophète lus et commentés, à l’égal des versets coraniques, dans toutes les mosquées ?

Comment l’islam ne serait-il pas une réalité politique alors que sa plus grande instance de représentation est l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) à laquelle adhèrent les 57 états islamiques et qui dispose d’une délégation permanente à l’ONU ? Les états et l’ONU ne seraient-ils pas des organisations politiques ?

Comme l’enseignent tous les docteurs de l’islam et tous les islamologues, l’islam est simultanément une religion et un ordre politique, une foi et une loi, une doctrine et un ensemble de mœurs.

  • Sur « L’oumma »

Mr Macron n’en a semble t-il pas parlé. « L’oumma », c’est la communauté de tous les croyants de l’islam, « la plus belle communauté donnée aux hommes » proclame le Coran. Après Allah et après Mahomet, c’est la valeur supérieure de l’islam, distincte de tout le reste de l’humanité. « Obéissez à Dieu, obéissez à son prophète» cela revient sans cesse dans le Coran et les Hadîths. Comment imaginer que cette communauté ne soit pas distincte, donc séparée de ceux qui n’obéissent pas aux prophètes, et à sa loi (la charia) ?

  • Islam et islamisme

Mr Macron ne veut pas, avec raison, de ce qu’il appelle le « séparatisme islamiste ». Rappelons que le mot « islamisme » pendant longtemps signifia simplement la doctrine de l’islam.

Aujourd’hui il est utilisé pour désigner les courants de l’islam dit radical ou fondamentaliste ou encore jihadiste.

Mais « islamiste »ou pas, l’oumma islamique structurée autour de mosquées de plus en plus nombreuses ne fusionnera que superficiellement avec la société « des mécréants ».

Dans toutes les mosquées, fût-ce animées par de gentils imams s’affirmant «  républicains » on distinguera toujours suivant l’enseignement du prophète le « dar-el-islam » (le «  territoire de l’islam ») du dar-el-Kofr  (le «  territoire de la mécréance et du dar el Harb (« le territoire de la guerre »).

Mr Macron peut bien vouloir d’un islam républicain c’est plus facilement la république qui devient islamique depuis des années, avec la progression sans cesse des territoires de l’oumma.

Déni de réalité

L’erreur fondamentale de Mr Macron comme de la plupart des politiciens est de ne pas considérer (ou de faire semblant ?) l’islam que comme une religion et de surcroît selon le modèle du christianisme,

[L’imam en est le curé

[La mosquée en est l’église

[Le coran en est l’Evangile

[Le ramadan en est le carème…

Et le Allah de Mahomet serait le même Dieu que celui des Chrétiens !

Faux en tous points ! Et particulièrement le dernier.

Bien sûr, il n’y a qu’un seul Dieu Créateur de l’Univers. Mais le Dieu auquel croit les musulmans est si différent de la Révélation qu’en ont les chrétiens par le Christ, le Dieu de la Sainte Trinité, le Dieu de l’incarné, crucifié, ressuscité.

Là est la racine de l’aversion islamique pour le christianisme. Car il est écrit et sans cesse répété dans le Coran que « le seul péché qu’Allah ne pardonne pas est d’associer d’autres Dieux à Dieu ».

Et pire encore que les « associationnistes », il y a les athées.

Voilà Mr Macron, le fond du problème. Oh bien sûr, nombre de musulmans n’adhèrent plus à l’islam, ou seulement en apparence, voire le quittent, voire se convertissent au Dieu de l’Evangile, à la charité du Christ.                                            Mais cela, souvent, à leurs risques et périls, et même au péril de leur vie, même chez nous tant le carcan de l’oumma est sévère. Et cela n’est pas affaire d’Imams bien formés, discourant en bon français. Et le problème n’est pas que tout le monde accepte qu’il n’y ait pas de lois religieuses au dessus des lois de la république.

Le problème est d’abord que les lois de la république, si variables, ne soient pas contraires à la loi morale naturelle, la loi universelle de respect de la vie innocente, la loi de respect de la nature humaine.

Sinon, l’islam, avec son exécrable charia, continuera de progresser, sous le couvert des bons discours dans l’art de la taqiya, l’islam «  patte blanche » bien sûr, mais derrière lequel n’a que trop progressé aussi, et tué, l’islam « mains rouges ».

Pour le freiner, le faire reculer, encore faudrait-il ne pas alimenter la haine antifrançaise et antichrétienne parmi les populations originaires de l’empire français, souvent musulmanes, par de mensongers et criminels discours sur « la colonisation crime contre l’humanité ».

Après cela Mr Macron, allez donc faire respecter votre république.


Macron contre le « séparatisme islamiste » : beaucoup de bruit pour rien

...par le Gal. Roland Dubois - le 20/02/2020.

 

 

Les problèmes causés par les dérives liées à l’immigration et à l’islamisme obscurcissent de plus en plus le ciel français. Après un silence de près de trois ans, on nous annonçait une initiative spectaculaire du Président dans ce domaine, des « annonces fortes » lors du déplacement présidentiel à Mulhouse. Eh bien, il n’était pas nécessaire que le Président se déplace en Alsace pour dire des banalités pareilles.

Une fois de plus, il a été incapable de désigner l’adversaire. Après « l’ennemi, c’est le terrorisme » d’il y a peu, on a fait un grand pas. Maintenant, « notre ennemi est le séparatisme, mais faire un plan contre l’islam serait une faute profonde ». Il n’ose même plus parler de l’islamisme, mot qui contient « islam » ; alors là, danger !

Suivent trois mesures « phares » : fin des imams détachés venant de l’étranger, mais progressivement ; ça s’étalera jusqu’en 2024 ; contrôles renforcés des financements étrangers des lieux de culte ; qu’est-ce que cela recouvre ? Mystère. Suppression des enseignements de langue et culture d’origine ; second mystère. Et c’est tout ! Avec ça, l’islamisme n’a qu’à bien se tenir.

Pour être complet, il faut retenir de son discours une courte litanie de vœux pieux : « Dans la République, on ne peut pas accepter qu’on refuse de serrer la main à une femme parce qu’elle est femme ; dans la République, on ne peut pas accepter que quelqu’un refuse d’être soigné ou éduqué par quelqu’un ; dans la République, on ne peut pas accepter la déscolarisation ; dans la République, on ne peut pas exiger des certificats de virginité pour se marier ; dans la République, on ne doit jamais accepter que les lois de la religion puissent être supérieures aux lois de la République, c’est aussi simple que ça. »

Et voilà ! Pas un mot du nécessaire tarissement du flot d’immigrés qui nous arrive chaque année ; ce qui, on en conviendra, contribuerait au moins à ne pas aggraver la situation actuelle. Quand on trouve aussi « simple » l’évocation superficielle d’un problème préoccupant, qu’on en réduit la solution à quelques cautères, c’est qu’on nie son existence et qu’on en parle seulement pour faire plaisir au chaland qui a le mauvais goût d’insister. On pourrait croire ces évidences émises par des opposants au pouvoir en place ; mais le pouvoir, si l’on ose dire en l’occurrence, c’est lui. Français, dormez en paix ! Votre Président veille.

M. Macron ne me déçoit pas. Je n’en attendais rien ; je suis servi.

 

Source : https://www.bvoltaire.fr/macron-contre-le-separatisme-islamiste-beaucoup-de-bruit-pour-rien/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=10d877c8d3-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-10d877c8d3-31040957&mc_cid=10d877c8d3&mc_eid=c2875309d7


Lettre d'un Maire à E. Macron à propos de la femme voilée de Mulhouse.

« La République se vit à visage découvert »

Depuis 31 ans, Gérard Tardy est maire de Lorette, une commune de la Loire de 4.700 habitants, située à une vingtaine de kilomètres à l’est de Saint-Étienne. Aujourd’hui, il est candidat pour un sixième mandat.

La semaine dernière, Gérard Tardy a envoyé une lettre au président de la République, suite à la photographie prise à Mulhouse sur laquelle on voit une femme complètement voilée à proximité d’Emmanuel Macron

 

Lorette, jeudi 20 février 2020

Monsieur le Président de la République,

Maire de la commune de Lorette dans le département de la Loire depuis 31 ans, j’ai la réputation de faire appliquer les lois de notre République française à la lettre, fort de la mission que j’ai reçue du suffrage universel.

Notamment, depuis l’adoption de la loi du 11 octobre 2010 et de la circulaire de 2011, et conformément aux ordres du ministère de l’Intérieur. Tous les lieux et espaces publics de notre commune sont placardés des affiches fournies par le ministère gravées du message suivant : « La République se vit à visage découvert. »

Je puis vous assurer que sur le terrain, il m’arrive très fréquemment de le rappeler de vive voix à toutes ces jeunes femmes de confession musulmane qui affichent dans l’espace public leur religion par un voile sur la tête, du type hidjab, voire jilbab ou encore niqab, qui sont tous d’expression politique et religieuse.

À la vue de la photo au verso du courrier, je suis outré qu’à aucun moment de vos propos devant la femme voilée d’un niqab qui est en face de vous sur cette photo de presse, vous ne l’avez invitée à se dévoiler ou à quitter l’espace public devant vous. Par votre absence de réaction, dois-je en déduire que vous avez toléré comme normal son aspect vestimentaire ?

J’ose espérer qu’il s’agit d’une méchanceté à votre égard réalisée par un photomontage que vous n’avez pas démentie à ce jour.

Si ce n’est pas le cas, je ne comprends plus ?

Pour le peuple, vous devez savoir que l’exemple doit venir du haut !

Or, le plus haut de notre République, c’est vous, Monsieur le Président de la République.

Si cette photo est réellement vraie, comment voulez-vous maintenant que, par mon mandat de maire au bas des étages de la hiérarchie républicaine, je puisse dorénavant faire appliquer avec autorité nos lois républicaines et cette loi de 2010 en particulier.

Je m’autorise à vous faire remarquer que votre absence de réaction pour inculquer à cette femme vêtue dans une tenue provocante à nos lois est contraire aux propos de votre discours tenus lors de votre visite à Mulhouse. Dans ce dernier, vous prônez, à juste raison, le respect de nos lois et de la laïcité, quelle que soit sa religion.

Je conclurai ce courrier en vous posant une question :

En tant que maire, doit-on encore faire appliquer la loi du 11 octobre 2010 qui interdit dans les lieux et espaces publics de se dissimuler le visage ?

Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, mon plus grand respect.

Le Maire,

Gérard TARDY

 

Copie de cette lettre a été adressée à :

– Président du Sénat

– Président de l’Assemblée nationale

– Madame et Messieurs les Sénateurs de la Loire

– Mesdames et Messieurs les Députés de la Loire

– Monsieur le Préfet de la Loire

Pour mieux connaître Gérard Tardy et sa commune.

 

Source : https://www.bvoltaire.fr/lettre-dun-maire-a-emmanuel-macron-a-propos-de-la-femme-voilee-de-mulhouse/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=6144dda403-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-6144dda403-31040957&mc_cid=6144dda403&mc_eid=c2875309d7


Face au séparatisme islamique, une lutte bien mal engagée

...par le Gal. Antoine Martinez - Le 24/02/2020.

 

La sémantique a une grande importance et le fait que le président de la République ait décidé, plusieurs jours avant son déplacement en Alsace, d’utiliser le terme de séparatisme en lieu et place de celui de communautarisme pour lutter, enfin, contre l’hydre qui menace l’unité de la nation ne pouvait que susciter de l’adhésion. L’image concrète véhiculée par ce substantif est plus démonstrative et donc plus apte à provoquer le refus de l’inacceptable, la République étant une et indivisible selon l’article 2 de notre Constitution. Ajoutons cependant à ce stade une précision qui a son importance pour la compréhension de l’urgence du combat à mener: il ne s’agit pas de séparatisme islamiste, mais de séparatisme islamique qui est la conséquence du communautarisme, fruit lui-même de l’immigration musulmane de masse qui continue, malgré l’évidence du danger, d’être accompagnée aujourd’hui par nos dirigeants politiques. Ce séparatisme islamique est consubstantiel à la culture islamique. L’extension des territoires perdus de la République où règne l’islam en est l’illustration la plus parfaite.

Cela dit, l’espoir créé par l’annonce de l’Elysée s’est vite fracassé sur un obstacle de taille, commun malheureusement chez beaucoup de nos dirigeants, à savoir le manque de courage politique au moment de décider. C’est ainsi que les Français ont pu constater que devant l’évidence de l’aggravation de la fracture identitaire et culturelle qui mine la nation, le président de la République préfère, malgré des effets d’annonce, renoncer et se soumettre à l’esprit totalitaire.

Et cette capitulation s’est déroulée en deux actes au cours de ce déplacement, deux séquences qui révèlent son impuissance à décider dans l’intérêt de la nation française et qui l’a conduit finalement à reculer au dernier moment sous la pression de la peur inspirée par l’esprit totalitaire. Il avait pourtant reconnu lui-même la nécessité de lutter contre le séparatisme concrétisé par la multiplication des territoires perdus de la République. Ce faisant, il affiche sa faiblesse, la faiblesse criminelle de l’Etat, face à un ennemi conscient de sa force, à présent confortée par ce renoncement. Il participe ainsi à l’aggravation de la situation et à l’avènement des drames qui frapperont notre pays. Il faut que les Français le sachent.

Le premier acte s’est concrétisé par la visite d’un quartier « sensible », vidé au fil des ans de la majeure partie de ses autochtones, visite au cours de laquelle le président de la République a été interpellé et a pu échanger longuement avec les habitants. De ces échanges recueillis grâce aux réseaux sociaux que le pouvoir ne peut, pour l’instant, ni maîtriser ni censurer, il ressort que le président de la République, en se livrant à ce qu’il croit être une opération de communication rondement menée à son profit, subit en réalité l’exercice plus qu’il ne le conduit. Car loin d’être spontané, « l’acceuil » du président avait été préparé par les séparatistes se posant, selon les méthodes bien rodées des CCIF ou autres CFCM ou associations, en victimes, se plaignant de stigmatisation, de rejet, de problèmes économiques. Et le président d’en rajouter et de promettre encore plus d’argent pour alimenter ce puits sans fond alors que le problème n’est pas économique mais culturel. Curieusement, il ne va pas à la rencontre des Français qui souffrent de cette immigration de masse, des agressions qu’ils subissent quotidiennement dans différents domaines de la part de cette dernière.

Cerise sur le gâteau et comble d’une complaisance coupable – c’est un euphémisme – on notera ce besoin pathologique de prises de photos (selfies) avec des personnes dont les motivations sont évidentes sauf pour lui. Car accepter d’apparaître sur une photo avec une femme voilée est une faute. C’est accepter de fait le séparatisme qu’il dit vouloir combattre en reconnaissant son étendard. C’est également accepter l’instrumentalisation qui sera faite de ces photos par les séparatistes encouragés par une telle soumission. Enfin, avec le cas de cette femme dissimulant son visage, le président est non seulement tombé dans un piège prévisible – que ses services de sécurité devaient anticiper – mais par son manque de réaction, il s’est rendu complice d’une infraction caractérisée en laissant une femme entièrement voilée poser impunément à ses côtés. Non seulement le président ne fait pas respecter la loi mais il permet à cette femme qui doit être poursuivie de narguer le peuple français. Cette image, à elle seule, est désastreuse et dévastatrice car elle symbolise, d’un côté la volonté affichée et affirmée de bafouer la loi de la République, de l’autre la démission et la soumission de l’Etat.

Le second acte était constitué par le discours, attendu en raison notamment de l’intérêt suscité par le choix du terme séparatisme plus explicite et plus agressif que celui de communautarisme. Hélas, ce second acte fut, en fait, la confirmation d’une nouvelle opération axée sur la seule communication qui s’est révélée décevante, sans réel programme réfléchi pour lutter efficacement contre ce cancer islamique et vouée à l’échec car traduisant clairement une absence de volonté de passer à l’action et donc un renoncement.

En premier lieu, ce discours est d’entrée apparu mal construit et mal argumenté. Sur un tel sujet, avant de pouvoir annoncer des mesures il est indispensable de poser un diagnostic le plus objectif possible, c’est à dire non pas seulement énoncer des symptômes mais remonter et analyser les causes du problème à traiter. Or le diagnostic n’a pas été posé. Comment peut-on dans ces conditions espérer apporter une réponse pourtant urgente au problème soumis ?

En second lieu, une partie de ce discours a consisté pour le président de la République à dresser un bilan de l’action menée depuis son arrivée au pouvoir, bilan d’auto-satisfaction inconvenant car en complet décalage et en contradiction avec les chiffres du ministère de l’Intérieur pour l’année 2019. Mais cette partie du discours était destinée à persuader les Français du bien-fondé et de la pertinence de son action et à masquer l’indigence de son argumentation.

Car, enfin, son propos plein de contradictions est révélateur d’une méconnaissance totale de l’ennemi qu’il ne veut pas nommer et d’un manque de vision préjudiciable à terme à l’unité et à la sécurité des Français. En effet, lorsque le président déclare que l’islam politique n’a pas sa place en France, il sait que ce propos sera bien accueilli mais, en même temps, il occulte gravement la menace car l’islam est par essence politique. Il n’existe pas d’islam non politique. C’est là que le bât blesse et c’est donc bien l’islam le problème, l’islam incompatible avec la démocratie, l’islamisme n’étant que l’expression de l’islam dans sa totalité, violent, totalitaire et conquérant contenu dans le Coran et les hadiths qui appellent au meurtre des infidèles, institutionnalisent l’infériorité de la femme, refusent la séparation entre le spirituel et le temporel et ordonne l’application de la charia, la loi islamique condamnée par la CEDH en 2003 ! Il faut bien reconnaître que l’islam produit des personnalités au fonctionnement et au comportement plutôt pathologiques. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle un esprit civilisé et indépendant, disposant de son libre-arbitre et de sa liberté de conscience et de pensée, pourrait objectivement considérer les auteurs d’attentats islamistes comme des déséquilibrés. Ils sont, en effet, collectivement déséquilibrés car modelés par une culture obscurantiste et mortifère. Et environ 30 % (c’est à dire au moins 3 millions) des musulmans présents en France (dont plus de 50 % des jeunes) sont radicalisés, clament la primauté de la charia sur les lois de la République et considèrent leur « religion » comme un outil de rébellion contre la France et l’Occident en général (cf. étude Institut Montaigne 2016) ! Le président de la République qui, par ailleurs, fait rapatrier les djihadistes partis en Syrie et en Irak serait donc bien inspiré de réfléchir aux conséquences de son renoncement – par peur de stigmatiser – à mettre en œuvre des mesures radicales pour éradiquer ce processus et en inverser le cours.

De même, lorsqu’il désigne le séparatisme comme l’ennemi, il fait fausse route car comme pour le terrorisme, il confond l’outil mis au service d’une idéologie totalitaire et mortifère. Il faut bien comprendre que le séparatisme est la conséquence logique du communautarisme. Et le communautarisme est lui-même la conséquence logique de l’immigration de masse. Et le séparatisme à l’oeuvre grâce au nombre, sans cesse croissant en raison d’entrées légales et illégales ingérables acceptées par nos dirigeants, précède et prépare l’étape suivante, à savoir la constitution de territoires complètement vidés de ses autochtones et sortis de l’Etat de droit avec le but affirmé d’instaurer des Etats islamiques administrés par le Coran et appliquant la charia. La constitution de territoires étrangers et hostiles sur notre propre sol ! Quel manque de clairvoyance et de courage dont, à n’en pas douter, il faudra un jour payer le prix, et un prix fort !

Quant à la construction de mosquées et à leur financement qui procèdent de cette islamisation criminelle de notre pays accompagnée et favorisée par nos dirigeants politiques, comment peuvent-ils, devant l’évidence du danger évoqué, continuer à accepter cette soumission à l’esprit totalitaire sachant que dans une mosquée on prêche la charia incompatible avec notre Constitution, et que les écoles coraniques qui y sont associées sont de véritables madrasas qui enseignent la haine des non-musulmans ? On a d’ailleurs cru comprendre que le président de la République découvrait l’existence des ELCO (enseignements de la langue et de la culture d’origine). Ils ont pourtant été mis en place par l’Education nationale au milieu des années 1970, et ont été et sont toujours de véritables freins à l’intégration des jeunes issus de l’immigration. Ils ont, en outre, été dénoncés par le Haut Conseil à l’Intégration dans deux rapports publiés en 1991 et 2010 complètement ignorés ! C’est ainsi que nos djihadistes ont été instruits par l’école de la République !

Cela dit, près de 500 mosquées devraient aujourd’hui déjà être fermées (170 d’obédience Fréres musulmans, 152 salafistes, 147 tablighis). C’est dire le niveau d’atteinte et d’offense à notre démocratie et au fameux vivre-ensemble devenu complètement utopique. Les rapports alarmants de la DGSI sont volontairement occultés.

Alors, après ce nouvel exercice de communication peu convaincant du président de la République manifestement dans le déni de la réalité et de la gravité de la situation, et donc peu enclin à vouloir décider des mesures fortes seules capables de provoquer le sursaut, on ne peut qu’être inquiet pour la France et son peuple qui souffre de cette immigration incompatible avec ses valeurs, sa culture, son mode de vie, ses traditions et dont sa vie même est mise en danger. Réticent à s’exprimer sur ce sujet depuis son accession au pouvoir mais contraint de le faire sous la pression des événements et des drames qui ont frappé récemment le pays, le président de la République semblant manifestement ne pas avoir compris les enjeux, ou ne voulant pas les comprendre, ne pourra donc pas y faire face. Le seul fait d’avoir omis de poser le diagnostic dans son discours révèle, en effet, l’absence de volonté de traiter le problème. Ce diagnostic objectivement très pessimiste aurait logiquement conduit à des mesures très fortes, voire radicales, que le président de la République ne prendra jamais. Une question se pose alors : un tel renoncement est-il compatible avec l’intérêt de l’Etat et de la nation ?

Général (2s) Antoine MARTINEZ

président des Volontaires Pour la France


Un article du "POINT"de septembre 2017...

avec en prime, une vidéo de "Télématin"...

On abordait déjà le problème il y a 3 ans !

....proposé par le Col. Y. Logette.

JMR

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Télématin....
a ecouter obligatoirement.mp4_.mp4
Fichier Audio/Vidéo MP4 9.8 MB

Un ex-principal de collège dénonce "l'emprise" de l'islamisme

Source : https://www.lepoint.fr/societe/un-ex-principal-de-college-denonce-l-emprise-de-l-islamisme-03-09-2017-2154229_23.php

Dans un livre intitulé "Principal de collège ou imam de la République", un ancien proviseur dénonce la "loi du silence" face à "l'emprise de l'islamisme".

 
Publié le  | Le Point.fr
Bernard Ravet a publie un ouvrage dans lequel il denonce une "emprise" de l'islamisme dans certains etablissements scolaires.
Bernard Ravet a publié un ouvrage dans lequel il dénonce une "emprise" de l'islamisme dans certains établissements scolaires. © Till Jacket / Photononstop/ Till Jacket
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